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LES VACCINS

Implants Involuants et Evoluants (1)
Implants Involuants et Evoluants (2)

LES VACCINS ET LES VIRUS

Nous parlions plus haut de la volonté des élites de réduire drastiquement la population, nous allons ici détailler l’un des moyens les plus efficaces : la propagation de virus, mais aussi des vaccins ! Il est aujourd’hui prouvé que le sida est un virus qui fut créé de toute pièce dans des laboratoires, les premiers cas étaient la communauté homosexuelle Nord-Américaine, sur laquelle le virus fut testé, et ensuite l’immense majorité des personnes infectées se sont révélées être des africains. Encore actuellement ce virus décime quantité incroyable d’humains en Afrique. Un autre virus commence aujourd’hui à prendre une importance exponentielle, le fameux ebola. Certaines théories stipulent que ce virus se transmet par les vaccins, mais il est certain qu’ebola, comme le sida, fut lui aussi créé de toute pièce dans le but d’éradiquer une partie de la population.
Profitons-en pour parler des vaccins, car oui, lequel d’entre nous ne s’est jamais fait vacciner ? Et bien sachons qu’en aucun cas la vaccination ne peut « protéger » de l’une ou l’autre maladie. Car la maladie ne peut se développer dans des tissus sains, donc elle ne peut exister si le mode de vie idéal à l’espèce est rigoureusement respecté. Et même dans le cas contraire, des études indépendantes prouvent que les vaccins n’ont aucune action favorable, mais n’ont qu’une valeur commerciale. On peut même affirmer que lorsque l’on ne se vaccine pas l’on court un risque : celui d’attraper la maladie en question (explication plus bas concernant comment s’y prendre pour ne pas l’attraper), et lorsque que l’on se vaccine l’on court deux risques : celui d’attraper la maladie en question (vu que le vaccin contient la maladie, et qu’il ne peut tout de même pas vous en protéger efficacement) et celui de subir des complications liées au vaccin lui-même, car les vaccins contiennent tous différents produits chimiques, métaux lourds (aluminium notamment) qui sont stockés dans le corps et ont un effet dévastateur, à moyen et à long terme et variant selon chaque être humain. Et c’est encore une fois le conditionnement par les médias qui va faire en sorte que des millions de gens se vaccinent croyant réellement bien faire, car étant éduqués à ne pas penser librement et à croire tout ce que dit la télévision et le gouvernement.
Et c’est encore le tiers-monde qui est grandement victime de toute cette mascarade, avec les fameuses campagnes de vaccination, en Afrique notamment encore une fois, qui décime une part gigantesque des habitants du continent. Mais les victimes en occident ne manquent pas non plus, avec aussi ce fameux vaccin contre le cancer du col de l’utérus, qui tue aussi beaucoup de jeunes filles, mais encore une fois ce sont des informations que vous n’entendrez jamais au journal télévisé.

S’ATTAQUER AUX DISSIDENTS

La toile de la corruption et de la duperie relie les médecins, les politiciens, les représentants des gouvernements et les géants des produits pharmaceutiques. Ils revendiquent le droit de juger, de détruire la carrière d’une personne comme celle du docteur Andrew Wakefield. Il est l’homme qui a fait état d’une relation de cause à effet entre le vaccin Rougeole-Oreillons-Rubéole (le ROR) et l’autisme. Il a provoqué un ouragan dans le milieu médical quand, en 1998, lui et onze autres médecins ont publiée une étude de leur recherche, rapportant des symptômes intestinaux chez des enfants autistes et en établissant un lien possible avec le ROR. Il s’en est suivi un raz de marée de condamnations pour les discréditer lui et son rapport, la méthode ancestrale que les Illuminati utilisent pour supprimer des informations qui ne leur conviennent pas. Elle a été utilisée sur moi, mais je suis toujours là. Des avocats d’enfants autistes ont mandaté Wakefield pour étudier ce lien avec l’autisme, en vue d’engager des poursuites contre les sociétés pharmaceutiques impliquées, et il ne l’a pas mentionné dans son étude. Ce fut l’occasion de discréditer ses recherches et dix des onze autres auteurs du rapport lui ont retiré leur soutien. Mais une question reste et restera : ces découvertes sont-elles vraies ? Ceci n’a que peu d’importance pour l’establishment qui se comporte comme une troupe d’inquisition quand on défie son dogme et ceux qui financent son filon : l’industrie pharmaceutique. La pression vient du haut de la pyramide qui filtre par le bas et via les costumes noirs qui administrent le système. Ils font exactement ce qu’on leur dit de faire, parce qu’ils sont sans coeur ou simplement stupides, ou parce qu’ils savent que ce serait un mauvais plan de carrière de mettre en doute ce qui vient d’en « haut ». Voilà ce qui maintient, à chaque niveau. la construction reptilienne dans son ensemble. 

Andrew Wakefield, gastro entérologue formé au Canada, a quitté le Royal Free Hospital de Londres, par « consentement mutuel » à la suite de son rapport et a depuis travaillé en majorité aux États-Unis, continuant ses recherches au Thoughtful House, un centre texan pour enfants atteints d’autisme. Cependant, l’establishment est toujours motivé par la vengeance contre ceux qui osent défier son plan. Il attendra un peu pour frapper à nouveau car il n’oublie personne et ne pardonne jamais. En Grande Bretagne, l’ordre des médecins a accusé le docteur Wakefield de faute professionnelle en vue de le radier, de contrôler sa carrière médicale ainsi que sa vie. Il a été accusé de « recherches insuffisamment fondées » sans l’approbation du comité d’éthique, d’avoir obtenu « irrégulièrement » des financements et d’avoir soumis des enfants à des « enquêtes inutiles et invasives ». Compte tenu du nombre incroyable des personnes tuées ou amoindries par les médecins et les produits des compagnies pharmaceutiques chaque année, l’accusation de « recherches insuffisamment fondées » pourrait porter à rire, si ce n’était pas si grave pour le docteur Wakefield et pour la liberté de la médecine. Il en va de même avec les « enquêtes inutiles » vu le nombre de médicaments et de « tests » inutiles prescrits par les médecins. La cabale contre Wakefield n’a rien à voir avec la justice ou la protection de tiers. Ils veulent qu’il souffre pour avoir eu l’aplomb de défier leur orthodoxie tyrannique et pour avoir servi d’exemple aux autres en montrant ce qu’il en coûte de sortir du rang. Un édito du Daily Mail britannique, titrait « Le ROR et un docteur qui fait seulement son devoir » a résumé la vraie raison de cette cabale sur Andrew Wakefield. Il soulignait que personne ne s’est plaint de lui à l’ordre des médecins et que personne n’a suggéré qu’il a dit ou écrit quoi que ce soit de malhonnête, quand il a assuré avoir découvert un lien entre le ROR et l’autisme. L’article demande pourquoi l’ordre des médecins lui lance à présent son rapport à la figure ? L’article continue : 

Ce cas a le parfum d’une inquisition médiévale, appelée à défendre l’orthodoxie de l’establishment contre l’hérésie d’un esprit indépendant. Le crime du docteur Wakefield a été d’ouvrir un débat important qui reste en suspens. Huit ans plus tard, il n’est en aucun cas le seul parmi les médecins à croire qu’il a pu être sur le point de découvrir quelque chose. Le problème est que nous ne savons tout simplement pas. 

Même Tony Blair, si engagé publiquement sur la triple vaccination, semble avoir des doutes. Pourquoi aurait-il alors refusé de dire aux députés si son fils Leo avait été vacciné ? Après tout il a toujours mis en avant sa famille quand cela pouvait lui servir à des fins politiques…. 

Pensez au tumulte qu’il y aurait aujourd’hui si l’on découvrait que le docteur Wakefield avait gardé ses théories pour lui et qu’un lien ait ensuite été fait. Il avait le devoir d’en parler et aujourd’hui il souffre de l’avoir fait. 

L’ordre des médecins a été injuste. Si cet organisme grotesque avait existé il y a 200 ans, défendant l’opinion qui prévaut contre de nouvelles hypothèses, on en serait encore à soigner les patients en faisant des saignées. 

La motivation principale en visant Wakefield est surtout due au fait que ses découvertes ont provoqué une baisse significative de l’injection du ROR, les parents refusant que leurs enfants soient vaccinés, et cela a aussi sapé la confiance du public en ce qui concerne la vaccination en général. Il est à noter que Wakefield a été accusé de conflit d’intérêts lors de ses recherches pour le compte de familles ayant des enfants autistes, alors que la corruption de médecin par l’industrie pharmaceutique est monnaie courante. Les médecins qui touchent des pots-de vin représentent la norme, pas l’exception. Il existe un autre lien entre les recherches de Wakefield et l’immunité après la vaccination pour les groupes pharmaceutiques en Amérique. Le mercure dans les vaccins a un impact majeur sur le développement de l’autisme chez les enfants. Comme le nombre de vaccins contenant du mercure a augmenté entre 1989 et la fin des années 1990, le nombre d’enfants autistes a augmenté.

Les bébés reçoivent maintenant 25 vaccins, et le nombre augmente, avant l’âge de deux ans.

Bertrand Russell, membre de la société des Fabiens et eugéniste, mort en 1970, a écrit en détail comment le mercure et d’autres produits chimiques pourraient être utilisés pour endommager le cerveau et la capacité à réfléchir clairement et vivement.

La dernière arme pour réduire au silence les médecins qui osent parler, ce sont les lois draconiennes britanniques sur la diffamation. Henrik Thomsen de l’hôpital universitaire de Copenhague, un des plus grands radiologues européens, est poursuivi en diffamation par GE Healthcare, une filiale de général Electric, pour ce qu’il a dit concernant le médicament Omniscan. Thomsen, ainsi que d’autres médecins, n’arrivaient pas à comprendre pourquoi 20 patients ayant passé des scanners de routine avaient développé une fibrose systémique néphrogénique (FSN), rendant la peau épaisse rugueuse et indurée, conduisant à des contractures invalidantes. Un des patients en est mort, et d’autres sont dans des fauteuils roulants. Il a été confirmé plus tard que leur dénominateur commun était qu’on leur avait injecté de l’Omniscan pour améliorer les images du scanner. Le MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency) a confirmé qu’il y avait bien eu 20 cas de fibrose systémique néphrogénique au Royaume Uni après injection d’Omniscan et que 5 d’entre elles étaient mortes. Mais aujourd’hui, Henrik Thomsen refuse de parler à ce sujet au Royaume Uni, après une poursuite en diffamation pour ce qu’il avait dit sur le médicament. Tel est le monde dans lequel nous vivons.

L’ARNAQUE DE LA GRIPPE PORCINE

L’abattage de la population a été la force motrice cachée derrière le programme de vaccination contre la grippe porcine (H1N1). Le comité des conseillers scientifiques et techniques des États-Unis a averti que la grippe porcine était « une menace pour notre nation. » Il a estimé que 90 000 personnes pourraient en mourir et que tout le monde devait se faire vacciner. Ce comité de conseillers est présidé par John P. Holdren, directeur du Bureau des sciences et technologies de la Maison Blanche. En 1977, Holdren a coécrit un livre intitulé Ecoscience dans lequel on passe en revue les propositions de stérilisation de masse par médication alimentaire et dans l’approvisionnement en eau, et où l’on propose aussi d’imposer des avortements forcés, l’enlèvement à leurs parents des enfants nés hors mariage et des implants obligatoires conçus pour empêcher les grossesses. Holdren a écrit ce livre en collaboration avec les célèbres extrémistes du contrôle de la population, Paul et Anne Ehrlich. N’ayez aucun doute sur le fait que de tels plans de stérilisation ont depuis longtemps été mis en oeuvre : le nombre de spermatozoïdes est en baisse d’un tiers depuis 1989 et de moitié depuis 50 ans. Holdren a essayé désespérément de nier qu’il soutenait le contrôle obligatoire des populations après la parution de son livre. Cependant, ça devient assez compliqué quand vous avez publié un manuel de 1 000 pages préconisant exactement ce que l’on vient d’évoquer. Les familles de lignées et les échelons les plus élevés de la pyramide Big pharma, n’ont aucun intérêt à protéger la santé de la population. Comme presque tout dans ce monde à l’envers, nous devons lire leurs déclarations à l’envers pour voir leur vraie motivation. Ils veulent abattre la population mondiale et réduire dramatiquement le nombre d’êtres humains pour les rendre plus « gérables », et il n’existe pas de moyen plus efficace pour accéder au corps-ordinateur, que la vaccination obligatoire. 

Une fois que ces lois sont acceptées, tout est permis en ce qui concerne le contenu des vaccins. On fait face à une demande croissante d’une autre forme d’immunité : l’immunité contre les mises en accusation de l’industrie pharmaceutique qui tue, mutile et provoque des lésions cérébrales avec ses concoctions de sorcières. 

La raison de cette augmentation permanente du nombre et des types de vaccins et de leurs combinaisons administrées aux enfants et aux adolescents, est de détruire le système immunitaire. L’accent a été mis sur le vaccin contre le virus H1N1 sur l’importance de l’administrer aux femmes enceintes, accédant ainsi à l’enfant avant même sa naissance pour saper son système immunitaire dès le départ — ou pire. Au début de l’année 2010, le site organichealthadviser.com compilait les rapports qui, disait-il, arrivaient de tous les coins des États-Unis envoyés par des femmes qui avaient perdu leur bébé en faisant une fausse couche, juste après avoir été vaccinées contre le virus H1N1. Les familles d’Illuminati veulent annihiler l’immunité de la population contre les maladies mais aussi son potentiel à avoir une pensée claire. La connexion avec la Conscience serait réduite et dans l’idéal, éliminée. J’aimerais que ce soit exagéré, mais ça ne l’est pas. Le plan consiste à tuer un nombre effroyable de personnes, en libérant des virus créés en laboratoire et en imposant une vaccination obligatoire, qui contiendra des ingrédients potentiellement mortels. C’est précisément ce que prédisait le docteur Day il y a de cela 40 ans, et aux États-Unis, les Illuminati du Project for the New American Century (Projet pour le nouveau siècle américain) a publié en 2000 un document où il est question d’armes bactériologiques qui frappent des types génétiques différents. Ce document, « Rebuilding America’s Defenses : Strategy, Forces and Ressources For a New Century (reconstruire les défenses de l’Amérique : stratégie, forces et ressources pour un siècle nouveau) dit que « des formes avancées de guerre bactériologique pouvant « cibler » des génotypes spécifiques sont à même de transformer la guerre bactériologique en un outil politiquement utile. » Le même document disait que l’on avait besoin d’un « nouveau Pearl Harbor » pour justifier les guerres de conquêtes et de contrôle. Un mois plus tard, c’était le 11 septembre. Le Project for the New American Century est une façade des Rothschild-Rockefeller qui était une des grandes organisations néoconservatrices se cachant derrière l’administration de Bush fils. Le journal britannique, le Sunday Times, a signalé en 2004 qu’Israël mettait au point une arme bactériologique, ou « ethno bombe » qui affecterait les Arabes mais pas les juifs. Le rapport dit ceci : 

En développant leur « ethno bombe », les scientifiques israéliens tentent d’exploiter les avancées médicales en identifiant les gènes distinctifs portés par certains Arabes, puis en créant une bactérie ou un virus génétiquement modifié. Leur intention est d’utiliser la capacité des virus et de certaines bactéries pour altérer l’ADN à l’intérieur des cellules vivantes de l’hôte. Les scientifiques cherchent à mettre au point des micro-organismes mortels s’attaquant seulement à ceux qui sont porteurs de ce gène distinctif. 

Le Sunday Times a dit que le programme « ethno bombe » était basé à l’Institut de biologie de Nes Tziyona, le principal centre de recherche, en Israël, spécialisé dans l’arsenal secret d’armes chimiques et bactériologiques. La maladie pourrait se propager si l’on pulvérise les organismes dans l’air ou si on les place dans l’eau. Dedi Zucker, un membre de la Knesset, le parlement israélien, a dénoncé ce plan : « D’un point de vue moral, si l’on se base sur notre histoire, nos traditions, notre expérience, de telles armes sont monstrueuses et devraient être interdites, » a-t-il déclaré. Je comprends ce qu’il veut dire, quand on repense à ce que Josef Mengele, l’ange de la mort, a pratiqué comme expériences horribles sur les juifs à Auschwitz avant de continuer à travailler pour les Illuminati aux États-Unis et en Amérique du Sud ! Mais tout devient logique quand on sait que les Rothschild étaient derrière Mengele comme ils sont derrière Israël. Il est important de signaler le nombre de spécialistes en microbiologie et autres scientifiques assassinés ou morts de mort suspecte. Près d’une centaine sont morts dans de telles circonstances au cours des 15 dernières années, y compris certains qui avaient un lien avec le docteur David Kelly, un scientifique britannique expert en armement, et qui lui-même a été assassiné avant l’invasion américaine et britannique de l’Irak. Il avait révélé que Saddam Hussein ne détenait pas d’armes de destruction massive. Il a certainement été tué aussi pour d’autres raisons. Ce schéma d’assassinats de scientifiques travaillant à des projets ultra secrets dure depuis des décennies. Une fois qu’ils n’apportent plus leur contribution, ils sont tués afin qu’ils ne puissent pas parler des projets auxquels ils ont participé.

LA «GRIPPE» DE LABORATOIRE

La journaliste autrichienne, Jane Bürgermeister, a annoncé, en 2009, qu’elle avait déposé une plainte auprès du FBI contre l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les Nations Unies, Barack Obama, David de Rothschild, David Rockefeller, George Soros et beaucoup d’autres concernant un complot visant à supprimer la population, grâce à un vaccin mortel. Elle a dit que les grippes aviaire et porcine avaient été mises au point dans des laboratoires et mises en circulation dans le but d’assassiner en masse grâce à la vaccination. Son document était intitulé «La preuve du bioterrorisme ». Cela disait : 

Il est prouvé qu’un syndicat du crime des entreprises internationales qui a infiltré de hautes sphères gouvernementales au niveau de l’État fédéral, a l’intention de perpétrer un génocide de masse contre la population américaine en utilisant un virus génétiquement modifié de grippe avec l’intention de causer la mort, de blesser, de dépeupler l’Amérique afin de transférer le contrôle des États-Unis aux Nations Unies et aux forces de sécurité qui lui sont affiliées (les troupes de l’ONU de pays comme la Chine, le Canada, le Royaume Uni et le Mexique). 

Il est prouvé que de nombreuses organisations — l’Organisation mondiale de la santé, l’ONU, ainsi que des fabricants de vaccins comme Baxter et Novartis, font partie d’un système unique sous contrôle d’un groupe criminel restreint, orientant la stratégie directrice et finançant le développement, la fabrication et la diffusion de virus artificiels pour justifier une vaccination de masse, à l’aide d’armes biologiques, afin d’éliminer la population des États-Unis et pouvoir maîtriser les enjeux, les ressources … de l’Amérique du Nord. La raison première de ce crime est un cas classique de vol, suivi d’un assassinat, bien que l’ampleur et la méthode soient nouvelles dans notre histoire. Le groupe de base fixe en secret ses objectifs stratégiques et ses priorités opérationnelles avec l’aide de comités, comme la Commission trilatérale, ainsi qu’avec des contacts établis, de personne à personne, à la réunion Bilderberg annuelle. 

Les personnes mises en cause sont Barack Obama, président des États-Unis, David Nabarro, coordonnateur principal du système des Nations Unies pour la grippe, Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé, Kathleen Sebelius, secrétaire au ministère de la santé et aux services sociaux, Janet Napolitano, secrétaire à la Sécurité intérieure, David de Rothschild, banquier, David Rockefeller, banquier, George Soros, banquier et Alois Stoger, ministre autrichien de la santé, parmi d’autres, font partie de ce syndicat du crime des entreprises internationales qui, avançant telle une armée pour perpétrer un génocide, ont développé, produit, stocké et utilisé des armes biologiques pour éliminer la population des États-Unis, à des fins financières et politiques.

Ces noms nous sont un petit peu familiers, en effet. De plus, Jane Bürgermeister, dans son propre domaine de compétence, dénonce des personnes et des familles que je cite depuis deux décennies. Sa récompense pour avoir mis l’humanité en avant et défier les rouages de l’État mondial a été de perdre son travail, journaliste d’investigation et correspondant en Europe pour le site Renewable Energy World (Le monde des énergies renouvelables). C’est leur courage et leur sens de la décence qu’ils devraient renouveler, mais cela montre que tout est vraiment sous contrôle. Les deux géants pharmaceutiques qu’elle a nommés étaient Novartis et Baxter International. Novartis, de Basel en Suisse, faisait, autrefois, partie intégrante du cartel pharmaceutique nazi, IG Farben. IG Farben a dirigé un camp de concentration dépendant d’Auschwitz, et cette société était au centre de la machine de guerre nazie. Baxter International, dans l’Illinois, fait travailler dans le monde entier des centres de fabrication, de recherche et de distribution en Autriche, en Belgique, en République tchèque, en Allemagne, en Irlande, en Italie, à Malte, en Pologne, en Espagne, en Suisse, en Tunisie, en Turquie, en Ukraine, au Royaume-Uni et dans beaucoup d’autres endroits d’Europe et d’Asie et en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Amérique Centrale. Baxter International a été dénoncé, en février 2009, pour avoir contaminé des vaccins avec le virus de la grippe aviaire et les avoir fait partir dans 18 coins du monde. Le virus a été fourni par l’OMS et a été mélangé avec le virus de la grippe (de saison) afin de produire un mélange potentiellement mortel. C’est un laboratoire tchèque qui a découvert l’« erreur » en testant le mélange sur des furets. Ces derniers sont tous morts. C’est toujours Baxter International qui a « accidentellement » contaminé des produits sanguins entraînant la mort de milliers d’hémophiles mourrant du SIDA. Exactement les personnes qu’il faut pour fabriquer un vaccin, donc. Il est ridicule de dire que le mélange contenant la grippe aviaire, créé en laboratoire, était un « accident ». Les experts disent que les mesures de sécurité sont telles qu’il est impossible que cela arrive si l’ordre n’a pas été donné. Baxter Healthcare Corporation, une filiale de Baxter International, a dû verser, en juillet 2009, deux millions de dollars à l’État du Kentucky, après avoir été jugée pour avoir gonflé de près de 1 300 % le coût des médicaments intraveineux vendus à la Caisse d’assurance maladie du Kentucky. Vraiment sympas ces gens-là. Depuis 2009, des dizaines de milliards de dollars, de livres Sterling et d’euros ont été remis à des sociétés comme Baxter International et Novartis pour vacciner en masse la population mondiale. Peu importe la situation économique, il ne manque jamais d’argent quand il est question du plan, que ce soit pour les guerres ou pour les programmes de vaccination. Tuer des gens est un vrai métier — vous n’avez qu’à demander aux fabricants d’armes. 

Dans la déclaration de Jane Bürgermeister, il est clair que les laboratoires pharmaceutiques et les agences gouvernementales sont activement impliqués dans la production, le développement, la fabrication et la distribution des agents chimiques considérés comme étant les armes biologiques les plus mortelles sur Terre. Elle déclare que le virus H1N1 a été créé et mis en circulation avec l’aide des Rothschild/Rockefeller (qui contrôlent l’OMS), qu’ils ont ensuite affirmé que le virus s’était propagé si vite, qu’ils ont dû déclarer la pandémie. Ce n’était pas le cas. Ce n’était qu’une excuse pour justifier que l’on déclare la pandémie, ce qui automatiquement a donné de nouveaux pouvoirs à l’OMS des Rothschild/Rockefeller.

L’Organisation mondiale de la santé a été créée par les Rothschild et les Rockefeller pour diriger la politique mondiale de « santé ». C’est un plan sinistre qui inclut la vaccination obligatoire.

L’idée était d’instaurer une vaccination obligatoire contre cette « pandémie » fabriquée, et de tuer des gens à une échelle énorme, à long ou à court terme, en détruisant le système immunitaire, et par d’autres moyens. Bürgermeister a été soutenue par le journaliste d’investigation, Wayne Madsen, un ancien officier de marine qui a travaillé à la NSA, l’agence de sécurité nationale américaine. Il a déclaré que les meilleurs scientifiques des Nations Unies qui se sont penchés sur le déclenchement du virus mortel Ebola en Afrique, ainsi que les victimes du SIDA, avaient conclu que le virus H1N1 possédait certains vecteurs de transmissions qui laissent à penser que la souche de la nouvelle grippe a été fabriquée génétiquement en tant qu’arme de guerre biologique militaire.

Le plan ne consiste pas à tuer les gens immédiatement avec les vaccins car tout deviendrait évident et l’on réagirait en conséquence. Le but est de démanteler systématiquement le système immunitaire humain.

Quelques chercheurs disent que la souche de la grippe H1N1 peut être attribuée aux travaux du docteur Jeffrey Taubenberger et à son équipe de généticiens et de microbiologistes de l’Institut de pathologie des forces armées américaines de Fort Detrick, dans le Maryland. Ils ont utilisé des ordinateurs de pointe pour recenser ou effectuer l’ingénierie inversée de la souche de grippe qui a tué des dizaines de millions de personnes en 1918. Le virus aurait été donné à Novartis. Heureusement, au moment où j’écris, aucun type de grippe particulièrement violent n’a été mis en circulation et une énorme campagne sur Internet de plusieurs mois rappelant les dangers du vaccin, vient contrecarrer l’escroquerie à la grippe H1N1, et seulement une fraction du nombre de personnes prévues pour la vaccination, ont accepté l’injection. C’est un signe de réveil, le signe que de plus en plus de gens ouvrent les yeux pour voir le monde tel qu’il est. La cabale reviendra, d’une manière ou d’une autre, aucun doute là-dessus, peut-être avec une grippe porcine encore plus virulente ou quelque chose d’autre. Nous devons tenir bon toujours et encore, et autant de temps que cela prendra.

MAIS OÙ SONT LES COCHONS ?

Voici une question : s’il s’agit de la grippe porcine, pourquoi les porcs n’en sont pas affectés ? On nous a fait croire que tout a commencé dans une ferme porcine du Mexique, en avril 2009, mais à part les idiots du gouvernement égyptien qui ont ordonné l’abattage immédiat de leurs cochons, on ne nous en a plus reparlé par la suite. L’agence alimentaire des Nations Unies a déclaré qu’il n’y avait aucune raison d’abattre des porcs ou de limiter leurs mouvements, car rien ne prouvait que le virus les avait affectés, ou rendu leur viande impropre à la consommation. Bien sûr. Car tout cela n’a rien à voir avec les porcs puisque ça a été fait en laboratoire. Le virus comprend le matériel génétique issu des souches du virus de la grippe que l’on ne retrouve pas dans le porc, celui de la grippe aviaire et différentes formes de grippes humaines. Les centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont déclaré qu’il s’agissait d’un mélange de grippe porcine et de grippe aviaire nord-américaine, du virus H1N1 et d’une grippe porcine détectée en Asie et en Europe. Si la grippe porcine n’est pas spécifique aux porcs, et elle ne l’est pas, comment a-t-elle pu apparaître dans une ferme porcine du Mexique ? Novartis et Baxter International ont déposé les brevets du vaccin H1N1 bien avant le « déclenchement » orchestré au Mexique. Novartis a déposé une demande de brevet provisoire en 2005 et elle a été approuvée en février 2009. Baxter International a déposé son brevet en août 2008 et il a été approuvé en mars 2009, juste avant que le virus n’apparaisse au Mexique et ne déclenche tout le processus. Cela s’est déroulé ainsi : faire breveter le vaccin, mettre en circulation au Mexique le virus de la grippe porcine créé en laboratoire, utiliser les médias sous contrôle pour provoquer la panique dans la population au sujet de cette grippe « mortelle », demander à l’OMS de déclarer une pandémie et imposer une vaccination systématique, afin d’attaquer le système immunitaire humain et d’implanter, plus tard, des micropuces de nanotechnologie pour détecter plus rapidement le virus de la grippe. Bien sûr ! Et obtenir des gouvernements l’immunité contre toute poursuite au sujet des effets de votre vaccin. Je parle depuis des années de ces mêmes familles suivant les Rothschild et les Rockefeller qui ont créé et qui contrôle l’OMS, les centres américains de contrôle et de prévention de la maladie et l’agence américaine des denrées alimentaires et des médicaments (ainsi que les agences équivalentes dans le monde entier) et le cartel pharmaceutique ou Big Pharma. Ces organismes peuvent sembler n’avoir aucun lien entre eux, mais dans les hautes sphères, ils jouent dans la même équipe et en répondent aux mêmes maîtres. Les dirigeants des géants du médicament Baxter International, Novartis et GlaxoSmithKline ont siégé au comité consultatif sur les vaccins de l’OMS qui a recommandé une vaccination de masse en juillet 2009. Il a été révélé que le fabricant de vaccin, GlaxoSmithKline, avait versé à un conseiller finlandais du conseil exécutif de l’OMS, six millions d’euros pour son centre de recherche. Le professeur Juhani Eskola, directeur du programme de recherche sur les vaccins en Finlande, et membre du groupe consultatif stratégique d’experts. Ce sont ces gens-là qui ont conseillé Margaret Chan, la directrice générale de l’OMS sur le type et le nombre de vaccins que les pays membres ont acheté pour la « pandémie » de la grippe porcine. GlaxoSmithKline produit le vaccin H1N1 « Pandemrix » que le gouvernement finlandais a acheté et stocké sur les recommandations de l’OMS. Il a été signalé que d’autres membres du « groupe d’experts » avaient travaillé en secret pour l’industrie pharmaceutique. Wolfgang Wodarg, chef de la santé au Conseil de l’Europe, a déclaré en janvier 2010 que les fabricants de médicaments et de vaccins contre la grippe avaient influencé la décision de l’OMS de déclarer une pandémie, ce qui leur a apporté la garantie de gains financiers « énormes », tandis que les gouvernements « dépensaient » leur maigre budget santé pour une maladie relativement bénigne. On a su, en janvier 2010, que plus de la moitié du « groupe de travail sur la grippe porcine » au gouvernement britannique avaient des affinités avec les fabricants de vaccins de Big Pharma. Le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE) — Groupe consultatif scientifique pour les situations d’urgence – a été créé pour faire des recommandations au gouvernement sur la façon de contrôler et de traiter le virus, et aussi pour recommander une vaccination de masse. Un de ses membres, le professeur Sir Roy Anderson, a été payé 87 000 livres Sterling et a reçu des actions d’une valeur de 29 000 livres Sterling, en 2008, pour avoir participé à six réunions du Conseil d’administration en tant qu’administrateur non exécutif de GlaxoSmithKline. Le cours de l’action de la compagnie a augmenté de plus de 10% après l’« alerte » de la « grippe porcine ».

MANIPULER LES CHIFFRES

La flambée initiale de la grippe porcine ne s’est pas propagée comme l’espérait la cabale, ils ont donc fait ce qu’ils ont toujours fait : mentir. Si des gens présentant des symptômes grippaux avaient été testés correctement, on aurait pu voir que le nombre de cas exacts de grippe porcine était en fait retreint. Ainsi, Centers for Diseases Contrôle (CDC) — Les centres de contrôle des maladies — ont ordonné d’arrêter les tests. Ceci leur a permis, ainsi qu’à l’OMS, de sortir les chiffres qu’ils voulaient pour justifier l’annonce d’une « pandémie mondiale ». Cela s’est également produit ailleurs et c’est pourquoi l’expérience personnelle des gens, ou le manque d’expérience, au sujet de la grippe porcine était autant en désaccord avec cet incroyable alarmisme, colporté par des personnes comme l’affreuse directrice de l’OMS, Margaret Chan. La journaliste d’investigation de CBS, Sharyl Attkinsson, a pu avoir accès, grâce à la loi sur la liberté de l’information, aux chiffres que les autorités avaient cherché à bloquer, et a révélé l’étendue de la supercherie. Le CDC a cherché à nier les chiffres de la grippe porcine parce que : « Ce n’est pas une question d’intérêt médiatique ou d’intérêt public. » Pouvez-vous le croire ? Ces personnes sont sans vergogne. Quand Attkinsson a finalement obtenu les documents, elle a très vite compris pourquoi ils cherchaient désespérément à les cacher. En regardant les chiffres, Etat par Etat, des personnes correctement testées, elle s’est rendue compte, que seulement une fraction des personnes diagnostiquées atteintes de la grippe porcine initialement, avaient vraiment été testées. Par exemple, sur les 13 700 cas testés en Californie pour des « symptômes pseudo grippaux », 86 % n’avaient pas de grippe du tout, et certainement pas la grippe porcine. Seulement 2 % — oui 2 % — ont été reconnus comme étant des cas de grippe porcine alors que Margaret Chan de l’OMS criait à la pandémie mondiale et que Barack Obama allait annoncer officiellement une situation d’urgence médicale aux États-Unis qui, encore une fois, a fait émerger une série de pouvoirs d’urgence faisant passer au second plan les garde-fous habituels concernant les vaccinations et le traitement. Sharyl Attkinsson a estimé qu’environ 80 % des personnes à qui l’on avait diagnostiqué un cas de grippe porcine après l’arrêt des tests ne l’avaient pas. Le gouvernement du royaume Uni a joué le même jeu. En grande Bretagne, on estimait à 65 000 le nombre de personnes qui devaient mourir de la grippe porcine pendant l’hiver 2009-2010 alors que les symptômes déclarés ont été très légers. Eux aussi ont arrêté les tests et ont conseillé à la population de ne pas aller chez le médecin si les symptômes se déclaraient. À la place, ils ont mis en place des « centres d’appel » tenus par des citoyens sans formation et non qualifiés. Certains de ceux qui établissaient un diagnostic par téléphone avaient à peine 16 ans. Par conséquent, des enfants sont morts de méningite après avoir été diagnostiqués comme atteints de la grippe porcine, ainsi que d’autres souffrant de maladies comme la pneumonie, et à qui l’on a dit (sans faire de test) qu’ils avaient également la grippe porcine. Cela a permis aux autorités de donner des chiffres à la hausse pour que la grippe semble plus répandue qu’elle ne l’était. Les centres d’appel, au demeurant, avaient été mis en place longtemps avant que l’épidémie ne se déclenche au Mexique en avril 2009. 

Les troupes de l’armée américaine soumises à une vaccination obligatoire contre la grippe porcine, même après l’échec du vaccin contre l’anthrax et du syndrome de la guerre du Golfe, ont révélé que plusieurs sites web proposant des informations alternatives sur le vaccin ont été écartés du système informatique des armées, alors que l’histoire officielle était toujours disponible sur les sites des centres de contrôle des maladies, de l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux et du ministère de la santé et des services sociaux. Un militaire a contacté le site du Huffington Post et y a déclaré : « Il est dommage que l’on n’accorde pas la même considération aux membres des forces armées qui défendent nos droits civils. » Tu ne défends pas les droits civils, camarade, tu aides inconsciemment à les détruire, et ceux que tu sers vraiment se fichent pas mal de la troupe ou de leurs enfants. À toi de faire la différence : refuse de te battre et refuse de te faire vacciner.

LES VACCINS PROPAGENT LA MALADIE

La version vaporisateur nasal dans la vaccination contre la grippe porcine contient le virus vivant, bien qu’affaibli selon les autorités. Il a le potentiel de propager la maladie par contact direct et par un phénomène connu sous le nom de « délestage », quand le virus passe d’un contaminé à une autre personne par le biais des selles, de l’urine, de la salive et des muqueuses. Le vaccin oral contre la polio a été retiré aux États-Unis à cause de ce problème, mais il est toujours en circulation dans les pays en voie de développement. Le vaccin antipoliomyélitique oral vivant peut donner la polio sous forme d’une maladie appelée poliomyélite paralytique associée à la vaccination, et le virus vivant de la polio se retrouve encore dans des selles de bébés six semaines après la vaccination. Cela force à la réflexion si l’on considère que l’on administre aux enfants près de 25 vaccins et autres combinaisons dès l’âge de deux ans. Quelqu’un a envie de changer une couche ? Le matériel génétique de la rougeole a été retrouvé dans les urines deux semaines après la vaccination ; on a découvert le virus vivant de la rubéole dans le nez et la gorge 28 jours après que le vaccin a été injecté et il peut aussi passer par le lait maternel ; on a démontré que le vaccin contre la varicelle se reproduit dans les poumons et peut être transmis de plusieurs manières ; le vaccin antigrippe FluMist sous forme de spray nasal contient des virus vivants de la grippe et il a été prouvé qu’ils peuvent être transmis du receveur à d’autres personnes. L’OMS a aussi annoncé en juillet 2009 : 

Comme on s’attend à ce que la disponibilité du vaccin au niveau mondial soit limitée et comme il faudra peut-être se protéger contre des souches résultant d’une dérive antigénique, le groupe consultatif a recommandé de favoriser la production et l’utilisation de vaccins préparés avec des adjuvants « de l’huile dans de l’eau » et à partir de virus vivants atténués. 

Cette déclaration provient tout simplement d’un scénario écrit il y a longtemps et ressorti au bon moment. Le terme « atténués » signifie que la force du virus est réduite, mais cela ne l’empêche pas d’infecter le destinataire du vaccin ou de se propager au sein de la population. Les adjuvants « huile dans l’eau » sont officiellement utilisés pour augmenter l’effet d’un vaccin en stimulant une plus grande réaction du système immunitaire. Un des adjuvants utilisé dans le vaccin contre la grippe porcine, « le squalène », a la propriété d’augmenter l’impact du virus vivant « atténué » de la grippe porcine et de provoquer des ravages de bien d’autres façons. Le docteur Joseph Mercola explique les effets du squalène sur mercola.com

Votre système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule d’huile venant de votre corps. On le trouve dans le système nerveux et le cerveau. En fait, vous pouvez consommer du squalène dans l’huile d’olive et non seulement votre système immunitaire le reconnaîtra, mais vous pourrez également profiter des avantages de ses propriétés antioxydantes. 

La différence entre le « bon » et le « mauvais » squalène est la voie par laquelle il entre dans votre corps. L’injection est une voie anormale qui incite le système immunitaire à attaquer tout le squalène de votre corps, pas seulement l’adjuvant du vaccin. 

Votre système immunitaire va tenter de détruire la molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle est produite naturellement, et où elle est vitale à la santé de votre système nerveux. 

Le squalène dans le vaccin contre l’anthrax a été relié à l’apparition mystérieuse du syndrome de la guerre du Golfe chez les vétérans après 1991. Une étude faite à la faculté de médecine de Tulane a démontré que, pratiquement chaque soldat atteint du syndrome de la guerre du Golfe, avait développé des anticorps anti squalène, montrant que leur système immunitaire y avait réagi. Les soldats qui n’étaient pas atteints du syndrome de la guerre du Golfe n’avaient pas développé d’anticorps anti squalène. Le docteur Viera Scheibner, un ancien chercheur de Nouvelle Galles du Sud, en Australie, a passé de nombreuses années à examiner les effets destructifs des vaccins. Voici ce qu’elle dit du squalène : 

… Cet adjuvant [le squalène] a contribué à la réaction en cascade appelée « syndrome de la guerre du Golfe », et observée chez les soldats impliqués dans la guerre du Golfe. Les symptômes qu’ils ont développés incluent l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadénopathie, des éruptions cutanées, des photosensibilisations, des éruptions cutanées malaires, une fatigue chronique, des maux de tête chroniques, des pertes anormales de pilosité, des lésions de la peau qui ne guérissent pas, des ulcères aphteux, des étourdissements, des faiblesses, des pertes de mémoire, des convulsions, des changements d’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des effets antithyroïdiens, de l’anémie, une vitesse de sédimentation élevée, un lupus érythémateux systémique, la sclérose en plaques, la SLA (sclérose latérale amyotrophique), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjorgren, une diarrhée chronique, des sueurs nocturnes et de légères fièvres. 

Le vaccin contre la « grippe porcine » contient aussi des toxines comme du thimérosal. du mercure et des sels d’aluminium. Le gouvernement américain a annoncé qu’à cause de la « pandémie », il « suspendait temporairement » la limitation sur la quantité de mercure (thimérosal) autorisée dans le vaccin H1N1 donné aux femmes enceintes et aux enfants de moins de trois ans. Le mercure est un poison mortel pour le cerveau que l’on a tracé comme lié à l’autisme chez les enfants, et il attaque les fonctions du cerveau. On demande aux femmes enceintes de ne pas consommer de thon car il contient un fort taux de mercure et maintenant le gouvernement et les autorités sanitaires sont d’accord pour qu’on leur injecte ce truc !

La vaccination ne protège pas la santé des humains, elle la détruit.

Le professeur Chris Shaw, de l’université de Colombie britannique, a publié une étude sur la chimie toxicologique et environnementale, en juin 2009. Elle confirme que le thimérosal est toxique pour le foetus. On voit bien que la cible principale, concernant le vaccin contre la grippe porcine, était les femmes enceintes (autrement dit, leurs bébés à naître), les enfants et les jeunes. Ce seront les adultes du nouvel ordre mondial prévu, de l’État mondial orwellien. Le but est de détruire leur système immunitaire, de les déstabiliser mentalement, émotionnellement et « physiquement ». L’hydroxyde d’aluminium se trouve aussi dans le vaccin contre la « grippe porcine » et l’on sait depuis longtemps que l’aluminium cause des dégâts dans le cerveau. Dès le premier mois, quand on a supposé que la « grippe porcine » s’était déclarée dans une ferme au Mexique, le Journal of Inorganic Biochemestry a publié une étude reliant les injections d’aluminium à la dégénérescence des neurones moteur et à d’autres maladies cérébrales. Les « tests » sur le vaccin H1N1 ont été accélérés volontairement, une accélération justifiée par l’hystérie que l’on nous avait fabriquée, et pour éviter que ses effets ne soient connus avant qu’il ne soit trop tard. Étant donné le contexte, c’est une véritable honte que les gouvernements et les médias aient visé des enfants pour les manipuler eux et leurs parents, afin qu’ils reçoivent tous leur injection.

Les familles de lignées visent les enfants plus que quiconque avec leur plan de vaccination, afin de les transformer en bons petits robots avec un système immunitaire endommagé à vie.

Une méthode en particulier a dépassé l’entendement : un dessin animé, Sid the Science Kid, réalisé par la Henson Company, celle qui a produit le Muppet Show. Certaines des marionnettes des Muppets se sont associées avec le ministère de la santé et des services sociaux américain pour produire une édition spéciale avec une chanson simple et entrainante intitulée Se faire vacciner : tu peux le faire ! Le message qu’elle portait était que si les enfants n’étaient pas vaccinés, ils allaient passer la grippe porcine à leurs amis qui eux, l’étaient (ce qui n’est pas très encourageant pour le vaccin, n’est-ce pas ?). Ce spectacle faisait mal au ventre, il était effroyable et dégoutant. Ce système de contrôle utilise de plus en plus les émissions pour les enfants afin de vendre ses mensonges, ses manipulations, spécialement avec le « changement climatique ». Le département de la santé de la ville de Détroit a essayé de soudoyer les enfants et les jeunes en leur offrant des pizzas s’ils se faisaient vacciner. C’était un acte désespéré car seulement 10 % de la population a renvoyé les formulaires de vaccination. Les fonctionnaires fédéraux ont passé un marché avec Happy’s Pizza comme quoi chaque classe de la ville ayant un taux de vaccination de 80 % ou plus, aurait droit à une pizza party. Neil Master, directeur de la publicité de Happy’s Pizza a déclaré : « Les enfants adorent la pizza et nous adorons les enfants à Détroit, et nous nous occupons d’eux dès que nous le pouvons. » Donnez-moi un sac pour vomir. Ce monde est complètement fou.

INJECTION DE MICROPUCES

Le recours à des puces électronique d’identification est un autre aspect des essais tentés pour faire respecter la vaccination de masse. J’en parlerai en détail plus tard, mais pour l’instant je dirai juste que, encore une fois, il y a des raisons mentales, émotionnelles et physiques pour chercher à faire ça. Par personne interposée, j’ai rencontré un scientifique de la CIA en 1997. Il voulait me communiquer des informations qui, d’après lui, devaient être dévoilées à la population. Il ne pouvait le faire lui-même, notamment parce que, dans le langage de la CIA, il était « patché ». Il a déboutonné sa chemise alors que je discutais avec lui et il m’a montré ce qui ressemblait, sur sa poitrine, à une dose transparente de shampoing. À l’intérieur, il y avait un liquide jaune doré. Il m’a annoncé que c’était un médicament dont son corps, depuis qu’il avait été manipulé, avait besoin pour vivre et que le patch devait être changé toutes les 72 heures. S’il ne mettait pas son génie scientifique à leur service, comme on le lui demandait, on lui retirerait le patch et il mourrait dans d’atroces souffrances. Il avait essayé de le faire mais s’était vite rendu compte qu’ils ne plaisantaient pas. Ce scientifique m’a révélé beaucoup de choses que j’ai detaillées dans d’autres livres, mais l’une d’elles était que les micropuces des projets secrets étaient, à l’époque, en 1997, si petites qu’elles pouvaient être insérées grâce à des aiguilles hypodermiques lors de programmes de vaccination de masse. C’est ce qui avait été planifié, m’a-t-il dit. Aujourd’hui, nous appelons cela la nanotechnologie et c’est microscopique. La nanotechnologie ne peut être vue ou touchée par les scientifiques car tout est bien trop petit. On ne peut y avoir accès que grâce à des instruments spéciaux et à des agrandissements puissants. Un nanomètre correspond à un milliardième de mètre et si on le symbolise par une bille, alors un mètre aurait la taille de la Terre. Je suis certain que la cabale utilise différentes méthodes pour insérer dans nos corps cette technologie afin de nous contrôler mentalement, émotionnellement et physiquement. Une des manières de procéder est la vaccination, comme me l’a dit le scientifique de la CIA, et je dis depuis mai 2009 que ces nano micropuces faisaient partie du plan de vaccination contre la grippe porcine. Au japon, Hitachi revendique avoir développé la micropuce la plus petite du monde. aussi petite qu’un grain de poussière, et cette technologie microscopique est utilisée pour traiter des troubles cérébraux. Elle peut aussi être utilisée pour manipuler le cerveau par le biais de ce que l’on appelle les « nano robots ». C’est ce que vous allez voir avec l’histoire racontée par le docteur Ryke Geerd Hamer, un autre pionnier qui est passé outre les lois de l’establishment médical et a introduit la nouvelle médecine germanique. Hamer dit que, en août 2009, il donnait une conférence à Vienne, en Autriche. Quand on en est venu à parler de la grippe porcine, une femme dans l’assistance s’est levée et a dit qu’un de ses amis travaillait pour un laboratoire pharmaceutique à vienne (Baxter International y a une filiale : Baxter AG), et qu’il lui avait confirmé que les pointes des aiguilles servant à la vaccination, et non le vaccin lui-même, contenaient des nano particules. Il était impossible de les distinguer à l’oeil nu, elles n’étaient visibles qu’avec un agrandissement multiplié par douze. On avait confié au personnel du laboratoire que ces nano particules travaillaient à l’intérieur du corps et qu’elles pouvaient stocker beaucoup de données. Cette femme a déclaré qu’elle travaillait aussi dans le domaine médical et qu’elle avait demandé à un avocat, qu’elle avait eu comme patient, s’il était possible d’éviter d’être « micropucé ». Il lui a répondu qu’il était au courant de ce plan de micropuçage de la population et que la haute société était également au courant. Il a dit qu’il n’y aurait aucune vaccination obligatoire en 2009 et que le plan était d’encourager les gens, via les médias, de se porter volontaires pour la piqûre. S’il n’y avait pas assez de gens pour se porter volontaires, alors une vaccination obligatoire serait prévue à partir de 2010. Il a ajouté que certains groupes professionnels, comme « l’élite » politique et autres personnes de ce genre en seraient exemptés, mais impossible d’y échapper si on faisait partie de la majorité de la population. Nous verrons bien ce qu’il en sera. Le journal allemand Der Spiegel, a rapporté dans son édition en ligne que la chancelière allemande, Angela Merkel, et des ministres du gouvernement s’étaient fait injecter une version spéciale du vaccin H1N1. « Le vaccin ne contient pas les additifs mis en cause, contrairement à celui injecté au reste de la population » disait l’article. « L’élite du gouvernement allemand ainsi que les forces armées recevront du Celvapan, un vaccin sans adjuvant fabriqué par Baxter », nous dit le rapport. « Le reste de la population allemande se verra injecter un vaccin avec adjuvants produit par GlaxoSmithKline. » Der Spiegel a dit qu’une « rébellion ouverte » avait lieu en Allemagne de la part des professionnels de la médecine et des pédiatres, contre l’utilisation de ce vaccin toxique. Dieter Ludwig, président de la commission sur les professions médicales en Allemagne, a dit que les autorités sanitaires s’étaient associées aux laboratoires pharmaceutiques. Bien sûr qu’elles l’on fait ! Elles sont contrôlées par la même force. 

À la lumières de ces dires, mieux vaut se souvenir qu’une fois « micropucés » les gens seront contrôlés extérieurement, du moins leur esprit et leurs émotions, et qu’ils pourront être tués à distance. Je le répète : il est important de ne pas vous faire vacciner contre la grippe porcine et de ne pas faire vacciner vos enfants. Le docteur Ryke Geerd Hamer a dit que chaque aiguille de vaccination possédait son propre code individuel, que l’on ajoute au numéro d’identification. Certains médecins, dont le médecin généraliste hollandais, Jan Takken, ont dit que les aiguilles utilisées pour immuniser les gens contre le virus H1N1 étaient épointées. Il a déclaré, dans un article du journal Medisch Contact, que se faire vacciner était désagréable et que l’on avait « la sensation que l’on nous déchirait la peau ». En Norvège, la campagne de vaccination contre la grippe porcine a été retardée car les hôpitaux devaient attendre la livraison de seringues aux aiguilles spéciales. Les autorités ont confirmé que les aiguilles pour les injections contre la grippe porcine étaient différentes de celles utilisées pour la grippe saisonnière, et qu’elles avaient été spécialement conçues pour « réduire les risques et simplifier l’injection. » Tout roule. Toutes les sociétés de Big Pharma ont aussi déclaré avoir signé des contrats avec VeriChip, le fabricant de micropuces pour l’homme.

L’HISTOIRE SE RÉPÈTE

On peut se rendre compte des dangers du vaccin contre la grippe porcine ainsi que d’autres vaccins grâce à l’expérience tentée aux États Unis, avec le programme de vaccination de masse en 1976. Il était « justifié » par la mort d’une seule personne, une recrue de l’armée de Fort Dix, dans le New jersey. On a généré des crises de panique en déclarant qu’il était mort d’une souche de la grippe porcine, similaire à celle qui a tué des dizaines de millions de personnes en 1918. Il a été établi plus tard que ce militaire était mort des complications d’une grippe « normale » qui avait tourné en pneumonie, aggravée par la déshydratation et des exercices physiques éprouvants. Il s’est effondré après une course matinale. Les centres de prévention et de contrôle des maladies ont admis qu’aucun cas de grippe porcine n’avait été signalé. Une vaccination de masse contre la grippe porcine a été imposée à la suite du décès de ce militaire, provoquant des centaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie auto-immune inflammatoire du système nerveux, provoquant une paralysie des jambes, des membres supérieurs et du visage, ainsi que des difficultés respiratoires. Au moins 25 personnes en sont mortes, et à plus long terme, les chiffes auraient pu être beaucoup plus importants. L’industrie pharmaceutique et l’OMS nous ont dit que le vaccin de la grippe porcine était fiable, alors que l’on sait que l’on a envoyé à 600 neurologues du Royaume Uni une lettre confidentielle en provenance des représentants du gouvernement en matière de santé, les avertissant d’une augmentation du syndrome de Guillain-Barré découlant des conséquences de la vaccination contre la grippe porcine. La lettre venait de l’agence britannique de protection de la santé, l’organisme officiel qui supervise la santé publique, et alertait les neurologues que « l’augmentation du syndrome de Guillain-Barré provoquant des troubles cérébraux pourrait être déclenchés par… le vaccin. » Voici une déclaration d’un neurologue dans le Daily Mail : « Je ne me ferai pas vacciner à cause des risques de syndrome de Guillain-Barré. » Pas mal, non ? L’agence britannique de protection de la santé avait prévenu 600 neurologues, mais pas la population. Les centres de contrôles des maladies aux États-Unis ont officiellement prévu 30 000 réactions sérieuses et potentiellement fatales au vaccin H1N1, insistant en même temps sur le fait qu’il ne serait efficace que sur trois personnes sur dix. Ce serait même moindre pour les personnes de plus de 65 ans. Même dans les premières semaines de vaccination, le site web organichealthadvisor.com décrivait ce qu’il appelait une « avalanche » de graves réactions. dont le syndrome de Guillain-Barré et des convulsions. Des morts ont aussi été rapportées.

VACCINATION FORCÉE

Les virus fabriqués et les alarmes santé sont un problème-réaction-solution pour amener à une vaccination obligatoire. Au moment où j’écris, tout a déjà été mis en place. Le projet de loi sur la santé de Barack Obama (ou plutôt celui de ses maîtres) rend la vaccination obligatoire pour tous les Américains pour contracter une assurance maladie, sinon ils sont passibles d’amendes ou d’emprisonnement. Au même moment, les centres de contrôle des maladies ont annoncé que les personnes n’ayant pas leur vaccination à jour, se verraient refuser l’assurance maladie jusqu’à ce qu’elles aient fait le nécessaire. Pas de vaccination, pas d’assurance maladie ; pas d’assurance maladie, une amende ou la prison. C’est une vaccination obligatoire par des voies détournées. Et c’est ce que cache le projet de loi d’un millier de pages ou plus et que ceux qui ont voté pour, n’ont même pas lu. Le sénat du Massachussetts a fait passer le projet de loi S 2028 concernant la pandémie de grippe, qui donne tout pouvoir au gouverneur d’imposer un État fasciste lors du déclenchement de la pandémie de grippe, qu’elle soit fabriquée ou non. Le projet de loi autorise le commissaire à la santé de l’État, le service de l’application des lois et le personnel médical à : vacciner la population, à entrer sans mandat dans des propriétés privées, à mettre les gens en quarantaine contre leur volonté, à arrêter, sans mandat, quiconque est considéré par un agent de police comme ayant violé son isolement ou sa quarantaine, à appliquer une peine de prison ou une amende de 1 000 dollars par jour à qui violerait ces recommandations. Des ordres semblables d’isolement ont été mis en place en Floride, dans l’État de Washington, dans l’Iowa et en Caroline du Nord et la même chose est prévue pour être appliquée au monde entier, si nous l’acceptons. Nous sommes témoins de la sale vieille technique du pas à pas du totalitarisme sournois. Un document interne au gouvernement français a été mis au jour et il détaille les plans secrets mis en place pour vacciner tout le monde sans exception. Ce document a été signé par le ministre de la santé, Roselyne Bachelot et Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur et des territoires outremer. Il a été envoyé aux responsables de chacune des « zones de défense » du pays, aux préfets de région et aux responsables de la santé publique. Voici certains de ses principaux points : 

• Le personnel médical, les étudiants en médecine et le personnel médical des armées pourront être contraints d’administrer des vaccins ou des amendes. 
• Les centres de vaccination seront mis en place dans des installations sécurisées dans chaque région et aucun établissement médical ne sera impliqué, ni aucun médecin généraliste. 
• Les écoliers seront vaccinés dans les établissements scolaires par des équipes spéciales et mobiles.

De semblables documents auraient circulé dans les 194 organisations de la santé du monde, car tout est centralisé. Le président français, Nicolas Sarkozy (sioniste Rothschild), un agent du Mossad depuis longtemps, aurait planifié une vaccination obligatoire de masse pour la population française sous prétexte de grippe porcine, mais le plan s’est effondré car le taux de vaccination volontaire a été extrêmement bas. Si l’on veut imposer une vaccination obligatoire, le taux des volontaires doit être radicalement plus élevé. Si tel est le cas, la minorité est diabolisée et marginalisée, et on insiste sur le fait qu’elle doit s’y « soumettre » au profit de l’ « ensemble de la communauté ». Lors de l’hiver 2009, les chiffres étaient bien trop bas pour agir de la sorte et le virus beaucoup trop faible.

IL SUFFIT DE DIRE NON

Combien de personnes dans le monde auraient souhaité dire « non » aux vaccins qui leur ont ruiné la santé. Au Royaume Uni, des centaines de fonctionnaires, d’infirmières, de pompiers, de gardiens de prison, de policiers, de médecins légistes, de chercheurs et de responsables de foyers, ont avoué avoir développé de graves problèmes physiques et mentaux après des vaccinations obligatoires pour exercer leur métier. Certains d’entre eux sont handicapés à 60 %, et maintenant, le gouvernement qui insiste sur des vaccinations obligatoires pour certains métiers, refuse de les indemniser parce que l’État n’en a en fait rien à faire. Je sais que la plupart de gens pensent qu’il est impossible que l’industrie pharmaceutique, en coalition avec les gouvernements, ait la froide intention de tuer et de manipuler un grand nombre de personnes. Mais vous savez, c’est leur métier. Cela fait des années qu’il en est ainsi, depuis que Big Pharma a été créé par John D. Rockefeller, un des atouts de la dynastie Rothschild. Le chercheur américain, Patrick Jordan, a découvert des notes de l’OMS datant de 1972, expliquant comment tuer les gens avec des vaccins, en injectant les virus et en activant une réaction du système immunitaire si puissante, que le corps humain n’y survit pas. C’est connu sous le nom de « tempête de cytokines » qui est créditée de dizaines de millions de morts lors de l’épidémie de grippe de 1918. La propagation initiale du SIDA aux États-Unis a eu lieu dans les endroits où l’on faisait des essais de vaccination pour l’hépatite B sur la communauté homosexuelle, et en Afrique cela s’est révélé dans les endroits de grande vaccination antivariolique, ordonnée par l’OMS, avec des vaccins fournis par Novartis. Big Pharma et l’OMS sont des machines à tuer et les cimetières du monde entier sont remplis de leurs victimes. La crédulité peut être mortelle. Shane Ellison était biochimiste pour des laboratoires pharmaceutiques comme Array BioPharma et Elli Lilly, mais a donné sa démission, tant il était dégoûté par ce qu’il a vu. Il fait aujourd’hui la promotion de remèdes naturels sous le label « The People’s Chemist » (le pharmacien des gens). Voici ce qu’il dit : 

En tant que jeune chimiste travaillant dans des laboratoires de grandes sociétés américaines, j’ai pu observer la façon dont ils ont fait la promo de médicaments provoquant le cancer, comme des remèdes anti cancer (Tamoxifen). J’ai aussi été témoin de la complaisance des médias avec les laboratoires. Ils ont convaincu le monde entier que la dépression était une maladie et que l’on avait donc besoin, pour la combattre, du Prozac, un soi disant antidépresseur. J’ai commencé à me demander à quel point les populations étaient crédules. La réaction à l’épidémie de grippe porcine a répondu à ma question. 

La crainte et la crédulité, le syndrome du bébé, comme je l’appelle, ont fait que les inconditionnels de la duperie se sont précipités dans les centres de vaccination. Mais le monde est quand même plus lucide sur ce qu’il se passe, qu’il y a de cela 5,10 ou 20 ans et de plus en plus de personnes démasquent les mensonges. Alors que j’écris, la grippe porcine est en lambeaux et les gouvernements se désespèrent d’avoir dépensé des milliards de dollars dans des vaccins que personne ne veut. Mais comme je le dis, ils reviendront.

Le plan de vaccination obligatoire contre la grippe porcine est une histoire qui n’est pas terminée, mais le résultat final est que la cabale souhaite une vaccination de masse des populations pour des raisons malveillantes et nous devons refuser de nous soumettre coute que coute. Avec le peu d’écho que la vaccination a eu sur la population, ils sont obligés de concocter de nouvelles manipulations pour nous y pousser, y compris de faire monter un sentiment de peur, pour forcer les gens à se faire vacciner. Il y aura aussi des tentatives pour monter les uns contre les autres ceux qui sont pour et ceux qui sont contre, arguant du fait que ceux qui refusent la vaccination mettent les autres en danger en empêchant que le « groupe entier soit immunisé ». Nous devons résister à la vaccination obligatoire car les conséquences, qu’elles soient individuelles ou collectives, sont potentiellement catastrophiques. Certains se feront vacciner mais de plus en plus de personnes ont une conscience propre et sont déterminées à se battre pour ce qu’elles croient être juste. Les gens doivent se liguer pour refuser en masse de plier devant la tyrannie du contrôle de l’État sur nos propres corps. Si nous ne sommes pas assez nombreux à résister, alors il faut se préparer aux codes barres. Et vous savez quoi ? Ce sera bien fait pour nous. Après tout, qui va agir si nous ne le faisons pas ? Les médecins ? Les médias ? Les politiciens ? Arrêtez de rêver !

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Si votre médecin insiste pour vous dire que les vaccins sont sans danger, demandez-lui de signer ce document