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LE VOTE

Titre: Des hommes d’influence

Réalisateur: Barry Levinson
Année: 1998
Genre: Comédie
Catégorie: Comprendre la Matrice
Thème: 
→ Manipulation de Masses avec les Médias
→ False Flags (Attentats sous fausse bannière créer par le gouvernement) avant les élections
→ False Flag crée avant les élections, voir cette image

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https://youtu.be/tGWpq_8u0-8

VOTEZ ROTHSCHILD

Comme le dit l’adage, peu importe pour qui vous votez, il y aura toujours un gouvernement. Oui, et ce sera toujours le gouvernement des Rothschild/Illuminati/reptiliens contrôlant n’importe quel parti ayant une chance de gagner, mais aussi contrôlant ceux qui ne gagnent pas mais qui ont une influence sur la politique et l’opinion publique. Vous ne voulez pas de ce sioniste Rothschild de Bush fils ? D’accord, nous sommes en démocratie, alors votez pour le sioniste Rothschild Obama. Vous ne voulez plus des sionistes Rothschild Gordon Brown et Peter Mandelson en Grande Bretagne, alors remplacez-les par le sioniste Rothschild David Cameron, l’homme issu d’une famille d’élite ayant des liens avec les Rothschild. La politique regorge de fraudes, il n’y a pas d’intégrité et l’on vous dit une chose tout en croyant à une autre. La première fois que j’ai parlé à l’Oxford Union, j’ai été surpris de voir que les étudiants tiraient au sort pour savoir s’ils allaient voter pour ou contre une motion. Beaucoup d’entre eux ne croyaient pas en ce qu’ils soutenaient mais croyaient en ce à quoi ils s’opposaient. C’était juste un jeu et pourtant ils semblaient croire avec passion à ce qu’ils disaient. Pas étonnant que tant d’étudiants issus de l’Union fassent carrière en politique, où ils sont très bien payés pour faire exactement la même chose. Si vous rassemblez toutes ces informations vous verrez que les partis politiques ne sont simplement que des moyens de présenter le plan des familles d’hybrides reptiliens, la « coquille » des reptiliens, qui exigent la transformation de la société humaine en une dictature mondiale. De plus en plus de personnes disent que les élections sont inutiles, car rien ne change. Maintenant, vous savez pourquoi. Les principaux partis ont été systématiquement détournés et on les a aussi tellement uniformisés, que la seule différence qu’il existe entre eux est leur nom. Les partis doivent revendiquer leur différence sinon les gens se rendront compte du monopartisme d’État Le parti au gouvernement dirige et l’opposition s’oppose, ou semble le faire, mais quand le parti opposant devient le parti dirigeant, il suit le même plan que le parti qu’il vient de remplacer et à qui il s’était précédemment opposé. Pendant ce temps là l’ancien parti dirigeant rentre dans l’opposition et critique la politique qu’il menait quand il était au gouvernement, afin d’alimenter l’illusion de « débat » et de « choix ». C’est tout un jeu de l’esprit consistant à consacrer assez de temps à mettre en place l’État policier mondial tout en augmentant la surveillance, en implantant des micropuces dans les corps des gens, et tout ça pour créer une société basée sur le contrôle total. La destruction des libertés par les gouvernements n’est plus un paradoxe. Ils sont là pour ça.

Le changement dans lequel nous croyons.

LES AVOCATS DÉTRUISENT LA JUSTICE

La « loi » ainsi que la gestion des finances sont les moyens les plus efficaces pour imposer sa volonté sur la population. En fait les deux sont liées et le système juridique actuel est fondé sur le droit romain de l’argent et du commerce. Le juge siège sur un banc d’où l’origine du mot « banque ». À Rome, les bailleurs de fonds installaient leurs étals sur un long banc qui portait le nom de « bancu », devenu plus tard « banco » puis « banque ». Aux États-Unis, les lois sont faites, en théorie, dans le quartier de Capitol Hill, à Washington, qui héberge le Congrès américain, et dont le nom vient de l’ancien Capitole de Rome. Dans chaque pays, le gouvernement siège dans la « capitale ». Dans le monde entier, le droit écrit est basé sur le droit romain qui lui-même provient du droit babylonien et du droit sumérien. C’est encore plus évident aux États-Unis, car eux ont un « Sénat ». Dans la Rome antique, ceux qui escortaient les magistrats tenaient des « fasces », des faisceaux constitués d’un ensemble de verges d’orme ou de bouleau, liées en cylindre autour du manche d’une hache par des lanières de cuir rouge croisées. Ces faisceaux symbolisaient le pouvoir et l’autorité des magistrats, et ce terme est à l’origine du mot « fascisme ».

C’est de ces symboles que vient le mot « fascisme ».

Cela dépeint parfaitement le monde que les lignées Illuminati cherchent à imposer : les verges (les individus sont liés ensemble et gouverné par une hache (la dictature). Quel symbole pour l’Union européenne ! Le sceau officiel du Sénat américain comporte deux faisceaux croisés et la masse de la chambre des représentants américains a été conçue pour leur ressembler. On peut les voir à la chambre des représentants, ils trônent sur le mur et entourent le drapeau américain, dans le bureau ovale, sur le sceau et l’insigne de la Garde nationale des États-Unis et au centre du sceau officiel de la Cour américaine de l’impôt. Les faisceaux entourent également le pied de la statue qui trône sur le dôme du Capitole, à Washington — la déesse de la liberté (la reine Sémiramis). Encore une fois, c’est très approprié, il ne s’agit pas du tout de la déesse de la « liberté ». Regardez l’architecture de Washington DC ou de la banque d’Angleterre et autres bâtiments de ce type à Londres. Tous se référent à d’anciennes civilisations, surtout la civilisation romaine. 

Contrôler le peuple par le biais du droit romain est très simple. Quelques-uns décident de ce que sera la loi et quiconque refusera de s’y plier sera puni par un réseau d’agences se rassemblant sous le terme « d’application des lois ». À moins de se retrouver confronté à un refus massif de se conformer à la loi, un refus tel qu’il renverserait le système, c’est le moyen rêvé pour tout contrôler. Ceux qui résistent sont pris un à un pour servir d’exemple et montrer aux autres ce qu’il en coûte de résister à l’État, qu’une loi soit injuste ou non. Ce système de contrôle devient encore plus puissant quand on se rend compte qu’on ne demande pas leur avis à ceux qui subissent ces lois. Nous avons été programmés pour faire rimer « démocratie » avec « liberté » alors que ces deux termes n’ont pas grand chose à voir. La seule et unique différence, aujourd’hui, entre une dictature fasciste, une dictature communiste et une dictature élue (démocratie) c’est que les gens sont appelés à voter tous les quatre ou cinq ans. Ce qui nous mène à deux points : (1) À quoi sert de voter quand on sait que les options que prendra le gouvernement seront orchestrées par les mêmes réseaux de familles ? (2) Une fois votre vote effectué, le gouvernement « élu » se met en place et fait comme bon lui semble. On vote pour un homme politique ou pour un parti en fonction de ce qu’ils ont promis de faire une fois qu’ils seraient au pouvoir. Mais comme nous le constatons en permanence, ils n’ont aucune obligation d’agir de la sorte une fois en place. Regardez Obama, pour commencer. Il a déjà fait plusieurs fois volte face. Le vote est sans conséquence, c’est juste une concession faite à la population lui laissant miroiter qu’elle est libre. Tous les pays sont des dictatures, quelles soient en place grâce au vote, ou imposées par un coup d’État.

LA LOI PAR DÉCRET

Une autre fausse idée est de croire que les lois, dans les « démocraties » sont votées après un débat public au Congrès, au parlement ou ailleurs, ce qui n’est pas vrai. La population n’a pas d’opinion fondée, pas de connaissance détaillée, ni de compréhension à ce sujet. Elle n’a qu’une « image » de ce qu’est la situation. Cette image vient du fait que l’on entend, à moitié, les litanies incessantes des hommes politiques, des journalistes et des universitaires. Ainsi, les gens ont l’impression que pour qu’une loi passe, elle doit être sujette au débat entre « représentants » élus à l’assemblée, au parlement ou dans des conseils locaux, mais c’est faux. Quelque chose comme 75 % (et cela ne fait qu’augmenter) des lois britanniques proviennent des bureaucrates non élus de l’Union européenne. Puis il existe d’autres petites ruses qui permettent aux gouvernements ou aux présidents de présenter des lois sans débat ou surveillance dignes de ce nom. Aux États-Unis, le système de décrets présidentiels permet de contourner le Congrès et on les utilise pour proposer une montagne de lois et de législations qui reste en attente, dans l’ombre, comme dans les États fascistes ou communistes, et qui ne seront appliquées qu’en cas d’« urgence d’État ». Comme l’a si bien dit Paul Begala, ancien conseiller de Clinton, en 1998 dans le New York Times, ce n’est qu’un « simple coup de crayon, les lois du pays. Et c’est cool ! » Les décrets sont des dispositions juridiques légales émis par le président sans qu’il y ait débat public. Ils ne nécessitent pas l’approbation du Congrès mais on le même poids que les lois passées par le Congrès. Si le Congrès adopte un projet de loi pour défier les lois passées par décret, le président peut exercer son veto. Pour se substituer à ce veto, il faut une majorité des deux tiers, ce qui est fortement improbable. Aux États-Unis, la façon dont est formé un gouvernement a été instaurée afin qu’un seul homme puisse détenir un pouvoir très important, ce qui facilite la tâche de ceux qui contrôlent cet homme. Il existe une longue liste de décrets présentés par les présidents successifs (figures politiques travaillant pour la même force) au cours des décennies qui peuvent être appliqués simplement en annonçant un cas d’urgence nationale. Ce sont vraiment des décisions fascistes qui donnent au gouvernement le droit de confisquer une maison, de briser une famille et de lui retirer ses enfants, d’envoyer les gens vivre et travailler où on leur dit d’aller, de prendre le contrôle des médias, des transports (y compris des véhicules privés), de toutes les sources d’énergies, et bien d’autres choses encore. Combien d’Américains sont au courant de tout ça ? Il existe aussi un système de « règlementations » dans lequel les lois passées — du moins en théorie — à Capitol Hill reçoivent des ajouts de la part d’agences de réglementation qui sont souvent celles dans lesquelles on retrouve des « expert », en entreprise, en science ou en économie, non élus et souvent inconnus, qui donnent des conseils. C’est une autre façon d’introduire des modifications sans qu’il y ait de débat politique et de supervision. Au Royaume-Uni, l’assemblée peut voter des lois déléguées (secondary législations), et dans le cas des ministres, des décrets. Voici une définition tirée de www.answers.com

Les textes réglementaires font partie de la législation du Royaume-Uni, ils sont distincts des lois et n’exigent pas la pleine approbation du Parlement avant de devenir des lois. Ils sont transférés au Parlement par un ministre exerçant sur eux un pouvoir législatif qui leur est délégué par une loi. 

En fait, ils font essentiellement ce qu’ils veulent, surtout depuis que la réforme législative et réglementaire est passée en 2006, leur donnant encore plus de pouvoir. Des milliers de règles, de règlements et de lois sont présentées chaque année au Royaume-Uni sans qu’il y ait débat public, et même les lois adoptées par la Chambre, ne sont pas lues par tous ceux qui votent en leur faveur. Des changements fondamentaux, comme le Patriot Act, loi fasciste aux États-Unis, et des passations de pouvoir fondamentales des parlements ou assemblées nationales à l’Union européenne, sont votés par des personnes n’ayant pas lu la législation. La loi d’Obama sur l’énergie propre et la sécurité énergétique (Clean Energy and Security Act) qui donne au gouvernement le contrôle sur presque chaque aspect de la vie en Amérique, a été adoptée en juin 2009, bien que 300 pages n’aient été présentées qu’à trois heures du matin, sans que pratiquement personne ne les ait lues. Quand John Boehmer, le chef de la minorité à la Chambre s’est levé pour en lire le contenu à voix haute, Henry Waxman, sioniste Rothschild et co-auteur du projet de loi, a émis une objection et a essayé de l’arrêter pour des raisons de « procédure ». Pour faire adopter n’importe quelle loi, il suffit d’une représentation majoritaire pour le parti du gouvernement, et peu importe la justesse des arguments de l’opposition, ils votent tous tels des moutons pour leur « côté ». Ne posez pas de questions et ne contestez pas, ça irait mal pour votre carrière. C’est, encore une fois, le « moi d’abord » et c’est le carburant qui habilite la conspiration. Jour après jour, année après année, c’est toujours la même chose et cela donne une montagne de lois qui dicte désormais les moindres détails de nos vies. Ceux qui rédigent les lois dans l’ombre pour le compte de leurs maîtres Francs-maçons ou Illuminati, cachent les pilules de cyanure destinées à la liberté de chacun dans le charabia sans fin des alinéas et des sous-alinéas, que les politiciens et la population ne lisent jamais et que souvent, ils ne comprendraient pas. Les lois sont spécifiquement formulées pour masquer leur véritable signification. Alors plus tard, on entend certains dire : « Je n’ai jamais voté pour ça ». On lui fait constater que si dans la clause 71, paragraphe 55. Voilà comment l’état fascistocommuniste mondial s’est secrètement construit. De plus aujourd’hui, nous avons la nouvelle expression qui fait le buzz : la « loi internationale ». On va l’entendre de plus en plus, car les lois internationales sont des lois auxquelles quiconque sur la planète se doit d’obéir. C’est le cadre de préparation à un gouvernement mondial.

LA GRANDE SUPERCHERIE

Rien ne met plus en évidence l’ampleur de la supercherie que la façon dont la vraie nature de la loi est cachée à la population. Un nombre croissant de chercheurs se concentrent sur ce qui ressemble à un champ de mines (on mine l’esprit) et dont la complexité est calculée. Ce domaine de recherche est encore un travail en cours et c’est un peu comme trouver la combinaison de la salle des coffres d’une banque. Une fois que vous pensez avoir trouvé les numéros, une autre combinaison se trouve derrière, et ainsi de suite. J’ai beaucoup d’admiration pour ceux qui mènent des recherches sur ce sujet, pour la plupart d’entre eux, en tout cas. Cela demande un travail incroyable et beaucoup d’engagement. Oui, ils font des erreurs et il y a toujours plus à apprendre, mais si personne ne fait rien, la manipulation restera invisible. Ce n’est pas de mon domaine de compétences, pour la simple raison que pour faire des recherches correctes et efficaces sur le sujet il ne faut faire que ça. C’est un tissu d’intrigues, de mots avec leur signification, mais aussi les dérivés de ces mots, de pièges juridiques, faits pour attraper ceux qui acceptent le système tel qu’il est. Je vais ici résumer les points principaux du travail de ces chercheurs, mais n’oubliez pas que c’est un travail en cours de réalisation et qu’il va y avoir beaucoup de choses que nous ne savons pas encore et aussi de nombreuses surprises à découvrir… 

Quand les gens parlent de « lois du pays » ils se réfèrent, comme le disent beaucoup de chercheurs, au droit coutumier et non au droit écrit dicté par les gouvernements. Le droit coutumier s’est développé au cours des siècles à travers la coutume et les précédents. Le chercheur britannique, Veronica : de la famille Chapman, s’est spécialisée dans ce domaine de la conspiration et vous allez bientôt comprendre pourquoi son nom est écrit de façon si étrange. Elle nous dit : 

À l’époque des Celtes, les îles britanniques étaient peuplées de tribus. Elles avaient des traditions et des coutumes. Bien que rien n’ait été définitivement écrit, ces tribus suivaient des règles connues de tout le monde. Cette situation reflète ce qui se passait dans le monde entier. Il fut un temps où toutes les populations étaient tribales et où chaque membre de la tribu connaissait les règles qui gouvernaient sa vie. Si quelqu’un brisait ces règles, le conseil de la tribu se réunissait, et le chef ou l’homme éclairé de la tribu présidait. Le jugement était rendu sur la base des arguments des deux parties et ce jugement était exécuté. 

Le droit coutumier a été conservé dans la Magna Carta ou Grande Charte que le roi Jean sans Terre, forcé par le baronnage anglais, a été obligé de signer en 1215. Si vous ne violez pas la paix, ni faites de tort ou n’infligez de pertes à un autre, si aucun méfait ne réside dans vos accords, alors vous ne violerez pas les principes du droit coutumier. L’utilisation du droit coutumier est l’utilisation du sens commun dans lequel toute situation peut être jugée en fonction de son bien fondé, sans droit écrit qui impose au juge ce qu’il doit faire dans telle ou telle circonstance. En voici une définition moderne : 

Le droit coutumier est le système qui va aider à prendre une décision sur un cas, il a pris naissance en Angleterre et a été adopté plus tard aux États-Unis… Le droit coutumier est fondé sur des précédents (des principes juridiques appliqués dans des cas ayant fait jurisprudence) plus que sur du droit écrit. C’est la loi traditionnelle d’un endroit ou d’une région créée par les juges pour trancher dans des cas de conflits individuels. Le droit coutumier a changé au fil du temps. 

Vous comprendrez mieux à présent pourquoi le droit coutumier est de peu d’utilité pour les familles d’Illuminati. Bien sûr, il a changé au fil du temps, mais souvent pas très rapidement et parfois très peu, et les gens peuvent même pratiquer leur propre droit coutumier. Si vous souhaitez créer un camp de prisonnier mondial, vous allez avoir besoin de lois que vous pourrez présenter rapidement et changer à volonté, jusqu’à ce qu’elles conviennent à vos exigences. Vous n’aurez certainement pas besoin de personnes capables de faire leurs propres lois. Les lignées de reptiliens ont remplacé le droit coutumier, celui que les chercheurs appellent la « loi de la terre », par le droit écrit : la « loi de la mer ». On l’appelle aussi droit maritime ou droit de l’Amirauté et droit commercial, parmi d’autres termes, et il est connu aujourd’hui aux États-Unis comme le Code commercial uniforme (Uniform Commercial Code ou UCC). Il se base sur le droit canonique romain du Vatican. Douglas J. Whaley, professeur de droit à l’université d’État de l’Ohio dit qu’il y a deux juridictions : l’UCC et le droit coutumier. L’UCC ne s’occupe seulement que de la vente de marchandises ou la vente de contrats de location de biens, dit-il, et les marchandises doivent être « mobiles ». Elles ne doivent pas aller très loin, mais elles doivent pouvoir être déplacées. Cela signifie que tout ce qui est impossible à déplacer, comme les immeubles et la quasi totalité des services, relève exclusivement du domaine du droit coutumier, disent certains chercheurs. Les familles Illuminati se sont emparées des lois de navigation et de commerce maritime pour les faire appliquer à la terre : elles forment le droit écrit. Si cela vous semble étrange qu’un tribunal ou qu’un bâtiment construit sur la terre ferme soit administré à partir du droit maritime ou du droit d’Amirauté, jetez un coup d’oeil au code américain, titre 18 B 7. Il dit que la juridiction d’Amirauté s’applique dans les endroits suivants : (1) en haute mer ; (2) sur les navires américains ; (3) sur tous les endroits réservés ou acquis pour l’usage des États-Unis, et en cela sous juridiction exclusive ou simultanée ; ou sur tout endroit acheté ou autrement acquis par les États-Unis avec le consentement de la législature et de l’État. Autrement dit sur tout le continent américain. Par sa nature même, le droit maritime est le droit commercial, le droit contractuel. Ce sont des « lois » instaurées par les gouvernements et les parlements, souvent en quelques heures – c’est parfait si l’on veut imposer un État esclavagiste. Quand la reine signe une loi du Parlement ou que le président des États-Unis signe un projet de loi, ils signent simplement un contrat pour signifier un accord contractuel. Pendant les dix ans où Tony Blair a été à Downing Street, une loi a été votée toutes les trois heures, et 98 % de ces lois sont passées par des textes réglementaires, plus que par actes adoptés au Parlement. On peut procéder de cette façon grâce au droit écrit, au droit maritime, mais pas grâce au droit coutumier, la « loi de la terre ». Cependant, il restait un problème auquel ils ont dû faire face avant de pouvoir ignorer le droit coutumier. Le droit coutumier se réfère à un être vivant, alors que le droit écrit est du droit commercial entre sociétés. Donc, les pourvoyeurs de droit écrit ont dû inventer de faux « personnages » — des sociétés – auxquels leurs « lois » pourraient être appliquées. C’est ce qu’on appelle un « homme de paille », une fiction juridique, dont les chercheurs disent qu’il est créé en utilisant votre nom en lettre capitales, comme dans DAVID ICKE ainsi que d’autres moyens. Vous aurez remarqué que quand le gouvernement, les services de l’application des lois, les organismes juridiques ou financiers s’adressent à vous, ils écrivent invariablement votre nom en lettres capitales. C’est parce que ce n’est pas à vous qu’ils s’adressent, pas à vous en tant qu’être vivant, mais à l’« homme de paille » qui a été créé dès votre naissance. L’astuce consiste à vous laisser croire toute votre vie que, par exemple dans mon cas, l’être vivant que je représente et DAVID ICKE sont les mêmes. Mais c’est faux. Quand on y pense, tous les noms sont fictifs, peu importe la façon dont ils s’écrivent, car ce sont des noms donnés par les parents ou un acte formaliste unilatéral et pas au « Je » que nous sommes – la Conscience Infinie, la force sans nom, sauf si nous choisissons de lui en attribuer un. Comment un nom peut-il représenter ce que vous êtes alors qu’on peut en changer quand on veut ? Toutefois, sur le point précis de fraude concernant l’« homme de paille » certaines personnes refusent de se voir de façon conventionnelle, en DAVID ICKE, en David Icke ou en david icke, et préfèrent utiliser des termes comme « Veronica : ou Veronica de la famille Chapman ». Cette dernière nous dit qu’en agissant ainsi, elle ne dit pas que c’est son nom, mais la façon dont on l’« appelle ». L’idée est d’éviter le piège du nom qui peut nous enfermer dans l’escroquerie du droit écrit. Voici ce qu’elle dit : 

Si vous voulez retenir mon attention, vous m’écrivez ou vous adressez à moi par le « nom qu’on m’a communément donné », par exemple « Veronica ». Et c’est tout. S’il y a plus d’une Veronica dans les environs et que vous voulez me différencier spécifiquement par ma chair et mon sang, alors il faut dire « Veronica : de la famille Chapman » (il faut ajouter le nom de ma tribu) et vous m’avez singularisée plus que le nom de « Veronica Chapman » ne le fera jamais… On ajoute les deux points pour que cela rende plus difficile le fait de rentrer le nom dans une base de données. 

Les termes comme « Monsieur » et « Madame » font référence à des sociétés et si vous les utilisez, vous agissez en tant que société, pas en tant qu’être vivant, en tant que « vous ». Une fois que vous avez accepté ces termes et d’autres versions de votre nom pour vous représenter, le contrat est conclu, du moins pour la bureaucratie, pour le gouvernement et les sociétés qui y sont associées, et vous devenez sujet au droit commercial : le droit écrit.

LES GOUVERNEMENTS SONT DES SOCIÉTÉS PRIVÉES

De nombreux chercheurs ont révélé qu’ils ont établi que les gouvernements, les organismes gouvernementaux, les conseils locaux, les tribunaux et la « justice », les forces de l’ordre et autres, sont des sociétés privées. Ils conseillent au gens de vérifier tout ça sur le site de Dun & Bradstreet qui fournit des informations en matière de crédit sur les affaires et les sociétés du monde entier. Ils indiquent que les différentes autorités publiques sont répertoriées par Dun & Bradstreet comme des organismes privés et non publics. Les gouvernements américain et britannique, par exemple, sont des sociétés privées. Les membres du Parlement, de l’armée, des services secrets et autres ne prêtent pas serment d’allégeance à la population du pays. Ils prêtent serment d’allégeance à la reine (la société), et la reine en réfère à « son » gouvernement et à « son » Parlement. Toutes ces absurdités sur un gouvernement du peuple pour le peuple, sont des non-sens. L’existence de ces sociétés gouvernementales et la façon dont elles trompent les gens est, naturellement, un énorme secret connu de très peu de personnes. Il y a pourtant eu de rares références à tout ceci dans le Hansard, le compte rendu des transcriptions officielles des débats parlementaires en Grande Bretagne. L’échange suivant eut lieu en 1940 : 

M. Craven-Ellis a demandé au président de la Chambre de commerce si la création par le gouvernement de la société du Royaume-Uni est seulement une mesure prise en temps de guerre, si le gouvernement donne l’assurance que cette société sera liquidée immédiatement après la fin des hostilités de sorte que les exportations puissent se faire normalement en temps de paix ? 

M. Johnston répond : Cette société a été mise en place en vue de difficultés concernant le commerce extérieur, qui sont dues aux conditions découlant de la guerre. Il est impossible de prévoir ce qu’il en sera lors de la cessation des hostilités et, par conséquent, je ne peux pas dire si, à cette date, il sera souhaitable de mettre fin aux activités de la société. 

Un autre député a demandé au ministre des finances, en 1944, de fournir une liste des noms des directeurs de la société commerciale du Royaume-Uni et ces derniers se sont révélés être les représentants de grandes banques et de grandes entreprises. La liste a aussi révélé l’existence d’une société commerciale du Royaume-Uni en Espagne et dans des pays comme le Portugal, l’Éthiopie. l’Érythrée, l’Iran, l’Irak, la Palestine, le Soudan, la Syrie et le Liban et l’Afrique orientale. Le peu de personnes initiées sont au courant de tout ça et la reine d’Angleterre le saura certainement, mais la plupart ignorent le système même qu’ils administrent. Les actionnaires de la société sont des gens comme vous et moi. C’est juste que les autorités oublient de nous le dire. Chaque fois qu’un bébé né, une action de la société est délivrée à son nom en lettres majuscules, mais comme on ne sait rien de tout cela, nous ne réclamons pas l’action ou l’argent qu’elle vaut. Au lieu de cela, l’action est détenue en fiducie par le gouvernement, avec tous les dividendes dus et les droits de vote qui s’y ajoutent. Le fiduciaire, la société gouvernementale, utilise ces votes pour décider de l’avenir de la société et si, par exemple, elle acceptera une fusion pour créer l’Union européenne ou l’Union nord-américaine. En empêchant les gens de connaître leur vrai statut, ils transforment les actionnaires en employés de la société (esclaves serait plus approprié) et un de leurs principaux moyens, consiste à utiliser des mots qui ont une signification dans le langage de la population et une autre dans le jargon juridique.

Source: Extrait du livre de David Icke