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LA RÉSERVE FÉDÉRALE DES ÉTATS-UNIS

LA CRISE FINANCIÈRE MONDIALE

Les institutions et les structures mondiales doivent être imposées, y compris la banque centrale mondiale et la monnaie mondiale, en créant des problèmes auxquels des solutions seront apportées. Ils veulent que la banque centrale mondiale contrôle la finance mondiale et ils veulent créer une monnaie électronique (plus de billets, ni de pièces) pour remplacer les devises existantes. Afin d’arriver à leurs fins, ils ont besoin que de grosses difficultés économiques émergent, afin de suggérer la solution : une banque mondiale et une monnaie mondiale uniques. Le père jésuite Miguel D’Escoto Brockmann, président de l’assemblée générale des Nations Unies, s’est servi de la crise économique pour proposer un gouvernement mondial et un contrôle mondial de la finance quand il a présenté son document à l’ONU en juin 2009. Ce document disait : « … II est impossible de continuer à mondialiser les relations humaines sans des lois et des institutions mondiales… L’ensemble des problèmes du monde, toujours croissant, va exiger des mécanismes financiers mondiaux si l’on veut y mettre fin. » Problème-réaction-solution. En septembre 2009, les Nations Unies ont demandé la création d’une monnaie de réserve mondiale qui serait gérée par une nouvelle banque centrale mondiale, et le FMI a commencé à étendre ses activités pour devenir, de facto, la banque centrale mondiale. Cet appel est signifié dans un rapport des Nations Unies établi lors d’une conférence sur le commerce et le développement. Il est co-signé par l’économiste et mondialiste allemand, Heiner Flassbeck. Le même thème est appuyé dans le monde entier par les agents de la cabale, en Chine, en Russie, en Europe et en Amérique du Nord. Le dollar est condamné, ça c’est certain.

Le plan est de finalement abandonner le dollar

Ce jeu de l’esprit a commencé avec la crise économique de septembre 2008, lors des derniers jours de l’administration Bush, mais ce n’était que la première étape. Il a été immédiatement suivi par Bush et son banquier, le secrétaire au trésor et ancien directeur de Goldman (Rothschild) Sachs, Henry « Hank » Paulson, qui a distribué des milliards de dollars empruntés aux banques par les contribuables, et c’est ce qui a provoqué la crise. On a atteint plus tard les milliards de milliards de dollars. Qu’importe les familles ruinées à cause de la cupidité des banquiers. Il fallait sauver les banquiers, ou plutôt les gangsters qu’ils sont en réalité. En juin 2009, au beau milieu de la crise économique et après avoir reçu les 12,9 milliards de dollars, provenant du fonds de renflouement venant de l’argent des contribuables, Goldman Sachs a annoncé les plus grosses primes versées dans l’histoire de la firme. Ils se moquent de nous. M. « changement » Obama a non seulement continué la même politique de renflouement quand il a pris la relève, il l’a aussi amplifiée énormément, en donnant aux banques et au plan de relance des milliers de milliards de dollars d’argent emprunté. Ces sommes incroyables « d’argent » emprunté représentent la deuxième phase du plan qui en comporte trois pour que l’économie s’effondre à un point tel, que la banque centrale mondiale devra être perçue comme la « seule solution ». La phase numéro deux est de s’assurer que les gouvernements ont atteint les limites de leur capacité à répondre à la crise, en distribuant les fonds empruntés dans toutes les directions. Une fois que les balles sont tirées et que les barillets sont vides, les familles de lignées planifient d’alimenter encore plus la crise économique dans la phase trois. Tout sera déclenché au moment le plus propice, là où l’impact sera maximal et causera chaos et souffrance.

Les hybrides reptiliens banquiers et leurs agents ont créé des bulles puis les ont crevées.

Ce qu’ils veulent, ce sont des gens apeurés, stressés et traumatisés, des gens qui accepteront n’importe quelle solution pour résoudre ce problème. C’est un fait avéré en psychologie, quand les gens ont peur et sont stressés (le cerveau reptilien), ils s’ouvrent à toute suggestion. Ces techniques de traumatismes, utilisées par des gouvernements appliquant des programmes de contrôle de l’esprit, sont aussi utilisées sur la population. Pour en savoir plus, lire Le plus grand secret et Le guide David Icke de la conspiration mondiale (et comment y mettre un terme), vous aurez des détails concernant les programmes de contrôle de l’esprit utilisés par les gouvernements militaires. Il est tellement facile d’obtenir la réaction de la population que l’on veut avoir en déclenchant la panique dans le cerveau reptilien.

Il est si facile de créer une panique financière quand on contrôle le système bancaire, les marchés boursiers et les médias.

Le système financier est basé sur la confiance. Quand on a confiance en une banque, on ouvre un compte et on investi. Quand on perd cette confiance, on ferme son compte et on n’investit plus. Une fois la confiance envolée, il est étonnant de voir la vitesse à laquelle tout s’effondre. Il suffit d’une rumeur disant qu’une banque a des ennuis. Ça n’a même pas besoin d’être vrai, mais souvent ça l’est, mais tant qu’assez de personnes penseront que c’est vrai, les dés en seront jetés. Comme je n’ai fait que le répéter tout au long de cet ouvrage, toute cette histoire n’est qu’un jeu de l’esprit.

POURQUOI UNE SOCIÉTÉ SANS ARGENT LIQUIDE ?

Face aux monnaies collectives, comme l’euro, nos monnaies nationales sont en voie de disparition. Le plan veut accentuer cette tendance et remplacer les dollars américains, canadiens et le peso mexicain par l’« amero », la nouvelle monnaie de l’Union nord-américaine. Du moins, « amero » est le nom qu’on lui a donné pour l’instant. En Grande Bretagne, là où ils n’ont pas encore été capables de remplacer la livre sterling par l’euro, ça se passe un peu à la dérobée, de plus en plus d’entreprises accepte l’euro comme monnaie légale. La chute de la livre sterling pourrait faire pression sur les Britanniques réticents à passer à l’euro.

En fin de compte, c’est une monnaie mondiale unique qui les intéresse, une monnaie complètement électronique. On voit déjà que l’argent liquide est moins utilisé et que les gouvernements, les institutions financières et les médias parlent beaucoup d’en venir à une société « sans argent liquide ». En 2009, la banque nationale irlandaise a annoncé qu’elle ne distribuerait plus d’argent en espèce dans ses agences. Elle n’était pas la première à faire ça. Finalement, ça va devenir la norme. Même les chèques sont éliminés progressivement. L’utilisation massive des cartes de crédit y est pour quelque chose, et il y a longtemps que ça a été mis en place. En 1970, une amie qui vit aux États-Unis, en Floride, s’est plainte à sa succursale de la Bank of America, quand on lui a demandé de mettre son empreinte sur un chèque. Le directeur les a invités dans son bureau, elle et son mari. Il leur a dit qu’il ne fallait pas s’inquiéter pour une simple empreinte de pouce, parce que les cartes de crédit allaient arriver sur le marché et que ce serait la principale forme de paiement et que finalement on en arriverait à une société sans argent liquide, qu’on implanterait des micropuces dans le corps des gens et que l’on mettraient des caméras de surveillance dans les rues. Elle et son mari ont cru que cet homme venait de la Quatrième dimension, et puis tout s’est produit comme il l’avait dit. Le journal londonien The Times titrait en 2009 : « Pour combattre la déflation, supprimons l’argent liquide. Le Japon pourrait-il rendre la ‘science fiction’ réelle ? » Il ne s’agit pas de science fiction, seulement du plan. L’article expliquait qu’au Japon, certains demandaient à supprimer l’argent liquide, une chose que j’avais prédite depuis le début des années 1990. Richard Jerram, un grand économiste de Macquarie Bank a dit aux investisseurs que « la proposition devenait de plus en plus possible vu la grande percée de la monnaie électronique et des cartes de crédits sur le marché japonais. » On va entendre la même chose dans le monde entier. L’argent électronique va devenir la norme, et puis on nous dira que l’argent liquide est de moins en moins utilisé et donc qu’on pourrait tout aussi bien s’en débarrasser. La raison pour une société sans argent liquide ? Le contrôle, encore une fois. Si vous désirez acheter quelque chose et que la machine n’accepte pas votre carte de crédit, vous pouvez toujours payer avec du liquide. Mais quand il n’y a pas de liquide et que la machine refuse votre carte — ou votre micropuce, puisque il est prévu qu’on en ait — comment faites-vous pour faire vos achats ? Impossible, sauf si vous faites du troc. Celui qui contrôle le système informatique contrôle votre vie, une fois qu’il n’y a plus d’argent liquide en circulation. Si on se penche sur la diversité et la complexité apparentes, on peut voir émerger la structure mondiale. Le gouvernement mondial est conçu pour contrôler la banque centrale mondiale, qui elle à son tour, dirigera les banques centrales des super États. C’est pour cela que nous avons une banque centrale européenne dans la ville des Rothschild, à Francfort, et qu’ils veulent faire la même chose pour l’Union nord-américaine, l’Union africaine et l’Union Asie-Pacifique. Ces banques contrôleraient les banques nationales et régionales qui elles contrôleraient les agences dans les différentes villes. Il n’y aurait aucune diversité financière… seulement une dictature profitant de la hiérarchie mondiale, et ce sera la même chose avec le gouvernement et l’armée.

Source: Extrait du livre de David Icke