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LES ROTHSCHILD

Dans les années qui suivirent mon voyage au Pérou, les thèmes récurrents étaient toujours Sumer et Babylone et les familles de grandes lignées qui en étaient originaires, surtout un nom en particulier, celui de Rothschild. On ne peut pas comprendre aisément le complot mondial sans connaître les origines de cette branche de criminels vicieux, assoiffés de pouvoir et maniaques des génocides.

Vous trouvez que c’est exagéré ? En fait, c’est beaucoup trop gentil !

On définit le mot « génocide » de cette façon : « destruction délibérée et systématique d’un groupe racial, politique ou culturel. » Ce qui reflète parfaitement les ambitions de la maison Rothschild, et le « groupe racial » dans leur ligne de mire s’appelle l’« humanité ». Ils opèrent au centre de la toile d’araignée et agissent en qualité de chefs d’orchestre. Les Rothschild ne sont pas à l’origine de la conspiration ni de son pouvoir, les racines étant bien plus profondes que cela. Ils sont, cependant, les premiers à administrer ce pouvoir au sein de la société humaine au nom de l’« araignée ». La plupart d’entre nous ont déjà entendu parler des Rothschild, pourtant, presque personne ne sait ce qu’ils font vraiment. Ils sont banquiers, et voilà tout ! Bien sûr qu’ils sont banquiers, mais c’est comme si l’on disait qu’Hitler était artiste peintre. Ça ne dit rien de précis sur leur histoire. Les Rothschild ont des antécédents horribles en matière de conception de guerres, y compris les deux guerres mondiales, en provoquant des krachs boursiers et en manipulant divers pays sur tous les continents par le biais des réseaux qu’ils contrôlent. Il n’existe pas un seul homme, une seule femme ou un seul enfant dont la vie n’est pas affectée, souvent de façon désastreuse, par les Rothschild. Leur pouvoir et leur influence étaient autrefois bien connus, et les politiciens tremblaient devant eux et savaient bien que, sans leur consentement, il n’était pas question de briguer de hautes charges politiques, ni de rester longtemps à un poste à responsabilités. Le contrôle qu’ils exerçaient devenait tellement évident, que leurs projets risquaient d’être dévoilés. Donc depuis le tout début du XXe siècle, ils se sont attachés à savamment camoufler l’étendue de leurs possessions, de leur pouvoir très structuré en faisant appel à des administrateurs ou autres directeurs mis en première ligne. On peut citer la famille Rockefeller, ainsi que des industriels « indépendants » ou des magnats tels J.P. Morgan, Andrew Carnegie, Edward R. Harriman et toute une clique d’autres grands fortunés. Les Rockefeller font partie de la lignée des Rothschild, mais ne sont que des subalternes.

La Standard Oil de J. D. Rockefeller appartenait en fait aux Rothschild, et quand Rockefeller a créé l’abominable industrie pharmaceutique moderne, il l’a fait sur la demande de la dynastie Rothschild. Quand ils arrivèrent en Amérique, les Rockefeller étaient originaires de la même région d’Allemagne que les Rothschild où ils étaient connus sous le nom de Rockenfelder. Dans son livre Les Rothschild (éditions Gallimard, 1979), l’américain Frederic Morton, décrit la façon dont la dynastie Rothschild cache l’étendue de son pouvoir.

Bien qu’ils contrôlent un grand nombre de sociétés industrielles, commerciales, minières ou de tourisme, aucune d’entre elles ne porte le nom de Rothschild. Comme ces partenariats sont privés, la famille n’a nullement besoin de publier les bilans publics ou quoi que ce soit d’autre concernant leur situation financière.

Il est important d’insister sur le fait que lorsque je parle des « Rothschild » je ne me réfère pas seulement à ceux qui portent ce nom. Je parle aussi de la lignée Rothschild. Comme je l’ai déjà expliqué dans mes précédents livres, il existe un nombre incroyable de gens à travers le monde qui portent des gênes des Rothschild. On retrouve ces gênes dans différentes familles, portant des noms différents tout en étant quand même des Rothschild. Des familles qui se sont faits connaître grâce à leurs postes importants en politique, dans la banque, les affaires, l’armée, les médias, la religion, le spectacle, ainsi de suite. Un de ces Rothschild non officiels m’a révélé comment il a été placé au sein de l’église chrétienne afin de travailler pour la dynastie. Cela ne veut pas dire que les Rothschild ont des relations sexuelles toutes les cinq minutes. Ils ont en fait des banques de sperme afin de maintenir en permanence la lignée, et j’expliquerai plus tard cette obsession qu’ils ont de la génétique. Il y a un autre point important à noter : toutes les personnes portant le nom de Rothschild ne font pas obligatoirement partie du complot. Les membres de la famille appartenant « aux niveaux inférieurs » n’en savent absolument rien, alors que d’autres n’ont acquis ce nom que par leur mariage. Quand je parle des « Rothschild », je fais allusion aux grands personnages de cette famille, ceux qui dirigent les banques, les affaires, les actifs de la lignée au sein du système mondial — pas seulement en politique — ceux qui portent les gènes et non le nom.

LES ROTES SCHILD

Le nom « Rothschild » apparaît pour la première fois au XVIIIe siècle, lorsque Mayer Amschel Bauer fonda son empire bancaire à Francfort, en Allemagne, et changea son nom de famille. La ville de Francfort est depuis restée un centre important pour les Illuminati et a d’ailleurs été choisie pour accueillir la Banque Centrale européenne qui a ouvert ses portes en 1998. C’est une création des Rothschild, elle-même protégée par une autre de leurs créations : l’Union européenne. La famille Bauer était connue, dans l’Allemagne du Moyen Âge, pour avoir en son sein des adeptes de Satan et, encore aujourd’hui, les personnages les plus connus de cette famille sont des maîtres en matière de magie noire. Le père de Mayer Amschel, Moïse Amschel Bauer, était prêteur sur gages et propriétaire d’une chambre de comptes. Le nom « Rothschild » vient de l’allemand « rotes schild », qui signifie « écusson rouge » ou encore « enseigne rouge ». Il fait référence à l’hexagramme rouge qui trônait sur la maison des Bauer (Rothschild) à Francfort (image ci-dessous) et est plus connu sous le nom d’« étoile de David ».

La maison des Rothschild à Francfort, là où tout a commencé.

En dépit de ce que pensent la plupart des gens, cela n’est pas exclusivement un symbole juif et il n’a pas été utilisé dans ce contexte jusqu’à ce que les Rothschild s’en accaparent. L’hexagramme est un symbole ésotérique remontant à l’Antiquité, et il trône aujourd’hui sur le drapeau israélien car les Rothschild possèdent ce territoire.

Le « logo » des Rothschild sur le drapeau d’Israël, le pays des Rothschild.

Mayer Amschel Rothschild et ses cinq fils fondèrent des établissements bancaires à Francfort, Londres, Paris, Vienne et Naples. Mayer choisit lui-même ses belles-filles en fonction des relations d’affaires qu’elles pouvaient apporter à la famille, et impose que ses descendants se marient entre cousins, dans la mesure du possible afin que la lignée reste « pure ». Il a eu 18 petits-enfants et 16 d’entre eux ont épousé un cousin germain ou une cousine germaine. La même chose s’est passée pour d’autres lignées, comme celle des complices des Rothschild, les Habsbourg, et d’autres familles « royales » remontant à l’Antiquité. Toutes les filles Rothschild se sont mariées à des banquiers — Worms, Sichel et Beyfus – et la famille est devenue immensément riche, et tristement célèbre, en finançant tous les camps qui s’opposaient lors des guerres qu’ils ont secrètement fomentées. Beaucoup de noms de banques renommées, tels Lazard, Warburg, Worms, Sichel et Beyfus sont issus de la domination exercée par les Rothschild à Francfort.

En 1790, Mayer Amschel Rothschild résuma la technique de manipulation utilisée par sa famille quand il déclara : « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » Une citation similaire est attribuée à son fils Nathan, qui aurait dit : « Je ne me préoccupe pas de savoir quelle marionnette est placée sur le trône d’Angleterre pour diriger l’Empire sur lequel le Soleil ne se couche jamais… L’homme qui contrôle la masse monétaire de Grande-Bretagne contrôle l’Empire britannique. Et je suis celui qui contrôle cette masse monétaire. » Le but du jeu était, et est toujours, de faire en sorte que les entreprises et les gouvernements se retrouvent énormément endettés pour ensuite les prendre en charge. Les Rothschild prirent dès le début le contrôle sur l’économie des États-Unis grâce à leur très aristocratique agent, Secrétaire du Trésor dans le premier gouvernement de George Washington : Alexander Hamilton. C’est ce dernier qui fonda la première banque centrale du pays, la Banque des États-Unis d’Amérique, fondée en 1791 et fermée en 1811, quand le Congrès refusa de la soutenir plus longtemps. Une autre version circulait avant que les Rothschild ne se servent de leurs mandataires, les familles Schiff et Warburg, pour fonder la banque centrale « américaine » privée, la Réserve Fédérale, en 1913. Beaucoup pensent que la Réserve Fédérale est la propriété du gouvernement des États-Unis, mais il s’agit en fait d’un cartel de banques privées, contrôlé par les Rothschild. Ils adorent les banques centrales parce que, dès que l’on centralise quoi que ce soit, on augmente le pouvoir de la minorité sur la masse. C’est pour cela qu’ils cherchent à détruire toute diversité où qu’elle soit et à imposer l’uniformité. Les familles Schiff et Rothschild ne faisaient qu’une et elles partageaient la même maison à Francfort du temps de Mayer Amschel, le fondateur de la dynastie. Jacob Schiff dirigeait, sous le contrôle des Rothschild, les opérations bancaires de Kuhn, Loeb & Co aux États-Unis, alors que les Warburg allaient plus tard devenir les banquiers d’Hitler. Kuhn, Loeb & Co étaient les principaux financiers de la révolution bolchévique en Russie et de ses instigateurs officiels, les Sumériens-Khazars, Lénine et Trotsky dont le vrai patronyme était Bronstein. La « révolution » conçue par les Rothschild a imposé les convictions d’un autre Sumérien-Khazar, Karl Marx, autre atout des Rothschild, et a éliminé les tsars de Russie qui refusaient de jouer dans leur camp. The Times, journal londonien, rapporte ceci le 29 mars 1919 :

Une des caractéristiques les plus intéressantes du mouvement bolchévique est le haut pourcentage d’éléments non russes dans l’équipe dirigeante. Sur environ 30 commissaires ou dirigeants qui forment l’appareil central bolchévique, 75 pour cent pour le moins sont des juifs.

En d’autres termes, ce sont des agents ou des pions des Rothschild exerçant sous le nom de « sionistes ». L’écrivain dissident soviétique, Alexandre Soljenitsyne, écrit dans L’Archipel du Goulag, tome II, que les sionistes ont créé et administré les camps de concentration soviétiques dans lesquels des dizaines de millions de personnes sont mortes. Il cite les noms de Aaron Solts, Yakov Rappoport, Lazare Kogan, Matveï Berman, Genrikh Yagoda et Naftali Frenkel, tous sionistes.

La banque Kuhn, Loeb & Co — les Rothschild pour tout dire — a été la source de financement, entre autres, des empires financiers et industriels des Rockefeller, Harriman, J.P. Morgan et Carnegie. Ce ne sont que d’autres noms pour désigner les Rothschild. Jacob Schiff, de la banque Kuhn, Loeb & Co, juste avant sa mort en 1920, demanda la création du Council on Foreign Relations (CFR), (en français : Conseil des relations étrangères), destiné à être un satellite américain de la Table ronde des Rothschild en Grande-Bretagne. Un an plus tard, le CFR est fondé par les agents de Rothschild, Bernard Baruch et le colonel Edward Mandell House. Baruch et House étaient les contrôleurs du président Woodrow Wilson quand les États-Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale, guerre dans laquelle les Rothschild de Grande-Bretagne ont prêté de l’argent aux Britanniques, les Rothschild de France de l’argent aux Français et les Rothschild d’Allemagne de l’argent aux Allemands. Bref ! Je vous laisse deviner qui a prêté aux Américains. Schiff avait aussi mis en place la National Advancement for the Association of Coloured People, ou NAACP (en français : association nationale pour l’avancement des gens de couleur) dans le cadre d’une stratégie des Rothschild visant à mettre en opposition races et secteurs de société, afin de diviser pour mieux régner. L’historien Juif, Howard Sachar, dit dans son livre, A History of the Jews in America (Une histoire des juifs en Amérique) la façon dont : « en 1914, le professeur émérite Joel Spingarn de l’Université de Columbia, devint le président du NAACP et recruta pour son conseil d’administration des dirigeants juifs tels que Jacob Schiff, Jacob Billikopf et le rabbin Stephen Wise. » D’autres cofondateurs viendront s’ajouter à la liste comme Julius Rosenthal, Lillian Wald et le rabbin Emil G. Hirsch, et ce n’est qu’à partir de 1920 que la NAACP trouva pertinent de nommer son premier président noir : James Weldon Johnson. Les Rothschild ont donc continué à manipuler, à créer de nouvelles organisations et à les contrôler, prétendument au profit du peuple noir ou d’autres minorités ethniques dont ils se fichaient éperdument. Les dirigeants du mouvement pour les droits civils, comme Jesse Jackson et Al Sharpton, font partie des nombreux atouts des Rothschild en ce domaine, ainsi, bien sûr, que Barack Obama.

<< MONEY, MONEY, MONEY ! >>

La dynastie des Rothschild est contrôlée par les magiciens noirs de la famille, ceux qui savent comment fonctionne la réalité et comment manipuler l’énergie et la perception des hommes. Ils savent que l’argent est une énergie, comme tout autre chose, et ont donc mis en place le système financier capable d’exploiter ce savoir. On parle de « flux de capitaux », mais il s’agit plutôt de flux d’énergie et c’est ce qu’ils ont construit, un concept énergétique qui garantit que l’énergie de l’argent leur revienne. On appelle ce concept le « système économique » ou l’« économie », et il se trouve qu’il est composé des banques, de la finance, de la bourse, et de toutes sortes de transactions financières. Mais toutes ces entités ne sont que de petits intermédiaires garantissant un retour systématique des richesses mondiales dans l’escarcelle des lignées. C’est grâce à ce système, que les Rothschild comptent leur fortune non pas en millions ou en milliards, mais billions et plus encore. Ils contrôlent bien plus d’argent que tous les gouvernements réunis, en contrôlant la construction énergétique que nous appelons système financier. Pour les Rothschild, c’est comme s’ils contemplaient, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, des milliards de fleuves et de canaux se déversant dans l’eau d’un lac qui grossit à vue d’œil. Je pense à l’argent quand je parle de l’eau, et à l’énergie (la force vitale) quand je parle d’argent. L’argent est un moyen d’échanger de l’énergie. Ils ont donc fabriqué de l’argent et l’ont fait circuler dans notre société, passant ainsi d’une personne à l’autre, chacune d’entre elles imprimant son propre champ d’énergie sur celui de l’argent. En volant notre argent, ils nous volent notre force vitale. J’en ai fait ma propre expérience. Si une personne A apporte de l’énergie sous forme de travail à une personne B, alors B pourra en faire autant avec son travail ou équilibrer l’interaction de l’énergie grâce à l’argent. Si cet échange ne se fait pas de manière juste et équilibrée, une des deux personnes va donner plus d’énergie qu’elle ne va en recevoir. Le système économique est spécialement conçu pour que cet échange déséquilibré d’énergie entre l’élite et la masse, devienne notre quotidien. Premièrement, les patrons versent à la plupart de leurs employés un salaire minimum afin de s’assurer leurs services. Mais la majorité des gens n’ont même pas commencé à recevoir un juste retour de leur contribution quotidienne en énergie, et c’est comme ça que tout est censé être. Cependant, ce dont je vous parle n’est que le tout début. Le revenu de base (l’énergie reçue en échange de l’énergie donnée) est sujet à une longue, longue liste de vampires de l’énergie. Notamment ce que l’on appelle les taxes et les intérêts. Il existe des impôts incroyables comme l’impôt sur le revenu, la TVA, la taxe d’habitation, la taxe sur les droits de succession, la taxe d’immatriculation, etc., etc. et on nous en ajoute ! La taxe sur les ventes est tout simplement une amende pour avoir dépensé notre propre argent, alors que la taxe sur les droits de succession est un impôt sur de l’argent qui a déjà été imposé. Voici une liste des taxes américaines, loin d’être exhaustive, que vous pouvez aussi retrouver sur whatistaxed.com :

Taxe sur les comptes débiteurs ; impôt sur les bénéfices ; taxe Ad valorem (basée sur la valeur des biens immobiliers et des biens personnels) incluant des taxes sur les articles d’importation ; impôt minimum de remplacement ; taxe sur les carburants aéronautiques ; impôt sur les gains en capital ; taxe sur la production de ciment et de gypse ; taxe sur le charbon ; taxe sur les produits bruts ; taxe sur la consommation ; impôt sur les sociétés ; amendes imposées par les tribunaux ; droit de douane ; licence ou immatriculation pour chien ; double imposition ; taxe sur la production d’électricité ; impôt sur les droits de succession ; impôt sur le revenu ; taxe sur l’assurance chômage ; taxe sur le permis de pêche ; taxe sur le permis d’exploitation alimentaire ; taxe sur les carburants ; taxe sur les véhicules polluants ; taxe sur l’essence ; taxe sur les transferts transgénérationnels ; taxe sur la donation ; taxe sur la production brute ; taxe sur les établissements hospitaliers ; permis de chasse ; taxe sur les stocks de produits ; frais d’intérêt de l’IRS* ; pénalités d’impôt de l’IRS* ; impôt sur enfant ; impôt foncier ; permis de débit de boisson ; taxe sur l’alcool ; impôts locaux ; taxe sur les centres d’hébergement ; taxe sur les articles de luxe ; taxe sur les certificats de mariage ; impôt Medicare ; taxe sur les exploitations minières ; taxe sur les soins infirmiers ; taxe sur la production de pétrole et de gaz naturel ; parcmètres ; cotisations sociales ; taxe sur la protection de la confidentialité ; impôt sur la propriété ; taxe sur les recettes brutes dans les entreprises publiques ; taxe sur la Commission de la fonction publique ; taxes sur les services publics ; impôt sur les biens immobiliers ; impôt sur les mutations foncières ; taxe sur la location de véhicules ; taxe de séjour ; taxe sur les ressources et l’évaluation des eaux souterraines ; taxe sur les services de télécommunication ; taxe de vente ; taxe scolaire ; charges fiscales sur les revenus des travailleurs indépendants ; permis de fosse sceptique ; taxe sur les indemnités de licenciement ; cotisations sociales ; impôt sur le revenu des États ; taxes de chômage fédérales et d’État ; taxes sur les urgences téléphoniques dans tous les États ; surtaxe ; taxes sur les produits importés ; plusieurs taxes sur le téléphone et les télécommunications ; taxe sur les produits du tabac ; péages ; ponts fédéraux à péage ; tunnels à péage ; taxation au tonnage ; amendes pour infractions au code de la route ; taxe sur les immatriculations de remorques ; « Use tax » ; taxe sur les services publics ; taxe sur les immatriculations de véhicules et sur les permis ; taxe sur la vente de véhicules ; taxe sur les engins nautiques ; permis de forage ; taxe sur le marché de l’énergie de gros ; taxe sur les accidents de travail…

Si vous additionnez toutes les taxes que vous payez en une année et que vous soustrayez le total à votre salaire, vous allez être abasourdis de constater à quel point l’énergie que vous recevez par rapport à l’énergie que vous fournissez retourne directement au système par le biais des impôts. Au bout du compte, cet argent, ou énergie termine dans le « lac » des Rothschild et c’est pourquoi, en dépit d’une fiscalité toujours plus élevée, la qualité des services est à la baisse malgré l’argent que nous donnons. Ajoutez à cela les intérêts payés aux banques pour « emprunter » de l’argent fictif que l’on nomme « crédit » et vous allez vite vous rendre compte que l’humanité est énergiquement et systématiquement sucée jusqu’à la moelle. On nous retire autre chose aussi : notre choix et notre potentiel. Combien de fois les gens se trouvent-ils dans la situation où ne peuvent choisir ce qu’ils veulent faire ou l’endroit où ils aimeraient aller à cause du mantra « je ne peux pas me le payer » ou « je n’ai pas l’argent nécessaire » ? Notre argent fait partie de notre champ d’énergie, il fait partie de « nous », parce que cette « propriété » établit un lien vibratoire entre notre champ d’énergie et celui de l’argent. Donner de l’argent et en recevoir c’est de l’énergie qui entre et de l’énergie qui sort. Prenez un peu de recul et vous verrez vite que les masses se font manipuler afin de fournir beaucoup plus d’énergie qu’elles n’en reçoivent. Même après la mise en place de l’échange initial sous forme de salaire et de profit, une grande partie de ce que nous recevons est absorbée par les impôts, les intérêts sur l’argent emprunté et la surfacturation des services essentiels. Le système économique, dirigé par la maison Rothschild, a été mis en place pour vampiriser les forces vitales de la population mondiale. Monsieur Tout-le-Monde voit de l’argent là où les Rothschild voient de l’énergie, et c’est ce que l’argent est vraiment. Les Rothschild utilisent l’argent comme un courant électrique qu’ils font circuler avant de le faire revenir à une plus haute tension ou plutôt à une majoration d’intérêts.

DE L’ARGENT À PARTIR DE RIEN

Les Rothschild contrôlent le système mondial de la finance et c’est par le vol et l’exploitation des autres, qu’ils ont amassé leur pouvoir. Tout leur système est basé sur une fraude gigantesque, car l’argent n’existe pas comme nous l’entendons. Les billets et les pièces que nous avons dans la poche ne reposent sur rien. Leur valeur n’est que la valeur que nous sommes persuadés qu’ils ont. Ce ne sont que des bouts de papier sans valeur (un billet à ordre ou une reconnaissance de dette) ou des pièces de métal que nous sommes habitués à prendre au sérieux. Aujourd’hui, la quasi-totalité de « l’argent » n’est même pas quelque chose que nous pouvons avoir entre les mains, mais simplement des chiffres sur un écran d’ordinateur. On met de « l’argent » en circulation par le biais du « crédit ». Mais qu’est-ce que le crédit ? C’est un système de croyance, c’est tout, une croyance que cela existe. Les banques ne nous prêtent rien et pour cela, nous les payons une fortune. Les grandes lignées familiales, les Rothschild en particulier, ont depuis des siècles, contrôlé les gouvernements et les banques et ont été capables de dicter les lois du système financier et d’y introduire ce que nous appelons « les prêts à réserves fractionnaires ». Ils permettent aux banques de prêter au moins dix fois ce qu’elles ont en dépôt. En d’autres termes, elles prêtent de « l’argent » qu’elles n’ont pas et qui n’existe pas (le crédit) et elles y appliquent des frais d’intérêt. Quand vous allez à la banque pour emprunter, on va dire 63 000 euros, vous devez fournir des garanties comme votre maison, vos terres, votre voiture ou votre salaire, et si vous ne pouvez pas rembourser, tout va à la banque. Que vous donne la banque en échange ? Rien ! Elle va taper sur votre compte le chiffre de 63 000 euros et c’est tout. Les 63 000 euros n’existent pas. C’est une marge de « crédit » non existant. Mais il y a mieux. Par exemple, vous donnez à quelqu’un un chèque de 25 000 euros sur les 63 000 euros et le bénéficiaire dépose l’argent dans une autre banque. Cette deuxième banque peut prêter 10 fois les 25 000 euros à d’autres personnes, tout à fait légalement, et facturer des intérêts dessus. Si l’on suit les 63 000 euros d’une banque à l’autre, la somme de « crédits » alloués pendant leur circulation dans le système bancaire est tout à fait énorme. Et nous ne parlons ici que d’un seul prêt, alloué, en premier lieu, à partir de rien. J’ai présenté dans d’autres livres un document intitulé Silent Weapons for a Quiet Wars (Armes silencieuses pour guerre sans bruit). C’est un manuel pour les initiés dévoilant comment l’on peut massivement contrôler les esprits des populations, en utilisant les « armes silencieuses » de la manipulation mentale et émotionnelle. Ce document met spécifiquement en lumière Mayer Amschel Rothschild et le système financier énergétique à qui il a donné naissance. Voici un extrait :

M. Rothschild prêtait ses billets à ordre [du « crédit » sans valeur] à des particuliers et aux gouvernements. Ceci créait alors une confiance exagérée et ainsi, il rendait l’argent peu abondant, renforçant son contrôle du système et collectant des nantissements, grâce à l’obligation de signer des contrats. Le cycle se répétait et cette pression pouvait être utilisée pour initier une guerre. Alors, M. Rothschild contrôlait la disponibilité de l’argent pour déterminer qui gagnait la guerre, et c’est donc le gouvernement qui lui avait donné le contrôle de son système économique qui obtenait son appui. Le recouvrement de la dette était garanti à l’ennemi du débiteur par l’aide économique.

Le profit obtenu par cette méthodologie économique a fait de M. Rothschild le plus à même d’accroître sa richesse. Il a compris que l’avidité du public permettait de faire fonctionner la planche à billets par ordre gouvernemental au-delà des limites (inflation) d’équivalence en métal précieux ou de la production de biens et de services (produit national brut ou P.N.B.).

Voici donc comment les Rothschild sont arrivés à avoir la mainmise sur les gouvernements et sur une grande partie du monde. Les intérêts sur l’argent sont la clef. Si l’argent était mis en circulation sans intérêts, ou qu’il n’y ait aucun intérêt sur l’argent, quelle que soit sa forme, il reviendrait à son rôle légitime, une unité d’échange d’énergie qui viendrait à bout des limites du troc. C’est en introduisant les intérêts que les ennuis commencent, car on fabrique de l’argent à partir de l’argent et cela n’aide plus les gens, ça les asservit. Le système bancaire (crédit/intérêt) implique que l’unité d’échange pour les activités humaines arrive en circulation, dès le départ, sous forme de dette. Les gouvernements pourraient fabriquer leur propre argent libre d’intérêt pour financer les services publics, mais au lieu de cela, ils empruntent au système bancaire et ce sont les individus qui payent en retour, les intérêts en plus. On retrouve la même chose pour les individus et dans le monde des affaires. Les gouvernements ne fabriquent pas leur argent, libre de tout intérêt, tout simplement parce qu’ils sont sous le contrôle des familles qui contrôlent les banques, et plus précisément les Rothschild. Abraham Lincoln a été assassiné par les Rothschild quand il a commencé à faire imprimer une monnaie fiduciaire libre d’intérêts, appelée « greenbacks », pour financer les états du Nord pendant la guerre de Sécession. Les Rothschild finançaient les deux camps, comme ils le font toujours pour toutes les guerres qu’ils provoquent, mais Lincoln refusa de payer leurs taux d’intérêts phénoménaux. Les greenbacks marchaient si bien que Lincoln pensait les utiliser de manière permanente pour financer les dépenses du gouvernement. Le pire des cauchemars pour les Rothschild. Le Times de Londres (sous contrôle des Rothschild) a écrit :

Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s’installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s’acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Les cerveaux et la richesse de tous les pays iraient s’y installer. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe.

Les Rothschild ont fait assassiner Lincoln par John Wilkes Booth en 1865 et la politique des greenbacks s’en est allée avec lui. Le 4 juin 1963, le président John F. Kennedy signa le décret 11110 permettant au secrétaire du Trésor américain d’émettre 4,29 milliards de dollars sans intérêts de certificats sur l’argent, contournant ainsi les Rothschild et leur banque centrale des États-Unis (la Réserve Fédérale). Le 22 novembre 1963, le président Kennedy est assassiné et son successeur, Lyndon Johnson, qui faisait partie des commanditaires du meurtre, annula cette politique financière. JFK a été assassiné pour plusieurs raisons dont son opposition au programme nucléaire d’Israël et à l’escalade de la guerre au Viêt Nam. Lyndon Johnson, une des marionnettes des Rothschild, soutenait, quant à lui, les deux. Le spectre de l’argent sans intérêt était, cependant, au centre de l’élimination de Kennedy, et c’est depuis lors que les Rothschild sont entrés en guerre contre les Kennedy. Bobby Kennedy, le frère de JFK, et son fils, John Fitzgerald Kennedy Jr, feront partie des autres victimes dont les assassinats ont été commandités par les Rothschild. Certains chercheurs prétendent que le Mossad, le service de renseignements israélien, serait impliqué dans le meurtre de JFK et cela est loin d’être absurde. Le Mossad, une des organisations les plus maléfiques du globe, ne représente pas Israël mais les Rothschild qui possèdent Israël. Il est aisé de comprendre pourquoi les présidents, les premiers ministres et d’autres personnes haut placées font tout ce que cette famille demande, car ils savent ce qu’il en coûte de ne pas obéir. J’ai expliqué en détail les origines de l’assassinat de Kennedy dans … And the Truth Shall Set You Free.

ESSOR ET DÉCLIN

Il existe un aspect vital pour comprendre cet intérêt pour l’argent : lorsque vous contractez un emprunt, la banque « crée », sous forme de « crédit », le montant de l’« emprunt ». Cela paraît évident et simple, excepté pour une chose. Vous ne remboursez pas seulement l’emprunt, vous payez l’emprunt plus les intérêts, et les intérêts ne sont pas créés, seulement les chiffres de l’emprunt initial. Cela veut dire qu’il n’y a jamais assez d’argent en circulation pour rembourser tous les prêts impayés et les intérêts. Cette erreur est volontairement fatale à la liberté de l’Homme, et permet de s’assurer que la faillite et la perte de biens personnels en faveur des banques soient automatiquement intégrées au système. Tout ça fait partie du concept-énergie des Rothschild qui font en sorte que les richesses et l’énergie des gens reviennent toujours dans leur direction. Les sommes extraordinaires que vous payez en taxes et impôts vont directement dans les banques privées afin de payer les intérêts sur l’« argent » que le gouvernement devrait fabriquer lui-même, et sans intérêts. Ce que l’on appelle la « privatisation », c’est la vente des biens de l’État en réponse à la dette créée par les banques. Les pays les plus pauvres du monde sont en train de céder le contrôle de leurs territoires et de leurs ressources aux banques tenues par les Rothschild, parce qu’ils ne pourront en aucun cas rembourser l’emprunt qu’ils ont contracté, conçu spécifiquement pour les prendre dans ce piège. La « dette du tiers monde » a été fabriquée pour remplacer l’occupation physique des pays stratégiquement bien situés et dotés de ressources abondantes, par une occupation financière. J’ai donné tous les détails de faits dans … And The Truth Shall Set You Free. Une fois qu’un pays est endetté auprès d’une des banques des Rothschild avec du crédit qui n’existe pas, il est obligé de céder les commandes de ses affaires aux banques, à la Banque mondiale et au Fond Monétaire International (FMI). Ces banques vont alors dicter, à tous niveaux, leur politique économique et sociale. La Banque mondiale et le FMI sont, à cent pour cent, des filiales des Rothschild qui placent leurs hommes à la barre. Les pays pauvres luttent pour payer leurs dettes et sont forcés de réduire leurs dépenses sur leurs programmes sociaux, sur la santé, sur l’éducation et sur les projets humanitaires afin de rembourser les banques. Le monde ne devrait pas en être dans la pauvreté, ni le conflit. On le manipule de sorte que le plan des lignées visant à une dictature mondiale puisse se développer.

En contrôlant l’émission de l’« argent » par le biais du crédit, les Rothschild ont la mainmise sur l’économie mondiale, comme vous pourrez le lire dans Silent Weapons for Quiet Wars. Ils peuvent, comme ils le veulent, contribuer à son expansion ou à son effondrement. La crise qui a débuté en 2008 est encore une de leurs nouvelles créations pour pouvoir poursuivre la centralisation de la finance mondiale et lancer enfin ce qui est depuis longtemps programmé : la Banque centrale mondiale. Depuis des siècles, les Rothschild ont fabriqué de toutes pièces les essors et les déclins afin d’atteindre leur but, car tout est simple quand on sait ce qu’est l’argent et qu’on le contrôle. La différence entre essor et déclin réside dans la somme d’« argent » en circulation et sa valeur perçue. Les deux sont régies par les Rothschild. Ce sont eux qui avec leurs associés, les familles de grandes lignées, décident de la somme d’argent qui sera émise et mise en circulation sous leur contrôle, que ce soit dans les banques ou au sein des gouvernements. Les Rothschild vont susciter un essor en facilitant les crédits (en mettant beaucoup « d’argent » en circulation), ce qui endette considérablement la population pendant ce que l’on appelle la « prospérité ».

La technique des Rothschild : endettez-les, faites en sorte que leur attention soit attirée par des futilités, puis faites effondrer le système et tirez-en des bénéfices.

Puis ils vont provoquer l’effondrement de l’économie en trouvant une excuse pour retirer l’argent en circulation et durcir les obtentions de crédits. Les entreprises et les particuliers ne peuvent rembourser leurs emprunts, puisqu’il n’y a plus assez d’argent qui circule pour générer l’activité économique, donc les Rothschild vont encaisser le butin, grâce aux garanties engagées quand les emprunts ont été contractés. À l’arrivée, le nombre des entreprises se réduit dramatiquement et leurs produits ainsi que leurs marchés sont repris par les sociétés dirigées par les Rothschild, afin de continuer à centraliser leur pouvoir économique mondial. C’est la même chose avec les gouvernements. Lorsqu’une crise décime les recettes publiques, les gouvernements vont chercher à obtenir plus d’emprunts pour pourvoir stabiliser les dépenses, c’est ainsi que les Rothschild prennent de plus en plus le contrôle sur eux et continuent leur expansion. En fait, plusieurs gouvernements, dont les États-Unis et la Grande-Bretagne, sont en situation de faillite depuis les années 1930, à cause du complot ourdi par les Rothschild. J’ai décrit précisément ici ce qui s’est passé pendant les années de « prospérité » au milieu des années 1990, jusqu’à la crise de l’automne 2008 et du resserrement de l’accès au crédit qui en a découlé. Tout cela est l’œuvre des Rothschild et de leurs laquais, dont fait partie Alan Greenspan, le Président de la Réserve Fédérale créée par les Rothschild, ainsi que son successeur, Ben Bernanke, à qui, bien sûr, « M. Changement » Obama a renouvelé le mandat.

L’ancien président de la Réserve Fédérale des États-Unis, Alan Greenspan, et son petit chien, Ben Bernanke, l’actuel président, sont tous les deux à la botte des Rothschild.

Ces cycles sont générés par les Rothschild depuis des centaines d’années et l’on peut y ajouter le Krach de 1929 et la grande dépression qui suivit dans les années 1930. Des économistes surpayés et des journalistes économiques et financiers, dont la plupart n’ont aucune idée de ce qui se passe, vont vous dire que essor et déclin font partie intégrante d’un « cycle économique » somme toute naturel. Ce sont des idioties ! C’est une manipulation systématique pour dérober les richesses du monde.

LA TECHNIQUE DES ROTHSCHILD

Les Rothschild et les grandes lignées brassent des milliers de milliards de dollars par jour dans les marchés financiers du monde entier et décident de leur hausse ou de leur baisse. L’effondrement des marchés financiers n’a pas simplement lieu, il est prémédité. Quand vous savez qu’un effondrement se profile parce que vous allez le provoquer, vous vendez les stocks à un indice élevé puis vous les rachetez une fois que l’effondrement s’est produit. De cette façon, vous augmentez massivement vos possessions en acquérant des entreprises à un coût très inférieur, juste avant que l’effondrement que vous avez orchestré n’ait lieu. Pour vous donner un exemple précis, je vais vous parler de Nathan Rothschild lors de la bataille de Waterloo, en 1815. Si le Duc de Wellington gagnait la bataille, la bourse de Londres remontait en flèche, par contre, si Napoléon était vainqueur, elle s’effondrait. Les Rothschild ont organisé une opération d’espionnage, réputée comme étant une des plus rapides et efficaces en Europe, grâce à un énorme réseau de contacts utilisant un langage codé et des pigeons voyageurs, pour communiquer rapidement et dans un secret total. Ce réseau de renseignements se développera plus tard au sein du Mossad, de la CIA et de la version moderne du service de renseignements britannique. Au plus haut niveau, toutes les agences de renseignements sont en fait une seule organisation, comme le sont aussi beaucoup d’autres agences de sécurité nationale et les services postaux, tel Federal Express qui appartient aux Rothschild. Tout ceci est rendu possible grâce à la toile d’araignée, ou à la pyramide dans la pyramide, quelle que soit l’analogie qu’il vous plaît d’utiliser. En 1815, les investisseurs de la bourse de Londres savaient que le réseau de renseignements des Rothschild était plus fiable que celui du gouvernement, notamment parce que les informateurs des Rothschild pouvaient passer aussi bien les barrages français que les barrages anglais. La bataille faisant rage, tous les regards étaient tournés vers Nathan Rothschild, attendant un signe de sa part. Qui était vainqueur, Napoléon ou Wellington ? Rothschild fit signe à ses agents de commencer à vendre ses stocks et tout le monde suivit pensant qu’il était au courant de la défaite de Wellington. Le marché s’effondra, dans la panique générale, à près de 98 pour cent, et les investisseurs perdirent des fortunes. Pas Rothschild. Il savait, un jour avant que la nouvelle n’arrive, que Wellington avait gagné la bataille. Lorsque le marché s’effondra, Nathan Rothschild donna un autre signal codé à ses agents et ceux-ci commencèrent à acheter en grand nombre les stocks à des prix cassés. Ce n’est qu’après que la nouvelle de la victoire de Wellington arriva enfin Londres. Le cours des actions atteignit des sommets et l’on estime que la fortune des Rothschild et leur propriété ont été multipliés par vingt. Depuis lors, ils ont contrôlé l’économie britannique, donc le gouvernement, quel que soit le parti au « pouvoir ». Cent ans plus tard, le New York Times déclara que le petit fils de Nathan Rothschild avait demandé une ordonnance du tribunal pour supprimer la publication d’un livre détaillant l’escroquerie de Waterloo. La demande fut rejetée.

C’est comme ça que fonctionne la manipulation, tous les jours et dans le monde entier. La finance mondiale, que ce soit les banques, les marchés financiers, ou quoique ce soit d’autre, n’est en fait qu’une supercherie. Quand les gens sont en confiance, ils achètent et investissent et l’économie se développe. Quand les gens perdent confiance, ils n’achètent pas, n’investissent pas et l’économie se contracte. La manipulation n’a besoin que de sombres prévisions économiques déclamées par un agent des Rothschild, ou d’une rumeur qui circule au sujet des problèmes économiques et le château de cartes peut s’écrouler en une nuit. Les Rothschild en sont experts. Avec leur cartel de banques, ils ont également financé tous les camps dans pratiquement toutes les guerres depuis 1800, guerres que leurs agents au gouvernement, dans l’armée et dans les agences de renseignements, ont tout fait pour qu’elles aient lieu. Elles ont coûté la vie à des centaines de millions de personnes (75 millions pour les deux guerres mondiales à elles seules) et ont permis que gouvernements et individus puissent être sous contrôle par l’intermédiaire des dettes et des prêts bancaires. Quand les pays sont en ruines, le cartel bancaire des Rothschild prête plus d’argent pour la reconstruction, en comptant les intérêts, bien sûr. Les compagnies d’armement sont aussi sous leur coupe. Elles fournissent les armes en faisant des profits hallucinants, assurés grâce à des ventes directes et à davantage de prêts proposés aux gouvernements afin de les acheter. La femme de Mayer Amschel Rothschild, Gutle Schnaper, a dit un peu avant sa mort en 1849 : « Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »

Aujourd’hui, le système monétaire des Rothschild est dirigé par un réseau de super ordinateurs, qui sont connectés avec ceux des bourses et des marchés monétaires, et qui opèrent un monopole virtuel que l’on nomme « trading à haute fréquence ». Il représente 70 pour cent du volume au sein des bourses et peut mettre en œuvre des millions de transactions à la seconde. Il a élargi le volume journalier des activités commerciales de 164 pour cent depuis 2005, et augmenté dramatiquement la vitesse à laquelle les richesses du monde peuvent être confisquées et l’économie mondiale détruite. Par un système appelé « algorithmes prédateurs », soutenu par une intelligence artificielle, les principaux acteurs peuvent dominer la finance mondiale comme jamais auparavant. Ils payent des honoraires importants pour avoir accès aux ordinateurs des bourses et vérifier les transactions potentielles avant qu’elles n’aient lieu et ils utilisent ensuite l’incroyable vitesse de leurs super ordinateurs pour conclure l’affaire en premier. Les petits traders n’ont plus aucune chance, la clique des Rothschild contrôle tout. Joe Saluzzi, de Themis Trading dans le New Jersey, a dit : « Nous ne sommes que des souris dansant entre les éléphants du capital et leurs super ordinateurs. »

Quand les spécialistes nous parlent d’une période terrible pour l’industrie des banques, ils oublient une chose. Oui, c’est terrible pour ceux qui perdent leurs économies, leur maison et leur boulot. Cependant, les Rothschild et leurs associés régissent le système. Comme je l’ai dit plus tôt, si le football vous appartient, cela n’a aucune importance que telle équipe batte telle autre équipe, parce que quoi qu’il arrive, ce jeu est à vous. La banque Merril Lynch a fait faillite, mais a été absorbée par la Bank of America, encore une des banques des Rothschild. Et la partie continue, mais avec moins de noms. Quand la banque Lehman Brothers a fait faillite, d’autres ont repris ses avoirs et ses affaires. Lehman Brothers n’a pas été sauvée par le gouvernement américain, car les Rothschild avait besoin qu’il y ait au moins une grande banque qui s’effondre afin de provoquer la peur et la panique, permettant au système de s’écrouler davantage et de vendre bien plus facilement ce honteux « renflouement des banques ». Le Krach de 1929 à Wall Street et la crise bancaire durant la Grande Dépression, ont été déclenchés par les Rothschild et ont provoqué la disparition de nombreuses petites banques, dont les avoirs et les clients ont été volés par les géants. Ce procédé est toujours d’actualité. Les Rothschild et les grandes lignées n’aiment ni la diversité, ni la compétition dans l’industrie bancaire ou dans quoi que ce soit d’autre. Ils veulent le contrôle absolu. Comme l’a dit l’homme de paille des Rothschild, John D. Rockefeller : « La compétition est un péché. » Les avoirs qu’ils veulent conserver sont soit absorbés par les banques servant de façade, soit renfloués par l’argent du gouvernement (notre argent), puisque les gouvernements sont à leurs bottes. Les banques étranglent les gens en leur prêtant de l’argent qui n’existe pas et en y appliquant des intérêts. Elles les étranglent une fois de plus quand elles se servent de l’argent de leurs clients pour se renflouer en cas de problème. Vous pensez toujours que votre gouvernement dirige votre pays ? Les gouvernements ont toujours des sommes d’argent extrêmement importantes pour deux choses: les guerres et les banques. Et ne soyez pas surpris si je vous dis que les Rothschild et les Illuminati sont derrière les deux.

Andrew Jackson, président des États-Unis de 1829 à 1837, se battit contre le cartel des banques des Rothschild et de leur Second Bank of the United States. Il les traitait de « nœud de vipère ». Jackson était un sale type, mais dans cette déclaration, il avait vraiment ciblé le problème. L’utilisation du mot « vipères » était bien plus pertinente qu’il ne le pensait, comme je l’expliquerai quand nous en serons aux origines des grandes lignées. Jackson disait que si les gens savaient comment les « vipères » procèdent aux Etats-Unis, « il y aurait une révolution avant le lever du jour. » Les Rothschild ont essayé de faire à Jackson ce qu’ils ont fait à Lincoln et à Kennedy, quand ces derniers sont devenus des « problèmes ». Le 30 janvier 1835, Jackson échappe à une tentative d’assassinat. Les deux pistolets ont raté leur cible. Jackson dira plus tard qu’il savait bien que les Rothschild étaient derrière tout ça. Le prétendu assassin, Richard Lawrence, a été déclaré non coupable en raison de troubles mentaux. Il aurait déclaré avoir été embauché par des gens très influents en Europe qui avaient promis de le protéger s’il devait être pris. Et d’après vous, qui pouvaient bien être ces gens ?

LE MIASMES DU MAL

Partout où se trouve la misère, plus particulièrement la misère à grande échelle, les Rothschild ne sont pas loin. Le monde serait vraiment différent sans la manipulation mise en place et sans les grandes lignées en général. En juin 2009, le Financial Times de Londres révélait l’implication des Rothschild dans le commerce des esclaves :

Deux des plus grands noms de la City de Londres ont eu dans le passé des liens secrets avec l’esclavage dans les colonies britanniques, ainsi que le révèlent les documents publiés par le Financial Times. Nathan Mayer Rothschild, le patriarche de la grande famille de banquiers du XIXe siècle, et James Freshfield, fondateur d’un important cabinet juridique de la City, auraient tiré des bénéfices financiers de l’esclavage, d’après des documents sortis des archives nationales. Ces deux noms ont pourtant souvent été cités comme des opposants à l’esclavage.

En fait, cela faisait déjà longtemps que les Rothschild dirigeaient le commerce des esclaves. Ils ont trompé leur monde au sujet de leurs réelles positions en inventant une histoire officielle, de faux personnages. Ils se présentaient eux-mêmes comme opposés à l’esclavage alors qu’ils le contrôlaient dans le monde entier. Nathan Mayer Rothschild avait la réputation d’être un « philanthrope » et dans l’histoire officielle de la famille Rothschild, il a « publiquement combattu » pour l’émancipation des esclaves alors qu’en réalité, il engrangeait des fortunes sur le dos de ceux qui souffraient. Il est également devenu un « défenseur des libertés civiles » alors que la dynastie Rothschild tendait à faire de chaque homme, chaque femme et chaque enfant de cette planète, un esclave de leur état mondial fascisto-communiste. Le Financial Times a découvert que la dynastie des Rothschild avait demandé des esclaves en garantie lors d’une opération financière avec des propriétaires d’esclaves, ce qui est plutôt cohérent puisque ils se servent de tous les êtres humains comme d’esclaves. C’est Nathan Rothschild, lui-même, qui avait octroyé le prêt pour financer le renflouement des caisses des propriétaires esclavagistes par le gouvernement britannique, quand l’esclavage a été aboli dans les années 1800. De grands noms de la banque mais aussi des « représentants » des Rothschild, comme J.P. Morgan et tant d’autres, étaient au centre du commerce des esclaves, et le sont encore aujourd’hui sous d’innombrables formes.

Les Rothschild et leurs réseaux ont la mainmise sur les hommes politiques et leur donnent des récompenses pour services rendus. Aujourd’hui, J.P. Morgan Chase verse un salaire important à Tony Blair, la marionnette des Rothschild également criminel de guerre, pour ses « conseils ». Le Daily Telegraph de Londres a rapporté que Blair gagnait deux millions de livres sterling par an pour ses « conseils », sans avoir à se rendre au bureau. Son rôle de « consultant » pour J.P. Morgan Chase, pour Zurich Financial Services, pour le gouvernement du Koweit et pour Mubadala, une entreprise d’investissements des Émirats Arabes Unis, lui rapporteraient près de six millions de livres sterling par an. Il gagne également des millions en faisant des tournées de conférences : six mille livres sterling la minute. Mubadala, qui rémunère Blair un million par an en tant que « conseiller international », est en pleines négociations pour rejoindre un consortium de grands groupes pétroliers occidentaux, voulant développer les champs pétrolifère de Zubair, au sud de l’Irak. Un marché aujourd’hui rendu possible grâce à l’invasion de l’Irak par la clique Bush/Blair. Cet argent fait partie de la rétribution donnée à Blair pour services rendus aux Rothschild, pour tous les mensonges et les manipulations qui ont mené à l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak, et qui ont transformé la société britannique en un Etat policier que George Orwell aurait immédiatement reconnu.

Où que vous regardiez, c’est du Rothschild, et encore du Rothschild ! Quand leur pouvoir cessera, et cela arrivera, le monde deviendra vraiment différent.

Source: Extrait du livre de David Icke