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RÉSEAUX PÉDOCRIMINELS MAFIEUX
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LE VOL DES ENFANTS PAR L’ÉTAT
UN KIDNAPPING LÉGALISÉ
Le plus dérangeant, c’est la façon dont l’État sépare les enfants des parents par l’intermédiaire de « tribunaux des affaires familiales » que l’on garde secrets pour les plus extraordinaires des raisons. Ces tribunaux n’ont pas de jury et la norme concernant les preuves requises est inférieure à celle des juridictions pénales. Les autorités n’ont pas à prouver avec une certitude absolue qu’un enfant a été maltraité, mais seulement que, « selon toute probabilité » cela pourrait être le cas. Nous avons des cas de mères qui étaient accusées de maltraitance et qui ont été acquittées par un tribunal pénal, mais à qui l’État a retiré la garde des enfants en les faisant comparaître devant les tribunaux des affaires familiales qui exigent moins de preuves. Des « travailleurs sociaux » arrogants et à l’esprit programmé utilisent ce système truqué pour enlever les enfants à leurs parents et les placer dans des familles d’accueil qu’ils choisissent tout en prévenant les parents biologiques que s’ils contestaient, ils ne verraient jamais plus leurs enfants. Si vous ne saviez rien à ce sujet, il vaut mieux relire cette dernière phrase. Au Royaume-Uni, des assistantes sociales ont retiré à une mère ses bébés jumeaux car elle avait plaisanté en disant que la césarienne lui avait bousillé le corps. Elle avait dépensé 38 000 livres sterling en FIV, une tentative désespérée pour avoir des enfants, et des personnes profondément perturbées viennent les lui enlever quelques semaines plus tard. Quand elle a perdu son sang-froid en comprenant ce que ces personnes faisaient, les assistantes sociales ont rapporté qu’elle ne « maîtrisait pas sa colère » ce qui pourrait être dangereux pour les jumeaux. Les autorités exploitent les cas réels d’abus notoires pour sensibiliser la communauté et ainsi profiter des faux cas de maltraitance pour voler les enfants à leurs parents. Cela devient normal, mais les gens ne s’en rendent pas encore compte car tout est fait en secret. Les cas dont nous entendons parler ne représentent qu’une toute petite partie des parents auxquels l’État enlève les enfants. Jack Straw (sioniste Rothschild), un Fabien ministre de la justice, a promis que les tribunaux aux affaires familiales seraient ouverts aux médias vue l’indignation croissante face à cette injustice, mais les juges ont jugé que les journalistes ne pouvaient pas rapporter tout ce qu’ils allaient voir ou entendre lors d’une session de la cour. Sir Mark Potter, juge anglais qui a été président de la Division de la famille, a publié des directives disant que « les procédures se dérouleront en privé, et… C’est pourquoi la position existante relative à la publication de questions en relation avec les procédures continue à être appliquée ». Voilà le langage de l’establishment, pour dire que les cas jugés concernant les enfants vont rester au tribunal des affaires familiales, et Straw le savait. En 2007, on a appris que des autorités locales enlevaient des enfants à leurs parents pour atteindre leurs objectifs concernant les adoptions, et près de 25 000 enfants par an sont pris en charge par l’État, rien qu’au Royaume-Uni. Le gouvernement verse un bonus aux conseillers s’ils atteignent leur « quota ». Pensez-y : les enfants sont enlevés à leurs parents inutilement et sont confiés à des familles d’accueil simplement dans le but de répondre aux objectifs du gouvernement et en retirer des compensations financières. Comment peut-on avoir des objectifs en ce qui concerne les adoptions alors que chaque cas doit être jugé selon son bien-fondé ? Comment peut-on avoir des motivations financières pour voler des enfants à leurs parents ? Comme toujours, quand une chose n’a aucun sens et représente une offense à la justice naturelle, c’est le plan qui est à l’oeuvre.
John Hemmings, un député libéral démocrate britannique, coordonne une organisation appelée Justice for Families (Justice pour les familles) qui fait campagne pour réformer le système. Il a déclaré que les collectivités locales utilisent les tribunaux pour la famille en « représailles » contre les familles qui s’interrogent sur les diagnostics des docteurs concernant leurs enfants ou qui remettent en cause d’autres décisions. Très souvent, les actes de soin sont les représailles des autorités locales contre l’ « arrogance » de ceux qui défient le système » dit-il. Six enfants d’une famille ont été placés après que les parents ont mis en doute un test médical prévu pour leur fille suspectée d’avoir une maladie du sang. Le test s’est révélé négatif, mais l’ordre de voler les enfants a été maintenu. Un autre député, le conservateur Tim Yeo, a accusé le Comté de Suffolk de « rechercher activement les occasions d’enlever les bébés à leurs mères ». Il a déclaré que « l’équipe des travailleurs sociaux agissent d’une manière qui, à mon avis, équivaut parfois à un enlèvement. » Il parlait là de l’attitude des services sociaux qui ont contraint un couple à laisser leur petite fille de 11 semaines, alors qu’il n’y avait aucune preuve de maltraitance ou quoi que ce soit d’autre. Il a révélé que le personnel a attendu que le père du bébé soit sorti avant de lancer un raid avec la police pour « arracher le bébé des bras de sa mère. » Yéo a déclaré aux députés : « Le fait qu’aucune faute n’ait pu être prouvée du point de vue physique ou émotionnel contre les parents, n’a pas dissuadé le Conseil de détruire cette famille fragile. » Les parents ont le droit de voir leur fille une fois par mois et la visite est surveillée. Ils prévoient de quitter le pays car la mère est enceinte à nouveau et est terrifiée à l’idée que l’État lui enlève son bébé encore une fois. Malgré ses injustices qui laisse sans voix et qui sont de plus en plus courantes, Martin Narey, le directeur général de l’oeuvre de bienfaisance Barnardo’s, a demandé à ce que l’on retire beaucoup plus d’enfants à leurs parents. L’ancien responsable de l’administration pénitentiaire britannique a déclaré que les travailleurs sociaux devraient être plus « actifs » et que « si l’on se souciait vraiment des intérêts des enfants, on retirerait enfants et bébés à leurs parents pour les placer dans des familles d’accueil ou des familles adoptantes chez qui l’on sait qu’ils seront bien. » Il a été soutenu par la députée Caroline Flint, un membre de la Société des Fabiens. C’est toujours la même histoire. Bien sûr, certains enfants ont besoin d’être protégés de leurs parents, mais s’il n’y a plus ni frein, ni contrepoids, comme cela tend à être, le royaume du fascisme n’est plus très loin. Au cours de la frénésie de l’eugénisme, financée par les lignées au début du XXe siècle, les travailleurs sociaux ont été nommés pour décider quels enfants allaient être stérilisés et retirés à leurs familles, et comme nous pouvons le voir, l’histoire se répète. Les services sociaux sont devenus une mafia d’État et les assistants sociaux sont recrutés avec le « bon profil » de fantassins de la tyrannie, alors que les travailleurs sociaux intègres sont filtrés avec soin.
En Écosse, des assistants sociaux ont décrété, deux jours avant son mariage, qu’une jeune fille ne pouvait pas convoler en justes noces car elle n’était pas assez intelligente. C’est sur cette base-là, que le mouvement pour l’eugénisme a commencé. La jeune fille avait de légères difficultés d’apprentissage et son fiancé a dit qu’il la connaissait depuis deux mois quand il s’en était aperçu, car rien ne le laissait supposer auparavant. Malgré cela, ces bandits du Conseil social de Fife, en Écosse, ont refusé d’approuver le mariage alors que les alliances, la robe de mariée et les frais pour la réception avaient été payés. Ces personnes, froides et dures, ont alors annoncé qu’ils lui retireraient, quelques heures après la naissance, l’enfant qu’elle portait et le placeraient dans une famille d’accueil de leur choix. Le père de l’enfant, le mari potentiel de la jeune fille, a déclaré qu’il voulait assumer seul la responsabilité de son enfant, mais il ne le pouvait pas puisqu’il … n’était pas marié à la mère. Ne me dites pas que l’annulation du mariage et le vol de l’enfant ne vont pas de pair, Le père a dit : « Les services sociaux sont en train de ruiner nos vies. Comme nous ne sommes pas mariés, car on ne nous en a pas donné le droit, il semble que je n’ai aucun droit en tant que père. » L’ampleur de ce qui se passe est assez choquante. À l’automne 2009, un nombre record d’enfants du Royaume-Uni ont été placés « en raison de la récession ». Une hausse massive des cas a monté le nombre des familles adoptantes à 50 000, rien qu’en Angleterre et au Pays de Galles.
PAYÉS POUR KIDNAPPER
L’enlèvement d’enfants par l’État ne se limite pas au Royaume-Uni. Cela se passe dans le monde entier, conformément au plan qu’Huxley avait décrit dans son roman afin de parvenir à un État mondial qui élèverait et détiendrait tous les enfants. Une enquête du Los Angeles Daily News a révélée que le comté de Los Angeles a reçu près de 30 000 dollars du gouvernement fédéral pour tous les enfants enlevés à leurs parents par les services sociaux dont les initiales « SS » sont si appropriées. La somme peut aller jusqu’à 150 000 dollars pour les enfants handicapés. Cet argent paye les familles d’accueil et les allocations des travailleurs sociaux qui volent les enfants. C’est justement nommé « facteur incitatif pervers ». Plus ont met d’enfants dans ce système plus le système fait de l’argent. Cet argent apparaît dans la répartition des chiffres. Les enfants issus de familles démunies et des minorités représentent 85 % des enfants placés dans des familles d’accueil dans le comté de Los Angeles et 70 % dans toute la Californie. Les raisons principales sont que le gouvernement fédéral paye la plupart des frais des enfants issus de milieux défavorisés et qui sont en familles d’accueil, alors que l’État et les comtés payent les frais des enfants en familles d’accueil mais issus de milieux plus favorisés. Le nombre d’enfants placés en familles d’accueil a augmenté de 500 % en Californie depuis les années 1980 et il a doublé dans l’ensemble des États-Unis. On estime qu’un enfant sur quatre aura, à présent, affaire aux organisations de protection de l’enfance avant l’âge de 18 ans. Est-ce que cela signifie qu’il y a une augmentation de 500 % des cas de maltraitance en Californie et deux fois plus en Amérique depuis les années 1980 ? Bien sûr que non. C’est le plan qui se déroule. Il est tout à fait normal que les enfants soient protégés contre des parents véritablement violents, mais il ne s’agit pas de ça dans la majorité des cas. Le système se moque des enfants. Les statistiques du gouvernement américain montrent que les enfants entrant dans le système social sont six à sept fois plus à même d’être maltraités et trois fois plus à même d’être tués que les autres enfants de l’ensemble de la population. Plus de 600 enfants ayant été confiés à des familles d’accueil dans les comtés de Los Angeles sont morts depuis 1991 et plus de 160 ont été assassinés. Imaginez ce que cela peut donner dans le monde entier. Le Miami Herald a révélé que 31 % des adolescents en familles d’accueil de Floride se sont vus prescrire un traitement à base de psychotropes. Toni Appel, neuropsychologue et procureur général, a déclaré : « On a l’impression que ces médicaments sont utilisés comme des camisoles de force chimiques et non pour des raisons thérapeutiques. » Il a raison, bien sûr, mais c’est devenu la norme. Les enfants placés en familles d’accueil sous contrôle de l’État servent également de cobayes pour tester des médicaments et des pesticides, comme ce médicament expérimental anti-VIH, testé en secret sur des enfants âgés de trois mois à peine dans un foyer dirigé par l’Église catholique de New York. Leurs souffrances ont été révélées au grand jour et on a surnommé ces enfants « les enfants cobayes », et ils sont loin d’être les seuls. La puéricultrice Jacklyn Hoerger, a alerté l’opinion publique sur ce qui se passait, a réussi à placer deux de ces enfants et à empêcher qu’ils prennent le traitement. Les enfants ont « tout de suite repris goût à la vie et au bonheur. » Mais les autorités ont repris ces enfants, accusé Jacklyn Hoerger devant un tribunal d’être une pédophile et l’ont empêchée de les revoir. Quand je dis que ces gens-là sont le mal incarné, je ne plaisante pas. Beaucoup d’enfants dépendants des systèmes sociaux de l’État sont entrainés dans des réseaux pédophiles qui opèrent au sein du système de « protection de l’enfance ».
Anthony Cavuoti, assistant social dans le comté de Los Angeles pendant 14 ans, a déclaré que « l’on a retiré à certains parents la garde de leurs enfants parce qu’ils leur criaient dessus ou qu’ils leur permettaient d’arriver en retard à l’école ou parce que leur maison était mal tenue. Les services que fournit le système sont aujourd’hui pire que les maltraitances que certains enfants ont connues, » nous dit-il. « Le traumatisme que l’on inflige à ces enfants est indicible. » Une enquête menée en 1992 par la Little Hoover Commission de Californie a cité des experts qui ont déclaré que 35 % à 70 % des enfants placés dans cet État n’auraient jamais dû être retirés à leurs parents. Ces enfants ont subi de profonds traumatismes psychologiques, ont-ils dit. Près de 175 000 enfants font partie de ce système de protection de l’État et, encore une fois, imaginez le nombre d’enfants concernés dans le monde entier. John Elliott, un technicien travaillant sur les effets spéciaux a dépensé 150 000 dollars pour récupérer sa fille prise par les services du comté de Los Angeles et il parle des agissements des services sociaux comme d’un « rapt légal pour réaliser des bénéfices. » Il a déposé une plainte accusant les services sociaux d’avoir fait de fausses déclarations pour pouvoir lui retirer la garde de sa fille, qui lui a finalement été rendue. Il a déclaré :
Ils mentent afin de pouvoir garder vos gosses dans le système. Tout le temps que ma fille est restée au sein des services sociaux, elle a été maltraitée. C’est une affaire de plusieurs milliards de dollars. Il ne s’agit que de profits.
Oui, il s’agit de cela, mais pas seulement. L’argent n’est qu’une prime versée par les familles de lignées pour encourager les assistants sociaux à voler des enfants et l’ensemble des précédents sert à l’État pour retirer de plus en plus tout contrôle parental. Je vois aujourd’hui que les enfants qui sont scolarisés à domicile sont devenus des cibles du système. Ed Balls, notre agent des Fabiens, a demandé un rapport pour « étudier » si l’enseignement à domicile soumettait les enfants à plus de risques de maltraitance. Et savez-vous ce que cette étude a révélé ? Que c’était évidemment le cas ! Ce sont les pièces du puzzle qui font que l’État pirate nos enfants pour les diriger vers le « meilleur des mondes ». Ce que nous devons comprendre, c’est que l’injustice faite aux autres, conduit à une injustice généralisée. Nous devons résister à toutes les injustices, simplement parce qu’il est juste de le faire. Mêmes ceux aux motifs purement égoïstes doivent certainement savoir qu’il est aussi dans leur intérêt de résister. Il faut qu’il y ait une levée de boucliers en ce qui concerne le vol des enfants par l’État, et si nous ne nous unissons pas pour réclamer justice pour les autres, nos enfants ou nos petits-enfants seront les prochains sur la liste. Est-ce si difficile à voir ?
Le plan des reptiliens prévoit que les bébés élevés par l’État reçoivent une puce dès la naissance. Ils seront ainsi faciles à manipuler à vie, que ce soit mentalement, émotionnellement et physiquement. L’État leur dictera ce qu’ils doivent penser et ce qu’ils doivent faire. Cela permettra également de s’assurer une réserve inépuisable d’enfants pour les reptiliens. J’encourage tout ceux qui ont pris conscience de ce problème à se réunir et à commencer à monter des réseaux de soutien et de communication pour garantir une force dans l’unité devant l’avancée fulgurante de la dictature d’État. Si on ne fait rien, certains parents et certains enfants le regretteront toutes leurs vies.
Source: Extrait du livre de David Icke