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L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE

LES MÉDECINS DÉTRUISENT LA SANTÉ

Implants Involuants et Evoluants (1)
Implants Involuants et Evoluants (2)

Le corps médical du monde entier n’est qu’un outil du cartel pharmaceutique, ou de Big Pharma, les grandes firmes pharmaceutiques. La dernière chose dont ils se soucient c’est bien de la santé. La médecine conventionnelle se soucie de richesse et non de santé, et plus que ça, elle a pour but de conserver les gens dans un état mental, émotionnel et physique maladif, ou dans un état qui les empêchent d’accéder à leur personnalité vraie et infinie. Big Pharma fonctionne en réseau, même s’il comprend des « sociétés » apparemment différentes. C’est une structure classique des Illuminati, des pyramides gigognes, visant à contrôler l’ensemble des professions médicales et l’« industrie » qui s’y rapporte. En vérité, cette « industrie » est basée sur la souffrance des hommes, et plus les hommes souffrent, mieux c’est. Après tout, les gens en bonne santé ne déboursent rien, ceux qui sont malades, oui. Big Pharma contrôle ce que l’on enseigne dans les facultés de médecine, les médicaments que les médecins prescrivent, le fait de dévier l’application stricte des « normes » médicales et impose sa politique de santé aux gouvernements. Tout cela est fait par le biais de techniques incluant l’attribution de contributions politiques mais aussi de dessous-de-table aux médecins, comme des conférences tous frais payés dans des endroits exotiques qui ne sont rien d’autre que des vacances gratuites. La médecine conventionnelle du « Big Pharma » n’est qu’une fosse septique grotesque, alliant corruption et intérêt personnel, aggravée par l’ignorance et l’incompétence de ceux qui sont scandaleusement payés pour être des « experts médicaux ». Le contrôle des facultés de médecine et des organismes dirigeants ainsi qu’un rappel à l’ordre brutal des praticiens qui défient les « normes », implique que les médecins conventionnels ne savent même pas ce qu’est le corps humain, comment il fonctionne, sans parler de la façon de le soigner. Ils ne savent que ce qu’on leur a enseigné et sont immédiatement éjectés s’ils essaient d’élargir leur connaissance et d’agir en conséquence en soignant leurs patients. Les médecins tuent quotidiennement et mutilent à grande échelle dans le monde entier. Il est fou de constater que les docteurs sont la troisième plus grande cause de mortalité en Amérique, après les maladies cardiaques et le cancer, avec plus d’un quart de million de personnes mourant, chaque année, dans les hôpitaux américains à cause d’actes chirurgicaux inutiles, à cause des médicaments prescrits pour « aider » et de leurs effets, et à cause des infections que l’on attrape régulièrement dans les hôpitaux. En 2009, une étude a révélé que plus de personnes sont mortes suite à la prescription de médicaments « antidouleur » que suite à la prise d’héroïne ou de cocaïne. La FDA, Food and Drug Administration (Agence américaine décisionnaire concernant la mise sur le marché des produits alimentaires et médicamenteux NDT) estime que Vioxx, un antidouleur des laboratoires Merck utilisé par ceux qui souffrent d’arthrite, aurait provoqué 27 785 crises cardiaques ou morts d’origine cardiaque, entre 1999 et 2003. Les laboratoires Merck ont par la suite retiré ce médicament de la vente en déclarant qu’ils « faisaient passer la sécurité des patients avant tout », mais le Wall Street Journal a rapporté que la société s’était battue pendant des années pour faire taire les rumeurs de risque pour la santé, afin que ses ventes annuelles d’environ 2,5 milliards de dollars puissent continuer. Il existe de véritables médecins. mais j’en ai aussi rencontré beaucoup au fil des ans à qui je n’aurais même pas confié une poupée gonflable. Il y a eu des idiots, des incompétents et des faux médecins qui cachaient leurs erreurs dans des tombes. Pourtant, chaque jour, des patients font la queue dans leurs cliniques en attente d’un diagnostic compétent. « Oui, docteur, merci docteur, je vous remercie de me tuer. »

LES MÊMES NOMS… ET ON RECOMMENCE

Le réseau des reptiliens des Rothschild-Rockefeller a créé un système d’associations médicales, comme la British Medical Association (BMA) et la American Medical Association (AMA) pour contrôler la médecine et les professions médicales. Beaucoup de personnes semblent penser que Big Pharma et l’ « allopathie » étaient là avant et que les médecines alternatives comme l’homéopathie sont venues ensuite. En réalité, c’est le contraire, et les Illuminati ont financé la création d’associations médicales pour remplacer ce que nous appelons aujourd’hui la médecine « alternative » par la leur. L’AMA a été fondée en 1847 et s’est tout de suite mise à contrôler les facultés de médecine et les méthodes de guérison enseignées et administrées. Elle a été soutenue par la famille Rockefeller et les Illuminati de la Fondation Carnegie, qui employait un homme du nom d’Abraham Flexner (sioniste Rothschild) pour visiter les facultés de médecine et faire un rapport sur leur pertinence à enseigner. Il se trouve qu’il était le frère de Simon Flexner (sioniste Rothschild) qui dirigeait la « recherche » sur les causes et la prévention de la maladie pour l’Institut Rockefeller de 1903 à 1930. Le rapport Flexner, publié en 1910, exigeait que les facultés de médecine américaines imposent un niveau d’admission et des normes d’obtention de diplôme plus élevés et qu’elles respectent les protocoles de la science traditionnelle dans leur enseignement et leurs recherches. L’industrie médicale moderne était née. Le guérisseur américain, Harvey Bigelsen M. D., a écrit un excellent livre, Medical Conspiracy in America (La conspiration médicale aux États-Unis) sur la manipulation de la médecine et la participation de la famille Rockefeller. L’AMA, une devanture des Rothschild-Rockefeller a augmenté ses attaques contre les facultés de médecine et sur les médecines alternatives en présentant un département de propagande, connu plus tard sous le nom de Département d’investigation. Son rôle, décrit ici par Harvey Bigelsen, semblera familier à ceux que les méthodes alternatives de guérison intéressent : 

Le département de propagande était dirigé par le docteur Arthur Cramp, un assistant éditorial du JAMA, Journal of the American Medical Association (le journal d’association médicale américaine). Le comité, constitué de médecins en allopathie, passait en revue et analysait différents traitements non allopathiques, les modalités et les services et rapportait ses constats défavorables au conseil qui les publiaient dans le JAMA. 

Les rapports qui cherchent régulièrement à discréditer les médecines alternatives viennent invariablement de ceux qui sont financés par big Pharma et qui lui rendent des comptes. Ils ne sont là que pour détruire toute opposition et ils commencent maintenant à paniquer car de nombreuses personnes évitent le scalpel et les médicaments et se tournent vers les médecines alternatives. L’autre but principal de l’AMA des Rockefeller était de présenter un système d’octroi de licence qui, comme toujours, est justifié par le fait d’assurer que tout le personnel médical est « qualifié ». Franchement, je ne me soucie pas de savoir si une personne est « qualifiée » conformément à la définition, je me soucie de savoir si la personne sait soigner. Des médecins « qualifiés » tuent des patients tous les jours en grand nombre. Oui, bien sûr, il existe des charlatans et des imposteurs dans les médecines alternatives, beaucoup même, mais ils sont bien moins dangereux que les médecins « qualifiés », maniant des cocktails chimiques potentiellement mortels, tout en engrangeant les dollars de Big Pharma. La vraie raison pour ces octrois de licences était de contrôler tant les professions médicales que les traitements qu’elles administraient. Cette double stratégie s’attaquant à l’indépendance et à la diversité des facultés de médecine et des praticiens a eu pour conséquence de dévaster le secteur « alternatif » jusque-là prééminent et de le remplacer par la domination de Big Pharma. Même l’École Hahnemann de Philadelphie, qui porte le nom du fondateur de l’homéopathie, Christian Friedrich Samuel Hahnemann, s’est mise à enseigner la « médecine » de Big Pharma. Karl Loren, chercheur en matière de santé, a déclaré que John D. Rockefeller, le fondateur de Standard Oil, avec le soutien des Rothschild, avait détruit à lui seul l’approche dominante en matière de médecine et l’avait remplacée par une nouvelle approche contrôlée par Big Pharma : « Le premier résultat en a été que son pétrole brut, valant 5 cents le gallon, s’est soudain transformé en médicaments valant des millions de dollars le gallon. » Harvey Bigelsen écrit dans Medical Conspiracy in America

Vers 1919, il y eut une baisse de 50 % du nombre de diplômés de la faculté de médecine passant à 2 658. En 1970, il restait seulement 107 facultés de médecine. Seules les « bonnes facultés de médecine » (celles capables d’enseigner la médecine scientifique moderne) ont été financées avec l’argent de l’empire Rockefeller. 

Les écoles où l’on enseignait l’homéopathie n’utilisaient pas la « médecine scientifique moderne » et n’ont pas reçu de financement de la part de la Fondation Rockefeller et des autres sociétés pharmaceutiques malgré le fait que Rockefeller lui-même avait une préférence personnelle pour l’homéopathie. Il est mort à l’âge de 97 ans en présence de son homéopathe personnel, le docteur H. L. Merryday de Daytona Beach. 

Quelle ironie de voir que celui qui a créé l’industrie médicale ne voulait pas avoir affaire à elle. Pour Rockefeller, l’allopathie était simplement un moyen de prendre l’argent touché avec Standard Oil et de l’utiliser pour faire encore plus d’argent via l’industrie pharmaceutique. Nous garder en mauvaise santé est un boulot ! Que les médecins en soient conscients ou non, le bien-être n’est pas et n’a jamais été le but de l’allopathie. 

Pourquoi ces personnes malades mentalement et émotionnellement voudraient que la population soit en bonne santé puisqu’ils lui vendent des médicaments et des traitements qu’eux ne prennent pas ? L’homéopathie était relativement bon marché et disponible sans prescription avant que les Rockefeller ne commencent à la remplacer par des médicaments exigeant une ordonnance. Le système de prescription est devenu un monopole virtuel des docteurs et de leur grand maître Big Pharma, et l’idée est de généraliser ce monopole dans les prochaines années. Depuis le lancement du scalpel et des médicaments aux États-Unis, les réseaux Rothschild-Rockefeller les ont imposés dans le monde entier. Aujourd’hui, ils contrôlent tous les « côtés » du domaine médical : l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qu’ils ont créée ; l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (sigle américain USFDA) et les centres de prévention et de contrôle des maladies (sigle américain CDC) ; les cartels pharmaceutiques ; les organisations de médecins. Ajoutez à ceci une prise en main des médias et ils contrôlent le jeu puisque toutes ces organisations sont unies dans un même but. Un exemple choquant de ce conflit d’intérêt est celui du Dr. Paul Offit de l’hôpital des enfants de Philadelphie. Il a reçu 29 millions de dollars, peut-être même plus, pour les bénéfices réalisés sur le vaccin RotaTeq de Merck qui provoque des diarrhées chez les enfants en bas âge. Malgré cet extraordinaire conflit d’intérêt, il s’est servi de sa position au comité consultatif sur les pratiques d’immunisation du CDC, pour imposer la vaccination des enfants avec son vaccin. Voici ce qu’en dit le site The Age of Autism (l’âge de l’autisme) : 

De toute évidence basé sur la distribution des droits énoncés par la politique de l’hôpital des enfants de Philadelphie, Paul Offit avait un plus grand intérêt personnel dans le succès commercial du RotaTeq que n’importe qui dans le monde ; et plus que toute personne dans le monde, il s’est retrouvé en position d’influencer le succès de ce vaccin. 

Contrairement à la plupart des autres produits brevetés, le marché des vaccins obligatoires pour enfants ne vient pas d’une demande des consommateurs, mais d’une recommandation d’un organisme désigné, l’ACIP (l’équivalent aux États-Unis du Comité technique des vaccinations en France). En un seul vote, l’ACIP peut créer un marché commercial pour un nouveau vaccin qui rapportera des millions de dollars en quelques mois.

Et ce genre d’exemple n’est pas rare.

SUPPRIMER LA PRÉVENTION ET CACHER LA GUÉRISON

Les chiffres sont impressionnants. Près de 8 millions de personnes meurent chaque année dans le monde d’un cancer, dont plus d’un demi million pour les seuls États-Unis. Il est prévu d’atteindre les 12 millions en 2030. Le cancer est la principale cause de décès chez les personnes de moins de 85 ans et aux États-Unis, une personne sur quatre meurt du cancer. Une sur quatre. On supprime nos libertés sous prétexte de nous « protéger contre le terrorisme » alors que toutes ces personnes souffrent et meurent chaque année de maladies que les familles de lignées et leurs cartels refusent de soigner. Le docteur Richard Day de la fondation Rockefeller sur le contrôle de l’eugénisme et le planning des naissances a déclaré en 1969: « Nous savons guérir presque chaque cancer. L’information est conservée à l’Institut Rockefeller si jamais elle doit être divulguée un jour. » Day a déclaré que de laisser mourir des personnes du cancer ralentirait la croissance démographique : « On peut aussi bien mourir d’un cancer que d’autre chose. » Il a également dit que pendant toutes ces années, le but était de contrôler et d’éliminer la population grâce à la médecine, à la nourriture, aux nouvelles maladies sorties des laboratoires et à la suppression d’un remède contre le cancer. Ces gens n’ont pas d’âme et c’est pourquoi ils agissent ainsi. Big Pharma n’a pas l’intention de guérir le cancer, puisque grâce à lui des fortunes colossales sont faites en traitant les symptômes avec des médicaments dévastateurs, comme la chimiothérapie, qui tuent les cellules ou qui empoisonnent les gens. Mais l’argent n’est pas le seul but. Les familles de lignées veulent que les gens souffrent et meurent plus vite que prévu, c’est un peu comme un abattage de la population. C’est pourquoi quiconque à l’extérieur de Big Pharma détecte un moyen efficace de traiter le cancer, est immédiatement la cible des organismes médicaux et gouvernementaux. C’est ce qui est arrivé au médecin italien Tullio Simoncini, un homme brillant et courageux qui a refusé de se plier à l’énorme pression à laquelle il a dû faire face, après avoir réalisé ce qu’était le cancer et comment il pouvait être traité. Le « crime » de Simoncini a été de découvrir que le cancer est un champignon dû à une infection par Candida albicans, un organisme du type levure qui vit en petite quantité dans l’organisme même chez les gens en bonne santé. En principe, le système immunitaire le garde sous contrôle mais quand Candida albicans se transforme en un champignon puissant, certains problèmes graves de santé peuvent apparaître, y compris le cancer. Mon ami, Mike Lambert, un guérisseur talentueux de la clinique Shen, près de chez moi sur l’île de Wight dit au sujet du Candida albicans :

Les champignons et Candida albicans en particulier, prospèrent en mangeant le corps de leur hôte et en le dissolvant. Candida albicans a aussi besoin du corps humain pour se reproduire, car il ne peut le faire tout seul. Il n’est donc pas étonnant que dans des cas de fatigue chronique, qui la plupart du temps sont attribués à une colonisation de Candida albicans, la victime se sente si fatiguée autant physiquement que psychologiquement.

Tullio Simoncini dit que le cancer vient de cette infection fongique de Candida albicans et que l’explication donnée par la médecine conventionnelle et disant que le cancer est un dysfonctionnement cellulaire est compétemment fausse. Simoncini est un spécialiste en oncologie (traitement des tumeurs), il traite aussi le diabète et les troubles du métabolisme. Mais il est plus que cela. C’est un vrai médecin qui cherche à découvrir la vérité pour le bien de ses patients et il refuse de répéter la version officielle que les médecins doivent admettre et appliquer. Il défie le dogme de la « conformité intellectuelle » et toutes ses hypothèses sans fondement, ses mensonges, ses manipulations et ses inexactitudes. Il a été extrêmement critiqué vis à vis du corps médical qui poursuit des « traitements » inutiles pour guérir l’épidémie mondiale de cancer. À partir du moment où il est entré en médecine il s’est rendu compte que quelque chose allait mal dans la façon dont le cancer était traité :

J’ai vu de terribles souffrances. J’étais dans un service de pédiatrie oncologique — tous les enfants sont morts. Je souffrais en voyant ces pauvres, pauvres enfants mourir à cause de la chimio, à cause des radiations.

Sa frustration et sa peine face à ce qu’il voyait l’on poussé à rechercher de nouvelles façons de comprendre et de soigner cette maladie dévastatrice. Il a commencé sa quête en ouvrant son esprit nettoyé de toutes les hypothèses rigides colportées et inculquées par la « médecine » et la « science ». Simoncini s’est rendu compte que tous les cancers fonctionnaient de la même façon quel que soit l’endroit du corps où ils se trouvaient et la forme qu’ils avaient. Il devait y avoir un dénominateur commun. II a aussi observé que les « grosseurs » étaient toutes blanches. Et quoi d’autre est blanc ? Candida albicans. Simoncini s’est rendu compte que ce que la médecine traditionnelle prenait pour une croissance cellulaire incontrôlable, les « tumeurs cancéreuses », n’était en fait que le système immunitaire produisant des cellules afin de défendre l’organisme contre les attaques du Candida albicans. Voici ce qu’il décrit : 

• En principe, le Candida albicans reste sous le contrôle du système immunitaire, mais quand celui-ci s’affaiblit, Candida albicans peut se développer et construire une « colonie ».
• Le Candida albicans peut finalement pénétrer dans un organe, le système immunitaire doit donc réagir à la menace d’une autre manière.
• Le fait de construire une barrière défensive avec ses propres cellules et cette grosseur est ce que l’on appelle « cancer ».

On nous dit que la propagation du cancer à d’autres parties du corps (les métastases) est causée par des cellules « malignes » s’échappant de leur point d’origine. Pour Simoncini, ce n’est pas du tout le cas. La propagation du cancer est déclenchée par la véritable cause du cancer, le champignon Candida albicans s’échappant de son point d’origine. Ce qui permet au cancer de se manifester, comme je le dis depuis de années dans mes livres, c’est un système immunitaire affaibli. Quand le système immunitaire travaille efficacement, il traite le problème avant qu’il ne commence à se propager. Dans ce cas, il garde le Candida albicans sous contrôle. Mais regardez ce qui s’est passé quand le nombre de cancers dans le monde n’a fait qu’augmenter. C’est une guerre qui a été déclaré au système immunitaire et qui tous les dix ans devient plus véhémente. Le système immunitaire est affaibli et attaqué par des additifs contenus dans les aliments et les boissons, par les produits chimiques agricoles, par la vaccination, les technologies et les fréquences électromagnétiques et les micro-ondes, les produits pharmaceutiques, le stress de la « vie » moderne et bien plus encore. Quels moyens de défense ont les enfants aujourd’hui alors qu’on leur injecte 25 vaccins et autres mélanges avant l’âge de deux, alors que leur système immunitaire est en plein construction, bonté divine ? C’est comme ça que les familles Illuminati comptent procéder à un abattage massif de la population, en démantelant les défenses immunitaires du corps pour provoquer la maladie. Le véritable choc, c’est maintenant. Qu’est-ce qui détruit le système immunitaire plus vite que toute autre chose ?

LA CHIMIOTHÉRAPIE

On peut aussi bien ajouter les rayons. La chimiothérapie est un poison conçu pour tuer les cellules. Euh, c’est tout. Le « top » du « traitement » contre le cancer est d’empoisonner la victime en espérant que l’on tuera les tumeurs cancéreuses avant de tuer suffisamment de cellules saines et de tuer le patient. Mais attendez. Le poison de la chimiothérapie tue aussi les cellules du système immunitaire et met ce dernier en pièces. Par contre, le Candida albicans est toujours là. Le système immunitaire dévasté ne peut pas répondre au Candida albicans et il prend en charge d’autres parties du corps pour recommencer le processus, provoquant la propagation du cancer. Même ceux qui semblent avoir récupéré après une intervention chirurgicale et une chimiothérapie et à qui on a donné le « feu vert », ne sont le plus souvent que des personnes dont les heures sont comptées. Leur système immunitaire est dévasté et ce n’est qu’une question de temps avant que le Candida albicans ne déclenche une récidive. 

En d’autres mots : La chimiothérapie tue les gens qu’elle est supposée soigner. 

Bien sûr, elle ne soignera jamais rien, ni personne. C’est un poison qui détruit le système dont nous avons besoin pour être fort et en bonne santé, si l’on veut être guéri. L’industrie du cancer est une fraude, rien de plus qu’une machine à tuer et à faire de l’argent. Par exemple, pour les femmes, les mammographies provoquent beaucoup plus de cancers qu’elles n’en détectent, et pourtant l’« industrie », Big Pharma, en collaboration avec des organisations caritatives et des groupes de soutien, exhorte les femmes à faire une mammographie plus souvent. Dégoûtant ! Lorsque Tullio Simoncini a compris que le cancer était une infection fongique, une infestation, il s’est mis à la recherche de quelque chose qui pourrait tuer le champignon et donc éliminer le cancer. Il s’est rendu compte que les médicaments antifongiques ne fonctionnaient pas parce que le champignon se transforme rapidement pour se défendre et qu’il commence même à se nourrir des médicaments prescrits pour le tuer. En revanche, Simoncini a trouvé quelque chose de bien plus simple : le bicarbonate de sodium. Oui, l’ingrédient principal de ce bon vieux bicarbonate de soude que l’on met dans les bons petits plats (mais je souligne ce n’est pas le même que le bicarbonate de soude, qui contient d’autres ingrédients en plus). Il l’a employé car c’est un puissant destructeur de champignons, et contrairement aux médicaments, le Candida albicans ne peut pas s’y « adapter ». Le patient reçoit une forme liquide de bicarbonate de sodium par voie orale et par voie interne avec un endoscope, un tube long et mince que les médecins utilisent pour voir à l’intérieur du corps. Cela permet de placer le bicarbonate de sodium directement sur le cancer : le champignon. Les Égyptiens connaissaient les propriétés curatives des substances antifongiques et des grimoires indiens remontant à un millier d’années recommande « l’alcalin à forte puissance » pour traiter le cancer. Au cours des années, j’ai entendu dire plusieurs fois que le cancer ne peut pas se manifester dans un milieu alcalin et maintenant on sait pourquoi : parce que ça tue le champignon. L’incroyable augmentation du nombre de cancers va de pair avec l’acidité toujours croissante dans le régime alimentaire. C’est bien de faire un test de pH et si votre corps est acide, il serait sage de faire quelque chose.

https://www.youtube.com/watch?v=YnqxFkfVK8c

La vérité très indésirable sur la chimiothérapie

GUÉRIR EST UN CRIME

En 1983, Simoncini s’est occupé du cas d’un Italien atteint du cancer des poumons, Gennaro Sangermano, à qui on avait donné quelques mois à vivre. Quelques mois plus tard, il était toujours en vie, il avait retrouvé la santé et le cancer avait disparu. Il était toujours en vie plus de 20 ans plus tard. D’autres succès suivirent et Simoncini présenta ses conclusions au ministère de la santé italien dans l’espoir de commencer des essais afin de montrer que cela fonctionnait. Mais il allait comprendre la véritable ampleur de la manipulation médicale et de la tromperie. Les autorités ont non seulement ignoré sa documentation, mais il a été radié de l’ordre médical italien pour avoir prescrit des traitements qui n’avaient pas été approuvés. Et oui, j’ai vraiment écrit : pour avoir prescrit des traitements qui n’avaient pas été approuvés. Il a été victime d’une ignoble campagne de raillerie et condamné par les médias pathétiques, puis il a été condamné à trois ans de prison pour avoir causé des « morts injustifiées » aux patients qu’il avait traités, une peine qui serait alourdie s’il se remettait à soigner des gens. Tout le monde voulait la tête de Simoncini. Le corps médical a déclaré que ses prétentions au sujet du bicarbonate de sodium étaient « folles » et « dangereuses » (contrairement à la chimiothérapie). Un « éminent docteur » a même fait, de façon assez ridicule, référence au bicarbonate comme à une drogue. Des millions de personnes meurent de cancers qui pourraient être soignés efficacement. Ces gens s’en foutent. Tullio Simoncini n’est pas le genre de personne à lâcher le morceau, fort heureusement, et il a continué à faire circuler son travail sur Internet et dans des débats publics. Voici son site web : www.curenaturalicancro.com. C’est grâce à Mike Lambert que j’ai entendu parler de lui à la clinique Shen, car Simoncini est venu parler sur l’île de Wight alors que j’étais à l’étranger. Je sais qu’il a obtenu des résultats remarquables en réduisant considérablement et même en éliminant tout à fait certains cancers de stade avancé grâce au bicarbonate de sodium. Cela peut prendre des mois dans certains cas, mais dans d’autres, tels les cancers du sein, quand la tumeur est accessible, c’est en nombre de jours que l’on parle pour qu’elle disparaisse. Certaines personnes se soignent elles-mêmes en suivant les conseils de Simoncini et vous allez sur le site de la clinique Shen (www.theshenclinic.com) vous entendrez des témoignages de personnes commentant leur expérience et leur guérison. Je m’étais déjà emparé de ce thème avant d’entendre parler de Simoncini. Je savais que le cancer était un champignon car j’étais tombé sur les travaux de deux scientifiques et chercheurs britanniques, le professeur Gerry Potter du Cancer Drug Discovery Group et du professeur Dan Burke. En combinant leurs conclusions, ils ont découvert ceci : Les cellules cancéreuse ont un « biomarqueur » unique que les cellules normales n’ont pas, une enzyme appelée CYP1B1. Les enzymes sont des protéines qui « catalysent » (augmentent le taux) les réactions chimiques. Le CYP1B1 modifie la structure chimique des composés appelés salvestrols que l’on trouve dans de nombreux fruits et légumes. Ce changement chimique transforme les salvestrols en agents qui tuent les cellules cancéreuses, mais qui ne nuit pas aux cellules saines. La synchronisation est parfaite. L’enzyme CYP1B1 apparaît uniquement dans les cellules cancéreuses et il réagit avec les salvestrols des fruits et des légumes pour créer une substance chimique qui tue seulement les cellules cancéreuses. Mais voici un point concernant le cancer en tant que champignon. Les salvestrols sont un système de défenses naturelles des fruits et des légumes contre les attaques fongiques, c’est pourquoi on les trouve uniquement dans des espèces sujettes aux dommages causés par les champignons comme les fraises, les myrtilles, les framboises, le raisin, le cassis, les groseilles rouges, les mûres les canneberges, les pommes, les poires, les légumes verts (particulièrement le brocoli et les choux) les artichauts, les poivrons jaunes et rouges, l’avocat, le cresson, les asperges et les aubergines. Qui plus est, les cartels de Big pharma et de Big Biotech savent tout cela et ont pris les mesures suivantes pour saper cette défense naturelle contre les attaques fongiques (le cancer) :

1/ Les pulvérisations de fongicides chimiques dans l’agriculture moderne tuent artificiellement les champignons et cela signifie que les plantes et les cultures n’ont pas à activer leur propre défense ; les salvestrols. On ne les trouve aujourd’hui que dans les produits de l’agriculture biologique. (Vous pouvez aussi vous les procurer sous forme de capsules à la clinique Shen).

2/ Les fongicides les plus répandus sont des bloqueurs puissants de CYP1B1 et donc si vous mangez suffisamment d’aliments produits chimiquement, peu importe le nombre de salvestrols que vous consommez, ils ne pourront pas lutter contre le cancer alors qu’ils sont conçus pour le faire.

Tout ceci est calculé et cela explique les attaques contre la production d’aliments biologiques, par un nouveau règlement prévu pour mettre hors d’état de nuire les producteurs et les fermiers bio. La Britain’s Food Standard Agency, le « chien de garde » du gouvernement, soi-disant indépendante, a ouvertement cherché à porter atteinte aux aliments biologiques. Ce n’est pas surprenant vu que l’agence est une vitrine de Big Pharma et de Big Biotech. Elle a fait paraître, en 2009, un rapport de propagande, stipulant qu’il n’y avait aucun avantage nutritionnel à manger des produits bio. Oh vraiment ? Ainsi les aliments infestés de produits chimiques, d’hormones de croissance et d’antibiotiques ne sont en aucun cas différents de ceux qui n’en contiennent pas ? Quelle absurdité ! Mais ce rapport n’a pas été publié pour établir une vérité, mais pour influencer l’opinion publique.

UN PROGRAMME TROMPEUR

Supprimer la santé humaine est aussi le but du Codex Alimentarius (code alimentaire ou livre sur l’alimentation), une organisation des Illuminati visant à bloquer l’accès à des compléments alimentaires, en doses adéquates et qualitatives, qui compensent la perte d’éléments nutritifs dans notre alimentation et nous protègent des maladies que ces fous inventent dans leurs laboratoires. Ce codex est justifié par une « harmonisation » de la nourriture et par une législation en vigueur, ainsi que des règles internationales (essentielles pour un gouvernement mondial). Mais la vraie raison est de remette le contrôle des compléments alimentaires à Big Pharma pour empêcher les gens de trouver d’autres sources d’éléments nutritifs, qui ont été perdus dans le sol et les processus de production alimentaire. La vraie motivation de ce Codex Alimentarius vient de ses créateurs, les nazis Hermann Schmitz et Fritz ter Meer. Schmitz a été le président du géant de la chimie nazie, IG Farben, et Fritz ter Meer était un cadre de cette société. IG Farben dirige le camp de Nonowitz-Buna (ou Auschwitz III) et dans lequel ter Meer est lourdement impliqué. C’est à lui que l’on doit la phrase « Arbeit macht frei » (le travail rend libre) placée sur le portail d’entrée du camp d’Auschwitz. Il a également travaillé chez Bayer, une des sociétés appartenant à IG Farben et que son père a fondée, et, comme Schmitz, ter Meer a été emprisonné, suite au procès de Nuremberg, pour crimes contre l’humanité. Condamné à sept de prison, il n’en fera que quatre grâce à l’intervention de son ami, Nelson Rockefeller, maire de New York durant quatre mandats. Il devient ensuite président du conseil de surveillance chez Bayer et aide au lancement du Codex Alimentarius qui tente de pirater les lois alimentaires mondiales. Pourquoi Nelson Rockefeller a-t-il aidé un nazi ? Les Rockefeller et la famille Bush ont contribué au financement des nazis au début de la Seconde Guerre mondiale et ont transformé la société mondiale. Quand il s’agit de ces gens-là, il n’est plus question de « démocratie », de « fascisme » ou de « communisme ». Ils ont créé et manipulé tous les systèmes politiques et toutes les philosophies. Pour eux, ce ne sont que des moyens pour atteindre leur but. La commission du Codex Alimentarius a été officiellement mise en place en 1963 par l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé et est reconnue par l’Organisation mondiale du commerce. Tous ces organismes sont des créations des lignées.

Les familles de lignées reptiliennes visent quiconque et quoi que ce soit pouvant empêcher ou guérir le cancer et autres maladies dévastatrices. Ils veulent que les gens meurent du cancer, pas qu’ils en guérissent. Du point de vue mental et émotionnel ils sont extrêmement dérangés et pour eux, les humains ne sont que du bétail. Ils ne se soucient pas de la détresse, de la souffrance et de la mort que leur manipulation et leur répression vont provoquer. Plus il y en aura, mieux ce sera, selon leur logique démente. Et c’est ce que sont ces gens… des déments. Mais Tullio Simoncini refuse de céder et continue à faire campagne pour un traitement efficace du cancer, tandis que dans le monde « réel » le nombre de morts dû au cancer ne cesse d’augmenter, à cause de traitements qui ne fonctionnent pas et qui sont basés sur de fausses suppositions. C’est vraiment une société complètement folle, mais du point de vue des lignées, c’est comme ça qu’elle doit être. Heureusement qu’il existe des personnes courageuses comme Tullio Simoncini. Il en faudrait plus, c’est urgent. Le contraste est saisissant avec ceux qui servent le corps médical. Quand Simoncini est venu parler sur l’Île de Wight en 2009, quelques médecins locaux l’ont rejeté avant qu’il n’arrive et se sont moqués de son point de vue. Ils ont été invités à la conférence, ce qui aurait pu être bénéfique pour leurs patients. On leur avait réservé des places pour assister à la conférence de Simoncini et on leur avait donné l’opportunité de poser des questions. Que s’est-il passé ? Ils ne sont jamais venus.

Un autre médecin italien, Paolo Zamboni, professeur de médecine à l’université de Ferrara, a fait une expérience semblable alors qu’il soignait sa femme, ainsi que d’autres patients pour une sclérose en plaques, une maladie neurologique potentiellement dévastatrice et qui frappe les gens dans la force de l’âge. En cherchant un remède pour sa femme, il s’est rendu compte que la sclérose en plaques était causée par un excès de fer engendrant l’inflammation et la mort cellulaire du cerveau. Il a découvert que 90% des personnes atteintes de sclérose en plaques, y compris son épouse, souffraient, en ce qui concerne les veines drainant le sang au cerveau, de malformation veineuse ou de veines obstruées. Ce n’étaient pas le cas des personnes qui n’étaient pas atteintes par cette maladie. Le docteur Zamboni a pratiqué une simple opération consistant à déboucher les veines et à rétablir le flux sanguin. Les résultats ont été stupéfiants. De nouveau, on aurait dû le considérer comme un héros, mais lui aussi a dû faire face au désintérêt et à la répression du système et aussi de la part des organisations caritatives contre la sclérose en plaques. Après tout, s’il y a un remède contre la maladie, ces gens-là n’ont plus de raison d’être. Ils sont tous alliés dans un réseau confortable d’intérêts personnels.

Pas de soucis à se faire. Big Pharma est là pour vous maintenir en bonne santé.

UNE CORRUPTION SYSTÉMATIQUE

La médecine courante est fondée sur la corruption et l’avidité à tous les niveaux, des salles de conférence de Big Pharma au simple cabinet médical. Les dix premières sociétés pharmaceutiques font plus de profits que l’ensemble des compagnies du Fortune 500 et le tissu d’entreprises de la « médecine » mondiale est un tissu de mensonges, de duperie et d’intérêts personnels. Des enquêtes sur les profits des compagnies pharmaceutiques ont trouvé des majorations de milliers de pourcent sur le coût des produits. Les patients ? Mais qui s’en soucie ? Les médecins se voient généralement offrir des voyages haut de gamme, tous frais payés, vers des destinations exotiques par l’industrie pharmaceutique et dont le prétexte sont les « conférences ». Une conférence ne prend que quelques heures par jour, s’ils prennent la peine d’y aller, le reste du temps, ce sont des vacances payées par Big Pharma. Sigma, fabricant de médicaments génériques et troisième plus grosse société en Australie, à offert aux médecins qui prescrivaient ses médicaments une luxueuse croisière de 15 jours en méditerranée. Ils ont ainsi pu visiter l’Italie, Malte, la Corse et Monte Carlo. Ce séjour a été qualifié de « parfait mélange de travail et de relaxation » en raison des tables rondes et du « discours » de l’effroyable Jeff Kennett, ancien premier ministre de l’État du Victoria. Très pédagogique, tout ça. C’est une croisière, point final, et c’est aussi un évident conflit d’intérêt. Les médecins sont également financés par les géants pharmaceutiques pour mener des recherches leur permettant de parcourir le monde grâce aux dollars de Big Pharma. Viennent ensuite les incitations à prescrire des médicaments plus que nécessaire, des incitations à envoyer des patients à l’hôpital alors que cela n’a pas lieu d’être. Le professeur Ann Blake Tracy a écrit dans son livre Prozac: Panacea or Pandora (Prozac : panacée ou poison) « Saviez-vous que certains hôpitaux font des propositions très motivantes et offrent aux médecins des cadeaux de valeur comme des fax, des téléphones de voiture, s’ils envoient des gens se faire opérer quand les affaires des hôpitaux sont en baisse ? » Ces incitations financières jouent avec la vie des gens, et on nous dit que les médecins représentent l’« éthique ». Certains la représentent, comme il existe des agents de police décents, mais le système n’en veut pas. Il veut des personnes corruptibles, parce qu’elles sont les meilleures pour les entreprises. Les médecins fraudeurs et corrompus font partie de l’opération finement réglée par Big Pharma. Kathleeen Slattery-Moschkau, ancienne représentante d’une société pharmaceutique et aujourd’hui cinéaste indépendante, a détaillé comment les sociétés et leurs représentants contrôlaient les médecins aux États-Unis jusqu’à la moindre pilule. Cela se fait grâce à un système connu sous le nom de « rapports sur les médecins » ou « profil des médecins » établis à partir de diverses données. Le Drug enforcement Administration américain code des médecins par le biais d’un numéro d’identification, ainsi que par les médicaments qu’ils prescrivent, tandis qu’une autre source, « le fichier maître des médecins », vendu chaque années pour des millions de dollars par l’American Medical Association, fait correspondre les numéros d’identification des médecins avec leurs noms. Les deux mis ensemble, plus d’autres sources d’information, on peut établir qui prescrit quoi et en quel nombre. Les rapports sur les médecins sont publiés chaque semaine par les compagnies pharmaceutiques et le système donne aux représentants de Big Pharma les informations dont ils ont besoin pour évaluer leur réussite au sujet des prescriptions des médecins. Ces représentants utilisent également les profils personnels des médecins pour établir la meilleure façon de les aborder. Répondent-ils aux informations « scientifiques » ou aiment-ils être flattés ? Dans un article intitulé « Manipulateurs », Shannon Brownlee et Jeanne Lenzer écrivent ceci :

Si le docteur A a augmenté ses prescriptions après avoir s’être fait faire un massage facial et un massage corporel, toutes ses dépenses seront payées lors de séjours dans des stations thermales.
Si le docteur B n’a pas répondu à une invitation pour un dîner de cinq plats, alors peut-être qu’il est temps d’essayer des billets pour un match de football ou même des échantillons gratuits de médicaments, ou de faire de la pub pour la recherche clinique qui vante les mérites du médicament présenté.

Les rapports sur les médecins classent ces derniers en quatre catégories selon la quantité de médicaments qu’ils prescrivent. Cela permet aux représentants de donner comme but aux gros prescripteurs — les proies faciles — de prescrire encore plus, alors que les petits prescripteurs seront encore plus manipulés. La corruption atteint un niveau monumental comme le montre un article paru sur Internet :

Big Pharma consacre près de 19 milliards de dollars par an à corrompre et influencer les médecins. On parle de milliards avec un « M » majuscule. Ça représente combien 19 milliards de dollars ? C’est plus d’argent que ce que perd la NASA quand ses satellites s’écrasent sur Mars ou que ses navettes spatiales explosent dans la haute atmosphère de la Terre. C’est plus d’argent que n’en dépense l’industrie de la malbouffe à hypnotiser des enfants obèses pour qu’ils harcèlent leurs parents afin d’obtenir une autre boîte de céréales Sugar Bombs (bombes de sucre) à l’épicerie du coin. Et c’est plus d’argent que n’en dépense les États-Unis pour la véritable prévention des maladies et l’éducation dans le domaine de la santé. 

Voilà ce qui se passe avec les entreprises pharmaceutiques. Ce sont d’horribles organisations structurées visant à faire le plus d’argent possible à partir de la maladie, de la détresse et du malheur des autres et, encore plus important pour le plan, à maintenir les populations dans un désarroi mental, émotionnel et physique. Un exemple scandaleux du fonctionnement de ce système a été la mise en avant du Tamiflu, produit par les laboratoires Roche, prétendu être un produit sûr et efficace contre la grippe porcine permettant de réduire les hospitalisations de 61%. Des milliards ont été dépensés par les gouvernements pour stocker ce truc au beau milieu de l’hystérie concernant la « pandémie ». Mais un article publié dans le British Medical Journal a déclaré que les laboratoires Roche avaient trompé les gouvernements et les médecins au sujet de son efficacité. Huit des dix études faites par les laboratoires Roche pour étayer sa thèse n’ont jamais été publiées dans des revues scientifiques et les données d’origine des deux autres ont été… « perdues ». Les seules données disponibles proviennent d’une étude non publiée sur 1 447 adultes montrant que le Tamiflu n’est rien d’autre qu’un placebo. D’anciens salariés de Adis International, une société de relations publiques de Big Pharma, ont dit avoir été embauchés pour écrire de fausses études pour les laboratoires Roche et ce sont eux qui leur on dit ce qu’ils devaient écrire. Un de ces boulet a déclaré au British Medical Journal :

Les comptes concernant les tamiflu comportaient une liste de messages clefs dans laquelle vous deviez rentrer. Tout était dirigé par le département marketing des laboratoires Roche et c’est à lui que l’on devait rendre des comptes. En introduction… J’ai dû dire à quel point la grippe était un gros problème. J’ai aussi dû arriver à la conclusion que le Tamiflu était la seule réponse à la pandémie.

Donald Rumsfeld, l’ancien secrétaire d’État américain a de gros intérêts dans la société américaine qui possède les droits du Tamiflu, et autant Al Gore que Barack Obama ont été pointés du doigt pour avoir des intérêts financiers dans les ventes de Tamiflu.

UNE AUGE À COCHON TEINTÉE DE POLITIQUE

Big Pharma, comme tous les cartels des Illuminati, n’a aucune empathie pour ceux qui souffrent de son exploitation quotidienne, ou de ceux que l’on utilise comme cobayes pour des « tests médicamenteux ». « Allez donc nous chercher quelques pauvres, nous devons faire des tests. » Les hommes ne sont que les serfs des reptiliens et de leurs hybrides. Une autre cible majeure de Big Pharma est, naturellement, les politiciens et les agences gouvernementales qui décident d’appliquer — prétendument — une politique médicale. Les chiffres avancés par le Center for Responsive Politics (Centre pour une politique responsable), l’institut pour le financement électoral et le Centre pour l’intégrité publique, révèlent que, en 2004, 158 millions de dollars ont été dépensés par l’industrie pharmaceutique pour faire pression sur le gouvernement fédéral des États-Unis ; 17 millions on été donnés pour des campagnes politiques, 67 % allant aux républicains ; 7,3 millions ont été dépensés pour des conventions de partis politiques, dont 64% pour le parti républicain. Un million de dollars a été versé pour la campagne présidentielle de Bush et un demi-million pour John Kerry. Les chiffres mis au jour par le site web Center for Responsive Politics (Centre une politique responsable) a révélé que l’industrie de la « santé » a versé 20 175 303 dollars à Barack Obama pendant le cycle électoral — presque trois fois le montant donné à son rival, John McCain. Obama a par la suite sorti un projet de loi sur les soins de santé servant les intérêts de la cabale pharmaceutique. Big Pharma a environ 1 300 lobbyistes à Washington — plus de deux pour chaque membre du Congrès. « Ils sont puissants » a dit le sénateur Chuck Grassley, président du Comité de finance du Sénat. « On peut à peine faire un pas dans cette ville sans se cogner dans un lobbyiste de l’industrie du médicament. » On ne s’étonne donc pas que la législation favorable à l’industrie du médicament, y compris à son immunité lors de poursuites judiciaires, soient adoptées par les juges sur leur perchoir. C’est partout la même chose, toujours cette gloutonnerie mondiale et toujours cette corruption. Pour exemple, en Grande Bretagne, on attribue des bonus aux médecins quand ils atteignent les « objectifs de vaccination » du gouvernement. Autrement dit, on les motive financièrement pour augmenter le nombre de ces vaccins empoisonnés que le gouvernement a acheté à Big Pharma. Le sénateur républicain et ancien leader de la majorité au Sénat, Bill Frist, est le manipulateur type utilisé par Big Pharma et il a été en première ligne, accompagné du président de la Chambre des représentants, Dennis Hastert, pour mentir sur la loi concernant l’immunité juridique du cartel médicamenteux au sujet des vaccins administrés pendant l’état d’urgence. C’est ce que l’on appelle l’amendement sur la sécurité publique et la protection civile (Public Readiness and Emergency Preparedness Act ou PREPA). Voici ce qu’il en a été dit : 

Le PREPA est inconstitutionnel. Il supprime tout droit à une procédure régulière et à un contrôle judiciaire, pour les personnes ayant fait des réactions aux vaccins, accordant ainsi un permis virtuel de tuer. En vertu de la nouvelle loi, les entreprises qui fabriquent des vaccins peuvent être extrêmement négligentes, agir sans pudeur et avec insouciance car elles échapperont toujours à leurs responsabilités, tant qu’elles pourront prouver que leur mauvaise conduite n’était pas « intentionnelle ». Il est impossible de concevoir norme moins exigeante pour l’industrie pharmaceutique et un fardeau de preuves aussi lourd pour les personnes qui ont été lésées.

Le représentant démocrate, David Obey, a déclaré que la législation a été « insérée unilatéralement et de façon arrogante dans le projet de loi après que le comité de la conférence soit clos. » Cela a représenté « un jeu de pouvoir flagrant des deux hommes les plus puissants du Congrès. » Oui, les deux hommes ont joué main dans la main avec Big Pharma. Frist vient du milieu médical et alors qu’il était à la faculté de médecine il a pris des dispositions pour être approvisionné régulièrement en animaux venant de refuges, arguant du fait qu’il souhaitait leur assurer un foyer. En fait, ces animaux étaient tués et disséqués lors de ses expériences. Il a bénéficié de dons venant de la campagne du cartel médicamenteux tandis que le laboratoire Schering-Plough mettait à sa disposition son avion d’affaires Gulfstream. C’est ainsi que Big Pharma et les hybrides reptiliens établissent leurs lois, et il se passe la même chose dans les institutions gouvernementales, dans la médecine, la biotechnologie, la production alimentaire, etc. Il y aura toujours quelqu’un à vendre ou quelqu’un à compromettre pour que les ordres soient exécutés. Big Pharma a l’administration « Obama » dans sa poche. Une note de la Maison Blanche a été divulguée par le site web du Huffington Post en août 2009. Elle confirmait qu’Obama et ses gestionnaires avaient conclu un accord avec Big Pharma dans lequel la Maison Blanche s’opposerait à toute tentative du Congrès de négocier une baisse des prix des médicaments et à l’importation de médicaments moins chers venus du Canada. Ils ont en outre convenu de ne pas continuer les remboursements de l’assurance maladie ou de changer la désignation de certains médicaments qui aurait coûté des milliards à Big Pharma. Obama et compagnie ont menti pour dissimuler cet accord secret et pendant ce temps-là, l’industrie pharmaceutique a dépensé plus de 150 millions de dollars en spots publicitaires télé pour soutenir les plans de « réforme de la santé » d’Obama que comprenait l’accord. La « corruption » et le « mensonge » sont les autres prénoms d’Obama. Ses partisans se sont même levés lors de débats publics sur son programme santé, revendiquant le fait d’être des médecins soutenant ses propositions. En fait, ils n’étaient pas du tout « médecins », ils représentaient surtout des usines pharmaceutiques.

TUER LES VIEUX ET LES MALADES

Les politiques d’Obama et ceux qu’il nomme à la santé, prennent des décisions concernant les soins apportés aux patients. Il est décidé quel régime d’assurance sera couvert, ce que les médecins peuvent ou ne peuvent pas faire et l’application des traitements pour les personnes âgées. Le sioniste Rothschild, le Dr. Richard Day, a déclaré en 1969 que « le fait de restreindre l’accès à des soins abordables permettrait d’éliminer plus facilement les personnes âgées. » Des lois du même genre étaient cachées dans le paquet de « relance » d’Obama et une des principales personnes impliquées là-dedans était l’ancien chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle, nommé par Obama au poste de secrétaire d’État à la santé et aux services sociaux. Mais ce dernier a dû se retirer pour non paiement d’impôts. Daschle a écrit dans son livre Critical : What We Can Do about the Health-Care Crisis (Critique : Que faire au sujet de la crise de la santé) que les « séniors » devraient sacrifier leur soins en faveur des plus jeunes et refuser les traitements. 

Il a ajouté que les personnes âgées qui n’ont aucun espoir de guérison doivent accepter leur sort et ne pas chercher à se soigner. Une des personnes nommées par Obama pour diriger les « services santé » des Américains est… bien, bien, bien, encore une fois… le docteur Ezekiel Emmanuel (sioniste Rothschild), le frère du chef de cabinet de la Maison Blanche, Rahm Emmanuel (sioniste Rothschild). Les deux sont les fils d’un membre de l’Irgoun, ce groupe terroriste financé par les Rothschild à la base de la création de l’État d’Israël. Un autre des frères, Ariel « Ari » Zev Emmanuel (sioniste Rothschild), est un agent de stars à Hollywood. Il représente des personnes comme Martin Scorsese, Jude Law et Michael Moore. Ezekiel Emmanuel est un membre du Hastings Center, un « institut de recherche en bioéthique ». Il a été nommé au poste clef de conseiller en politique de santé au bureau de la gestion et du budget afin de conseiller le directeur du budget, Peter Orszag (sioniste Rothschild). Il a aussi travaillé aux côtés de Jeffrey B. Liebman (sioniste Rothschild). Emmanuel a été cité comme ayant dit ce qui suit : le coût de l’épargne exigerait le changement (le changement, toujours le changement) de la façon dont les médecins voient leurs patients ; les médecins prennent le serment d’Hippocrate trop au sérieux, comme un impératif de tout faire pour le patient, quel qu’en soit le coût ou les effets sur les autres ; les médecins devraient anticiper les besoins de leurs patients et considérer d’autres questions comme le fait que l’argent pourrait être employé pour d’autres ; le « communautarisme » devrait orienter les décisions sur le fait de savoir qui doit recevoir des soins ; les soins devraient être réservés aux personnes non handicapées et ne pas être apportés à ceux qui « de façon irréversible ne peuvent pas être ou devenir des citoyens à part entière »… et par exemple, aucun soin ne serait prodigué aux personnes atteintes de démence. Il a aussi déclaré :

Contrairement à la répartition par sexe ou par race, l’allocation selon l’âge n’est pas une discrimination injuste : toute personne vit à travers les différentes étapes de sa vie au lieu d’avoir un âge unique. Même si les 25 ans reçoivent la priorité sur les plus de 65 ans,

Emmanuel dit que ses paroles ont été prises hors contexte, mais il est difficile de voir comment. Le sujet de la suppression des soins de santé pour les personnes âgées revient en permanence sur la table. Un groupe d’experts défendant les malades en phase terminale a publié une lettre dans le Daily Telegraph au Royaume Uni, mettant en évidence la manière dont les gens, surtout les personnes âgées et pour des raisons évidentes, ont été à tort diagnostiqués « sur le point de mourir ». Et ce point est extrêmement important, car au Royaume-Uni le National Health Service (service de santé national) a introduit une politique de retrait de substances alimentaires et liquides et des traitements, une fois que le patient est considéré comme étant sur ce qu’ils appellent la « voie de la mort ». Le patient est nourrit de sédatifs en permanence jusqu’à sa mort, masquant ainsi le fait que sa santé s’est améliorée. Entre autres, une lettre a été signée par le professeur Millard, professeur émérite en gériatrie à l’université de Londres et par le docteur Peter Hargreaves, consultant en médecine palliative au St Luke’s Cancer Centre de Guilford. Elle disait que les patients sont diagnostiqués « sur le point de mourir » sans tenir compte du fait que le diagnostic pourrait être faux. Le docteur Hargreaves a dit que certains patients ont été à tort mis sur la « voie de la mort » ce qui a amené à la concrétisation de la prévision. Il a dit avoir personnellement sorti des patients de cette « voie » et que ces derniers avaient continué à vivre sur une durée de temps significative. Il a mis en garde sur le fait que beaucoup de médecins ne vérifiaient pas assez les progrès faits par les patients pour remarquer une amélioration de leur état. « Je pratique la médecine palliative depuis plus de 20 ans et je suis très préoccupé par cette « voie de la mort », dit-il. Hazel Fenton, une grand-mère britannique de 80 ans, s’est vue retirer ses médicaments et sa nourriture en vertu de ce « schéma » quand les médecins lui ont dit qu’il lui restait quelques jours à vivre. Neuf mois plus tard, elle était toujours en vie après que sa fille indignée, Christine Ball, a bataillé auprès des médecins pendant quatre jours pour qu’on alimente sa mère et qu’on lui donne à nouveau ses médicaments. Une infirmière a même demandé à Christine ce qu’elle comptait faire du corps de sa mère. Christine a raison quand elle dit : « on laissait ma mère se déshydrater et mourir de faim jusqu’à ce que mort s’en suive. » C’est un subterfuge pour une euthanasie légalisée des personnes âgées… Un goutte à goutte pour une euthanasie imposée.

Autre chose… Cass Sunstein (sioniste Rothschild), choisi par Obama pour prendre la tête du Bureau des affaires de l’information et des règlementations, a aussi appelé à une politique de récupération des organes des victimes même si elles n’ont pas demandé qu’il en soit fait ainsi. C’est actuellement l’inverse. Mais la politique de Sunstein est à deux doigts d’y arriver par voie juridique. Le goutte à goutte, encore une fois. Il a présenté ses propositions dans un livre intitulé Nudge : La méthode douce pour inspirer la bonne décision en collaboration avec Richard H. Thaler. Ils y parlent d’introduire ce qu’ils appellent le « choix autorisé » comme quand un gouvernement vous oblige à décider d’une chose en votant oui ou non, ou quand on se voit refuser des choses comme le permis de conduire. Le terme « nudge » du titre signifie « coup de coude » et il fait référence au gouvernement et aux institutions ayant l’intention d’influencer ou de « pousser du coude » les citoyens pour qu’ils aillent dans la direction que, eux, pensent être la meilleure. Il n’est pas dur de voir pourquoi Sunstein séduit autant Obama et ses gestionnaires.

Une autre question : où iront tous les organes si la politique du « oui » est introduite ? Iront-ils tous à des patients greffés ? Bien sûr que non ! Alors, à quoi d’autre pourraient-ils servir quand on sait que l’on a affaire à des entités qui se nourrissent de chair humaine ? Je ne préfère pas y penser.

DROGUER LES ENFANTS ET LES JEUNES GENS

Les cibles les plus intéressantes pour Big Pharma et les industries de biotechnologies sont les enfants et les jeunes. Aleister Crowley, le sataniste franc-maçon et Illuminati, a dit des enfants : « Prenez-les avant l’âge de huit, après il sera trop tard. » Ils veulent les posséder mentalement, émotionnellement et les détruire de façon vibratoire le plus tôt possible, afin de les enfermer à vie dans la matrice et les déconnecter de la Conscience « extérieure ». 

Je vous soumets une statistique stupéfiante… Aux États-Unis, un enfant sur dix prend du Ritalin, un médicament psychotrope, et certaines études prétendent que c’est un sur huit. Et vous savez quoi ? Le Ritalin est un dérivé de la cocaïne. Ce qui est en train de se passer avec les enfants du monde entier est un exemple criant du totalitarisme sournois, et les chiffres concernant la consommation de Ritalin montrent à quel point cela va loin. D’autres chiffres incroyables : les médecins britanniques ont prescrit 3 500 ordonnances pour la prise de Ritalin en 1993 ; en 1996, c’était passé à 26 500 ; en 2006, les services de santé britanniques (médecins généralistes non inclus) sont arrivés à 250 000 prescriptions ; en 2007, c’était passé à 461 000. On a atteint un chiffre si élevé que même un porte-parole du gouvernement a suggéré que l’on freine ces prescriptions. En parallèle au Ritalin, d’autres médicaments de substitution ont été fabriqués, toujours avec la même obsession du plan visant à droguer les jeunes.

Aujourd’hui, droguer les enfants et les jeunes gens fait partie du plan.

On retrouve des médicaments suivants : Adderall, Concerta, Metadate CD, Ritalin LA, Focalin XR et Strattera (atomoxétine). La famille Bush, très liée aux laboratoires Eli Lilly, est comme vous vous en doutez, fortement impliquée. Un autre des médicaments que l’on donne aux enfants est le Risperdal, qui a été utilisé sur des prisonniers politiques en Union Soviétique afin d’obtenir des informations. David Healey, un expert renommé en psychopharmacologie à l’université de Cardiff, au Pays de Galles, nous dit ceci : « Les personnes qui ont pris du Risperdal peuvent dire n’importe quoi à n’importe qui. Quand on pense que l’on donne ça à des enfants, la donne change complètement. » Penchons nous là-dessus un instant : il est donc légal de donner à des enfants une drogue qui était administrée à des prisonniers politiques en Union Soviétique et qui visait à les faire parler. Une étude publiée en 2010 dans le Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry révèle que le Risperdal et d’autres neuroleptiques sont administrés à des enfants d’à peine deux ans. Elle révèle aussi que le nombre de cas où ce médicament est administré à des enfants entre deux et cinq ans a doublé ces dernières années, tel est le plan pour droguer de jeunes gens le plus tôt possible. Les médicaments produisent le même effet que les amphétamines et la cocaïne. Ces dernières, bien sûr, sont illégales, pourtant l’industrie pharmaceutique et ses laquais, que l’on nomme « médecins » prescrivent tout à fait légalement de pareils médicaments aux enfants comme l’on donne des bonbons à Noël. Ces médicaments ont aussi des répercussions sur la santé, comme des problèmes de diabète. Comme pour tous les médicaments, on parle « d’effets secondaires », mais il n’en est rien. Ce sont les effets qu’ils provoquent, rien de « secondaire » là-dedans. Le « problème » dont Big Pharma fait la promotion pour déclencher cette explosion d’abus de médicament chez les enfants, est ce qu’ils appellent troubles du déficit de l’attention avec hyperactivité ou TDAH. Voici ce que dit le professeur Healey : 

Les laboratoires pharmaceutiques mènent une campagne active pour convaincre les gens que les TDAH se produisent aussi chez les adultes. Les adultes qui ont des problèmes sont diagnostiqués comme atteints de TDAH et se voient proposer des médicaments pour les soigner. Les compagnies pharmaceutiques ont rapidement commercialisé ces médicaments. Comment les médecins généralistes peuvent refuser de prescrire un médicament qui fonctionne et qui est « reconnu cliniquement » ? 

La réponse à cette question est : en ayant leur propre idée sur le sujet. Aujourd’hui, les preuves sont réunies pour dire que ces médicaments n’ont même pas d’impact sur l’« affection » qu’ils sont sensés soigner, et beaucoup d’experts disent qu’il n’existe pas de troubles du déficit de l’attention avec hyperactivité, sauf ceux causés par des additifs alimentaires. Dans ce cas, nous parlons de ce que j’appelle aucun-problème-réaction-solution (voir les « armes de destruction massive » en Irak). C’est une escroquerie mise en place par Big Pharma qui invente de plus en plus de maladies et de syndromes pour justifier le nombre croissant de médicaments et de vaccins. Ils engrangent plusieurs milliards de dollars grâce aux personnes physiquement, mentalement et émotionnellement malades, et pour augmenter leurs profits, ils ont besoin de plus en plus de maladies, et de faire en sorte, par le biais du aucun-problème-réaction- solution, que la population s’y s’intéresse. Cela va même jusqu’à inventer des maladies qui n’existent pas en réalité. Mike Lambert, de la clinique Shen sur l’Île de Wight, dit que l’industrie pharmaceutique considère comme « une maladie » le système immunitaire naturel ainsi que d’autres réactions nécessaires à la santé de l’être humain. Il dit que les nausées matinales lors de la grossesse sont la manière que le corps a trouvée pour expulser les toxines, mais cela n’affecte pas le bébé. Les médicaments pour traiter ces troubles forcent le corps à garder ce qu’il veut expulser. Mike dit que dans de telles circonstances, des fausses couches surviennent car le corps stoppe la grossesse quand son système est devenu trop toxique. Regardez ce qui est arrivé quand des milliers de femmes enceintes ont pris la Thalidomide à la fin des années 1950 et au début des années 1960 pour supprimer les nausées matinales. Elles ont accouché de bébés présentant de graves malformations, certains étant nés sans bras. On en a parlé comme une des « plus grandes tragédies médicales des temps modernes ». Beaucoup de réactions du corps, qui aujourd’hui sont vues comme des problèmes ou des « maladies » nécessitant un traitement délivré par le cartel médicamenteux, sont en réalité des réactions naturelles du corps visant à corriger des déséquilibres ou de réagir à un problème potentiel, nous dit Mike. En gros, « les troubles du déficit de l’attention » ça signifie que l’école vous ennuie tellement, que vous ne pouvez pas vous concentrer sur la merde qu’ils cherchent à faire entrer dans vos têtes. J’en ai moi-même souffert conformément à cette définition, mais je pouvais toujours me concentrer sur un match de foot que je regardais par la fenêtre ou que je jouais sur le terrain. Les troupeaux de médecins d’État, de psychiatres et de profs et autres robots, ont répondu à cette « maladie » en administrant aux victimes les médicaments épouvantables de Big Pharma comme le Ritalin (contenant du méthylphénidate) qui réoriente chimiquement le cerveau et le système nerveux central. Voici quelques-uns de ses effets secondaires… non, quelques-uns de ses effets : 

Nervosité et insomnie, perte d’appétit, nausées et vomissements, vertiges, palpitations, maux de tête, changement du rythme cardiaque et de la pression artérielle, éruptions cutanées et démangeaisons, douleurs abdominales, perte de poids, problèmes digestifs, épisodes psychotiques, syndrome de dépendance aux médicaments, tremblements, contractions musculaires, fièvre, convulsions, maux de tête (pouvant être sévères), perturbation du rythme cardiaque et de la respiration (pouvant être profonds et menacer la vie), anxiété, agitation, paranoïa, hallucinations, répétition excessives de mouvements et de tâches vides de sens, fourmillements et grave dépression dès que l’on arrête le médicament. 

Voilà mon chéri, avale ça, je vais te chercher un verre ! Les docteurs savent ce qu’ils font. Ils distribuent aujourd’hui ces trucs aux enfants, ainsi que d’autres médicaments, comme ils distribueraient des confettis, et ce n’est qu’une partie de la guerre qu’ils livrent aux enfants (voir la guerre au système immunitaire, la guerre faite à la liberté, la guerre à la diversité, ainsi de suite). Un rapport d’août 2009 tiré de Archives of General Psychiatry, un journal de l’Association médicale américaine, a constaté que les antidépresseurs comme le Ritalin, le Prozac et de semblables mélanges sont les médicaments les plus prescrits aux États-Unis. L’utilisation de ces médicaments est montée en flèche depuis 1996. On a estimé que près de 27 millions de personnes avaient pris ces médicaments psychotropes.

Médicalisation de l’esprit humain.

Ils sont prescrits à des enfants de six ans. En réalité, certains parents donnent du Ritalin qu’ils ont acheté sur Internet à leurs enfants pour les « aider à se concentrer » sur leurs études et leurs examens. Ces enfants sont victimes de mauvais traitements. Des parents donnent des médicaments à leurs enfants car ils trouvent qu’ils « s’ennuient, qu’ils sont agités ou distraits. » Mince alors ! Avec des parents comme ça, il ne faut plus s’étonner. Un type étrange, le professeur John Harris, « expert en bioéthique » à l’université britannique de Manchester, a encouragé la prise de Ritalin, autant pour les enfants que pour les adultes, le comparant à la « lumière synthétique », l’équivalent de ce que la lueur du feu, la lumière d’une lampe et la lumière électrique sont au Soleil. Il a dit que les adultes devraient en prendre pour « améliorer leur force intellectuelle ». Bon, alors vraisemblablement, il devrait en prendre lui aussi. Je n’ai rien à ajouter. Il est clair que ça ne fonctionne pas. Une étude publiée en janvier 2010 dans l’édition de Archives of General Psychiatry a révélé une sérieuse augmentation de la prescription de deux, voire plus, de médicaments utilisés en psychiatrie et pris ensemble, et c’est connu sous le nom de « polypharmacie psychiatrique ». Des chercheurs ont fait des enquêtes sur les médicaments prescrits entre 1996 et 2006 sur plus de 13 000 consultations d’adulte en psychiatrie, aux États-Unis. Ils ont constaté que le pourcentage de personnes à qui deux médicaments, voire plus, avaient été prescrits était passé de 42,6 % à 59,8 %, et que le pourcentage de prescription de trois médicaments ou plus était passé de 16,9 % à 33,2 %. Le nombre de médicaments prescrits à chaque rendez-vous a augmenté en moyenne de 40,1 %. Même si vous ne prenez pas directement ces médicaments, on les retrouve dans l’eau du robinet. Une enquête de l’Associated Press a revélé que des antibiotiques, des antispasmodiques, des stabilisateurs d’humeur, des hormones sexuelles et toute une série d’autres médicaments ont été dépistés dans les réserves d’eau potable d’au moins 41 millions d’Américains. C’est simple : plus vous droguez la population, plus elle en rejettera les résidus dans les urines et cela se retrouvera dans les réserves d’eau potable. Tout est planifié. Il existe un autre aspect vital de cette médication de masse et il a été prédit, en 1959, par Aldous Huxley, membre de la société des Fabiens et auteur du Meilleur des mondes

Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire, en réalisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront privés de leurs libertés, mais en ressentiront plutôt du plaisir car ils seront détournés de la rébellion par la propagande, le lavage de cerveau, ou le lavage de cerveau amélioré par des traitements pharmacologiques. 

C’est précisément ce qui se passe aujourd’hui. On prévoit d’implanter une micropuce dans chaque bébé dès la naissance, puis de le soumettre à une vaccination obligatoire et à une médication à vie, afin d’assurer un contrôle complet de l’État du berceau à la tombe. On les isole dans les cinq sens puis on programme leurs esprits déconnectés en contrôlant les sources d’information : les médias et ce qui se fait passer pour de l’« enseignement ». Pour ceux qui ne seront toujours pas programmés et qui auront une perception des choses différente du reste du troupeau, il y a maintenant une solution de secours en pouvant diagnostiquer des troubles du déficit de l’attention, avec hyperactivité et en les amenant à prendre des médicaments pour embrouiller l’esprit. La conspiration pour un contrôle mondial vise tout le monde, mais les cibles principales sont les enfants et les jeunes, qui seront des adultes, quand la structure de la dictature mondiale sera en place et quand les reptiliens décideront de se faire connaître. Les hybrides reptiliens sont bien conscients, aussi, que l’effet de tout ceci est cumulable et que le temps que les enfants grandissent leur corps et leur esprit seront dégradés sur une plus grande échelle qu’ils ne le sont aujourd’hui. Nous voyons à maintes reprises que les jeunes qui ont entamé des parcours de folie à l’école, à l’université et ailleurs se sont vus prescrire des médicaments psychotropes.

Les jeunes gens, aux parcours scolaires épuisants, prennent automatiquement des médicaments psychotropes.

Les effets en sont décrits par des parents dont les enfants ont pris du Ritalin ou du Risperdal : 

C’était comme si mon fils avait été remplacé par un zombi doppé. Je ne pouvais pas le réveiller le matin. C’était comme si sa personnalité disparaissait, tel un aliéné dans un hôpital psychiatrique. 

… Au bout d’un mois, j’ai su que quelque chose de terrible se passait. Je n’arrivais pas à le réveiller le matin. C’était comme si mon fils disparaissait de ma vue. J’ai fait des recherches et me suis aperçu que l’on donnait ces médicaments à des adultes dans les hôpitaux psychiatriques. Pourquoi l’ont-ils prescrit à mon fils ? 

Quand c’est un docteur qui vous propose ça vous souriez et vous acquiescez. Je n’y connaissais rien en matière de médicaments, ni sur leur niveau de toxicité. Mais les choses se sont rapidement détériorées quand John a commencé à le prendre. Il est devenu agressif et il ne pouvait faire face au mot « non ». Il est devenu horrible. Les docteurs ont augmenté la dose et il s’est transformé en monstre. Il se tapait la tête contre les murs et jetait des affaires par les fenêtres. Les docteurs ont dit : « Il faut plus de Ritalin ». 

Comme je l’ai dit, si vous voulez localiser un idiot, commencez par les professions médicales. La plupart des médecins ne sont pas des guérisseurs, ce sont des pharmaciens. Ils distribuent simplement des médicaments que leurs ordinateurs leur disent de prescrire dans tel ou tel cas. Je tape, j’appuie sur « Entrée » et je vous prescris ceci. Les enfants et les jeunes gens sont ciblés sous tous les angles et leur perception est déformée par le poison, contenu dans leur nourriture et dans les boissons, qui brûle leur cerveau ; par les médicaments comme le Ritalin ; par les micro-ondes et la pollution électromagnétique, surtout celle des téléphones mobiles ; par la programmation de leur réalité au travers de l’« enseignement » et du « divertissement » ; et par les termes linguistiques appauvris, conséquents à l’envoi de SMS. Bertrand Russell, membre de la société des Fabiens et eugéniste, a écrit en 1953 dans son livre The Impact of Science on Society (L’impact de la science sur la société) : 

Je pense que le sujet qui sera d’une importance capitale du point de vue politique est la psychologie de masse… Son importance a considérablement augmenté grâce à la croissance des méthodes modernes de propagande, dont ce que l’on appelle l’« éducation » est la plus influente. La religion joue aussi un rôle bien qu’elle soit en perte de vitesse ; la presse, le cinéma, et la radio jouent un rôle de plus en plus important… On peut espérer qu’avec le temps, tout le monde sera en mesure de convaincre quiconque de quoi que ce soit, s’il arrive à avoir un jeune patient et si l’État lui procure argent et équipement. 

Même si cette science est étudiée avec assiduité, elle sera rigidement limitée à la classe dirigeante. Le peuple ne sera pas autorisé à connaître la façon dont ses convictions ont été générées. Quand la technique aura été mise au point, chaque gouvernement en charge de l’éducation d’une génération sera en mesure de contrôler ses sujets en toute sécurité, sans avoir besoin de l’armée ou de la police…

… Fiche a posé le principe que l’éducation doit viser à détruire le libre arbitre, de sorte qu’une fois que les élèves ont quitté l’école, ils soient incapables, pour le reste de leur vie, de penser ou d’agir autrement que ce que leur ont inculqué leurs maîtres d’école. 

L’alimentation, les injections, les injonctions, tout va se mélanger dès le plus jeune âge, afin de produire le genre de personnages et le genre de croyances que les autorités considèrent comme souhaitables, et toute critique sérieuse du pouvoir en place deviendra psychologiquement impossible. 

Peu à peu, grâce à la reproduction sélective, les différences congénitales entre gouvernants et gouvernés vont s’accroitre jusqu’à l’obtention de deux espèces différentes. Une révolte de la plèbe deviendrait aussi impensable que l’insurrection organisée de moutons contre la consommation de viande de mouton.

Toutes ces choses ne vont faire que s’accroître en relation avec les nombreux autres moyens qui visent les enfants et les jeunes gens. Leur perception sera manipulée et ils seront déconnectés de la Conscience. Le corps est un système électrochimique et tout déséquilibre a des conséquences négatives, aussi bien mentalement, physiquement, qu’émotionnellement, et à un certain niveau, toutes sont des phénomènes électrochimiques. Ce n’est pas une coïncidence si depuis que la conspiration reptilienne a commencé son sprint vers la ligne d’arrivée, ces trente dernières années, la population, et plus particulièrement les jeunes, a été bombardée d’attaques électrochimiques.

Source: Extrait du livre de David Icke