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LES ILLUMINATI

LE VRAI VISAGE DU SYSTÈME DE MALADIE APPELÉ SANTÉ PAR LA MATRICE

Lisez l’article ci-contre avant de continuer la lecture: Réseaux sataniques et présence reptilienne: nouvelles révélation sur une vérité qui dérange
[Source: Paul Ponssot]

Une série à regarder pour comprendre qui nous tient en esclavage.
Titre: V

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Les involuants notoires de 4D qui se sont incarnés n’ont pas de corps émotionnel, d’où leur cruauté leur permettant de faire ou de dire des choses absolument abominables. On trouvera donc en intégralité ce que nous appelons les Illuminatis. Ils seront accompagnés par tous ceux qui n’ont absolument plus aucune flamme dans les yeux (preuve que ce sont des clones, des robots biologiques) car la proportion de pollution-infection de leur ADN est maximale.

C’est celle qui correspond à toutes les personnes ayant un taux vibratoire très largement insuffisant. Elle correspondra généralement à tous ceux et celles qui sont vraiment dans les profondeurs de la densité 3D et qui sont majoritairement des clônes humanoïdes.

Les involuants qui nous manipulent en ce monde de 3D et qui sont incarnés dans un corps physique de type humanoïde homo-sapiens-sapiens ne sont que les sous-fifres, les marionnettes de ceux qui tirent les ficelles à partir de l’UN-visible et donc à partir de la 4D.

Sous l’aspect des préhumains d’aujourd’hui, il se cache en vérité un nombre incroyable d’hybrides, c’est-à-dire que nombres de ces fameux Archontes, Dracos et autres, sont ici présents dans notre quotidien.

Dans ces corps physiques (des coquilles, puisque ce sont des véhicules de matière), il se trouve des chauffeurs qui ne sont pas tous d’origine “humaine”. Ainsi, planqués derrière des vitres fumées (le secret, la confidentialité, son jardin secret et surtout le programme de la honte), les véritables involuants se sont physiquement immiscés dans l’humanité.

Or, même les gangsters, les banksters, les politiciens et autres se reproduisent… faisant ainsi que progressivement les “Dieux” se sont mélangés aux filles des hommes… Dit autrement, nous sommes plus ou moins tous infestés au niveau de l’ADN et aucun d’entre nous ne sent vraiment la rose. Intrinsèquement nous puons le fuel mais à plus ou moins forte dose. Disons entre 70% à 100% !
[Source: Laurent Dureau]

Aujourd’hui, le réseau de sociétés secrètes opère mondialement par le biais de groupements comme les jésuites, les templiers, les chevaliers de l’ordre de Malte, l’Opus Dei et la Franc-maçonnerie, ne formant qu’une seule unité au sommet. Cette « unité », ou force, qui rassemble les plus grandes sociétés secrètes porte le nom d’« Illuminati » signifiant littéralement « les illuminés », les « éclairés ». C’est une série de degrés dans laquelle les autres sociétés secrètes placent leurs quelques élus et l’accès aux rangs les plus élevés de la pyramide des Illuminati se fait par filiation uniquement.

Méticuleusement choisi, les initiés des sociétés secrètes « individuelles » grimpent les échelons jusqu’à la pyramide des illuminati dont personne ne connaît l’existence. Cette pyramide est strictement compartimentée et seuls les descendants des grandes lignées accèdent au sommet.

La grande majorité des membres des sociétés secrètes ne savent même pas qu’il y a des degrés chez les illuminati. Ils pensent qu’il n’y a pas plus haut dans la hiérarchie que le dernier échelon de leur propre société secrète. Ils ne connaissent pas le vrai plan, tellement leur savoir est compartimenté en un dédale de « degrés » différents, de groupes et de symboles. Une mauvaise interprétation des symboles empêche d’en retirer toute signification, et les strates les plus basses sont systématiquement trompées afin que le vrai savoir reste l’exclusivité des lignées. Ces lignées ont besoin de prendre des « étrangers » dans leurs sociétés secrètes, leurs corporations ou leurs gouvernements, parce qu’ils ne sont pas assez nombreux pour faire avancer leur plan de contrôle du monde. Elles vont s’en servir de faire-valoir ignorants, spécialement dans les sociétés secrètes et pour cela elles ont créé une structure qui empêche la divulgation de ce qu’elles seules savent. Les illuminati ont toujours caché la vérité dans une masse complexe de degrés, de niveaux, de contradictions, de mystiques et de mensonges. Carl Claudy, secrétaire exécutif des francs-maçons de Washington D.C. disait ceci : « Percez la coquille et trouvez une signification ; passez à travers cette signification et trouvez-en une autre ; sous celle-ci, si vous creusez assez profond, vous pouvez en trouver une troisième, puis une quatrième — qui pourra dire combien d’enseignements ? » Tout est compartimenté afin que seuls quelques-uns puissent comprendre ce qui se passe. Le nom d’illuminati est celui dont se servent les grandes lignées au sein de leurs réseaux, mais, en général, ils préfèrent n’utiliser aucun nom. Cela rend toute recherche bien plus difficile. Beaucoup de personnes s’y perdent entre les illuminati, les réseaux de sociétés secrètes des grandes lignées remontant à plusieurs milliers d’années, même plus, et les illuminés de Bavière, groupe formé officiellement en 1776. Cela a eu une influence décisive sur de nombreux événements mondiaux, y compris la Révolution française, mais les illuminés de Bavière ne sont qu’une partie de la toile et non la toile elle-même.

LA DICTATURE CACHÉE

Le plan des lignées visant le contrôle mondial a avancé à pas de géant une fois que les puissances européennes ont commencé à donner l’« indépendance » à leurs anciennes colonies, particulièrement les États-Unis. Cela paraît contradictoire, mais c’est la vérité. En donnant « apparemment » l’indépendance aux colonies, elles ont en fait échangé un moyen de contrôle pour un autre bien plus efficace. Quand vous vivez sous une dictature, qu’elle soit communiste, fasciste, que ce soit l’apartheid ou la domination coloniale, vous savez au moins où vous vous trouvez. Vous savez que l’on vous contrôle et plus ou moins qui vous contrôle. Cette forme de dictature a une durée limitée, parce que le besoin de liberté finit par la faire tomber, même si cela peut prendre du temps. La forme la plus puissante de contrôle est celle que l’on ne voit pas, dont on ne connaît même pas l’existence. On donne au gens une illusion de liberté en leur permettant de voter tous les quatre ou cinq ans, mais derrière le rideau ce sont toujours les quelques mêmes qui dirigent, quel que soit le résultat de l’élection. Une démocratie est supposée être dirigée par la « majorité », une vraie tyrannie en soi, mais ce n’est même pas ça. C’est une dictature instaurée par un petit nombre se cachant derrière le voile d’une société soi-disant libre et ouverte. George Bush junior et Barack Obama, par exemple, sont finalement contrôlés par les mêmes personnes et peu importe que ce soit les Républicains ou les Démocrates qui, en théorie, sont à la Maison Blanche. Dans les deux cas, ces mêmes personnes de l’ombre dictent la politique, imposent les événements pour le compte du complot fomenté par les lignées, et cela s’applique aussi bien au parti travailliste et au parti conservateur de Grande-Bretagne qu’à leurs semblables dans le monde. Les noms sont différents, mais le visage derrière le masque est le même. Comme on le dit souvent, peu importe pour qui vous votez, le gouvernement est toujours là — le gouvernement secret, la main cachée qui tire les ficelles des marionnettes mises en place pour soi-disant prendre les décisions. L’idée est de faire croire aux gens qu’ils sont libres alors qu’ils sont fondamentalement sous contrôle. On ne se bat pas pour être libre quand on pense l’être déjà. Si l’on est assis dans une cellule et que l’on est entouré de barreaux, on sait que l’on est en prison. Si l’on est assis dans une cellule mais qu’aucun barreau ne l’entoure, il est évident que l’on pense pouvoir en sortir à n’importe quel moment. Il faut tenter l’expérience, mais beaucoup d’entre nous ne le font pas. Les gouvernements nous parlent sans cesse de liberté et de « Monde Libre » et ils nous vendent ainsi la prison sans les barreaux. Ils nous racontent des conneries, bien sûr, mais nous devons les croire parce qu’autrement nous allons nous rendre compte que nous vivons, en vérité, dans une dictature à parti unique, contrôlée par une poignée de familles de grande lignée. Bien sûr, comme l’état mondial orwellien prend place à une vitesse grandissante, les barreaux sautent de plus en plus aux yeux de tout un chacun ayant un cerveau digne de ce nom.

On peut voir clairement à présent pourquoi beaucoup de « guerres d’indépendance » ont été organisées par ces mêmes pouvoirs coloniaux qui ont été remis en question. C’est exactement ce qu’ils souhaitaient afin de mettre en place une prison sans barreaux. Le « Boston Tea Party », élément déclencheur de la rébellion dans les colonies américaines, est rapporté dans l’histoire officielle comme une simple protestation contre une taxe, sur le thé et autres produits, imposée par la couronne d’Angleterre. Des hommes habillés en indiens de la tribu des Mohawks grimpèrent à bord de trois navires de la Compagnie des Indes orientales (contrôlée en fait par les lignées) et jetèrent 342 caisses de thé par-dessus bord. Cet événement a été planifié et mis en œuvre par les francs-maçons liés à la « Grande Loge » de Great Queen Street, à Londres. Les Britanniques, ou plutôt les lignées suméro-babylono-égyptiennes contrôlant la Grande-Bretagne, avaient planifié de perdre la guerre d’« indépendance » en Amérique afin d’étendre encore plus leur dictature, tout en restant dans l’ombre. Dans leurs « anciennes » colonies, ils laissèrent en place les lignées, cachées sous différents noms, ainsi que les réseaux de sociétés secrètes par le biais desquels ils prirent, ainsi que leurs représentants, les manettes du pouvoir. L’élite britannique en fit de même dans chacune de ses colonies, comme le firent les autres gouvernements européens sous l’administration de la même clique de grandes lignées. À ce jour, l’« indépendance » africaine consiste en une manœuvre des lignées qui, à travers les guerres, ont imposé des chefs d’état africains malléables à merci. Au Zimbabwe, Robert Mugabe en est l’exemple parfait. Un régime dictatorial a été imposé à son peuple grâce aux arrangements du ministre britannique des Affaires étrangères, Lord Carrington et sa suite, l’ancien secrétaire d’Etat américain Henry Kissinger, tous deux représentants du réseau des lignées. Les pays d’Afrique n’ont jamais été « libres » depuis leur « indépendance », pas plus que ne le sont les États-Unis, ou n’importe quelle autre « ancienne » colonie. Un contrôle manifeste a été remplacé par un contrôle caché, encore plus sinistre : l’occupation physique a fait place à l’occupation financière.

Les lignées familiales ont construit, pièce par pièce, siècle après siècle, un système de contrôle mondial, incroyablement étonnant dans sa portée, sa profondeur et dans ses moindre détails. Elles ont enfermé l’humanité dans une prison sans barreaux, ou plutôt, sans barreaux visibles, du moins jusqu’à maintenant. Mais la plupart des gens ne les voient toujours pas, aussi flagrant que cela puisse paraître. Déjà en 1923, l’écrivain Aldous Huxley disait : « La liberté ? Ça n’existe pas. Il n’est pas question de liberté dans ce monde, juste de cages dorées. » Il avait tellement raison. Ces « cages » sont les esprits fermés et cadenassés des gens, déconnectés systématiquement de la Conscience, comme je vais le démontrer. L’Homme vit sa vie dans une prison de perception, et le but des lignées est qu’il y reste.

VIENDRAS-TU DANS MON SALON ? DIT L’ARAIGNÉE À LA MOUCHE

Les lignées d’Illuminati contrôlent le monde par le biais d’un réseau mondial de sociétés secrètes et de groupes semi-secrets fonctionnant comme une grande multinationale. Le siège de la « société » dicte sa politique et, dans chaque pays, les organes subsidiaires vont l’imposer aux gens dans leurs sphères d’influence.

Les sièges opérationnels sont basés en Europe, plus précisément à Rome et à Londres, bien que ceux de Paris, de Berlin, de Bruxelles et d’Amsterdam soient également importants. Quand je parle d’« Europe », je ne parle pas des gouvernements en place aujourd’hui et qui auront disparu demain, je parle de la toile tissée par ces sociétés secrètes et dont le centre opérationnel est en Europe. Les organes subsidiaires basés dans chaque pays sont « sous-traités » afin de contrôler et de diriger la politique nationale, les affaires, le système bancaire, les médias, l’armée, la médecine, « la science », « l’éducation », etc. Ils font en sorte que tout soit conforme au plan donné par le « quartier général ». De cette façon, ils sont tout à fait capables de mettre en place une même politique mondiale pratiquement simultanément.

Le centre de la toile des Illuminati contrôle le monde de la même façon qu’un siège social dicte sa politique à ses filiales. Dans le cas des Illuminati, ces « filiales » se composent de réseaux de sociétés secrètes et de lignées familiales basés dans le monde entier, qui elles-mêmes ont des réseaux influençant tous les niveaux, du gouvernement national à la simple collectivité locale.

Dans chaque pays, ces réseaux d’organes nationaux subsidiaires, dirigés par les lignées d’Illuminati, ont leurs propres filiales ou « branches » dans les petites villes, les grandes agglomérations, mais aussi dans les communautés locales, et c’est cette structure qui permet au centre de la toile (au « quartier général ») d’exercer une manipulation à tous les niveaux de la société mondiale. La plupart des personnes impliquées ne savent même pas qu’elles participent à une grande conspiration visant à asservir le monde. On leur donne uniquement les informations dont elles ont besoin pour faire ce qu’on leur dit de faire, rien de plus. Ils utilisent la même technique pour construire une technologie secrète. Différents employés fabriquent diverses pièces sans savoir quel en sera le produit final. Seules les rares personnes qui assemblent les pièces savent de quoi il retourne. Ce principe est connu sous le nom de « cloisonnement » ou de « besoin de savoir » (« the need to know »).

Le réseau des Illuminati ressemble à une toile d’araignée géante dont les fils seraient les différentes sociétés secrètes, les organisations semi-secrètes, ainsi que d’autres qui opèrent ouvertement dans le domaine public. Ces dernières englobent les gouvernements, les multinationales et le système bancaire. Plus les « fils » sont proches de l’« araignée » au centre de la toile, plus les réseaux sont cadenassés. Les réseaux s’étendent au-delà du centre vers des organisations qui interviennent directement sur la société. Mais tous les « fils » sont contrôlés, de près ou de loin, par l’« araignée » et ses « hommes de l’ombre ». Au niveau opérationnel, les personnes clefs parmi les « hommes de l’ombre », ceux qui appliquent les lois de l’« araignée », font partie de la dynastie bancaire des Rothschild, comme je vais l’expliquer en détail.

Neil Hague a fait ce superbe portrait de la structure en toile d’araignée au travers de laquelle un très petit nombre impose l’orientation du monde.

Un des regroupements les plus importants de la toile d’araignée rassemble plusieurs organisations reposant sur une société secrète appelée la Table Ronde. Cette société secrète a été fondée par les Rothschild, à Londres, à la fin du XlXe siècle. Elle a été placée sous le contrôle de l’agent des Rothschild, Cecil Rhodes, qui pilla, pour eux et pour les Illuminati, l’Afrique du Sud. La Rhodésie, région rassemblant aujourd’hui le Zimbabwe et la Zambie, porte son nom. La Table Ronde a donné naissance à une série de « groupes de réflexion » tout au long du XXe siècle et continue de nos jours. Surveillez de près ces « groupes de réflexion ». Ils sont les canaux principaux servant aux lignées pour nous manipuler et deviennent de plus en plus importants. Parmi les satellites de la Table Ronde, on trouve : l’Institut Royal des Relations Internationales à Londres (fondé en 1920), le Conseil des Relations étrangères aux États-Unis (1921), le Groupe Bilderberg qui opère en Europe, en Amérique du Nord mais aussi dans le monde entier (1954), le Club de Rome qui manipule le mouvement écologiste et nous vend le mensonge du réchauffement climatique causé par l’homme (1968) et la Commission Trilatérale qui se concentre sur l’Europe, les États- Unis et le Japon mais qui a une portée mondiale (1973). Fondées en 1945, les Nations Unies sont une création de ce réseau, comme l’a été la Communauté Économique Européenne, aujourd’hui l’Union européenne, fondée en 1957 grâce au Traité de Rome. Les membres et les participants de ces groupes de la Table Ronde occupent des postes clefs dans les gouvernements mondiaux, dans l’Union européenne, et à l’OTAN. On les retrouve également dans la banque, les affaires, les médias et ainsi de suite. Ceci permet à une perception et une stratégie communes d’être développées puis introduites au travers d’une coordination centrale. En juillet 2009, le secrétaire d’État américain Hilary Clinton, a fait un discours au Conseil des Relations étrangères en l’honneur de la création d’un nouveau bureau à Washington DC. Voici ce qu’il disait :

J’ai souvent eu l’occasion de me rendre à New York dans ce que l’on pourrait appeler le vaisseau-mère, mais il est bon d’avoir un satellite du Conseil tout près du département d’État, dans la même rue. Cet organisme est très généreux de ses conseils à notre égard, ce qui veut dire que je n’aurai pas à faire d’aussi longs déplacements pour qu’on me dise ce que nous devons faire et comment nous devons envisager l’avenir.

Le terme « qu’on me dise » est très important. Zbigniew Brzezinski, l’ancien conseiller à la sécurité nationale du Président Jimmy Carter et mentor de Barack Obama, est, avec David Rockefeller, un des co-fondateurs de la commission trilatérale de la Table Ronde. La famille Rockefeller est de lignée sumérienne. Ses membres ont fait des mariages avec ceux de la famille Rothschild, à qui ils obéissent. Le rôle des Rockefeller est de diriger la « filiale » des États-Unis et leurs plus grands représentants, tel David Rockefeller, opèrent dans le monde entier. Les noms de Rothschild et de Rockefeller vont nous accompagner pour tout ce qui concerne l’orchestration des guerres, des crises économiques, du contrôle des gouvernements, mais aussi en ce qui concerne le système bancaire, les grandes entreprises mondiales, la médecine, les industries pharmaceutiques et de biotechnologie, les médias, les services de renseignement, les sociétés secrètes, et beaucoup d’autres choses encore. La banque est leur atout principal pour assurer la manipulation et John F. Hylan, le maire de New York au début du XXe siècle, disait au sujet de Rothschild et de sa machination bancaire : 

La véritable menace pour notre république est le gouvernement invisible, qui comme une pieuvre géante, étend ses tentacules gluants autour de notre ville, Etat et nation. À sa tête se trouve un petit groupe d’établissements bancaires, plus communément appelés « banquiers internationaux ».

Pour « banquiers internationaux », lisez « Rothschild ». Les Rothschild et les grandes lignées détiennent les banques et les grandes sociétés, grâce au contrôle financier et aux directeurs mis aux postes clefs pour diriger l’organisation suivant les instructions données. Il est ainsi plus aisé de dissimuler l’importance de la main-mise de ces lignées sur le monde. Combien de personnes sont au courant que les Rothschild contrôlent la plupart des biens du Vatican et qu’ils sont les conseillers financiers du gouvernement chinois ? D’après Eustace Mullins, le dernier à avoir fait pendant plusieurs décennies des recherches sur les Rothschild, ils ont repris les opérations financières mondiales de l’Église catholique en 1823. Leurs agents sont présents partout, par contre, leurs maîtres restent dans l’ombre.

LA SOCIÉTÉ DES FABIENS

Un autre groupe d’Illuminati qu’il ne faut pas oublier de citer est la Société des Fabiens (ou Société fabienne). Elle est décrite comme un « mouvement d’intellectuels socialistes britanniques dont l’objectif est de faire progresser les principes d’une démocratie sociale via le gradualisme et le réformisme plutôt que par des méthodes révolutionnaires. Autrement dit, cette société, depuis sa création en 1884, s’est engagée dans un « changement » au goutte à goutte qui allait mener le monde où il est aujourd’hui. Elle tiendrait son nom de celui du général romain Quitus Fabius Maximus Verrucosus, appelé aussi Fabius, et qui se servait de stratégies très bien étudiées pour épuiser ses ennemis et éviter des batailles qui auraient pu lui être fatales. C’est une technique que j’appelle le « totalitarisme sournois ». L’emblème de la Société des Fabiens est un loup déguisé en mouton, et là, tout est dit sur leur mode opératoire.

Le logo ô combien approprié de la Société des Fabiens.

Les membres de cette société utilisent également une technique qu’ils appellent l’« imprégnation » et que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de manipulation du consensus. Deux des premiers membres et sources d’inspiration de la Société des Fabiens ont été Sidney et Beatrice Webb, et le club a accueilli des personnes célèbres comme George Bernard Shaw, H.G. Wells, Virginia Woolf, Bertrand Russell et Ramsey MacDonald, qui a été le premier Premier ministre travailliste en 1924. Un autre membre de la société deviendra également Premier Ministre : le grand Illuminati, Harold Wilson (voir … And The Truth Shall Set You Free « … Et la vérité vous libèrera »).

George Bernard Shaw a écrit (cette citation est de H.G. Wells, dans The New World Order (1939) et a plus tard été reprise par Bernard Shaw, NDT) : « Cette révolution nouvelle et totale que nous envisageons peut être définie en très peu de mots. C’est un socialisme mondial pur, scientifiquement prévu et dirigé. » La société des Fabiens est une société essentiellement secrète, c’est elle qui a donné l’impulsion à la création du parti travailliste britannique en 1900, qu’elle contrôle toujours aujourd’hui. Tony Blair, l’ancien Premier Ministre britannique, est un membre de cette société et a été indéniablement mis en avant pour les besoins du plan. La Société des Fabiens a été derrière sa nomination en tant que leader du parti travailliste en 1995 après la mort, bien arrangeante, de son prédécesseur, John Smith. Pendant les dix ans passés à la tête de l’État britannique, Blair a initié le plan des Fabiens avec une ampleur et une rapidité extraordinaires. Deux cents membres de la société ont fait partie du Parlement britannique depuis l’élection de Tony Blair en 1997. On y compte son successeur Gordon Brown, et les ministres du gouvernement, Robin Cook, Jack Straw, David Blunkett, Peter Hain, Patricia Hewitt, John Reid, Ruth Kelly, Alan Milburn et Clare Short. Le dirigeant du parti travailliste aujourd’hui, Peter Mandelson, est extrêmement proche de la Société des Fabiens. Les Fabiens ne sont pas cantonnés au parti travailliste ou aux socialistes. L’organisation opère secrètement sur l’échiquier politique, installant son « imprégnation », manipulant le « consensus » pour le plan des Illuminati de la Société des Fabiens. C’est pour ça qu’on ne peut plus dissocier les différents partis politiques.

Quatre membres de la Société des Fabiens, Beatrice et Sidney Webb, Graham Wallas et George Bernard Shaw ont fondé une université des Illuminati plus connue sous le nom de London School of Economics and Political Science (LSE). Parmi les étudiants sortis de cette université, on trouve d’importants Illuminati, comme David Rockefeller et le financier milliardaire George Soros, des noms dont nous reparlerons souvent. Il y a aussi Richard Perle, un des leaders tristement célèbre et néo-conservateur de la clique qui contrôlait l’administration de G. W. Bush et également instigateur de la « guerre contre la terreur ». Le Président Kennedy a aussi étudié dans cette université, quoique très brièvement, ainsi que d’autres personnes dont vous ne pouvez même pas soupçonner les noms, comme Saif al-Islam Kadhafi, le second fils du dictateur libyen Mouammar Kadhafi, estimé comme son successeur. On y trouve des hommes politiques, des conseillers et des administrateurs gouvernementaux, des économistes, des journalistes, bref tous ceux qui sont passés par la LSE de la Société des Fabiens ou qui sont en contact avec cette organisation. C’est comme pour les universités d’Oxford et de Cambridge, ce sont des endroits où l’on recrute des membres actifs et dont la plupart n’ont aucune idée de la façon dont ils vont être utilisés par la suite. Le « Fabien » Tony Blair s’est marié à Cherie Blair, qui a été formée à la LSE. Ils se sont rencontrés lors de leur formation au métier d’avocat, dans le centre juridique contrôlé par les Templiers et connu sous le nom de « Temple ». Ils étaient tous les deux stagiaires dans le cabinet fondé par Derry Irvine, le futur ministre de la justice de Blair ayant également enseigné à la LSE. Blair inaugura « le vitrail des Fabiens » à la LSE en 2009. Ce vitrail dessiné par George Bernard Shaw en 1910, représente deux Fabiens importants aidant à construire un « monde nouveau ».

Le vitrail des Fabiens construisant un « monde nouveau ».

Ce vitrail disparu pendant 25 ans a été retrouvé à Phœnix en Arizona et est exposé à la LSE. On y voit deux Fabiens frappant la planète Terre à coups de marteau, placée sur une enclume, et au-dessus, un loup recouvert d’une peau de brebis. Une devise trône en haut du vitrail : « Remodèle le au plus près du désir du cœur. » La Société des Fabiens est le premier think tank (groupe de réflexion) se cachant derrière le parti travailliste de Grande-Bretagne, mais elle opère ouvertement dans d’autres pays comme l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, et officieusement dans d’autres groupements politiques aux États-Unis et ailleurs. Elle est en lien avec les grandes familles de banquiers, dont la maison Rothschild. Le Premier ministre australien, Bob Hawke, en a été membre et comme beaucoup d’hommes politiques étrangers, a été placé sous son patronage et son contrôle. On raconte qu’un sénateur du parti travailliste australien, Chris Schacht, a déclaré, en juin 2001, à la commission permanente d’enquête sur les traités, être membre de la Société des Fabiens depuis 20 ans. Il a ajouté « Vous n’êtes sans doute pas au courant que nous, les Fabiens, avons pris en charge la CIA, le KGB, le MI5, l’ASIO (Agence nationale de Sécurité Australienne), le FMI. la banque mondiale et beaucoup d’autres organisations. »

La société des Fabiens est un axe majeur de la toile, c’est certain, et connaît depuis sa création les plans à long terme des dictatures fascistes et communistes (le fascisme et le communisme étant interchangeables quand on fait abstraction de toutes les conneries qui font leur « différence »). Le fait que la Société des Fabiens accède au plan à long terme prévu pour le monde est de mise si l’on considère ceci : cela fait des années que je dis que si vous assemblez le livre de George Orwell, 1984 (publié en 1948), et celui d’Aldous Huxley, Le meilleur des mondes (1932), vous saurez à peu près tout sur la société mondiale que les Illuminati cherchent à imposer aujourd’hui. Et quelle « coïncidence » quand on sait que Orwell et Huxley étaient tous deux membres de la Société des Fabiens. Je soutiens depuis longtemps que le contenu de leurs livres n’était pas tiré de leur imagination mais du fait qu’ils savaient ce qui allait se passer. C’est pour cela que tout y est relaté aussi précisément. George Orwell (de son vrai nom Eric Blair) a eu Aldous Huxley comme tuteur en français au collège d’Eton, là même où les enfants de la Couronne d’Angleterre suivent leurs études, et ils sont restés de très proches amis toute leur vie.

Ils étaient tous les deux membres de la Société des Fabiens et ont tous les deux écrit des « romans » qui se sont avérés être extrêmement précis concernant le système de contrôle mondial qui prend forme très rapidement maintenant.

Huxley introduisit Orwell dans la Société des Fabiens, mais ce dernier perdit vite ses illusions, et ses « révélations », le livre 1984, est fondé sur ce qu’il a glané du temps où il fréquentait la société. Certains pensent que la société du Big Brother d’Orwell est située au début du XXIe siècle, mais cette date, 1984, est directement lié à la Société des Fabiens. En effet, le centenaire de la société a eu lieu en 1984. Une fois que l’on sait tout cela, il n’y a plus de doute sur l’inspiration de ces « romans » prophétiques. La Société des Fabiens a confisqué les archives d’Orwell à la mort de sa seconde femme, Sonia. Les représentants de la maison d’édition Harper Collins ont déclaré que la Société des Fabiens détenait les droits de 1984 jusqu’en 2025. Elle contrôle même les droits de succession d’Orwell. Ils ne veulent pas que la vérité sur ce qu’il a vraiment écrit soit dévoilée au grand public. Je vous expliquerai plus tard comment il est possible que ces groupes connaissent le plan que les Illuminati ont conçu pour le monde, plusieurs décennies, voire plusieurs centaines d’années auparavant.

VIDÉOS INTÉRESSANTES

Source: Extrait du livre de David Icke