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LES RELIGIONS

Implants Involuants et Evoluants (1)
Implants Involuants et Evoluants (2)

Les Archontes, ces galactiques qui ont inventé la Religion…

La fonction principale de la religion est d’empêcher les gens de se connecter à la Conscience en les manipulant afin qu’ils donnent toute leur attention, toute leur énergie et tout leur pouvoir à la hiérarchie, aux divinités, à des images et à des histoires montées de toutes pièces qui vont emprisonner l’esprit dans une croyance rigide. En cela la religion rejoint le gouvernement, la justice, les sciences, la médecine, l’éducation, les médias et les autres institutions. Toutes respectent essentiellement le même plan et le même mode de fonctionnement programmé dans l’univers métaphysique et joué par quiconque est pris au piège des fréquences vibratoires de l’esprit. Étant donné que ces institutions ont toutes été créées pour asservir la population mondiale, on comprend vite pourquoi elles détruisent tout ce qu’elles prétendent défendre.


Réseaux sataniques et présence reptilienne: nouvelles révélation sur une vérité qui dérange

L’Involution et la Grille Cristalline (1)
L’Involution et la Grille Cristalline (2)
L’Involution et la Grille Cristalline (3)
Quand le bâtiment se veut spirituel…

LES PRISONS DE L’ESPRIT

Pour dérouter les gens vers les prisons de l’esprit il serait difficile d’inventer un meilleur système que celui de la religion. Vous voulez faire en sorte que les gens se détournent de leur vrai moi infini, de Tout ce qui est, alors vous inventez de faux dieux et de fausses divinités pour capter leur attention sur cette supercherie sans fin. Les religions semblent être différentes (en théorie) suivant la foi et les noms qu’elles véhiculent, mais toutes fonctionnent de la même façon : (1) L’ensemble des croyances est fondé sur des textes anciens dont l’origine est extrêmement obscure (c’est toujours un plus, car on peut raconter ainsi n’importe quoi). (2) On nous impose des croyances grâce à des règles qui décident si vous êtes un vrai « chrétien », « musulman », « juif », « hindou », « mormon », ainsi de suite. C’est à peu près de ça dont il est question. La religion devient alors un auto maintien de l’ordre, une machine au mouvement perpétuel, alimentée par l’énergie de la peur. C’est un crime que de dire que l’on est « Dieu » car on insiste bien sur le fait que vous n’êtes qu’un minable morceau de merde, un pécheur né, qui doit craindre Dieu. Vous devez avoir peur de Dieu. J’ai connu mieux comme méthode pour développer sa conscience. Les reptiliens et leurs familles d’hybrides font tout leur possible pour que les gens arrêtent d’ouvrir leurs esprits et pour qu’ils ne puissent pas faire le lien avec le moi infini. Ils ont donc créé les religions pour emprisonner l’esprit, en déformant les connaissances ésotériques professées par les écoles des Mystères antiques, et en vendant analogie et symbolisme comme des vérités littérales. Les gardes qui ont pour noms prêtres, vicaires, évêques, papes, rabbins, imams, ayatollahs et brahmanes veillent à la porte de la Conscience. Les religions jouent sur l’escroquerie du « seulement par », « seulement à travers lui », « seulement à travers ceci », « seulement à travers cela » je pourrais aller au paradis. Et puis il y a cette peur de l’enfer et de la damnation si l’on refuse de s’y conformer. Le besoin d’adorer et de se soumettre à la volonté des autres est un autre trait du cerveau reptilien, et ainsi, selon la personne, on retrouve ce désir de contrôler et d’imposer sa volonté aux autres. Ces deux aspects du cerveau reptilien s’insèrent parfaitement dans la structure pyramidale (une fois de plus) de ce que nous appelons la religion. Les médecins, les politiciens, les scientifiques et les journalistes, sont tous maintenus dans l’ignorance des conséquences qui découleraient si le système était renversé, et c’est comme ça que fonctionnent les religions, menaçant à tout va en cas d’insubordination. Voulez-vous faire ce que l’on vous dit de faire ? Croire ce que l’on vous dit et aller au Ciel ? Ou alors voulez-vous penser par vous-même et rencontrer le gars tout rouge avec sa fourche ? C’est tentant, mais je préfère rester un libre penseur. 

L’ordre est maintenu avec acharnement dans les systèmes de croyance et le fidèle est tenu par la crainte, la culpabilité et la violence. Quelques fanatiques n’ont tellement rien dans la tête, qu’ils tuent des membres de leur famille s’ils s’opposent à leur croyance rigide et risible, dictée par la prison qu’ils ont choisie. Les guerres, les inquisitions, les massacres de masses, la destruction des familles et des communautés sont le résultat de l’histoire grotesque des religions du monde, créées par les reptiliens sous couvert de foi. Les peuples sont maintenus au sein d’un esprit compartimenté comme une ruche, ils se battent les uns contre les autres et se disputent le droit de détenir la « vérité ». Les adeptes des religions sont opposés aux athées, aux infidèles ou aux goyim, pour creuser encore plus le fossé entre eux, la division étant vitale pour régner sur la masse. Les manipulateurs ne pourraient pas imposer leur volonté à une nation unie et en paix avec ceux qui ont des opinions et des croyances différentes. Un travail constant est fait pour nous désunir selon des lignes fabriquées telles que la race, la politique, la culture, les revenus. Chaque aspect de la stratégie reptilienne se renforce grâce au contrôle mondial des croyances et des dogmes religieux. Grâce à la religion, les reptiliens ferment les esprits, imposent un sens des réalités incroyablement limité, fabriquent des avocats soumis à la volonté de « Dieu » (donc des reptiliens), poussent les gens à renier et à craindre comme le « diable » le savoir ésotérique qui pourrait les libérer, divisent pour régner et déclenchent des conflits entre les individus, les groupes et même les nations.

LE CULTE DU SERPENT

Les reptiliens sont apparus dans le monde entier et l’on retrouve donc les mêmes « dieux serpents » dans pratiquement toutes les anciennes cultures et les anciennes religions. Ils ont après cela fusionné pour ne faire qu’un seul « Dieu » et créer les religions monothéistes comme le christianisme, le judaïsme et l’islam, mais ils restent des « dieux » au pluriel, dans l’hindouisme où les divinités se comptent par dizaines de milliers. Les « dieux » serpent sont devenus des dieux hindous, des dieux sumériens, babyloniens, égyptiens, chinois, japonais, africains, américains et ainsi de suite.

Il peut sembler y avoir d’innombrables religions différentes, mais elles revêtent toutes la forme du culte du « dieu serpent ».

Les reptiliens et leurs hybrides sont la force qui se cache derrière les religions et ils se sont impitoyablement servis des religions pour contrôler leur race d’esclaves : l’humanité. La religion limite la perception du monde et de soi. Elle crée la structure hiérarchique d’une dictature allant du sommet jusqu’à la base. Elle fournit des opportunités infinies pour diviser et donc, mieux régner. John A. Keel dit très justement dans son livre Our Haunted Planet (Notre planète hantée), que la race des serpents a choisi la religion comme « champ de bataille » sur lequel elle allait conquérir l’esprit de l’homme : 

Le peuple des serpents para humains du passé est encore parmi nous. Ces êtres ont probablement été adorés par les bâtisseurs de Stonehenge et par les civilisations oubliées d’Amérique du Sud. Dans certaines parties du monde, ceux du peuple serpent se sont faits passer pour des dieux, avec succès, et ont imité les techniques de la super intelligence [la Conscience Infinie]. Cela a mené à la formation de religions païennes centrées sur les sacrifices humains. Le conflit, en ce qui concerne l’Homme lui-même, est devenu celui des religions et des races. Des civilisations entières basées sur l’adoration de ces faux dieux sont apparues puis ont disparu en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud. 

… Une fois qu’un individu s’était engagé, il ouvrait la porte à quelque chose d’indéfinissable (probablement une masse d’énergie intelligente et non détectable), une chose qui pouvait entrer dans son corps et exercer un certain contrôle sur son subconscient… Les hommes étaient les pions…. Chaque individu devait s’engager consciemment dans une des forces opposées…. La plus grande bataille a été celle menée pour ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’âme humaine.

En choisissant de vous donner à une divinité ou à un « dieu », vous ouvrez votre psychisme à la possession grâce à la force que cette divinité, ou ce « dieu » représente. Vous faites un lien vibratoire. Les divinités comme « Marie » et « Jésus », Yahvé et Allah, symbolisent des forces très différentes de celles perçues par leurs fidèles, et il en va de même pour le flux des divinités serpents adorées sous des noms différents dans des religions anciennes et modernes. Les religions du monde sont une source incroyable d’énergie pour les reptiliens de la quatrième dimension puisque les fidèles sont manipulés pour se concentrer sur les divinités qui les représentent. Ce rapport énergétique est utilisé pour draguer et drainer la force de vie des hommes, et c’est ce qui se passe, à une échelle gigantesque, quand deux millions de musulmans se réunissent à la Mecque pour tourner autour de la Kaaba, un symbole des dieux reptiliens. Dire que l’énergie coule vers ce qui retient notre attention est correct, et l’adoration est une forme extrême d’attention. Le truc consiste à manipuler l’attention humaine pour qu’elle se concentre sur des divinités symboliques et établisse le lien énergétique qui permet de vampiriser l’énergie humaine. Les religions, leurs sociétés secrètes et leurs homologues sataniques encouragent leurs adeptes à donner « d’eux-mêmes » aux divinités et donc par là même, ils autorisent ces fous à les vampiriser et à les posséder. Les religions, les sociétés secrètes et le satanisme adorent tous les mêmes dieux reptiliens, et ceux qui y prennent part et les défendent synchronisent leurs champs d’énergie avec ceux des reptiliens, au-delà de la perception humaine, et se nourrissent de son énergie vitale. J’ai rencontré un type dans l’Utah qui avait développé une technologie qui interagissait avec les champs d’énergie au-delà de la lumière visible. La seule fois où ça n’a pas marché, c’est quand les églises mormones de sa région ont été assaillies de fidèles : les champs d’énergie ont été perturbés par l’énergie véhiculée par ces congrégations. C’est l’énergie qui est absorbés par les reptiliens par le biais de l’adoration religieuse. Les religions ont été aussi établies pour confiner la perception humaine aux croyances et aux règles de la police de la pensée religieuse et pour enfermer les gens encore plus dans la « vibration du serpent » qui est en résonnance avec le cerveau reptilien. Les reptiliens et leurs hybrides ont travaillé pendant une éternité pour posséder et contrôler l’esprit humain et nous déconnecter de la conscience supérieure. Et s’ils peuvent tromper la population en faisant en sorte qu’elle les adore ou qu’elle adore des divinités ou des dieux symboliques, ils ne s’en privent pas. Ce sont eux qui ont détruit l’ « Âge d’Or », entre autres, en noyautant grâce à leur religion adoratrice du serpent, les sociétés secrètes et les sacrifices rituels. Ceci continue aujourd’hui et les divinités, les dieux et les démons adorés par les religions, les sociétés secrètes et le satanisme, sont tous les mêmes. Ce sont des reptiliens et les symboles qui leur sont associés touchant à l’adoration du Soleil, de la Lune et de la planète Saturne. Des légendes du monde entier racontent que l’humanité a été ruinée par les « serpents » et c’est précisément ce qui est arrivé avec, en premier plan, la religion.

LA RELIGION DU SERPENT

L’archéologue, Sheila Coulson, de l’université d’Oslo, en Norvège, a publié, en 2006, une preuve de l’adoration du python datant de 70 000 ans. C’est le plus ancien rituel humain jamais découvert. Sheila Coulson a trouvé cette preuve dans une des grottes des monts Tsodilo, dans le désert de Kalahari, au Botswana, un des hauts lieux de l’art rupestre du sud de l’Afrique. Le peuple Bushmen San dit que ces monts sont sacrés et qu’on les connaît sous le nom de « monts des dieux » et de « rochers qui soupirent ». La mythologie San raconte que les hommes ont été créés ici en ces lieux par le « python », un thème tellement commun. On dit que le python géant s’est posé sur les monts et a créé les humains à partir d’œufs qu’il portait dans un sac. Credo Mutwa, le chamane zoulou, m’a dit que le mot « Afrique » venait du mot antique « Wafirika », qui signifie « le premier peuple de la Terre » ou « le premier peuple d’ici ». Le révérend John Bathurst Deane a fait une étude en 1933 sur l’adoration du serpent à travers le monde, et il a situé son expansion en dehors de Babylone et de la Mésopotamie. Il a découvert que c’était la base des croyances religieuses presque partout en Égypte, en Perse, en Asie Mineure (aujourd’hui la Turquie), en Phénicie, en Arabie et au Moyen-Orient, en Inde et en Asie, en Chine, au Japon, en Éthiopie et dans le reste de l’Afrique, au Mexique, en Grande Bretagne, en Scandinavie, en Italie, en Grèce, en Crète, à Chypre, à Rhodes, au Sri Lanka, dans toute l’Europe Occidentale et l’Europe du Nord, et au nord et au sud de l’Amérique Centrale. Je serais d’avis de dire que tout a commencé en Afrique où, selon les tablettes sumériennes, les reptiliens Anunnaki se sont d’abord installés pour exploiter les réserves d’or et ont forcé les humains à faire le travail d’exhumation à leur place. La race des esclaves s’est installée beaucoup plus tard en Mésopotamie et a donné le peuple sumérien, mais ils ont été dispersés dans le monde entier. Les peuples de Chine, du Japon et de l’Extrême-Orient, étaient tellement obsédés par l’adoration du serpent que le dragon est devenu un symbole national, mais on trouve la même chose un peu partout.

Le symbole du dragon en Chine ou en Extrême-Orient tire ses racines des « dieux serpents », et c’est pour cette même raison qu’on le retrouve dans d’autres cultures.

Partout où l’on regarde, on trouve, à la base, la même histoire, les mêmes divinités et les mêmes croyances sur les dieux serpents. John Bathurst Deane dit dans son livre, The Worship of the Serpent (L’adoration du serpent) : « Le serpent mystique est entré dans la mythologie de chaque nation ; consacré presque tous les temples ; symbolisé presque chaque divinité ; a été imaginé dans les cieux, a apposé son cachet sur la Terre et a dirigé le royaume de la douleur éternelle. » Il indique aussi que le serpent est le symbole principal de la mythologie et qu’il est « le seul objet invariable de terreur superstitieuse à travers le monde habitable. » 

Les serpents abondent dans les symboles religieux et sur des pièces de monnaie, et beaucoup d’« oracles » qui servaient à « canaliser » les dieux des autres dimensions de la réalité, étaient soit symbolisés sous des traits reptiliens, soit c’était leurs « dieux » qui l’étaient. Le dieu chinois, Fohi, a été représenté en homme serpent et il en va de même pour les athéniens Cécrops et Érechthée ou pour les égyptiens Typhon ou Seth. L’oracle de Delphes était connu sous le nom de Pythie, nom provenant du mot « python », le serpent ou le dragon de la mythologie grecque qui aurait été tué par Apollon, le dieu du Soleil. Le mot « dragon » vient de « drakon » signifiant grand serpent. Les Jeux olympiques sont la reconstitution des Jeux pythiens (jeux du serpent ou de dragon) de la Grèce antique et qui avaient lieu en l’honneur d’Apollon. Les dieux du Soleil, comme le dieu babylonien Nimrod, étaient symbolisés par une flamme éternelle ou une torche enflammée, le symbole prédominant des Illuminati. La flamme olympique descend de ces symboles. Comme je l’ai déjà dit, une légende antique dit que Nimrod avait deux fils, Magor et Hunor. Magor est l’ancêtre des Magyars, et Hunor celui des Huns, ou des Khazars. Nimrod, un dieu illuminati de Babylone, apparaît beaucoup lui aussi. L’adoration du serpent à travers l’histoire est étroitement liée à l’adoration du Soleil, de la Lune et de Saturne. L’ancien dieu du Soleil et le dieu et la déesse de la Lune, ont été invariablement associés au serpent. On parlait d’eux comme des êtres à moitié humains et à moitié serpents, ou on les représentait par un serpent. Les dieux du soleil comme Nimrod, Apollon, Baal et Mithra faisaient partie de cette catégorie comme en a fait aussi partie la déesse Sémiramis à Babylone. L’adoration d’un arbre ou d’un dieu phallique découlait de l’adoration du serpent, comme cela s’est produit en Grande Bretagne et en Europe. Ils ont adoré le dieu serpent Hu (une autre version du dieu égyptien Osiris) et ils l’ont symbolisé par une vipère, qu’ils appelaient le « dragon qui dirige le monde ». Cette expression se retrouve dans le monde entier. Dans ce contexte druidique, « hu-main » signifie « homme serpent » ou « dieu homme-serpent ». Les Celtes et les Pictes donnaient le nom de Dragons à leurs rois. Le titre de Pendragon (le Grand Dragon) était le symbole du roi des rois des îles britanniques, et Uther Pendragon de la légende arthurienne en est un exemple. Le roi des rois est qualifié de « draco » le mot latin pour « dragon ». Les reptiliens malveillants sont souvent reliés à la constellation du dragon, comme je l’ai dit, comme à celle d’Orion et à d’autres encore. La légende arthurienne contient tous les éléments classiques du thème, comme la création de lignées royales par la reproduction d’humains avec des entités non humaines, ou des batailles entre dragons rivaux. Le thème de la « Dame du lac » est relié aux histoires d’adoration de déesses des peuples serpents, comme les Nagas vivant sous des lacs ou des lochs. Le symbole du dragon rouge du Pays de Galles vient des assertions de Merlin, le « magicien » d’Arthur, disant que le dragon rouge symbolisait le peuple de Grande Bretagne. Merlin était décrit comme étant à moitié humain, car il était l’enfant d’un être souterrain et d’une humaine.

Les codes comme « ob », « ab », « og », « oph », « ophis » et « aub » étaient utilisés pour indiquer un dieu serpent dans le monde antique. On retrouve donc Ophion, le serpent géant, dieu solaire des Phéniciens en Asie Mineure et au Moyen-Orient. Les contes d’Ophion reflètent l’histoire de « Satan », un nom qui lui-même vient de Sumer où l’on disait Satam, Sandan ou Santana et que l’on représentait avec un trident ou une fourche. On retrouve « ophis » dans le nom du pharaon Aménophis IV, plus connu sous le nom d’Akhenaton et qui mourut en 1347 av. J.-C. Il était le père de Toutankhamon et il s’est battu pour introduire en Égypte une religion ne vénérant qu’un seul dieu. « oph » a donné … une race de serpents mentionnées dans des légendes asiatiques, dont les descendants seraient les rejetons d’un père qui « de serpent s’est changé en homme ». L’île de Chypre était anciennement connue sous le nom d’Ophiusa, le « lieu des serpents » et les légendes y parlent de serpents avec deux jambes. Il y a aussi le mot grec « ophis » qui signifie serpent. Le peuple des Ophites suivait la religion du serpent reconnue sous le nom de « ophiolâtrie ». Les Ophites, ou Serpentiniens, vivaient en Égypte et en Syrie vers l’an 100, avant de se disperser dans toute l’Europe. Selon Épiphane de Salamine, le « Père de l’Église », évêque et théologien chrétien du IVe siècle, les Ophites accordaient une grande importance à la symbolique du serpent. Un de leurs rituels devint plus tard la « fraction du pain » qui célèbre l’Eucharistie chez les chrétiens. À l’origine, longtemps avant « Jésus », l’Eucharistie impliquait que l’on boive du sang et non le vin rouge symbolique que l’on boit aujourd’hui. Les Ophites étaient des adorateurs du serpent et étaient aussi connus sous le nom de « Hivites » de Canaan. Ce nom viendrait de « hivvah », mot qui ramène à Éve, ou la « femme serpent ». D’après certains chercheurs, les Hivites seraient les descendants de Heth, fils de Canaan, fils de Ham et dont la lignée a été maudite par Noé selon la Genèse. La Bible dit qu’il s’agit de la lignée de Nimrod de Babylone. En Amérique Centrale, un peuple du nom de « Hivim » adorait le serpent et se décrivait de la sorte : « Être un Hivim, c’est faire partie de la grande race du dragon. Je suis un serpent moi-même, je suis un Hivim. » Les Hivim adoraient la divinité mexicaine, le serpent Quetzacoatl, et affirmaient qu’ils étaient les « descendants des serpents ». Brasseur de Bourbourg, traducteur du livre sacré des Mayas Quiché, la Popol Vuh, a dit que les Hivim étaient aussi les descendants de Ham, le fils maudit de Noé, donc encore une fois faisant partie de la lignée de Nimrod. Le personnage de Nimrod, qu’il soit vrai ou symbolique, ramène à la lignée des reptiliens hybrides. Les Mayas d’Amérique Centrale, que l’on associe à l’importance supposée de l’année 2012, adoraient le dieu serpent identique à Quetzacoatl, Kukulkan, le serpent à plumes.

LE PAYS DU SERPENT À PLUMES

L’Amérique du Nord a été un autre centre d’adoration du serpent et certains chercheurs disent que le nom « Amérique » venait de « Amaruca » venant lui-même du nom du dieu serpent à plumes « Amaru », ou « le serpent ». Ce qui fait des Amérique « la terre du serpent à plumes ». Sur tout le continent américain on constate une adoration du dieu serpent, ainsi que des liens génétiques et historiques étroits entre les peuples du sud, du centre et du nord du continent. Ceux que nous appelons aujourd’hui « Indiens d’Amérique », remontent à la civilisation de Mu, ou Lémurie, et c’est avec eux que s’est propagée l’adoration du serpent. Selon la tradition des hopis d’Arizona, tous les indiens d’Amérique, ou amérindiens, viennent d’un continent qu’ils nomment « Kasskara » et qui aurait sombré sous les eaux du Pacifique il y a 80 000 ans. On estime que le tertre du Grand Serpent dans l’Ohio a été construit il y a 1 000 ans et qu’il témoigne de la longévité de l’adoration du serpent aux États-Unis.

La disposition du tertre du Grand Serpent dans l’Ohio.

Il mesure près de 400 mètres de long et fait partie des plus grands tertres à effigie, que l’on trouve dans monde. La configuration des étoiles de la constellation du Dragon est fidèlement représentée sur la disposition du tertre, si j’en crois les articles que j’ai lus à ce sujet. D’après plusieurs études géologiques, cet endroit aurait été formé suite à une éruption volcanique ou un impact de météorite. Les Cherokees et autres peuples amérindiens, racontent la légende du dieu serpent à cornes, Uktena. On le connaît sous d’autres noms dans d’autres civilisations, mais la signification reste la même : le « Grand Serpent ». On dit qu’il serait un « dieu à cornes » reptilien aux pouvoirs surnaturels. Le terme « dieu à cornes », qui fait référence au serpent, se retrouve partout et les peuples qui ont vu des entités reptiliennes ont laissé des témoignages disant que certaines d’entre elles avaient des cornes, bien qu’il puisse y avoir d’autres raisons au symbolisme du « dieu cornu ». 

Les légendes et les mythes de la création du peuple Hopi en Arizona, remarquablement similaires à ceux des Sumériens, racontent que le « serpent » est venu pour guider les humains égarés. Ils racontent comment le « premier peuple » s’est multiplié et s’est étendu avec bonheur à la surface de la Terre. Les individus de ce peuple avaient tous des couleurs de peau différentes et parlaient différentes langues, mais ils ne faisaient qu’un et se comprenaient sans se parler. Il en allait de même pour les oiseaux et tous les animaux. Ils « tétaient tous le sein de Mère Nature, qui leur fournissait le lait de l’herbe, les graines, les fruits et le maïs, et les hommes et les animaux ne faisaient qu’un. » Mais petit à petit, certains ont oublié les commandements au respect envers le Créateur : « Ils utilisèrent de plus en plus les centres vibratoires uniquement à des fins terrestres, oubliant que le but premier était l’accomplissement du plan de la Création. » Puis il y eut Lavahóya l’orateur. Il est venu sous la forme d’un oiseau appelé Mochni, et plus il parlait, plus il les convainquait des différences qui existaient entre eux : la différence entre les hommes et les animaux, la différence entre les hommes eux-mêmes en raison de la couleur de leur peau, de leur façon de parler et de leurs croyances en les plans du Créateur. C’est alors que les animaux s’éloignèrent des hommes. L’« esprit gardien des animaux posa ses mains sur leurs pattes arrière juste sous la queue, ils devinrent sauvage et se dispersèrent apeurés. » De la même façon, les hommes ont commencé à se diviser et à s’éloigner les uns des autres : d’abord ceux aux races et aux langues différentes, puis ceux qui se souvenaient du plan de la Création et ceux qui ne s’en souvenaient pas. La légende Hopi continue : 

Puis vint parmi eux le magnifique Káto’ya sous la forme d’un serpent doté d’une grosse tête. Il fit en sorte que les hommes s’éloignent encore plus loin les uns des autres et de leur sagesse immaculée. Ils devinrent méfiants les uns envers les autres et s’accusèrent mutuellement à tort, jusqu’à devenir féroces et belliqueux et se battre entre eux. Pendant tout ce temps, Mochni ne cessa pas de parler et Káto’ya devint de plus en plus séduisant. Il n’y avait ni repos, ni paix. 

C’est une histoire récurrente. Au début était le paradis, puis ceux du peuple serpent sont arrivés, ont divisé et ont régné.

LA DÉESSE SERPENT

Les dieux et déesses de l’ancien monde, qui sont devenus des figures religieuses d’aujourd’hui, sont soit des symboles des « dieux » reptiliens ou des cultes du Soleil, de la Lune, de Saturne instigués par ces « dieux ». Beaucoup de divinités associées plus tard à d’autres symboles tels le Soleil et la Lune, ont commencé à symboliser la prédominance reptilienne, mais le sens originel était perdu. Quand les reptiliens se sont mis à l’écart et ont dirigé par le biais de leurs lignées hybrides, ils encouragèrent cette perte du sens premier dans un dédale de symboles liés au Soleil et à la Lune. Si vous voulez tout contrôler en secret vous avez bien évidemment besoin de détruire le plus de preuves possibles de votre existence. La déesse, ou déesse mère, est universelle et elle représente un autre foyer d’adoration des Rothschild et des lignées reptiliennes hybrides. Elle porte plusieurs noms et appartient à des cultures très différentes. On la nomme Sémiramis, Lilith, Diane, Artémis, Athéna, Bharati, Britannia, Hécate, Rhéa ou Perséphone (premier serpent). La déesse mère a été, à l’origine, assimilée à une entité reptilienne qui portait les noms de « reine d’Orion », « mère serpent » ou « mère de tous les dieux ». Les reptiliens peuvent sembler être une race extrêmement macho, mais au sommet de leur structure hiérarchique se trouve une femme, la « reine ». La déesse reptilienne est symbolisée par la statue de la Liberté offerte à la ville de New York par les francs-maçons français, qui savaient qu’elle représentait Sémiramis, la déesse babylonienne. Elle brandit la torche enflammée, symbole de Nimrod, le dieu du Soleil babylonien.

La reine Sémiramis représentée sur une ancienne pièce de monnaie…

Sémiramis en statue de la Liberté, offerte à la ville de New York par les francs-maçons français de Paris, qui savaient qui elle symbolisait vraiment : la déesse de Babylone.

La statue de la Liberté (Sémiramis) tient une torche enflammée, symbole du dieu Soleil, Nimrod, et est posée sur un des symboles du Soleil.

Une autre statue de la Liberté se trouve à Paris sur une petite île de la Seine.

Le symbole représentant « la mère et l’enfant » est présent partout dans le monde, et pas seulement dans le christianisme avec « Marie et Jésus ». À Babylone, c’était Sémiramis et Tammuz, en Égypte, Isis et Horus, et il en existe bien d’autres encore.

Le thème de la mère vierge et du bébé se retrouve dans toutes les religions du monde et il existe des versions différentes de Sémiramis et Tammuz à Babylone, vus ici à gauche. C’est un thème universel de l’adoration reptilienne.

Les statuettes reptiliennes dans les tombes d’Ubaid, en Mésopotamie, représentaient une mère et son enfant. L’écrivain, Sir Laurence Gardner a écrit en détail sur ce qu’il appelle « la lignée du dragon » des « reines dragons », mais rejette la présence d’une race reptilienne. Il prétend que tout cela n’est que symbolique et que les Anunnaki décrits sur les tablettes sumériennes n’étaient pas des reptiliens. Ce qui a été rapporté de Sumer, nous dit Gardner, révèle que les Anunnaki avaient une « chambre de création » pour produire ces lignées « royales » et il ajoute que la filiation a été déterminée par « l’ADN mitochondrial d’une reine dragon ». Gardner parle de « sang royal » ou de « sang real » dans « les entrailles d’une reine dragon ». D’autres textes, en France, ont donné comme nom à cette lignée celui du « Serpent Rouge » ou encore « sang de serpent ». 

Partout où se sont installés les anciens peuples de l’Atlantide et de Mu, on retrouve cette adoration de la déesse serpent et de son fils, souvent symbolisé par un taureau. L’auteur et chercheur, James Churchward, qui a énormément écrit au sujet des terres perdues de Mu ou de Lémurie, dit qu’il a découvert sur des tablettes antiques et sur des bas-reliefs que les habitants de Mu ont adoré une déesse du nom de « reine Moo » et que la Lémurie et Mu portaient le nom de « terre mère ». Autour de la Méditerranée, les prêtres rois étaient connus comme étant « les enfants de la déesse serpent ». Dans cette même région, les temples et les écoles des mystères ont été créés en son nom, notamment le temple d’Artémis à Éphèse, en Turquie, une des sept merveilles du monde antique. La Turquie (autrefois l’Asie Mineure), la Grèce et les îles de Samothrace, de Chypre et de Crète, étaient un des principaux centres du culte de la déesse. Samothrace, l’« île sacrée », semble avoir été le quartier général du culte en Méditerranée et en Mer Égée. Les rites de « fraternité des filles » de la déesse Hécate y ont été exécutés et la déesse a été représentée avec des pieds et des cheveux faits de serpents. Le symbole représentant le haut d’un corps humain et le bas fait de serpents était la façon dont les anciens représentaient les lignées, comme je l’ai déjà indiqué. En égyptien antique, le mot et le hiéroglyphe qui désignaient « déesse » voulaient aussi dire « serpent », et la civilisation minoenne de Crète, qui faisait partie de l’empire sumérien, a donné à la lignée de Minos le nom du fils de la déesse serpent. La Crète antique était célèbre pour son labyrinthe, un mot signifiant « la maison de la hache double » ou « la maison de la déesse serpent ». En Grèce, le culte de la déesse serpent existait aussi. On y appelait la déesse « Athéna » et l’Oracle de Delphes parlait avec les mots de la déesse serpent que l’on connaissait sous le nom de Delphinia. L’oracle entrait en transe, regardant fixement les yeux d’un serpent. Pythagore, le grand mathématicien grec, a grandi au sein des mystères du culte de la déesse serpent et son nom même signifie « je suis le python » ou « je suis le serpent ». On prétendait que la déesse indienne Dévi avait été un serpent et qu’une autre déesse du nom de « Kadru » était une déesse serpent, et la mère des nagas, ou peuple cobra. Dévi est dépeinte comme transportant le dieu Vishnu au-dessus des eaux du Déluge. Cela correspond aux récits mésopotamiens parlant des Anunnaki survolant la Terre sinistrée pendant le cataclysme. 

Les rois mérovingiens ont adoré Diane, la déesse de la Lune, la « mère des dieux », celle que l’on connaît sous le nom d’Artémis, et ce n’est pas un hasard, si la princesse Diana est morte dans la ville construite par les Mérovingiens. Elle est née sur les terres des Windsor, à Sandringham dans le Norfolk et c’est son père, un sataniste, qui lui a donné le nom de la déesse Diana. Sa vie entière a été un rituel, y compris son mariage arrangé avec le prince Charles, la menant à une mort rituelle sous le tunnel du pont de l’Alma, à Paris. Selon un chercheur américain, cet endroit était le site où se déroulaient les rituels mérovingiens destinés à la déesse Diana. Le pont de l’Alma se traduit par « le pont ou le passage de la déesse de la Lune ». On peut aussi traduire par « pont des âmes ». On associe la princesse Diana à une rose et ses monuments commémoratifs possèdent une rose à cinq pétales. On retrouve la rose dans les églises pour représenter l’utérus de Marie et les Romains l’ont appelée la rose de Vénus, le nom de la Sémiramis babylonienne et de la déesse universelle. Pour ces gens, tout est symbolisme et rituel.

LA DÉESSE DE L’UNION

On retrouve la déesse Illuminati sous différents aspects, y compris dans le logo de l’Union européenne. L’Europe tire son nom de celui de la déesse Europe, une autre version de la déesse de la Lune, Sémiramis. L’Union européenne est donc l’union de la déesse de Babylone et de Sumer, la déesse reptilienne de la Lune, et ceci est largement confirmé par les douze étoiles qui figurent sur le drapeau de l’union européenne.

Le cercle à douze étoiles de l’Union européenne qui représente la déesse de la Lune de Babylone.

Les douze étoiles, ou pentagrammes, du zodiaque babylonien sont un symbole de la déesse. L’église romaine (anciennement église de Babylone) revendique le fait que Marie, la reine du ciel, possède une couronne à douze étoiles. Dans le Nouveau Testament, le Livre de la Révélation 12 :1, il est dit : « Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ».

Les douze étoiles sur la tête de la vierge Marie, ou déesse de la Lune, et le serpent de la Lune à ses pieds. Cette imagerie deviendra plus tard très pertinente.

Le cercle est également un symbole de l’école des mystères pour le fils né de la vierge, Tammuz. Le symbole de l’Union européenne est attribué à Paul Lévy (sioniste Rothschild) converti au catholicisme et premier directeur au service de presse du Conseil de l’Europe établi à Londres en 1949. Lévy prétend avoir vu une statue de la Vierge avec une couronne de douze étoiles, brillant dans le ciel bleu. On dit que Lévy a immédiatement décidé que le drapeau européen serait ainsi : douze étoiles sur un fond bleu. Mais nous ne sommes pas idiots. Il a été volontairement conçu pour représenter la déesse de Babylone. Le drapeau européen a été présenté le 8 décembre 1955 lors de la fête de l’Immaculée Conception et le 2 septembre 1958, l’archevêque de Milan, le futur pape Pie XII, a dévoilé une statue de la vierge Marie haute de 20 mètres et l’a désignée comme étant « Notre-Dame dirigeant l’Europe ». « Notre-Dame » veut dire déesse babylonienne, la déesse serpent. On a publié deux sortes de timbres pour les élections européennes en Grande Bretagne en 1984. L’un d’eux représentait une femme chevauchant un taureau et menée par un garçon doté d’ailes, au-dessus de sept collines ou vagues. C’était le symbole de la déesse et cela dépeint la légende de la déesse Europa que Jupiter (Nimrod) a emmenée après avoir pris la forme d’un taureau. Le taureau est l’un des symboles mystérieux accordé à Nimrod et au dieu de la Lune, les cornes représentant le croissant de lune. Le second timbre représentait un pont et le mot « Europa » était inscrit. Le mot latin « pontifex » signifiant « pontife romain » ou « grand prêtre » vient des mots latins « pons » signifiant « pont », et « facio » signifiant « faire ». Pontifex veut dire « celui qui fait le pont ». L’église romaine et son Pontifex sont souvent symbolisés par un pont dans l’imagerie occulte. Une des plus grandes lignées de reptiliens hybrides sont les associés des Rothschild : la dynastie des Habsbourg. Ce sont les Habsbourg et les réseaux des Rothschild issus de la Table Ronde, spécialement le groupe Bilderberg, qui ont tout fait pour que l’Union européenne centralise le pouvoir sur tout le continent. Vous retrouverez tout ça en détail dans … And The Truth Shall Set You Free et Le guide David Icke de la conspiration mondiale (et comment y mettre un terme). Le drapeau du mouvement paneuropéen des Habsbourg – mouvement qui a travaillé dans l’ombre pour instaurer l’Union européenne – est la croix rouge des templiers sur un soleil jaune (Nimrod) le tout entouré par le cercle d’étoiles de Sémiramis. Ce drapeau a été conçu par Otto et Karl Habsbourg. Otto a dit dans son livre, L’Ordre social de demain : 

Maintenant nous avons bien un symbole européen qui appartient également à toutes les nations. C’est la couronne de l’Empire romain qui incarne la tradition de Charlemagne, le souverain d’un Occident uni. 

L’« Occident » se réfère aux pays de l’Europe et de l’hémisphère occidental, Charlemagne étant l’hybride reptilien qui a été roi des Francs de 768 à sa mort. Hitler le vénérait, comme le vénéraient aussi tous les leaders nazis. Charlemagne a étendu les royaumes francs au sein d’un empire franc, qui couvrait une grande partie de l’Europe centrale et occidentale. Les généalogistes disent que beaucoup de figures marquantes de ce monde, qu’elles soient passées ou présentes, tirent leurs origines de Charlemagne, y compris chaque monarque anglais depuis l’an Mille jusqu’à la Maison de Windsor, la Maison d’Orange-Nassau des Pays-Bas et beaucoup de présidents américains tels George Washington, les Bush et Barack Obama. Quelques généalogistes prétendent que quiconque ayant du sang européen descend, dans une certaine mesure, de Charlemagne, mais la question qui importe, du point de vue des Illuminati, c’est : à quel point ? Le prix Charlemagne est décerné aux personnalités « remarquables », à ceux qui ont travaillé le plus dur pour l’« unité de l’Europe » et un des bénéficiaires en a été le président de formation jésuite, Bill Clinton, celui qui a appelé l’Union européenne à englober la Russie (un des objectifs des Rothschild). Tony Blair est un autre bénéficiaire du prix Charlemagne. Je pense qu’on aurait pu s’en passer !

UNE SOURCE COMMUNE

Au centre du système de contrôle religieux des reptiliens, se trouve l’adoration du serpent, le dieu du Soleil, le dieu de la Lune et la déesse de la Lune ou déesse mère. L’adoration du serpent, du Soleil, de la Lune et de Saturne a été associée au sacrifice humain aux « dieux » et aussi à la construction des pyramides. Les reptiliens et leurs hybrides ont construit les pyramides d’Égypte, de Sumer, d’Amérique Centrale, de Chine et ainsi de suite. Sur leurs cartes de visite on retrouve la grande pyramide de Gizeh, les pyramides d’Amérique Centrale ou les ziggourats de Mésopotamie. Sous des formes diverses, l’adoration du serpent, du Soleil, de la Lune et de Saturne est la base de toutes les grandes religions et l’on constate sans surprise que leur source commune d’inspiration vient de Sumer et de Babylone, aujourd’hui en Irak. Comme nous l’avons vu, l’Ancien Testament inclut des histoires innombrables et des thèmes tirés du sumérien ancien, mais placés dans un autre contexte culturel et historique. Les textes qui sont devenus ceux de la Torah (les cinq premiers livres de l’Ancien Testament) ont été influencés par les décennies de captivité des juifs à Babylone, vers 586 av. J.-C. On leur permettait de vivre et de travailler dans la société babylonienne et leur classe sacerdotale avait accès au savoir et aux croyances babyloniennes. Il existe deux versions du Talmud (« étude » en hébreu), le Talmud de Jérusalem et le Talmud babylonien, bien plus long, qui inclut beaucoup de références à l’Ancien Testament. Il a été transmis oralement pendant des siècles avant d’être retranscrit au Ve siècle. Les religions ont toujours adoré de multiples divinités issues des figures reptiliennes, puis finalement les religions monothéistes ont pris le dessus. Il existe dans L’Ancien Testament la référence étrange dans laquelle les dieux sumériens pluriels ont réchappé à cette transformation, comme celle que j’ai mentionnée plus haut. Les légendes, les mythes et la religion de Babylone sont au cœur de toutes les grandes religions et de la plupart des religions moins importantes. Ces légendes sont fondées sur trois personnages : Nimrod, le dieu père, symbolisé par un poisson ; Damu ou Tammuz, le fils né d’une vierge et que l’on dit être la réincarnation de Nimrod, donc le « père et le fils ne sont qu’un » ; et la reine Sémiramis, ou Ishtar, ou encore Lilith, la vierge mère symbolisée par une colombe. On a dit qu’une fois mort, Nimrod est devenu le dieu du Soleil, Baal, et a imprégné Sémiramis des rayons du Soleil, d’où l’immaculée conception. Le symbole père-mère-fils formait la trinité babylonienne qui allait devenir la trinité chrétienne, sous une forme légèrement différente. Nimrod, le « fondateur de Babylone » était décrit comme un « puissant tyran », un « grand chasseur » et « un des géants ». Parmi les symboles se trouvait le serpent ou le dragon. Les Arabes ont cru qu’après le Déluge, Nimrod avait construit ou reconstruit l’étonnante structure de Baalbek au Liban avec ses trois pierres de plusieurs tonnes. Il a été dit qu’il avait gouverné la région qui est aujourd’hui devenue le Liban et, selon la Genèse, les premiers centres du royaume de Nimrod étaient Babylone, Akkad, et d’autres villes vers Shinar (Sumer). On a aussi dit qu’il a gouverné l’Assyrie et bâti des villes comme Ninive, où beaucoup de tablettes d’argile ont été trouvées. 

Les lignées hybrides de Sumer et de Babylone ont migré dans toutes les directions. Certaines se sont installées sur des terres devenues la Khazarie, et d’autres ont peuplé ce qui est devenu Rome. La religion de Babylone et de Sumer a été délocalisée à Rome et a continué ainsi jusqu’à l’arrivée du christianisme, qui était à peu près la même chose. Le christianisme a été introduit comme religion d’État par l’adorateur du Soleil, l’empereur Constantin, au IVe siècle. Il adorait une divinité solaire du nom de « sol invictus » (Soleil invaincu), le christianisme n’étant qu’une de ses versions parmi d’autres concepts ésotériques, tels l’adoration du dieu de la Lune. La trinité babylonienne a perduré, en tant que « Trinité chrétienne », sous d’autres noms. Le Père, le Fils et le Saint Esprit étaient simplement Nimrod, Tammuz et la reine Sémiramis déguisés. Nimrod est devenu « Dieu le Père » et Tammuz, « Jésus ». Le christianisme symbolise le Saint Esprit par une colombe, le symbole de Sémiramis à Babylone. Sémiramis est connue comme la « Vierge Mère », la « reine des cieux », « Notre Dame » tout ce que l’on retrouve pour « Marie » mère de « Jésus ». Les jours saints chrétiens et les fêtes comme Noël, Pâques et Carême viennent tous de Babylone et du monde païen. La croix était le symbole de Nimrod/Tammuz, et a été largement utilisée des milliers d’années avant le christianisme. Les babyloniens ont cru que le baptême les purgerait « du péché » et même la mitre en forme de tête de poisson portée par le pape et d’autres hommes d’église vient du dieu poisson Nimrod.

L’origine de la mitre portée par le pape et les autres hommes d’église, vient de Babylone et du dieu poisson reptilien Oannes (Nimrod). L’Église de Babylone est devenue l’Église de Rome.

Le centre du pouvoir législatif américain se trouve dans les états du Maryland et de Virginie, à dessein. La Virginie est l’état de la vierge mère de Babylone et le Maryland est la terre de Marie (« land » signifiant « terre » en anglais, NDT). Ces états entourent Washington DC (District of Columbia), nom dérivé de « colombe ». À Rome, on adorait la déesse Venus Columba, la vénus colombe.

LE SABBAT NOIR

À Rome, Nimrod était « Saturne » et son anniversaire était célébré pendant les Saturnales, une période correspondant à notre Noël. Rome a même un temps porté le nom de « ville de Saturne ». Le chabat juif vient du jour de Saturne (Saturn-day, Saturday en anglais, NDT) et en Inde, « samedi » se dit « shanivar » comme le dieu védique, Shani, qui dit-on se manifeste sur… la planète Saturne. L’adoration de Saturne, le « seigneur des anneaux » est toujours au cœur des systèmes politiques, commerciaux et religieux. Saturne est le dieu de la banque. Les robes noires symbolisant Saturne, sont portées par les juges, les avocats, les prêtres catholiques, les rabbins et les étudiants américains quand ils obtiennent leurs diplômes. On connaît aussi Saturne comme le dieu « El » que l’on retrouve dans Isra(ël), (él)ection, (él)u et si vous devenez riche et puissant vous faites partie d’une (él)ite. Comprendre les mots et les symboles est capital pour comprendre comment fonctionnent le système et ses bases « religieuses ». Les mots utilisés avec malveillance sont comme des maléfices, des sorts que l’on vous jette. Le chercheur américain, Jordan Maxwell, est très au fait de ce sujet sur les connexions impliquées par les mots. Le mot « Israël » est composé ainsi : Isis, la mère vierge de l’Égypte, Ra, le dieu égyptien du Soleil et El. « El » se réfère aussi à un dieu universel de la Lune également appelé « le père des dieux » et « le père de l’homme ». El est le singulier du « Elohim » biblique qui a été traduit comme un singulier alors que c’est un pluriel. Le dieu unique est en réalité un mélange de plusieurs dieux et déesses. L’« anniversaire » de Nimrod, en plein hiver, symbolisait plutôt le dieu du Soleil. Nimrod/Tammuz représentaient le Soleil « qui se meurt » lors du solstice d’hiver quand il atteint son point le plus bas dans l’hémisphère nord. C’est pour cela que les symboles du dieu solaire comme « Jésus » sont fêté le 25 décembre, par exemple. Trois jours après la « mort » du soleil pendant le solstice d’hiver, les anciens disaient que le Soleil renait pour entamer son « voyage » vers le sommet de sa puissance, l’été. Ainsi, trois jours après le solstice, le 25 décembre dans notre calendrier, ils célébraient « la naissance » du Soleil (Nimrod/Tammuz). Plus tard, l’église romaine, ou église de Babylone, a décrété » que « Jésus » était né ce jour-là. La Bible dit que Jésus est mort sur la croix, qu’on l’a couché dans un tombeau et qu’il a ressuscité le troisième jour. Notre 25 décembre est en fait le Natalis Solis Invicti, les saturnales de Rome, le jour de naissance du « Soleil Invaincu ». Voilà ce qu’il faut entendre derrière la description faite de Jésus comme « lumière du monde » ou de ce que dit la Bible : « elles verront le Fils de l’homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et une grande gloire ». Ceci peut également faire référence à la Lune, comme je l’expliquerai plus tard. C’est un symbole du Soleil parmi d’autres. Il existait une longue liste des représentations de « Jésus » des milliers d’années avant le christianisme, comme celle d’Osiris et d’Horus en Égypte, de Mithra en Perse et à Rome, de Dionysos ou Bacchus en Grèce et à Rome, d’Attis le phrygien en Turquie, de Krishna en Inde et, bien sûr, de Tammuz à Babylone. Voici ce qui a été dit sur deux d’entre eux bien avant « Jésus ». 

Attis de Phrygie 
Attis est né le 25 décembre de la Vierge Nana. 
On l’a considéré comme le sauveur qui a été immolé pour le salut de l’humanité. 
Son corps a été mangé par ses adorateurs, comme du pain. 
Ses prêtres étaient « eunuques pour le royaume des cieux ». 
Il était à la fois le Fils divin et le Père. 
Le « vendredi noir », il a été crucifié sur un arbre, d’où son sang sacré s’est déversé pour racheter la terre. 
Il est descendu aux Enfers et a ressuscité le troisième jour, le 25 mars, en tant que « Dieu très haut ». 

Dionysos (Grèce) Bacchus (Rome) 
Dionysos et né d’une vierge le 25 décembre et, comme l’enfant Jésus, il a été placé dans une mangeoire. 
Il était professeur itinérant et réalisait des miracles. 
Il fit une procession triomphale sur un âne. 
Il a été sacré roi, tué puis mangé lors d’un rituel eucharistique pour la fécondité et la purification. 
Dionysos ressuscita d’entre les morts le 25 mars. 
Il était le dieu de la vigne et a transformé l’eau en vin. 
Il a été appelé « roi des rois » et « Dieux des dieux ». 
Il est considéré comme le « Fils unique », le « sauveur », le « rédempteur », celui qui « porte notre péché », celui qui est « oint » et l’ « alpha et de l’oméga ». 
Il a été identifié par un bélier ou un agneau. 
Son titre de « sacrifice dendrites » ou de « jeune homme de l’arbre » laisse à penser qu’il a été pendu à un arbre ou crucifié. 

Il n’existait pas de Jésus ou de Marie au sens littéral du terme. Cette histoire n’est qu’un mythe symbolique revenant en permanence et raconté dans le monde entier des milliers d’années avant le christianisme. On trouve donc « Jésus » sous différents noms, sur chaque continent, longtemps avant que le nom de « Jésus » ne soit connu. En Méso-Amérique, Quetzalcoatl, « le serpent à plumes » est connu pour être né d’une vierge. Il a ressuscité des morts et a promis de revenir. Le christianisme est une autre forme de la religion reptilienne que l’on trouve partout dans le monde.

ALLAH, DIEU DE LA LUNE

Il y a un autre aspect crucial pour comprendre comment la religion de Sumer et de Babylone est à la source de toutes les religions d’aujourd’hui. Il s’agit de l’adoration du dieu de la Lune et j’expliquerai plus loin l’importance majeure de cet aspect. Il a longtemps été éclipsé par le dieu du Soleil et la déesse de la Lune dans les religions monothéistes, mais partout dans le monde, le dieu de la Lune antique a été la première déité. Les sumériens ont adoré la Lune sous beaucoup de noms, comme ceux de Nanna et de Suen représentés par un croissant de lune. Ce symbole représente aujourd’hui l’islam car c’est une religion basée sur le dieu de la Lune.

Les anciens symboles des déités du Soleil et de la Lune de Mésopotamie sont devenus les symboles internationaux de l’islam.

La flèche jaune = Croix
La flèche rouge = Soleil
La flèche verte = Lune

Les cultures assyriennes, babyloniennes et akkadiennes ont suivi les sumériens dans leur adoration du dieu de la Lune et le nom qu’elles lui ont donné est Sîn qui vient de « Suen ». Sa ville sacrée était Ur, dans l’Irak actuel. De ce nom découle les mots « sin » ou « sinner » en anglais qui veulent dire péché et pécheur. La déesse Ishtar (Sémiramis) a été dépeinte comme une fille du péché, une fille de « Sîn ». Les temples du dieu de la lune ont été mis au jour à Ur et à Harran dans le sud-est de la Turquie, alors centre culturel et commercial majeur. Ces emplacements sont étroitement associés à la Bible et à Abraham le prophète des chrétiens, des juifs et des musulmans. La Genèse dit que Abraham, ou Abram, est né à Ur et a vécu à Harran qu’elle orthographie avec un seul « r ». On dit qu’il en est parti pour aller à Canaan rependre la race israélite. La Bible dit que « Dieu » a déclaré à Abraham que « sa progéniture serait si nombreuse que l’on ne pourrait pas la compter. » On dit que Dieu a promis aux descendants d’Abraham la terre allant « depuis le fleuve d’Égypte (le Nil) jusqu’au grand fleuve, l’Euphrate, la terre des Kénites, des Kénizzites, des Cadmonites, des Hittites, des Périzzites, des Réphaïms, des Amorites, des Cananéens, des Guirgaschites et des Jébusites. Telle est l’origine de la terre promise d’Israël et les sionistes Rothschild essaient de sécuriser ce qu’ils appellent « le Grand Israël » allant du Nil à l’Irak. L’invasion des sionistes Rothschild en Irak fait partie de ce plan. 

Un des plus grands temples dédiés au dieu de la Lune retrouvé en Palestine, contenait une statue d’un homme portant sur sa poitrine un croissant de lune ainsi que d’autres statues représentant ses filles. Apparemment, dans la version retravaillée de Mahomet, Allah avait des filles, mais elles ont été rayées de l’histoire. L’islam est la religion du dieu de la Lune et elle a continué à être diffusée en Arabie alors qu’elle s’affaiblissait ailleurs. Pour les Arabes, ce dieu surpassait les autres dieux et le lieu saint était… la Mecque. Les Arabes pré islamistes ont donné au dieu de la Lune le nom de « al-ilah » ou « al-Llah » et bien avant que le prophète Mahomet n’entre en scène le nom s’était changé en « Allah ». L’édifice le plus sacré de l’islam est la Kaaba, construite par Abraham d’après la tradition islamique.

L’édifice le plus sacré de l’islam : la Kaaba.

Quand les musulmans se mettent à genoux et « font face à la Mecque » lors de leur prière, ils font vraiment face à la Kaaba, cette construction en forme de cube qui a précédé l’islam et qui se trouve aujourd’hui dans la plus grande mosquée du monde : la Masjid al-Haram. Les cinq piliers de l’islam demandent que les musulmans fassent un pèlerinage à la Mecque au moins une fois dans leur vie. Ce pèlerinage s’appelle le Hadj et ceci aussi a précédé l’islam. La Kaaba renferme une pierre noire, prétendument issue d’une météorite, que l’islam date du temps d’Adam et Ève. Les pèlerins marchent autour de la Kaaba sept fois et essayent d’embrasser la pierre noire à chaque tour effectué. Le mot « Kaaba » veut dire « cube » et ce symbole est associé au Soleil, à la Lune et à l’adoration de Saturne. Les adeptes du judaïsme portent également un petit cube sur la tête lors des prières, le tefillin, pour la même raison, mais seulement l'(él)ite en connaît sa signification et son origine.

Le tefillin, petit cube porté sur la tête par les juifs lors de leurs prières.

Le cube symbolise le dieu de la Lune et le dieu de Saturne, El, et il est autant le dieu du judaïsme que de l’islam. Amusant, non ? Les reptiliens ont établi par manipulation les religions humaines en se servant des mêmes déités, sous des noms différents et les ont ensuite montées les unes contre les autres pour diviser et mieux régner. Le cube est aussi le symbole de la franc-maçonnerie car les bases des religions et des sociétés secrètes sont les mêmes. 

L’islam est la continuation de l’adoration du dieu de la Lune des Mésopotamiens et les nombreuses découvertes archéologiques l’ont confirmé des centaines de fois. Mahomet a grandi dans la religion du dieu de la Lune, Allah, le nom arabe pour « Sîn ». Les noms de son père et de son oncle comportaient le mot « Allah ». Le dieu de la lune était la déité suprême au sein des multiples dieux des Arabes. Mahomet a simplement dit que le dieu de la Lune, Allah, était non seulement le dieu suprême, mais qu’il était le seul dieu. Il s’est passé la même chose dans le judaïsme quand les multiples dieux de Mésopotamie n’ont plus composé qu’un seul dieu, Yahvé/Jéhovah, utilisé plus tard par le christianisme. Les religions monothéistes sont en réalité des religions de la Lune. Le judaïsme abonde en symboles sur le dieu de la Lune. Le dieu « Sîn » est à l’origine du mot « synagogue », mais aussi du Mont Sinaï où Dieu, d’après la Bible, a remis les dix commandements à Moïse. « Sîn » était aussi « le dieu de la montagne ». Le désert biblique ou désert de Sîn que les israélites ont prétendument connu, vient aussi de là. Dans le calendrier hébraïque, chaque mois commence par une nouvelle lune et la Pâques juive se situe toujours lors de la pleine lune. La Pâques chrétienne, un autre rituel antérieur à cette religion, se fête le premier dimanche après la pleine lune. La Lune comme le Soleil pourrait se rapporter à l’histoire de « Jésus » ressuscitant le troisième jour. Il y a trois jours d’obscurité entre les phases de la Lune avant que la nouvelle lune n’apparaisse.

LA MÊME HISTOIRE

Le christianisme et le judaïsme (talmudisme) proviennent de la même source et nous voyons maintenant qu’il en est de même pour l’islam. Pensez-vous que le rapport évident entre les préceptes alimentaires casher et halal est juste une coïncidence ? Les deux interdisent la consommation de porc et de sang et leur méthode rituelle d’abattage est exactement la même, sauf que les musulmans doivent dire le nom d’Allah en faisant face à la Mecque avant de trancher la gorge de l’animal. Dieu nous vienne en aide ! Les musulmans croient en l’existence de Jésus Christ, de Marie, la mère de Dieu, et de l’ange Gabriel et en celle des juifs Abraham, Noé et Moïse. Le coran considère Jésus ou Isa comme un des prophètes les plus significatifs de l’islam et il prête une attention considérable à Marie (Maryam). Il accepte le fait que Jésus est né de la vierge Marie. Le 19e chapitre du coran est même intitulé « Marie » une des huit personnes à avoir un tel honneur dans tout l’ensemble des textes. Le coran dit : « Il a établi pour vous, en matière de religion, ce qu’Il a prescrit à Noé… et auparavant à Abraham, à Moïse et à Jésus. » Oui, bien sûr, mais quelle est la vraie identité de « Il » ? Dieu le père tout puissant des chrétiens, Yahvé (Jéhovah) des juifs et Allah des musulmans proviennent tous du symbolisme reptilien, voilà ce que je suggère. Nous retrouvons les mêmes histoires et les mêmes déités en Inde, patrie du serpent nagas. Krishna, né d’une vierge a été appelé « Christos », comme le Christ grec, « celui qui est oint ». Les soldats d’Alexandre le Grand ont appelé Christos « Krishna » quand ils ont envahi l’inde. On rapporte que le père de Krishna était charpentier. Sa naissance aurait été annoncée par une étoile à l’Est et que des anges et des bergers y auraient assisté. Il a été persécuté par un tyran qui a ordonné le massacre de milliers d’enfants en bas âge. Il a fait des miracles, ressuscitant les morts et guérissant les lépreux, les sourds et les aveugles. Il est parfois écrit qu’il est mort sur un arbre ou a été crucifié entre deux voleurs. Il a été appelé « le berger de dieu » et a été considéré comme le « rédempteur », le « premier né » celui « qui porte notre péché », le « libérateur » la « parole universelle ». Il est ressuscité et est monté au ciel « à la vue de tous les hommes ». On le représente sur une croix avec des trous de clous sur les pieds et portant un vêtement arborant un cœur. Il a été considéré comme « fils de Dieu » et comme « Notre Seigneur et Sauveur » venu sur Terre pour mourir pour le salut de l’homme. Il était la seconde figure de la Trinité. Ses disciples lui ont accordé le titre de « Jezeus » signifiant « essence pure ». Il reviendra pour juger les morts, chevauchant son cheval blanc et il se battra contre le « prince du Mal » qui désolera la Terre. 

Le christianisme, le judaïsme et l’islam et les religions qui leur ressemblent, sont une façade cachant l’adoration du serpent des reptiliens. C’est la base de toutes les religions et elle se cache derrière des déités symboliques, des histoires et des rituels. Je détaille cela très bien dans Les enfants de la Matrice. L’adoration du serpent est à la base de la circoncision. 

On voit cela aujourd’hui comme un rituel juif remontant à Abraham, mais en fait, cela se faisait bien plus tôt en Égypte. C’est la perte symbolique de la peau, comme celle du serpent, et la religion juive se réfère à la circoncision comme étant « une alliance avec Dieu ». « Les dieux » seraient un terme plus approprié. John Bathurst Deane écrit dans son livre Worship of the Serpent (L’adoration du serpent) : 

Il apparaît alors qu’aucun pays n’était si géographiquement éloigné ou religieusement discordant, mais qu’une, et seulement une, caractéristique superstitieuse était commune à tous : le plus civilisé et le plus barbare se prosternait avec la même dévotion devant la divinité et que cette divinité était ou était représentée par le même serpent sacré. 

Il apparaît également que dans la plupart, sinon la totalité des pays civilisés où ce serpent a été adoré, certaines fables ou traditions qui ont véhiculé son histoire, directement ou indirectement, ont fait allusion à la chute de l’homme dans l’Éden et dans laquelle le serpent jouait un rôle. 

Ce qui suit alors est le récit le plus ancien respectant la cause et la nature de cette séduction et il est celui à partir duquel tout découle et qui représente le serpent victorieux. Victorieux sur l’homme dans un état d’innocence, soumettant son âme pècheresse dans la vénération la plus abjecte et dans l’ adoration. 

La chute de l’homme de l’Éden décrit, en effet, les conséquences de la prise de contrôle des reptiliens, mais nous reviendrons plus tard sur la nature de cette « chute ». Encore aujourd’hui les esprits de millions de personnes sont contrôlés par une croyance ferme chez les chrétiens, les musulmans, les juifs et les hindous et par d’autres versions des mêmes mythes originels dont ces religions sont toutes issues. Comme les religions sont des constructions de l’esprit, elles maintiennent les adeptes dans l’esprit et en dehors de la Conscience. Est-ce que la Conscience infinie, éternelle et omnisciente va à l’église, s’agenouille et adore un « dieu » ou une divinité ? Ne me faites pas rire ! Non, l’esprit fait cela car il ressemble à un logiciel et il croit tout ce qu’on lui a programmé de croire. Aldous Huxley disait : 

On ne voit jamais les animaux passer par les folies absurdes et souvent horribles de la magie et de la religion… Les chiens n’urinent pas rituellement dans l’espoir de convaincre le ciel d’en faire de même et de faire que la pluie tombe. Les ânes ne braient pas une liturgie au ciel sans nuages. Pas plus que les chats n’essaient, par l’abstinence de viande de chat, d’amadouer les esprits félins. Seul l’homme se comporte ainsi. C’est le prix qu’il doit payer pour devenir intelligent, mais pas encore, tout à fait assez intelligent. 

Les religions sont fabriquées par l’esprit comme le sont leurs adeptes inconditionnels. Ce n’est pas un hasard, c’est la conception des illuminati reptiliens qui ont compris ce qu’est l’esprit, et comment on peut enfermer les gens dans des illusions et limiter leur perception. Une fois qu’ils sont dans cet état, ils sont facilement contrôlables et une croyance rigide peut être instaurée pour diviser et diriger les masses. Il en est de même avec les partis politiques, les races, les tranches de revenus et les choses de ce genre. De fausses auto identités (une autre forme de croyance) sont envoyées à la guerre contre d’autres fausses auto identités et ce, à tous les niveaux d’interaction humaine, afin d’empêcher leur unité, d’empêcher qu’elles se comprennent, car cela pourrait mettre un terme à ces absurdités. La religion a été créée, dès le début, pour nous contrôler et nous retirer notre énergie. Cela a magnifiquement fonctionné jusqu’à aujourd’hui. Si vous voulez être libre, éloignez-vous de tout cela.

Source: Extrait du livre de David Icke