Le sionisme

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Dans le film Matrix, il est question de l'« ordinateur de la ville de Sion », cet ordinateur dont la survie des derniers humains dépend. La version des Rothschild s'appelle le « sionisme » qui est aujourd'hui, à bien des égards, l'ordinateur central des réseaux de lignées, du moins sur la place publique.

Le sionisme est principalement une société secrète reliée à d'autres sociétés de la toile mondiale, et ses « bibles » sont le Talmud babylonien et la Cabale, sa « tradition occulte » de savoirs ésotériques. Cette dernière vient du mot arabe « khabba » qui signifie « cacher » ou « masquer ». Ces termes sont très appropriés pour parler d'un « complot » qui a survécu en se cachant et en se masquant. Le sionisme n'a pas été instauré pour le bien du peuple juif, mais pour l'exploiter et l'utiliser comme couverture des manipulations de la maison Rothschild et des familles d'Illuminati. Ce credo politique impitoyable est, à cent pour cent, une création des Rothschild et constitue une force majeure du réseau des lignées. Je parlerai désormais de « sionisme Rothschild » pour souligner en permanence ce qu'il représente vraiment. Le sionisme Rothschild a de grandes oreilles et une longue trompe et trône dans le salon mais les gens ont peur de voir ou d'identifier ce qui se cache vraiment derrière 15 mètres de haut avec des enseignes clignotantes. Les Rothschild et leurs agents ont la mainmise sur le psychisme humain et ont détourné quantité de politiciens, de sociétés, de banques et de médias d'une part, puis ont utilisé l'épée de Damoclès qu'est « l'antisémitisme » si l'on ose formuler l'évidence. Ils sont arrivés à ce résultat en faisant assimiler dans l'esprit des gens que le sionisme équivalait au peuple juif. C'est faux. Le sionisme est une croyance politique mise en place par la maison Rothschild, afin de mener à bien les buts des familles d'Illuminati, en grande partie contrôlées par les Rothschild. Quand on pense au sionisme, on pense au peuple juif. Quand on pense à Israël, on pense au peuple juif. Et c'est tout à fait compréhensible vue la propagande menée, mais tout ceci est trompeur et ces connections instantanées doivent être brisées si l'on veut comprendre ce qui se passe vraiment. Le sionisme signifie Rothschild tout autant qu'Israël signifie Rothschild. Quand on se rend compte du nombre extraordinaire de sionistes Rothschild qui occupent des postes importants dans le monde, on ne parle plus de juifs manipulateurs mais de sionistes manipulateurs, représentant les intérêts des Rothschild. Ceux qui sont en charge du plan sioniste se moquent bien du peuple juif. Pour eux, ce dernier ne pèse pas lourd dans leur plan. Comme le disait le premier Premier ministre d'Israël, le terroriste David Ben Gourion :

Si je savais qu'il était possible de sauver tous les enfants d'Allemagne en les emmenant en Angleterre, et seulement la moitié en les transférant sur la terre d'Israël, je choisirais Israël parce que, devant nous, il n'y a pas que le nombre de ces enfants mais le calcul historique du peuple d'Israël.

Et on a continué à le laisser sortir sans assistance psychiatrique ! Beaucoup de juifs sont opposés à ce credo vicieux et consternant et la plupart des sionistes Rothschild ne sont pas juifs. On peut y trouver les sionistes chrétiens comme Joe Biden, le vice-président de Barack Obama, qui a déclaré à la télévision israélienne : « Je suis sioniste ». Tout ce que cela veut dire, officiellement du moins, c'est qu'il défend une patrie pour les juifs d'Israël, bien que ça ne soit qu'une façade. Si, comme Biden l'a justement dit, il n'y a pas besoin d'être Juif pour être sioniste, comment cela pourrait-il être un mouvement racial plutôt qu'un mouvement politique ? C'est impossible. On fait en sorte que ça ait l'air d'être un mouvement racial pour mieux manipuler notre perception. S'opposer au sionisme Rothschild est perçu comme une attaque contre le peuple juif dans son ensemble et la carte du racisme peut être alors jouée et rejouée des centaines de fois. Loin de protéger et de faire évoluer les intérêts du peuple juif, le plan des Rothschild a souvent été dévastateur en ce qui les concerne, et des millions d'entre eux ont été injustement associés aux actions menées par les sionistes Rothschild. Le site Jews Against Zionism (Les juifs contre le sionisme) met en lumière la façon dont le sionisme Rothschild a ciblé des juifs qui vivaient en Palestine, depuis des générations, dans la paix et l'harmonie aux côtés des Arabes :

Les juifs religieux qui, en vertu de leur foi, ont clairement pris position contre le nationalisme sioniste et qui ont, depuis des générations, vécu en paix avec leurs voisins Arabes, sont devenus sans le vouloir, ciblés comme adhérant à la cause sioniste et au combat mené contre les Arabes. Ils ont demandé aux Nations Unies que la ville de Jérusalem soit reconnue de facto comme ville internationale. Ils ont fait appel au corps diplomatique affecté à Jérusalem, mais en vain. Ils ont, par conséquent, dû choisir soit de faire partie d'un État sioniste, ce qui est diamétralement opposé à leurs intérêts en tant que religieux, soit d'abandonner le pays dont leurs ancêtres ont été les premiers colons juifs.

Soyons clairs : le sionisme Rothschild ne concerne pas le peuple juif. Pour les Rothschild et leurs hommes à tout faire, le peuple juif dans son ensemble représente simplement du bétail que l'on peut exploiter au besoin, comme le reste de la population mondiale. C'est IBM, firme financée par les Rothschild, qui a fourni aux nazis les machines mécanographiques de poinçonnage de cartes perforées, servant aux premiers recensements des juifs, à leur expulsion du pays, à la confiscation de leurs biens ou à leur départ en camps de concentration. Cette même firme a développé le système de code barre et, aujourd'hui, IBM Credit Corporation (rebaptisée IBM Global Financing) finance Applied Digital Solutions qui a fait breveté le VeriChip, une puce électronique pouvant être insérée sous la peau des êtres humains. Et l'on voit les spécialistes en droit politique blâmer les juifs pour tous les maux du monde, comme ils le font avec le « Nouvel Ordre Mondial ». En fait, ils ne font pas la différence entre le peuple juif dans son ensemble, et l'élite qui utilise ce peuple comme bouclier pour cacher ses terribles activités.

Le sionisme Rothschild a été créé par et pour l'élite, et non pour le peuple juif qui en est en fait victime. Le chercheur et écrivain canadien, Henry Makow, a justement mis l'accent sur cette différence essentielle. Les parents de Makow, qui étaient juifs, ont souffert de l'occupation nazie en Pologne et ses grands-parents n'y ont pas survécu. Il met en lumière les liens des Rothschild et de leur élite sioniste avec Jacob Frank (1726-1791) qui « mena une hérésie satanique contre le judaïsme orthodoxe ». Frank prônait « l'annihilation de la civilisation occidentale et le triomphe du mal », nous dit Makow, tout alors serait permis, y compris l'inceste et la pédophilie (qui ont libre cours dans les familles d'élites). Frank prétendait être le « messie » et la réincarnation d'un autre imposteur satanique, Sabbataï Tsevi (1626-1676). Ses adeptes furent connus sous le nom de frankistes ou de frankistes-sabbatéens. On y retrouve les élites de la dynastie Rothschild depuis sa constitution par Mayer Amschel Rothschild, un acolyte de Jacob Frank. Ce sont Rothschild, Frank et leur représentant, Adam Weishaupt, qui fondèrent l'ordre des Illuminati de Bavière, en 1776. Henry Makow écrit :

... il y a parmi le peuple juif un schisme inconnu, où les hérétiques ont exterminé la majorité et prit le contrôle du reste à travers le sionisme. Pourtant, à cause de l'antisémitisme organisé par les juifs Illuminati, les juifs s'accrochent par erreur à leurs dirigeants.

Gunther Plaut, un éminent rabbin canadien, publia, en 1988, un ouvrage intitulé The Man Who Would Be Messiah (L'homme qui voulait être le Messie), dans lequel il laisse entendre que les frankistes sont responsables de ce qui est arrivé au peuple juif en Allemagne. Plaut fit des recherches approfondies sur Jacob Frank et transcrivit ses conclusions sous forme de roman. D'après lui, Frank considérait les juifs comme une barrière au « nouvel ordre ». Il met ces mots dans la bouche de Frank :

Oui, les juifs. Quelqu'un viendra et découvrira qu'il ne peut pas renverser les anciennes valeurs sans détruire le peuple qui croit vraiment en elles, et pire encore, qui les pratique. Et tandis qu'il est convaincu que les juifs se tiennent en travers de son chemin, il trouvera un moyen de tous les tuer. De tous les détruire, de les exterminer comme de la vermine... Les juifs devraient être tués parce qu'ils croient en une morale traditionnelle et perpétuent ainsi le statu quo dans le monde.

J'ai déjà souligné dans d'autres livres que beaucoup de dignitaires nazis semblaient être descendants de juifs ou étaient à moitié juifs. Ce n'est plus un mystère puisque l'on sait qu'il existe le peuple juif dans son ensemble mais aussi les frankistes-sabbatéens, comme les Rothschild, qui considèrent les juifs comme du bétail que l'on exploite dans le but de mettre en marche la domination mondiale. Voici ce qu'écrit, en 1964, Dietrich Bronder, juif allemand et auteur de Before Hitler Came (Avant qu'Hitler ne vienne), au sujet de l'élite nazie :

Etaient d'ascendance juive, ou reliés aux familles juives : le dirigeant et chancelier du Reich Adolf Hitler ; son représentant et ministre du Reich Rudolf Hess ; le maréchal du Reich Hermann Goering ; les dirigeants du Reich du parti NSDAP Gregor Strasser, le docteur Joseph Goebbels, Alfred Rosenberg, Hans Frank, Heinrich Himmler ; le ministre du Reich von Ribbentrop (qui entretenait une proche amitié avec le célèbre sioniste Chaïm Weismann, le premier chef d'état d'Israël qui mourut en 1952) ; von Keudell ; les commandants Globocnik (l'exterminateur de juifs) ; Jordan et Wilhelm Hube ; les grands dirigeants des SS Reinhard Heydrich, Erich von dem Bach-Zelewski et von Keudell II, qui joua également un rôle actif dans l'extermination des juifs. (Chacun d'entre eux était membre de la société secrète de I'Ordre de Thulé).

L'Ordre de Thulé est une société secrète allemande qui amena les nazis au pouvoir. Le mode opératoire des Frankistes est d'infiltrer chaque religion ou idéologie et de prétendre être ce qu'ils ne sont pas, nous dit Makow. Ainsi, ils créent une rivalité entre différentes factions, religions ou organisations afin de mieux les détruire de l'intérieur. Makow ajoute :

On les reconnaît grâce au fait qu'ils prétendent être chrétiens ou juifs ou musulmans, etc. John Kerry en est l'exemple typique. Il prétendait être catholique irlandais, alors qu'en fait son père était juif frankiste (il travaillait pour la CIA) et sa mère une Forbes. La mère de Barack Obama était probablement une juive frankiste Illuminati. Les Rothschild anglais en sont un autre exemple. Ils épousent des femmes non juives mais prétendent pourtant être juifs. Ce sont tous des Illuminati satanistes...

... De plus, Churchill, Franklin Delano Roosevelt et Staline étaient aussi des juifs Illuminati frankistes. Vous pouvez ainsi voir à présent comment la Seconde Guerre mondiale a été en partie organisée pour accomplir l'objectif de Frank : exterminer le peuple juif. Les frankistes peuvent sans doute expliquer la présence de 150 000 soldats partiellement juifs dans l'armée allemande.

Il est évident que tous les réseaux de la maison Rothschild ont œuvré pour Adolf Hitler et l'ascension au pouvoir du parti nazi en Allemagne. Les Rothschild ont utilisé l'appui de l'opinion publique en faveur du peuple juif, opprimé par les nazis, pour insister sur le besoin d'une patrie en Palestine. C'est la raison invoquée pour la fondation du sionisme Rothschild, mais ça n'est que la partie visible de l'iceberg. Comme je le détaille dans The David Icke Guide to the Global Conspiracy (and how to end it) - Le guide David Icke de la conspiration mondiale (et comment y mettre un terme) et dans d'autres livres, la campagne visant à imposer un État Rothschild en Palestine remonte au moins à la première partie de XIXe siècle, et probablement avant. L'acquisition de la Palestine a été massivement soutenue par la déclaration Balfour de 1917, lettre ouverte de lord Arthur Balfour, alors ministre britannique des affaires étrangères, stipulant que son gouvernement soutenait l'idée d'une patrie juive en Palestine. Balfour, membre du cercle très fermé que représente la société secrète de la Table Ronde, a fait parvenir sa lettre au Baron Walter Rothschild, membre fondateur. La Table Ronde est aujourd'hui au cœur du réseau qui comprend l'Institut Royal des Affaires Étrangères, le Council on Foreign Relations, la Commission trilatérale et le groupe Bilderberg.

La « Déclaration Balfour » était une lettre de Lord Balfour, un membre de la société secrète la Table ronde, adressée à Lord Rothschild qui finançait et contrôlait cette même société.

Toutes ces organisations appartiennent aux Rothschild. Voici ce qu'écrit Balfour :

Ministère des Affaires étrangères
Le 2 novembre 1917

Cher Lord Rothschild,

J'ai le plaisir de vous adresser, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration ci-dessous de sympathie à l'adresse des aspirations sionistes, déclaration soumise et approuvée par le cabinet.

« Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civiques et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays. »

Je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste.

Arthur James Balfour

La déclaration de Balfour était une lettre échangée entre deux membres d'une même société secrète, selon les ordres donnés par Rothschild, et le marché était le suivant : en échange du soutien public à une Palestine « juive », les Rothschild garantiraient l'entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale, ce qu'ils firent par le biais de leur marionnette, le président Woodrow Wilson. Les Rothschild financèrent les premiers colons venus d'Europe pour qu'ils s'installent dans la Palestine d'après-guerre. Certains fonds furent versés aux colons par le baron Edmond de Rothschild, issu de la branche française de la dynastie. Ce dernier finança le premier établissement de colons à Rishon LeZion, à Tel-Aviv, puis celui de Zikhron Yaakov, sur le mont Carmel. Les Rothschild ont acheté plus de 50 000 hectares de terres et 40 colonies au milieu des années 1930 et cela ne s'est jamais interrompu. La plupart des juifs envoyés en Israël après la Seconde Guerre mondiale, n'étaient pas partants pour s'y rendre. En 1949, l'historien juif Gabriel Kolko travaillait sur un bateau transportant des colons en Israël. Voici ce qu'il déclara dans un article du journal Counterpunch :

J'ai appris par quelqu'un qui dirigeait un camp de personnes déplacées en Allemagne, que la grande majorité des juifs voulaient aller n'importe où sauf en Palestine. Ils ont été forcés à aller en Palestine, ailleurs, ils n'auraient reçu aucune aide. J'ai compris très tôt que quelque chose clochait dans les innombrables villages arabes que j'ai vu détruits, et que le projet sioniste dans son ensemble — indépendamment de la nature souvent vénale de l'opposition arabe — n'était qu'un dangereux simulacre.

Les Rothschild ont également armé et financé les attentats des groupes terroristes jusqu'en 1948. Les meurtres et la terreur qui en découla forcèrent 800 000 Palestiniens à quitter leur terre natale. Le monde ne fit qu'observer, comme il le fait aujourd'hui, car Israël a ses propres lois et les termes de justice, équité, décence et miséricorde ne s'y appliquent pas. Le ministre de l'éducation israélien a annoncé, en 2009, qu'il prévoyait de supprimer, dans les livres d'histoire, un passage décrivant des expulsions de 1948 comme une « épuration ethnique ». Le ministre a dit qu'il allait faire rééditer le livre d'histoire délivré aux élèves de l'enseignement secondaire, quand les changements requis seraient effectués. Le passage clef qui ulcère les censeurs est apparemment celui-ci : « Les Palestiniens et les pays arabes estiment que la plupart des réfugiés étaient des civils attaqués et expulsés de leurs foyers par des forces armées juives, instituant ainsi une politique de nettoyage ethnique. » C'est exactement ce qui s'est passé et ce qui continue de se passer, mais bon sang, il ne faut surtout pas que les enfants d'Israël le sachent ! Le passage offensant n'est pourtant pas très dur par rapport à la triste réalité. Des membres de l'Irgoun, organisation armée terroriste dirigée par le futur Premier ministre israélien, Menachem Begin, ainsi que ceux du Lehi (ou groupe Stern), autre organisation terroriste dirigée par un autre futur Premier ministre, Yitzhak Shamir, ont massacré entre 100 et 200 Palestiniens, hommes, femmes et enfants, pendant leur sommeil, dans le village de Deir Yassin en avril 1948. La population palestinienne a ensuite été avertie par des haut-parleurs juchés sur des camions, que si elle ne quittait pas immédiatement les lieux, elle serait massacrée de la même façon. Le souvenir du massacre de Dei Yassin était tout frais dans les mémoires et les Palestiniens savaient que les Israéliens ne plaisantaient pas. C'est pourquoi 800 000 d'entre eux quittèrent leur pays. Et qui se cachait derrière les terroristes israéliens ? Les Rothschild !

L'État d'Israël appartient aux Rothschild et il est donc tout à fait normal qu'ils aient financé la construction du bâtiment qui abrite le parlement israélien, la Knesset, ainsi que la Cour Suprême d'Israël. Le Président Shimon Peres disait des Rothschild : « Jamais une famille n'a autant donné pour la construction de l'État d'Israël. » Cette bande de terre qui porte le nom d'Israël et que l'on peut parcourir en voiture en un jour, revient toujours et encore dans l'histoire de la manipulation et de la tyrannie mondiale, car elle est aux mains de la maison Rothschild. Le symbole adopté par les Rothschild, l'hexagramme ou « étoile de David », a été imposé à l'État d'Israël. Beaucoup d'Israéliens auraient préféré la Menorah pour trôner sur leur drapeau, le chandelier à sept branches symbolisant depuis longtemps le judaïsme, mais qu'est-ce que vous voulez, cette terre appartient aux Rothschild et ils obtiennent tout ce qu'ils veulent. Certains soulignent avec raison, que l'hexagramme n'est pas un symbole juif mais plutôt le symbole d'une ancienne divinité du nom de Molloch, à qui l'on sacrifiait (et l'on sacrifie encore) des enfants. Je vous en dirais plus à ce sujet un peu plus tard. Pendant le conflit israélo-libanais de 2006, l'essayiste israélien, Barry Chamish, mentionne une rencontre qu'il a faite avec le petit-fils du banquier Evelyn Rothschild qui avait « abandonné la famille pour devenir mormon ». En vérité, l'argent des Rothschild a permis la création de l'Église Mormone par les francs-maçons Joseph Smith, Hiram Smith et Brigham Young, tous issus de lignées. La société Watch Tower, plus connue sous le nom de Témoins de Jéhovah, est, comme le mormonisme, une devanture des Rothschild créée par les francs-maçons Charles Taze Russell et Joseph Franklin Rutherford. Ces deux organisations se sont engagées à parler d'une « Nouvelle Jérusalem » appelée « Sion ». C'est la vraie signification du sionisme, une Nouvelle Jérusalem, un nouvel ordre mondial de l'esclavage. Chamish a dit que le petit-fils de Rothschild lui avait avoué que seulement sept familles récoltaient les « fruits du conflit » contre le Liban. Le petit-fils a dit des Rothschild : « Pour eux, Israël est comme un jouet. Ça les rend plus riches et leur apporte plus de pouvoir de contrôle. Ça n'est pas prêt de s'arrêter. » Plusieurs raisons font que les Rothschild et leurs alliés veulent s'emparer de la Palestine. L'une d'entre elles est qu'ils souhaitent garder le Moyen Orient dans un état de bouleversements et de troubles, à partir desquels une guerre mondiale pourrait être déclenchée afin d'aboutir à une dictature mondiale. La création de l'État d'Israël est un moyen, non une fin, et cela ne perturberait pas les Rothschild d'abandonner la population juive à son sort, si cela était nécessaire. Après tout, ils l'ont bien déjà fait !

Le gouvernement britannique, contrôlé par les Rothschild avait promis aux Palestiniens, lors de la Première Guerre mondiale, que s'ils se battaient contre les Turcs de l'Empire ottoman et qu'ils les chassaient de Palestine, ils auraient, en retour, le droit à l'indépendance. Le ministre britannique des Affaires étrangères de l'époque, Lord Balfour, était un initié de la société secrète des Rothschild, vous vous souvenez, c'est le même gars qui, dans sa lettre aux Rothschild, a promis le soutien du gouvernement britannique en faveur d'une patrie juive en Palestine. Les Arabes ont accepté cet accord, qui n'a jamais eu lieu, et c'est grâce à l'aide d'un lieutenant-colonel britannique, Thomas Edward Lawrence (dit Lauwrence d'Arabie) que l'Empire ottoman a été vaincu. Bien évidemment, la récompense escomptée, l'indépendance du pays, ne fut jamais accordée.

Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d'Arabie, a contribué à duper le peuple palestinien en les persuadant de combattre aux côtés des Britanniques, alors qu'il savait que leur terre était déjà attribuée aux sionistes Rothschild.

La Palestine passe sous mandat britannique en attendant l'arrivée des sionistes Rothschild. On a donc menti aux Arabes, comme Lawrence l'a admis plus tard, et cela n'a jamais cessé depuis. Toutes ces « feuilles de route » et ces « processus de paix » sont spécifiquement conçus pour mener nulle part. Tout cela ne sert qu'à maintenir le statu quo jusqu'à ce que le peuple palestinien ne représente plus rien. Quand les Rothschild sont arrivés en Palestine après la Seconde Guerre mondiale, leur ambition première était d'expulser les Palestiniens de leurs terres et d'étendre les frontières d'Israël grâce à la guerre et à l'intimidation. La « patrie juive » a été depuis le début le fief des Rothschild, mis en place grâce au réseau mondial de sociétés secrètes de lignées, dont la principale est connue sous le nom de sionisme. Les Rothschild ont financé l'établissement des premiers colons européens en Israël, ils ont été derrière les événements qui, en Allemagne, ont mené au traitement atroce infligé aux juifs et à d'autres peuples, afin de pouvoir utiliser ce qui s'est passé comme excuse pour arriver à leur fin : implanter un bastion Illuminati en Palestine en utilisant la population juive pour cacher leurs véritables intentions. Ces voyous de sionistes Rothschild passent leur temps à condamner les actes terroristes des autres, et pourtant ledit État a été créé via des actes de terrorisme des plus grotesques perpétrés par des groupes tels la Haganah, l'Irgoun et le Groupe Stern. Ces groupes ont bombardé et terrorisé Israël mais ont intégré aujourd'hui l'Armée de défense d'Israël et continuent à bombarder les Palestiniens jusqu'au quasi anéantissement. Parmi les principaux leaders de ces organisations se trouvaient Menachem Begin, Yitzhak Shamir et Ariel Sharon, des bouchers devenus Premiers ministres et qui ont eu le toupet de condamner le terrorisme arabe. Aujourd'hui, la boucherie continue avec pour seul but de détruire le peuple palestinien. L'idée a toujours été de le détruire petit à petit bien avant que l'État d'Israël ne soit créé. En soutenant la création d'un État juif, la Déclaration Balfour stipulait que « rien ne serait fait qui porterait préjudice aux droits de la population civile et religieuse des communautés non juives de Palestine. » La bonne blague ! Chaim Weizmann, l'homme à tout faire des Rothschild, aurait déclaré plus tard : « En ce qui concerne la question arabe, les Britanniques nous ont indiqué qu'il y avait plusieurs centaines de milliers des nègres là-bas, mais cela n'a pas d'importance. » Et ça n'a toujours pas d'importance puisque le projet de les détruire est encore plus d'actualité qu'autrefois. Le premier Premier ministre d'Israël, un terroriste du nom de David Ben Gourion, ne s'en cacha pas au sein de son cercle de proches. L'ancien Premier ministre, Yitzhak Rabin, écrivit dans la version intégrale de ses mémoires, publiée dans le New York Times du 23 octobre 1979 :

Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gourion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire de la population palestinienne ? » Ben Gourion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : mettez-les dehors.

Aujourd'hui, les bombardements sur Gaza sont la dernière étape avant la fin. Ils ont contraint les Palestiniens à se retirer sur la bande de Gaza, qui n'est rien de plus qu'un camp de concentration et l'armée de défense d'Israël contrôle tout ce qui y entre ou en sort : les individus, les vivres, les médicaments et les biens de première nécessité.

Description saisissante de David Dees sur la « vie » des Palestiniens durant les assauts sans pitié menés par l'État militaire d'Israël.

Quand les Israéliens ferment les postes frontières, les Palestiniens sont à la merci de ceux qui obéissent aux Rothschild : des hommes politiques et des militaires sans cœur et sans âme. Voici comment un auteur décrit les conditions de vie à Gaza :

...Israël cadenasse le cercueil qu'est Gaza, assiégée sans cesse depuis presque trois ans. Les taux de malnutrition n'ont rien à envier à ceux de l'Afrique sub-saharienne, les égouts se déversent dans les rues et polluent l'océan, les habitations sont rasées par des bulldozers pour ajouter à la punition collective. Hommes, femmes et enfants sont canardés et tués. Les enfants souffrent de surdité à cause des bangs supersoniques et la grande majorité d'entre eux souffrent de syndrome post traumatique. Le seul espoir pour la majorité d'entre eux aujourd'hui est de devenir des « martyrs ».

Et c'est pire à présent. Jetez un œil à l'image ci-dessous et vous vous rendrez compte que le plan est en marche depuis longtemps.

La terre des Palestiniens saisie par les Israéliens de 1946 à 2000. Et c'est pire aujourd'hui.
Source de l'image : https://activeast.wordpress.com

Comment peut-on manquer autant de pitié envers un peuple ? Les Palestiniens, comme le reste de la population mondiale, y compris les juifs, sont considérés comme du bétail par les sionistes Rothschild. Menachem Begin, ancien terroriste et Premier ministre israélien, décrivait les Palestiniens de la sorte dans un discours prononcé au parlement : « des bêtes marchant sur deux jambes ». Yitzhak Shamir, même parcours que le précédent, annonça aux colons juifs en 1988 que les Palestiniens « seraient écrasés comme des sauterelles... leurs têtes fracassées sur les cailloux et sur les murs ». De même, Ariel Sharon, alors ministre des Affaires étrangères, a confirmé en 1998 ce qui était prévu pour les Palestiniens :

C'est le devoir des leaders israéliens d'expliquer à l'opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier est qu'il n'y a pas de sionisme, de colonisation, d'État juif sans l'éviction des Arabes et l'expropriation de leurs terres.

Il est prévu de tuer et d'expulser le peuple palestinien en utilisant la pauvreté, la faim et la guerre afin de permettre aux sionistes Rothschild de créer le « Grand Israël ». Le plan fonctionne à la perfection. Il vise à mettre en place le « Grand Israël » dans lequel sont incluses leurs anciennes patries, Sumer et Babylone, et c'est une autre implication à plus long terme de l'invasion américano britannique (des Rothschild) de l'Irak. Pendant que les sionistes Rothschild ne cessent de parler de racisme, Israël est un État sous apartheid. Pas seulement entre les juifs et les Arabes, mais également entre les différents « niveaux » existants chez les juifs. Les ashkénazes, ceux qui viennent de Sumer et de Khazarie, dominent, bien évidemment, et les juifs noirs d'Éthiopie se retrouvent tout en bas de l'échelle et sont la proie d'un racisme épouvantable. Il a été révélé que l'on a systématiquement administré aux éthiopiennes d'Israël en âge de procréer le médicament Depo-Provera (pour le contrôle des naissances) afin qu'elles n'aient pas d'enfant. En Israël, cinquante-sept pour cent des utilisateurs du Depo-Provera sont des femmes noires venant d'Éthiopie, alors que la communauté éthiopienne représente moins de deux pour cent de la population israélienne. Les dons de sang des Éthiopiens d'Israël sont automatiquement supprimés. En Afrique du sud, le gouvernement d'apartheid a utilisé le Depo-Provera, et souvent par la force, pour limiter la fertilité des femmes noires et voilà que l'on retrouve la même façon de fonctionner en Israël. Hedva Eyal est l'auteur du rapport fait sur ce scandale, rapport publié par Woman to Woman, une organisation féministe basée à Haïfa, au nord d'Israël. Je cite :

Il est ici question de réduire le nombre de naissances dans une communauté noire et très pauvre. Ce que l'on nous cache, c'est que seuls les enfants blancs et ashkénazes sont les bienvenus en Israël.

Et cette mise en place de l'apartheid est ordonnée par les autorités israéliennes qui n'arrêtent pas de se plaindre du racisme des autres. Les Palestiniens ont été parqués sur la minuscule bande de Gaza et sur une autre enclave palestinienne : la Cisjordanie. L'armée israélienne occupe les lieux et les colonies israéliennes s'y implantent illégalement et très rapidement pour s'assurer que ce territoire fera aussi partie du Grand Israël. Ils démolissent les habitations des Palestiniens, considérées comme illégales, et sont en train de construire un énorme mur de séparation, une « clôture de sécurité » qui a pour conséquence de voler la terre des Palestiniens, de diviser les familles, de réduire ou d'empêcher le libre accès à l'eau, à la nourriture, à la santé...

La « barrière de sécurité » israélienne qui a pris encore plus de terres aux Palestiniens et transformé celles qui leur restaient en pénitencier.

On estime que ce mur vole douze pour cent de la terre des Palestiniens en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Les Palestiniens de Jérusalem-Est, ceux qui sont derrière le mur, sont systématiquement expulsés : on démoli leurs foyers pour faire place aux colonies juives, aux parcs et aux sites archéologiques dirigés par les organisations de colons. Tout cela a été financé par les sionistes Rothschild du monde entier qui ont fait une donation de dix millions de dollars. Quand les Palestiniens manifestent pacifiquement contre l'odieux traitement qu'on leur inflige, on leur envoie des gaz lacrymogènes. Si vous allez sur YouTube et que vous tapez : « des soldats israéliens tirent sur un correspondant d'Al Jazira », vous verrez de quoi il retourne. La court internationale de justice a unanimement constaté, le 9 juillet 2004, que « le mur construit par Israël et par le régime qui lui est associé est contraire au droit international... ». Elle a demandé l'arrêt immédiat des travaux, le démantèlement de ce qui a été construit, la restitution des terres aux Palestiniens et le versement de dommages et intérêts. Oui mais voilà, les autorités israéliennes ne reconnaissent pas le droit international, sauf quand on l'applique aux autres et ne donnent aucune suite aux résolutions des Nations Unies, surtout quand il s'agit de rendre justice aux Palestiniens. Et quelle a été la réponse de la « communauté internationale » à ce mépris affiché ? Que dalle ! C'est Israël, tout de même ! Rien ne sera jamais entrepris car les nations de l'« ouest » sont aussi contrôlées par les Rothschild et en ont très peur. Pire encore, le Président Obama (sioniste Rothschild) et sa secrétaire d'État, Hillary Clinton (sioniste Rothschild) ont accepté à l'automne 2009 de ne plus « demander » (du bout des lèvres seulement) qu'Israël arrête la colonisation en territoires occupés, mais plutôt de la « rationaliser ». Mais qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire ? Rien du tout à part « faites comme bon vous semble, on regarde de l'autre côté. » Ce même Obama a « reçu » le prix Nobel de la paix et se fait passer pour un « homme attentif ». Une marionnette des Rothschild, oui ! En 2009, Tzipi Livni, ministre israélien des Affaires étrangères à l'époque de l'invasion de Gaza, a dû renoncer à son déplacement à Londres ou les partisans des Palestiniens détenaient des mandats requérant son arrestation immédiate pour crimes de guerre. Le gouvernement britannique a déclaré qu'il envisageait de faire modifier la loi afin que ceci ne se reproduise plus. Le parti pris est évident.

Et ce manque de paroles et d'actes au début de l'année 2009 quand Gaza a croulé sous les bombardements terrestres et aériens orchestrés par les hommes courageux de Tel Aviv. La technologie israélienne comme les avions et les chars d'assaut est alimentée par les États-Unis et bombarde en permanence des cibles civiles sur cette terre pauvre et abandonnée. Elle fait office de camp de détention pour êtres humains que le gouvernement israéliens préfèrerait voir morts. Les porte-parole israéliens, criminels et menteurs, affirment que les civils n'ont jamais été visés. Tu parles ! Des anciens soldats israéliens se sont indignés de ce qu'on leur ordonnait de faire et ils ont organisé un groupe d'action portant le nom de « Breaking the silence » (briser le silence) pour témoigner du mensonge du gouvernement israélien. Ces témoignages confirment que les massacres impitoyables et la destruction de Gaza étaient l'œuvre d'une politique militariste israélienne.

Le massacre du peuple palestinien continue toujours et encore...

L'un d'entre eux déclare : « Nous n'avons pas été entraînés à tuer toutes les personnes que nous croisons, mais on nous a dit qu'à partir d'une certaine distance, à l'approche d'une maison, on se fiche pas mal de savoir de qui il s'agit (même si c'est une vieille femme), on l'abat. » Voici d'autres témoignages de soldats :

• Quand ils entraient dans un immeuble, les soldats se servaient de civils Palestiniens comme boucliers humains.

• De nombreuses maisons et beaucoup d'immeubles ont été démolis par précaution ou pour faire de la place aux lignes de tirs.

• Certains hommes de troupe étaient agressifs et indisciplinés.

• Les biens des Palestiniens ont été vandalisés.

• Des soldats bombardaient des containers d'eau à des moments d'importantes pénuries d'eau pour les palestiniens.

• Le phosphore blanc, qui brule vifs les gens, a été utilisé gratuitement dans les zones où vivaient des civils.

• Il y a eu très peu d'implication directe avec les « militants palestiniens » parce qu'ils étaient supposés être là temporairement.

Le dernier point est facile à expliquer. L'assaut sur Gaza visait à anéantir la capacité des Palestiniens à survivre, et non à arrêter des « militants », et c'est pourquoi la population civile était la cible. Félicitations à ces soldats israéliens qui ont eu le courage de parler, leur âme est plus grande que leur esprit. C'est la même chose pour ces incroyables jeunes israéliens qui refusent de servir dans l'armée, malades de voir le traitement infligé au peuple palestinien. Encore une fois, ce sont des êtres humains spéciaux car ils agissent avec leur cœur et n'ont pas peur des conséquences que tout cela implique. Car c'est l'emprisonnement qui les menace pour refuser d'être un tueur à la solde d'un gouvernement malade et malveillant. Une des rares personnalités politiques à s'être élevée contre ce qui se passe est le représentant juif aux Nations Unies, Richard Falk. Il a déclaré : « Les frappes aériennes israéliennes sur la bande de Gaza constituent une grave violation du droit humanitaire international, tel qu'il est défini par la Convention de Genève, si l'on s'en réfère aux obligations d'une puissance occupante et aux exigences des lois de la guerre. » Ces violations incluaient :

• Châtiment collectif : les 1,5 millions de personnes qui vivent sur la bande de Gaza aujourd'hui surpeuplée ont été punis à cause des actions de quelques militants.

• Prendre les civils pour cible : les frappes aériennes avaient pour cible les zones civiles sur une des étendues de terre des plus peuplées au monde, certainement la région la plus densément peuplée du Moyen Orient.

• Riposte militaire disproportionnée : les frappes aériennes ont non seulement détruit tous les postes de police et de sécurité du gouvernement élu de la bande de Gaza, mais ont tué et blessé des centaines de civils. On a appris qu'une frappe au moins avait atteint des groupes d'étudiants cherchant un moyen de transport pour rentrer de l'université.

Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, sioniste Rothschild extrémiste et vicieux, a déclaré, une fois confronté à plusieurs de ces rapports sur les crimes de guerre israéliens, qu'il ne permettrait jamais qu'aucun leader ou soldat d'Israël soit jugé pour ce qu'il a fait. Il sait très bien qu'il peut se permettre ce genre de déclaration puisque les Rothschild sont derrière lui. Tony Blair, un sioniste Rothschild, une des poupées en chiffon des Rothschild, a ouvertement soutenu cette position. Un peu qu'il l'a fait ! C'est pour ça qu'on lui a donné le « boulot » d'envoyé spécial représentant les Nations Unies, l'Union européenne, les États-Unis et la Russie au Moyen-Orient, mentant froidement pour justifier le massacre à grande échelle d'un nombre incalculable d'arabes en Irak. Ils se moquent de nous, mais plus pour très longtemps. Richard Goldstone, un juif d'Afrique du Sud, juge de son état et qui entretient des liens étroits avec Israël, a publié un rapport de 575 pages pour les Nations Unies au sujet de l'invasion d'Israël à Gaza en 2008-2009. Voici ce qu'il dit : « La mission conclut que les actions constituant des crimes de guerre et, éventuellement, à certains égards, des crimes contre l'humanité, ont été commises par l'armée de défense d'Israël. » Dirigé par des extrémistes et des fous comme Netanyahu et le terroriste de la Haganah, Shimon Peres, le gouvernement israélien réalisa soudain avec horreur qu'il pouvait être critiqué pour les massacres perpétrés sur un peuple sans défense et, bien sûr, l'appui américain de l'empire mondial des Rothschild était de leur côté. Honte sur vous Obama, honte sur tout ce que vous prônez et dont vous prenez fallacieusement fait et cause.

Les Palestiniens qui « vivent » dans l'Israël officiel et en Cisjordanie occupée par les Israéliens ainsi qu'à Jérusalem-Est, voient leurs maisons détruites aux bulldozers ou réquisitionnées, leurs terres confisquées pour l'établissement des colonies. Israël détient les biens de plus de quatre millions de réfugiés palestiniens et les a mis sous garde provisoire, au regard du droit international, jusqu'à ce qu'une « paix définitive » (qui n'arrivera jamais) permette de dire combien de réfugiés auront le droit de revenir dans les plus de 400 villages détruits par les Israéliens. Naturellement, les fous aux commandes du gouvernement israélien n'en ont pas assez. Ils commencent à solder ces terres aux colonies juives et font ainsi des bénéfices.

Les habitations des Palestiniens sont détruites en permanence. Les familles se retrouvent sans logis et leur terre devient propriété d'Israël.

Le mot « mal » n'a aucune signification pour ces gens-là. Ainsi, une décision de la Haute Cour israélienne, en août 2009, a donné le droit aux forces de sécurité israéliennes d'expulser de force neuf familles palestiniennes de leurs foyers du quartier de Cheikh Jarrah, soit 53 adultes et 20 enfants. Les biens ont été attribués à une organisation gérant les colonies juives. Deux des familles expulsées ont été amenées à vivre dans la rue, non loin de leurs anciennes maisons. Pendant ce temps-là, les habitants du village bédouin d'Amra ont été intimidés et harcelés afin de les forcer à quitter leur terre. Ces gens sont les descendants des quelques milliers de Bédouins qui ont pu rester après les expulsions massives qui ont suivi la guerre de 1948 et les vagues de terrorisme qui ont permis la création d'Israël. Les Bédouins de la tribu Tarabin, tous citoyens israéliens, ont vu soudain leurs voies d'accès bouclées. Ils ont alors utilisé des pistes en terre pour se déplacer, mais celles-ci ont été soumises à des barrages : vérification d'identité, arrêt et fouilles des véhicules. Le village a été entouré de barbelés et des enfants, dont certains avaient à peine huit ans, ont été arrêtés. En fait, depuis l'occupation israélienne de Jérusalem-Est, de la Cisjordanie et de la bande de Gaza en 1967, des milliers d'enfants palestiniens ont été arrêtés par les force militaires israéliennes. On leur bande les yeux, on les menotte, on les « interroge » et ils sont sujets à des violences verbales et physiques. Les enfants « condamnés » sont placés dans des prisons pour adultes où ils subissent d'autres abus, y compris des abus sexuels. Voici le témoignage de Tulab Tarabin, un des habitants d'Amra : « Quatre cinquième de nos jeunes sont fichés et nos chauffeurs sont verbalisés en permanence pour infractions au code de la route. À chaque fois que les agents de police nous arrêtent, on nous pose inlassablement la même question : " Pourquoi ne partez-vous pas ? " » Les autorités israéliennes ont besoin de ces terres pour construire des habitations réservées aux officiers de l'armée israélienne. Murad El-Sana, un avocat de l'Adalah (justice en arabe) — The Legal Center for Arab Minority Right in Israel (le Centre Juridique pour les droits de la minorité arabe en Israël) – témoigne également : « La politique d'Israël est simple : quand les juifs ont besoin de terres, les Bédouins doivent s'éclipser et peu importe s'ils sont installés là depuis longtemps, ou si leurs communautés sont antérieures à la création d'Israël. Le crime de la tribu Tarabin est qu'elle refuse de bouger. » Ces gens sont impitoyables et brutaux, pourtant la communauté internationale observe en silence, ou tourne la tête de l'autre côté, alors que l'État d'Israël est l'État le plus raciste au monde. En janvier 2010, les cruelles autorités israéliennes ont ouvert les vannes d'un barrage et inondé des villages de la bande de Gaza, sans en avertir au préalable les populations. Des familles entières se sont retrouvées prises au piège dans leurs maisons et les habitants ont dû grimper sur les toits pour échapper aux eaux. Ceux qui vivent sous des tentes, à cause de la destruction de leurs maisons par les bombardements israéliens, vivent dans la plus grande misère alors que la campagne pour les expulser de leurs terres et de leur patrie se fait plus forte.

Les Palestiniens sont systématiquement écrasés par les tyrans qui tiennent les rênes en Israël au nom du vrai gouvernant : la maison Rothschild. Il en va de même pour les contribuables américains ou du monde entier. Vous payez pour un génocide programmé. Un tiers de l'aide extérieure américaine va à Israël, alors que ce pays représente 0,001 pour cent de la population mondiale et que le revenu par habitant est le plus élevé au monde. Sans compter sur les dons « privés » de grandes sociétés américaines ou de particuliers. Contrairement à ce qui se passe pour d'autres puissances étrangères, ces dons sont déductibles d'impôts même s'ils vont directement à l'armée israélienne. D'après les chiffres de 2007, le gouvernement des États-Unis a donné plus de 6,8 millions de dollars par jour à la riche Israël, pendant que les Palestiniens dévastés et sans espoir vivant sur la bande de Gaza et en Cisjordanie, n'ont reçu que 300 000 dollars. L'aide militaire des États-Unis à Israël a augmenté de plus d'un quart, s'établissant en moyenne à 3 milliards pour l'année 2007, un chiffre garanti pour 10 ans. Tout ceci, plus d'autres aides, font d'Israël le premier bénéficiaire du financement américain aux armées étrangères depuis la Seconde Guerre mondiale. Les États-Unis sont également les plus gros fournisseurs d'avions de chasse, d'armement et de technologie militaire. Par conséquent, Israël possède la plus grande flotte aérienne de F-16 Falcon en dehors de l'armée de l'air américaine. Dans leur livre Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère, John J. Mearsheimeer et Stephen M. Walt ont écrit :

Depuis la guerre d'Octobre 1973, Washington a fourni à Israël un soutien en diminuant celui qui était donné aux autres États. Israël a été le plus grand bénéficiaire de l'aide économique directe et de l'assistance militaire annuelles depuis 1976, et est au total le plus grand bénéficiaire depuis la Seconde Guerre mondiale, pour un montant de plus de 140 milliards de dollars (en 2003).

Israël reçoit environ trois milliards de dollars par an en aide directe, soit environ un cinquième du budget de l'aide étrangère, et une somme d'environ 500 dollars par an par Israélien. Cette largesse est particulièrement marquante, surtout qu'Israël est maintenant un État industriel riche, avec un revenu par personne à peu près égal à celui de la Corée du Sud ou de l'Espagne.

La maison Rothschild contrôle non seulement Israël, mais également le système politique des États-Unis. Le réseau qui relie les deux se nomme le sionisme Rothschild, et l'aide américaine à Israël est simplement une des branches du sionisme transférant l'argent liquide d'une main à l'autre. C'est pour ça que tout est hors de proportion par rapport aux besoins. La puissance de cette cabale sioniste des Rothschild rassemblant Israël, les États-Unis, le Canada, l'Europe, l'Australie et d'autres encore, fait penser à ces gars qui, dans la cour de récréation, attaquent et torturent les plus petits qu'eux. Des millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont tués ou blessés, d'autres handicapés à vie. On bombarde des innocents désarmés tout en sachant qu'ils ne pourront pas se défendre. C'est comme ça qu'opèrent les petites brutes des cours de récréation. Oh, hommes valeureux d'Israël ! Les parallèles sont infinis entre le « dieu » sanguinaire de l'Ancien Testament et les actions des individus sans cœur, ni âme qui contrôlent Israël. Ils n'ont pas plus d'empathie, ni plus de pitié pour ceux qui souffrent des conséquences de leurs actes, qu'un ordinateur de bureau. Imaginez un peu que l'Iran, ou n'importe quel autre pays en dehors d'Israël et des États-Unis, fasse ce que les Israéliens font aux Palestiniens. Il serait condamné unanimement par la communauté internationale et Israël et les États-Unis ne seraient pas les derniers à le faire. Des résolutions seraient adoptées au Conseil de sécurité des Nations Unies contre le pays en question, des sanctions seraient demandées ou alors une intervention militaire pour « sauver des innocents ». Quand Israël est impliqué, les appels à la trêve et à l'arrêt des violences restent sans réponse, car on « comprend bien la position d'Israël ».

Les candidats aux élections américaines de 2008 étaient tous d'accord sur un point...

Quand la bande de Gaza, l'endroit le plus peuplé de la Terre, a été bombardée au début de l'année 2009, le futur président du changement, Obama, se refusa à tout commentaire. Le silence fut sa seule réponse. Il a déclaré, avant son entrée en fonction, qu'il ne ferait aucune déclaration car les États-Unis ne peuvent avoir qu'un président à la fois. C'est tout de même étrange, car lorsque des attaques de terroristes islamiques ont tué des centaines de personnes à Mumbai, en Inde, quelques semaines plus tôt, il a tout de suite trouvé un micro. « M. Changement » n'est qu'une marionnette des sionistes Rothschild, comme nous le verrons plus tard. Le contrôle des Rothschild sur Israël n'est pas sujet aux mêmes lois que les autres, pour toutes les raisons que je viens d'exposer. Comme l'a dit Ariel Sharon, l'ancien Premier ministre d'Israël et terroriste :

Israël est en droit de juger les autres, mais personne n'a le droit de juger le peuple juif et l'État d'Israël.

Le Premier ministre Golda Meir révéla la même arrogance sioniste :

Ce pays existe comme l'accomplissement d'une promesse faite par Dieu lui-même. Il serait ridicule de lui demander de justifier son existence.

Ah ! Tout est dans le Nouveau Testament ! Ça y est, j'ai pigé. Donc vous faites comme vous voulez ! Le gouvernement d'Obama est servilement pro-israélien et pas seulement parce qu'il a eu besoin de l'aval du lobby sioniste des États-Unis pour sécuriser sa présidence, mais aussi parce que son administration fourmille de sionistes Rothschild, notamment le secrétaire général de la Maison Blanche ainsi que son conseiller principal. Le vice-président, Joe Biden (sioniste Rothschild) est à la solde d'Israël depuis longtemps et la secrétaire d'État, Hillary Clinton, fait partie des petites marionnettes qui promettaient d'« anéantir » l'Iran si ce dernier lançait une attaque nucléaire sur le pays élu de Dieu. Dirait-elle qu'elle anéantirait Israël si Israël lançait une attaque nucléaire sur l'Iran ? Bien sûr que non ! Plusieurs poids, plusieurs mesures ! Les Palestiniens n'ont jamais eu aucune chance de s'en sortir. Les jeux sont déjà faits et il en a toujours été ainsi. Si l'on fait disparaître l'injustice, on efface de la même façon tout mobile pour une réaction violente à cette injustice. Si vous placez des personnes dans une situation où elles peuvent choisir entre accepter leur sort pathétique ou ouvrir le feu, beaucoup choisiront la dernière solution. Plutôt que de chercher la racine du mal, l'injustice, Israël répond avec des bombardements utilisant une technologie de pointe afin de se « protéger ». En 2007, pour un mort du côté israélien, on en répertoriait vingt-cinq du côté palestinien. En ce qui concerne les 22 jours d'offensive israélienne sur la bande de Gaza au début de l'année 2009, Amnesty International déclare que 1 400 Palestiniens, dont 300 enfants ont été tués. Le nombre de civils morts du côté israélien s'élève à... trois. Les Israéliens ont fait bien plus que se « protéger ».

Israël possède également un arsenal nucléaire considérable, dont il refuse de parler, soutenu en cela par la politique officielle des États-Unis qui ne pose aucune question à ce sujet, même s'il est de notoriété publique que leur arsenal est en place depuis au moins 30 ans. Obama n'a fait que continuer à mener cette politique alors qu'il condamne tout pays refusant une inspection officielle. Mohamed El Baradei, directeur général de l'Agence de l'énergie atomique, a déclaré « qu'Israël était la menace numéro un au Moyen Orient » au regard de sa capacité nucléaire. Il a ajouté que cela faisait 30 ans que le gouvernement israélien refusait toute inspection de ses installations nucléaires. Comment peuvent-ils s'en sortir comme ça ? Israël et son arsenal nucléaire appartiennent aux Rothschild, tout comme le gouvernement américain. Mordechai Vanunu, un ancien technicien nucléaire, a révélé des détails sur le programme nucléaire militaire israélien à un journal britannique en 1986. Il rencontre à Londres une jeune femme, Cheryl Bentov, qui le persuade de se rendre à Rome en sa compagnie. Le Mossad, l'agence de renseignements des Rothschild, l'attend dans la capitale italienne, le drogue, le kidnappe et l'envoie en secret en Israël où il fera 18 ans de prison, dont 11 ans en isolement total, pour trahison, espionnage et révélation de secrets d'État. Cheryl Bentov, aujourd'hui Cheryl Hanin, travaille comme agent immobilier en Floride. On se demande bien comment elle peut arriver à trouver le sommeil ! Vanunu est un prisonnier politique à qui on refuse la liberté d'expression. Il a été arrêté de nombreuses fois pour avoir donné des interviews à des journalistes étrangers et tenter de quitter Israël. Il est arrêté en décembre 2009 parce que sa petite amie était norvégienne, ce qui d'après les autres fous, brisait l'interdiction d'avoir tout contact avec des étrangers. Son avocat, Avigdor Feldman, a déclaré que Vanunu a été arrêté parce qu'il avait une petite amie norvégienne que les services de police ont pourtant déjà interrogée. « Vanunu a été arrêté à cause de sa relation amoureuse avec une citoyenne norvégienne » dit Me Feldman « Il n'est en aucun cas accusé de livrer des informations. Le domaine du nucléaire n'intéresse pas son amie. Ce qui l'intéresse c'est Mordechai Vanunu. » Encore une fois, si un pays comme l'Iran ou un autre pays du Moyen-Orient faisait ce genre de choses, le gouvernement américain élèverait instantanément la voix et condamnerait la nature tyrannique du régime en question. Pourtant, la réponse du gouvernement du « pays de la liberté » au traitement scandaleux subit par Vanunu a été... le silence.

Les Rothschild contrôlent les États-Unis en partie grâce à un groupe de pression visant à soutenir Israël : The American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) (Comité américain des affaires publiques d'Israël). Ça ressemble à une organisation liée au gouvernement, ce qui semblerait logique, mais c'est en fait un lobby pro-israélien américain, dont le but est de maintenir les États-Unis dans un état de servilité vis à vis d'Israël, afin qu'ils continuent à soutenir les intérêts d'Israël et ceux des réseaux des Rothschild. Impossible de devenir président ou d'être nommé à un poste politique important si l'AIPAC ne vous juge pas acceptable, ou si vous préférez, si vous n'avez pas une fâcheuse tendance à lécher leurs bottes. L'AIPAC était derrière l'administration de George W. Bush, administration qui, comme tout le monde le sait, était contrôlée par les réseaux soit disant « néoconservateurs ». Ces réseaux comprenaient des « think tanks » tenus par les sionistes Rothschild comme le Project for the New American Century (Projet pour le nouveau siècle américain) et le American Enterprise Institute (Institut de l'entreprise américaine), qui avec d'autres ont orchestré l'invasion de l'Afghanistan et de l'Irak. Ces groupes de néoconservateurs regorgent de Khazar sumériens et de leurs agents (voir Le guide David Icke de la conspiration mondiale (et comment y mettre un terme) ainsi que Tales from the Time Loop (Contes du cycle temporel).

Au cœur du contrôle exercé par la clique des néoconservateurs des Rothschild, on trouve Richard Perle (Sioniste Rothschild), Paul Wolfowitz (Sioniste Rothschild), Dov Zakheim (Sioniste Rothschild), Douglas Feith (Sioniste Rothschild), John Bolton (Sioniste Rothschild), Lewis Libby (Sioniste Rothschild), et la liste est loin d'être close. Il se passe exactement la même chose avec l'administration Obama : c'est un régime à parti unique. On ne peut pas faire un pas à la Maison Blanche sans se cogner contre un sioniste Rothschild. Les juifs ne représentent pas plus de deux pour cent de la population américaine, mais contribuent financièrement à cinquante pour cent dans chaque campagne politique, selon Alan Hart, un ancien correspondant de la BBC et de Independent Television News, qui révèle tout ceci dans son livre Zionism: The Real Enemy of the Jews (Le sionisme : le véritable ennemi des juifs).

Au Royaume Uni, les Rothschild se servent d'un réseau qui porte le nom de Friends of Israël (Les amis d'Israël) pour influer sur la politique envers l'État hébreux. Les trois partis principaux, le parti travailliste, le parti conservateur et le parti des libéraux démocrates, ont tous des ramifications dans l'organisation Friends of Israel, ou plutôt, celle des « amis des Rothschild ». Les membres de cette organisation se retrouvent dans toutes les institutions britanniques. En font partie : le Premier ministre Gordon Brown (sioniste Rothschild), le ministre des Affaires étrangères David Miliband (sioniste Rothschild) et l'ancien Premier ministre Tony Blair (sioniste Rothschild). Le personnage le plus influent du gouvernement britannique, au moment où j'écris, est de loin Peter Mandelson (sioniste Rothschild), qui amasse titres et pouvoirs grâce au très critiqué Gordon Brown. Mandelson est un agent des Rothschild et a fréquemment accepté les invitations de son ami intime et associé, Nathaniel Rothschild. Mandelson a demandé que le Royaume Uni adopte la monnaie unique européenne (des Rothschild), car il souhaite que son pays passe sous le contrôle de la bureaucratie de l'Union européenne, celle-là même qui l'avait si bien rémunéré quand il était commissaire au commerce à la Commission européenne. Gordon Brown, infortuné et désespéré, a accepté de parrainer Le Fonds National Juif (FNJ). Il n'aurait jamais osé refuser. Le FNJ exige que les fruits de son travail reviennent seulement aux juifs et il cherche à imposer un État exclusivement juif en Israël, en particulier en soutenant ceux qui cherchent à voler le peu de terres qui restent aux Palestiniens. Rien d'étonnant, dans ce contexte, à ce que Brown nomme Ivan Lewis (sioniste Rothschild), au poste de secrétaire d'État aux Affaires étrangères, en charge de... écoutez bien... la politique britannique au Moyen-Orient. Lewis, en tant que vice-président du Labour Friends of Israel (groupe parlementaire affilié au parti travailliste) était un défenseur véhément d'Israël, lors du massacre des innocents de Gaza, au début de l'année 2009. Voici ce qu'il disait à propos de son nouveau poste :

Ma responsabilité dans le processus de paix au Moyen-Orient est particulièrement émouvante. Je n'ai jamais caché ma fierté d'être Juif, ni mon soutien à l'État d'Israël.

On avait compris, mon gars. Dès que cela concerne Israël, les préjugés incessants augurent d'un bon plan de carrière. L'ambassadeur britannique en Israël, Matthew Gould, un sioniste Rothschild, a été nommé par le ministre des Affaires étrangères, David Miliband (sioniste Rothschild). Pendant neuf ans, sous le gouvernement Blair (sioniste Rothschild) l'envoyé spécial au Moyen-Orient a été Lord Levy (sioniste Rothschild jusqu'au bout des ongles). Le frère de Miliband, Ed Miliband (sioniste Rothschild), ancien étudiant de la London School of Economics, a été promu en 2008 au poste de secrétaire d'État à l'Énergie et au Changement climatique, un poste clef pour pouvoir vendre le mensonge du « réchauffement planétaire ». Le précédent défenseur du « changement climatique » et secrétaire de l'environnement était... David Miliband ! Un autre personnage clef dans les gouvernements de Blair et de Brown a été Jack Straw (sioniste Rothschild) qui a tenu les postes de grand chancelier de Grande Bretagne, de secrétaire d'État à la justice, de ministre de l'intérieur, de ministre des Affaires étrangères, de Lord Gardien du sceau privé et Président de la Chambre des Communes. Straw et ses acolytes sont incompétents, mais d'une manière ou d'une autre, ils arrivent toujours à accéder à des postes importants au gouvernement alors que le nombre de juifs au Royaume Uni s'élève à peine à 275 000 sur une population qui frise les 70 millions de personnes. Encore une fois, la plupart de ces juifs britanniques ne sont pas des sionistes Rothschild. Être un « ami d'Israël » ou si vous voulez un ami des Rothschild et de leur plan, est essentiel pour atteindre les plus hautes charges politiques. Le lobby d'Israël ou des Rothschild, si vous préférez, est fantastique par son « appétit » politique et son influence qui s'étend au monde entier. Le groupe le plus important affilié au parti conservateur dirigé par David « je suis sioniste » Cameron, est le Conservative Friends of Israel (amis conservateurs d'Israël) qui a une énorme influence en ce qui concerne la sélection des candidats à un mandat parlementaire. David Cameron (sioniste Rothschild) probablement un prochain Premier ministre, a des liens familiaux avec les Rothschild. Yaakov Wise, un chargé de recherche à l'université de Manchester, au Centre d'études juives, a déclaré en 2009 que Cameron pouvait même être « un descendant direct de Moïse ». Ce serait quand même un peu difficile, étant donné qu'il n'y a pas eu de « Moïse », mais je comprends ce qu'il veut dire. Quand l'arrière-arrière-grand-père de Cameron, Emile Levita (descendant de la classe sacerdotale des Lévites), émigra en Grande Bretagne dans les années 1850, il arrivait du même fief allemand que les Rothschild. Il a ensuite été directeur de la banque à charte d'Inde, d'Australie et de Chine basée à Londres. Son fils se maria avec une parente du roi George III, ce qui fait de Cameron un cousin au cinquième degré de la reine, alors qu'il se dit « homme du peuple ». Voici les buts énoncés des Amis d'Israël au sein du parti démocrate britannique, mais c'est en fait la même chose pour tous :

• Maximiser le soutien apporté à Israël, non seulement au sein du parti des démocrates libéraux mais aussi au Parlement.

• Avoir une influence sur la politique du parti au Proche-Orient.

• Établir des liaisons avec les politiciens et le gouvernement israéliens.

• Fournir des documents d'information aux parlementaires pour les débats, les questions aux ministres et l'organisation des interventions publiques.

• Réfuter toute attaque contre Israël dans les médias, au Parlement et au sein du parti.

• Organiser des déplacements en Israël et y accompagner les libéraux démocrates des Amis d'Israël.

• Rester en contact permanent avec l'ambassade d'Israël.

Les différents groupes des Amis d'Israël à l'intérieur des partis politiques ne forment en fait qu'un groupe qui coordonne et manipule par le biais de tous les partis. Le Comité britannique sur les normes dans la vie publique, présidé par le baron Nolan, a donné un code des sept principes de la vie publique à suivre par les députés. Voici un des principes : « Le titulaire d'une charge publique ne doit contracter aucune obligation pécuniaire ou d'autre nature envers des particuliers ou des organismes de l'extérieur, susceptibles de l'influencer dans l'exercice de ses fonctions officielles. » À présent, quand il s'agit des lobbies les plus puissants, ceux en relation avec Israël, ils sont exemptés de suivre ce genre de principes, puisque ce sont eux qui contrôlent les comités supposés vérifier leur intégrité politique. C'est vraiment simple : contrôlez les deux côtés et vous gagnerez la partie. Les laquais des sionistes Rothschild, travaillant pour Israël, contrôlent le gouvernement britannique et les partis d'opposition ainsi que le Comité du renseignement et de la sécurité et le comité mixte des Affaires étrangères et de la défense. En fait, ils sont partout. Et c'est exactement la même chose aux États-Unis, au Canada et dans beaucoup d'autres pays. Le musicien et écrivain juif Gilad Atzmon n'a pas mâché ses mots en révélant, par exemple, que 56 pour cent des personnes nommées dans l'administration Clinton, étaient des sionistes qui ne représentaient que moins de 2 pour cent de la population américaine (voir le site www.gilad.co.uk). En France, Nicolas Sarkozy est également un sioniste Rothschild et un atout de longue date du le Mossad, le service de répression des Rothschild maquillé en service de renseignement d'Israël.

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi la « patrie » de l'Islam, l'Arabie Saoudite, ne réagit pas à ce qui se passe dans le monde arabe ? Il y a une raison à cela. La Maison des Saoud est une façade de la Maison Rothschild. Ils ne sont ni « arabes » ni « musulmans ». Ce sont tous des sionistes Rothschild descendant d'un Juif appelé Mordakhai bin Ibrahim bin Moshe. Les chercheurs assurent qu'en l'an 851, un groupe d'hommes du clan d'Al Masaleekh, ont formé une caravane pour l'achat de céréales et ont rencontré Mordakhai bin Ibrahim bin Moshe, un marchand de Bassora, ville située aujourd'hui en Irak. Mordakhai était Juif mais leur dit qu'il faisait partie de leur clan et qu'il avait dû venir s'installer à Bassora suite à une querelle familiale. Il leur demanda s'il pouvait faire la route avec eux jusqu'à la région de Nejd, en Arabie. Là-bas, il changea son nom et s'installa à Dariya d'où seraient originaires, comme le prétend l'histoire officielle, les fondateurs de la Maison des Saoud. Mordakhai récolta du soutien parmi les tribus de bédouins et se proclama leur chef, d'après ce que prétendent les chercheurs. Certaines tribus résistèrent et attaquèrent Dariya. Mordakhai fut contraint de fuir et trouva refuge dans une ferme près de Riyad, aujourd'hui la capitale de l'Arabie Saoudite. On raconte qu'en un mois, il aurait tué le fermier, aurait fait mettre ce meurtre sur le dos de brigands, aurait repris la propriété et lui aurait donné le nom de Dariya, celui-là même de la ville qu'il avait été contraint de fuir. Mordakhai qui s'était proclamé cheik, engendra de nombreux enfants qui eux fondèrent la Maison des Saoud que l'on connaît aujourd'hui. Ils se sont appropriés de grandes étendues de terre par la violence, les meurtres et les mensonges. Toute leur histoire a été réécrite afin que leur lignage corresponde avec celui de la royauté arabe et celui du prophète Mahomet. Un des fils de Mordakhai, Al Maraqan (du nom juif Mack-ren) eut deux fils Mohamed et Saoud, et c'est du nom de ce dernier que la dynastie tirerait son nom, nous disent les chercheurs. La Maison des Saoud a continué ses exactions jusqu'à ce qu'elle contrôle entièrement la Péninsule Arabique. La Maison des Saoud est une dictature fasciste des plus extrémistes. Voici ce que note un chercheur arabe :

Ils ont donné leur nom de famille à toute la Péninsule Arabique comme si toute la région leur appartenait et comme si tous les habitants étaient des simples serviteurs ou esclaves, trimant jour et nuit pour le bonheur de leurs maîtres (la famille royale saoudienne). Ils ont la main mise sur les richesses du pays comme s'il s'agissait de leurs propres biens.

La moindre personne issue du peuple qui élève la voix pour se plaindre des lois despotiques de cette dynastie juive (sionistes Rothschild), on lui coupe la tête en place publique. Une princesse issue de la dynastie se rendit un jour en Floride, aux États-Unis, avec sa suite. Elle loua 90 suites dans un grand hôtel pour la somme d'un million de dollars la nuit ! Est-ce qu'un de ses sujets a fait des commentaires sur cet événement plus qu'extravagant ? Si cela arrivait, son sort en serait jeté : il passerait par le fil de l'épée en place publique.

La croyance « islamique » extrême qui sert à justifier ces atrocités porte le nom de wahhabisme, un mouvement politico-religieux fondé par Mohammed ben Abdelwahhab, également connu pour être Juif. Ce dernier conclut une alliance avec Mohammed bin Saoud au XVIIIe siècle, et tous deux engagèrent une politique brutale et répressive. Pendant près de 180 ans, la Maison des Saoud s'est battu pour contrôler l'Arabie avant de fonder la présente dynastie et le royaume d'Arabie Saoudite, qui vit le jour en 1926 (plus officiellement en 1932), sous le règne du roi Abdelaziz Al Saoud. Ce sont des sionistes Rothschild qui obéissent aux ordres de la dynastie Rothschild. C'est pour cette raison qu'ils sont si proches des États-Unis et de la famille Bush (sionistes Rothschild), qu'ils soutiennent l'agression des États-Unis au Moyen-Orient, qu'ils appellent les Israéliens leurs « cousins » (véridique) et qu'ils leur ont donné, en 2009, la permission d'utiliser leur espace aérien s'ils choisissaient d'attaquer l'Iran. Dans un article du Daily Telegraph de Londres, en 2009, on suggère que le président Iranien, Mahmoud Ahmadinejad descend d'une famille juive du nom de Saborjhian, un nom apparemment commun dans les familles juives iraniennes. Ceci expliquerait pourquoi Ahmadinejad a l'habitude de dire et de faire des choses qui apportent de l'eau au moulin des sionistes Rothschild, de quoi diaboliser l'Iran. Au moment où j'écris ce livre, l'ascendance de Ahmadinejad n'est pas confirmée et peut ne pas être exacte. Ceci n'est pas de la paranoïa, mais plutôt une mise en garde. Gardez en mémoire que le monde que l'on vous montre aux informations et tous les discours politiques que vous entendez, font essentiellement partie d'un film réalisé par les Rothschild et leurs réseaux de lignées.

Mais tout le mal fait par les sionistes Rothschild est étouffé par la peur de se faire traiter d'« antisémite ». La dynastie des Rothschild a créé un réseau de groupes, généreusement financés, contre les activités haineuses pour pouvoir qualifier de « raciste » tout individu qui ose condamner Israël, le sionisme Rothschild ou ses réseaux aux États-Unis ou ailleurs. Des politiciens, des professeurs d'université, des gens comme moi, et toute personne ayant accès à la scène publique, sont immédiatement jugés comme étant « racistes », s'ils osent défier Israël ou quiconque étant Juif. Une des organisations des Rothschild est l'Ordre indépendant du B'nai B'rith, ou « Les fils de l'Alliance », fondée à New York en 1843. Les douze membres fondateurs étaient tous nés dans l'Allemagne des Rothschild et émigrèrent à New York à la même période, à la fin des années 1820 et au début des années 1830. Cette organisation se nomme elle-même « La voix unie de la communauté juive » alors qu'elle n'est que la voix unie des Illuminati Rothschild servant de fil conducteur au sein des réseaux de sociétés secrètes. Elle est très proche de la Grande Loge écossaise de la Franc-maçonnerie. En 1913, B'nai B'rith a donné naissance à la Ligue anti diffamation, the Anti-Defamation League (ADL), qui est aujourd'hui une des plus grandes organisations racistes des Rothschild. Avec une ironie toute orwellienne, le rôle de la Ligue anti diffamation est de diffamer, et son intitulé exact est Independant Order of B'nai B'rith (Ordre « indépendant » de B'nai B'rith) alors qu'elle est tout sauf ça. Il vaut mieux en rire, vraiment. « Nous sommes avant tout le peuple élu et, vous, vous êtes racistes. » Génial ! B'nai B'rith et l'ADL clament haut et fort qu'ils sont là pour protéger le peuple juif mais, comme le disait Platon : « Si la tyrannie pousse quelque part, c'est sur la tige de ce protecteur, et non ailleurs, qu'elle éclot. » L'ADL est un sous-groupe du centre d'opération secrètes israélien, le Mossad, qui, selon un ancien de ses agents aurait pour devise : « Par la tromperie la guerre tu mèneras. » Si ça n'est pas la devise du Mossad, elle devrait l'être. L'ADL est derrière l'introduction de la « propagande haineuse » visant à museler la dissidence contre le sionisme Rothschild ou contre Israël.

La propagande haineuse ne protège pas les minorités. Elle vise à annihiler la liberté d'expression et Abe Foxman, un de ses membres, le sait très bien.

Voici ce que dit l'universitaire juif, Noam Chomsky, de l'ADL dans son livre Necessary Illusions (Illusions nécessaires) :

L'ADL a pratiquement abandonné son rôle premier d'organisation pour les droits civiques et est devenue « un des principaux piliers » de la propagande israélienne aux États-Unis, comme le suggère la presse israélienne. Elle effectue des opérations de surveillance, établit des listes noires, fait circuler parmi ses adhérents des dossiers élaborés comme ceux du FBI et destinés à la diffamation, réagit publiquement aux critiques contre les actions menées par Israël, etc. Ces efforts étayés par des allusions à l'antisémitisme ou des accusations directes, ont pour but de détourner ou d'affaiblir les politiques d'opposition à Israël, comme le refus d'Israël, soutenu par les États-Unis, de progresser vers un règlement politique global.

Le rabbin américain, Michael Lerner, en convient :

L'ADL a perdu toute crédibilité à mes yeux en tant qu'organisation pour les droits civiques, quand elle a commencé à associer les critiques envers Israël avec de l'antisémitisme, et encore plus quand elle a été incapable de me défendre alors que des Juifs de groupes de droite menaçaient de me tuer parce que j'avais critiqué la politique d'Israël en Palestine. On m'a répondu que l'on ne me menaçait pas parce que j'étais Juif, et que cela ne faisait donc pas partie de leur domaine de préoccupation.

Tout d'abord, l'ADL n'a jamais été une organisation pour les droits civiques. Son véritable objectif est plutôt de les faire disparaître. Deuxièmement, elle ne défend personne, ni les juifs, ni les autres. Elle est en place pour représenter les intérêts sadiques de la Maison Rothschild et les Illuminati en général. Un des aspects de la méthode d'opération de l'ADL, est de manipuler les hommes politiques de derrière la scène, afin d'introduire des lois sur les « crimes haineux » prétendant arrêter ceux qui prêchent la haine des autres, en fonction de leur croyance ou de leur préférence sexuelle. L'ADL va proposer des projets concernant ces lois, mais leur motivation n'est pas d'arrêter toute discrimination. La vraie raison est de mettre fin à toute critique et à tout déballage concernant Israël, le Mossad et les activités cabalistiques des sionistes Rothschild dans le monde entier. Insinuez-vous que les bombardements impitoyables sur les civils de Gaza, le phosphore blanc qui brûle un homme vif, ce n'est pas bien ? Mais vous êtes coupable de crime haineux, vous n'êtes qu'un raciste ! L'ADL et la machine à propagande des sionistes Rothschild en général élève le mot « hypocrisie » à un degré d'absurdité encore plus élevé. Si l'ADL vous prend pour cible, leur arme la plus efficace pour porter le discrédit sur vous, est d'encourager l'opinion publique à vous détester. Ils ne sont pas contre la haine, c'est leur élément moteur et également une autre arme à utiliser quand bon leur semble. Tout leur arsenal réside dans l'utilisation de la haine et de la peur, et ils mettent tous leurs efforts pour faire passer leur propagande aux écoliers américains, ceci en partenariat avec l'association nationale des commissions scolaires et autres organismes. En clair, ce sont les Rothschild qui font tout ça. En même temps, aucune loi n'est appliquée pour réfréner le racisme horrible dont font preuve les sionistes Rothschild. Voici, par exemple, ce que dit le rabbin Friedman aux États-Unis :

Je ne crois pas à la morale occidentale qui recommande de ne pas tuer les civils ou les enfants, de ne pas détruire les lieux saints, de ne pas se battre lors des fêtes, de ne pas bombarder les cimetières, ne pas tirer le premier parce que c'est immoral. La seule manière de mener une guerre morale est la manière juive : détruire leurs lieux saints, tuer les hommes, les femmes et les enfants (et le bétail).

Que se passerait-il si quelqu'un avait tenu de tels propos sur le peuple juif ? Il aurait été vilipendé, mis en prison. Mais il existe une loi pour les sionistes Rothschild et une autre pour le reste d'entre nous, parce que ce sont eux qui contrôlent le gouvernement, l'application et le respect des lois. Ces gens font pression pour obtenir des « lois contre les comportements haineux », et même pour rédiger les projets de loi, et à présent ils suivent l'enseignement choquant d'un Talmud raciste. Ils font référence au non juifs en les nommant « Goyim » ou « Goy » (le bétail). Voici quelques exemples de ce que je veux dire :

• Si un goy frappe un Juif, il doit être tué (Sanhédrin 28b).

• Si un Juif trouve un objet perdu par un goy, il n'a pas à lui rendre (Baba Mézia 24a).

• Quand un Juif tue un goy, il n'y a pas de peine de mort (Sanhédrin 57a).

• Ce qu'un Juif vole à un goy, il peut le garder (Sanhédrin 57a).

• Les juifs peuvent user de subterfuges pour circonvenir un goy (Baba Kamma 113a).

• Tous les enfants des goyim sont des animaux (Yebamoth 98a).

• Toutes les filles des goyim sont niddah (sales, impures) depuis leur naissance (Abodah Zarah 36b).

• Les goyim ne sont pas des humains. Ce sont des animaux (Baba Mézia 114b).

• Lorsque vous mangez en présence d'un goy, c'est comme si vous mangiez avec un chien (Tosapoth, Jebamoth 94b).

• Même les meilleurs de gentils (des goyim) doivent tous être tués (Soferim 15).

• Les rapports sexuels des goyim sont semblables à ceux des bêtes (Sanhédrin 74b).

• En ce qui concerne un Gentil en temps de paix, on doit lui faire mal mais indirectement, par exemple en supprimant l'échelle une fois qu'il est tombé dans la crevasse (Shulkan Arukh, Yoreh De ah, 58, édition en hébreu, seulement).

Difficile de respirer à un tel degré d'hypocrisie. Israël a même lancé une campagne publicitaire pressant les Israéliens à donner des informations sur des amis ou des connaissances juifs vivant à l'étranger et qui pourraient être « en danger » en épousant des non-juifs. Les publicités sur Internet et à la télévision tendent à vouloir faire cesser l'« assimilation » des juifs en dehors d'Israël (la diaspora, comme ils l'appellent) et demandent à ces derniers de venir vivre en Israël. L'idée est d'augmenter la taille de la population israélienne et de confisquer de plus en plus de terre aux Palestiniens. Un des spots publicitaires dit que l'« assimilation » (des juifs se mariant par amour) est une « menace nationale » et il met en garde : « Plus de 50 pour cent des jeunes de la diaspora sont assimilés et sont perdus pour nous. » Perdu pour « eux » ? Mais bon sang, pour qui ils se prennent ? Ils traitent la majorité des juifs comme de la simple marchandise. La pub montre les affiches de personnes portées disparues avec des photos de jeunes juifs et le mot « perdu » traduit en plusieurs langues. La voix off demande à tous ceux qui « connaissent un jeune Juif vivant à l'étranger » d'appeler un numéro vert et de donner des renseignements. Cela dit aussi : « Ensemble nous renforcerons leurs liens avec Israël et nous ne les perdrons pas. » Israël refuse de reconnaître les mariages entre juifs et Arabes sauf s'ils sont contractés à l'étranger. N'importe qui agissant ainsi avec autant de racisme, serait immédiatement condamné par Israël et l'ADL. Max Blumenthal et Jesse Rosenfeld démasquent le racisme d'Israël dans une vidéo sur YouTube qui a pour nom Feeling the Hate in Jerusalem (Le sentiment de haine à Jérusalem) et dans laquelle on pose des questions sur Obama à des juifs américains visitant le pays. Une cascade de vulgarité raciste suit le reportage, comme : « Le pouvoir aux blancs. Putain de nègres ! » Paradoxal ! Quand on sait qu'Obama est une des marionnettes des sionistes Rothschild à la Maison Blanche, mais ces gens-là sont trop stupides pour s'en rendre compte. Il y a eu aussi un racisme des plus scandaleux de la part d'étudiants israéliens vis à vis de Palestiniens. YouTube et certains autres sites ont retiré la vidéo, mais après qu'elle soit visionnée des centaines de milliers de fois. Si cela avait été une vidéo sur la suprématie de la race blanche condamnant les juifs avec la même virulence, il y aurait eu un tollé général et la vidéo n'aurait jamais été supprimée. On n'aurait pas fini d'en entendre parler. Quelle hypocrisie !

J'ai dit que l'ADL était une des armes du Mossad, le service de renseignement des Rothschild, et elle utilise aussi les mêmes techniques. L'ADL a fait parler d'elle en 1993 pour avoir espionné des arabo-américains et ce que l'on appelle des « groupes progressistes », et pour avoir monté des dossiers sur plus de 600 organisations et 10 000 personnes. Il s'agissait notamment de l'American Civil Liberties Union (Union américaine pour les libertés civiles) et d'une vingtaine de syndicats dans la région de San Francisco. L'ADL partage des informations avec le Mossad et transmet les coordonnées de groupes anti-apartheid aux agences de renseignement d'Afrique du Sud. Telle est la mentalité de ceux qui accusent les autres de racisme. Noam Chomsky, qui a grandement critiqué la façon dont Israël traitait les Palestiniens, a révélé que l'ADL avait monté un dossier de 150 pages sur lui. Un des initiés de L'ADL lui a envoyé le document et Chomsky a déclaré qu'il ressemblait à un dossier du FBI. « ... Il est évident que leurs espions sont essentiellement dans des salles de classe à prendre des notes et à les envoyer à l'ADL et à d'autres organisations » dit Chomsky. « Ils constituent des dossiers qu'ils peuvent utiliser pour condamner, attaquer et destituer des enseignants. Un peu comme les dossiers du FBI de J. Edgar Hoover. Du renseignement de caniveau ! » L'ADL fait du renseignement de caniveau. Elle cherche à terroriser les universitaires, les étudiants et les autorités universitaires afin de faire taire toute critique concernant Israël, tout cela pour le compte de leurs maîtres, les Rothschild. Alors que j'écris ce chapitre, un professeur de sociologie de l'université de Californie, à Santa Barbara, est dans leur ligne de mire. William I. Robinson a commis le délit majeur d'avoir présenté des documents critiquant les conséquences des agissements d'Israël sur les affaires du monde entier. Mark Levine, professeur d'Études du Moyen-Orient et juif de surcroit, nous dit que les groupes pro-Israël ont en effet créé un « grand mécanisme » visant à torpiller toute attaque contre Israël sur les campus universitaires. « Ce sont des groupes puissants et organisés au sein de la communauté juive, qui utilisent la peur et l'intimidation pour faire en sorte qu'Israël ne soit pas critiqué » dit-il. « Ils en ont après tout le monde, et sont encore plus virulents quand les critiques viennent de juifs, parce qu'ils ont peur que si nous, nous les critiquons, alors tout le monde le fera. »

S'il y en a encore parmi vous qui pensent que les sionistes Rothschild s'intéressent au peuple juif, qu'ils lisent ce qui suit. Le sionisme est une société secrète reliée à toutes les autres dans la toile mondiale. Il n'a pas été créé au profit du peuple juif mais pour l'exploiter et l'utiliser comme couverture des exactions de la Maison Rothschild et de ses acolytes. Le sionisme est une autre version de la tyrannie. Personne n'a le droit de poser des questions sur lui ou de démontrer ce qu'il est, sans s'exposer à des représailles, et c'est la même chose pour les juifs. Et spécialement pour ceux qui sont de parents juifs, nous dit Mark Levine, parce qu'ils ne peuvent pas être étiquetés d'« antisémites » par les réseaux dirigés par les Rothschild, ceux-là mêmes qui cherchent à diffamer discréditer et détruire quiconque s'approche trop de la vérité. Ils ont essayé avec moi et en feront de même à la parution de ce livre, mais je suis toujours là et je continuerai quelles que soient les embûches. Un ami chercheur, Henry Makow, inventeur du jeu de société Question de scrupules, a été appelé à comparaître devant le Tribunal canadien des « droits de la personne », sur une plainte stipulant qu'il suscitait la haine des juifs. Ce qui rend cette plainte encore plus insensée qu'à l'habitude, c'est que Henry est le fils de personnes ayant souffert du régime nazi dans la Pologne occupée et que ses grands-parents ont péri dans le conflit. Ses parents n'ont survécu que parce qu'ils se sont fait passer pour des catholiques. Et voici, à présent, que le fils et le petit-fils de victimes des nazis financés par les Rothschild, est accusé d'inciter à la haine contre les juifs. Allons donc !

La plainte a été déposée par le Congrès juif canadien et son directeur général, Bernie Farber, qui a fait campagne pendant des années pour que je n'intervienne plus au Canada. Cet homme est scandaleusement considéré comme un des spécialistes canadien en ce qui concerne les crimes haineux, alors que son boulot est en fait d'utiliser les allégations de « crime haineux » pour faire taire ses cibles. Le Congrès juif canadien cherche à persécuter Henry Makow car il dénonce le sionisme Rothschild et le vrai plan mis en marche, et met en alerte le peuple juif contre la façon dont on l'utilise, afin d'imposer un nouveau système mondial qui nous enchaînerait tous, y compris les juifs. George Orwell a écrit de manière prophétique : « Dans ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » Mais cela devient vite un crime. Étonnamment, dans un pays prétendument « libre » la vérité n'est pas une défense dans les cas traités par la police morale de la Commission canadienne des « droits de la personne ».

Dans la propagande haineuse voulue par les Rothschild, la vérité n'est pas une défense.

On se fiche de savoir si ce que vous dites est vrai, vous pouvez encore être poursuivi si la mafia des « droits de la personne » considère qu'il ne fallait pas le dire. Le Congrès juif canadien, ou CJC, est étroitement associé avec la famille Bronfman, des subalternes des Rothschild dans le réseau sioniste. Le CJC travaille de concert avec B'nai B'rith et l'ADL. Il a été reconnu qu'il a placé un de ses agents au sein du parti nazi canadien pour promouvoir l'image du parti et bénéficier de son influence. L'idée était de faire peur à la communauté juive et de justifier les « lois contre les crimes haineux » que le CJC demandait au gouvernement de mettre en place. C'est avec ce genre de personnes que nous traitons.

Henry Makow a dû payer une lourde facture, mais légale, pour se défendre devant la dictature canadienne des « droits de la personne » et protéger son site web de la censure. La Commission canadienne des « droits de la personne », que nous nommerons CCDP, est une autre vitrine du réseau des Rothschild, qui cible la libre expression de ceux qui tentent de révéler la manipulation tapie derrière les événements mondiaux. La CCDP est superbement dénoncée dans le livre Shakedown de l'auteur et éditeur juif canadien, Ezra Levant, une autre cible de la police morale. Comme il le dit justement : « la CCDP a pour mission de détruire les véritables droits de l'homme, comme la liberté de parole, et de les remplacer par des droits de l'homme contrefaits, comme le faux droit de ne pas être offensé. » Ezra a dénoncé le comportement singulier de l'ancien « instigateur » et plaignant en série de la CCDP, Richard Warman, incluant le fait qu'il ait posté des commentaires hautement racistes sur des sites web, et dénoncé ces mêmes sites à la CCDP comme porteurs de messages racistes. Oui, vous avez bien lu. Le CJC est dirigé par un ami de Warman, Bernie Farber, celui qui avait pris Henry Makow pour cible, et il a décerné à Richard Warman le prix des droits de l'homme. Les « tribunaux » de la CCDP sont des tribunaux fantoches où tout le monde se retrouve coupable, avant même que les preuves en soient apportées. Henry Makow dit justement :

La CCDP transmet les plaintes des sionistes au « tribunal », fier de son impartialité. Mais le tribunal n'a jamais refusé d'auditionner un cas, qu'il soit fondé ou non. Aucune plainte n'a été jugée en faveur du défendeur.

Grâce aux efforts incessants de personnes comme Ezra Levant, la presse canadienne a commencé à réaliser ce qui se passait concernant les degrés de censure et les abus sur les droits à la personne. Le journal Ottawa Citizen déclare : « Une cour dans laquelle les règles ne vont qu'en sens unique est la définition même d'un procès-spectacle. Ces institutions devraient être une honte pour tous les Canadiens. » Oui, mais ce sont justement les tribunaux que les Rothschild veulent imposer dans le monde entier, et pas seulement pour auditionner des cas de « droits de la personne ». Ils veulent que tous les tribunaux fonctionnent de même pour imposer leur État mondial fascisto-communiste. Ironiquement, Ezra Levant est un défenseur passionné d'Israël et du sionisme, et il se retrouve aujourd'hui dans la ligne de mire des organisations des sionistes Rothschild, comme le Congrès juif canadien. Son crime est de se battre pour la liberté de parole et de dénoncer la Commission canadienne des droits à la personne et le Congrès juif canadien qui cherchent à mettre fin à cette liberté. Ces deux organisations travaillent en étroite relation, même si la Commission est supposée dépendre du gouvernement alors que l'autre est « privée ». Ce qui les lie, c'est la censure systématique du réseau des Rothschild. Henry Makow retrace ça très bien : Le terme « droits de l'homme » est devenu un gros mot au Canada car les sionistes déterminent qui en bénéficiera. Bienvenue dans le futur ! » Il n'y a pas que le Canada qui est concerné, mais le monde entier. Les « lois contre les crimes haineux » voient le jour grâce aux manipulations des sionistes Rothschild et des organisations telles B'nai B'rith et la Ligue anti diffamation.

Le professeur juif, David F. Noble, a affronté la colère du lobby des Rothschild, quand il a dénoncé le contrôle qu'ils avaient sur une des trois plus grandes universités du Canada, la York University de Toronto. Il a distribué des tracts qui disaient : « la fondation de l'université York : la cause du problème (suggestion de recherches) ». Cette fondation est la principale source de financement de l'université et le professeur Noble a déclaré qu'elle avait été prise en otage par le « lobby israélien », afin d'avoir la mainmise sur la politique de l'université. Il a également démontré l'influence plus vaste d'Israël sur les institutions occidentales. Et quelle a été la réaction du lobby des sionistes Rothschild ? Ils ont tout simplement accusé ce professeur d'antisémitisme. Il faut le faire ! Inébranlable, le professeur a poursuivi la fondation qui finance l'université pour diffamation devant la Cour supérieure de justice de l'Ontario, et a demandé 25 millions de dollars de dommages et intérêts. Il inclut dans son accusation l'entreprise privée qu'est la Fondation de l'université, les organisations juives pro-Israël finançant l'université, la Fondation Hillel du Grand Toronto, le United Jewish Appeal of Great Toronto et le Congrès juif canadien de l'Ontario. Le procès met en accusation ces organisations pour avoir tenté de nuire, de faire taire et de chercher à salir le professeur Noble, en raison de son enquête critique sur les influences extérieures de l'université. Il déclare :

Dans leur volonté de censurer mes enquêtes, de détruire publiquement ma réputation et de m'isoler de mes pairs, les défendeurs se sont livrés à la plus vile des attaques personnelles en essayant de stigmatiser un Juif comme antisémite — parce que j'ai osé étudier et montrer leurs activités pernicieuses. Ces gens riches et puissants prétendent être les amis de l'enseignement supérieur mais sont en fait ses pires ennemis. Ils croient s'être acheté une université. Ils se trompent.

Bien joué !

Un autre personnage juif haït par les sionistes Rothschild (la haine est ce qu'ils connaissent le plus) est le remarquable Norman Finkelstein, qui dénoncent les abus révoltants envers le peuple juif dans son livre, The Holocaust Industry : Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering (L'industrie de l'Holocauste : Réflexions sur l'exploitation de la souffrance des juifs).

Norman Finkelstein est la cible de la police morale des sionistes Rothschild car, à ses yeux, il a commis un crime : il a dit la vérité !

Les parents de Finkelstein ont survécu aux camps de concentration nazis. Sa mère a été envoyée à Majdanek et dans deux autres camps de travail, et son père était à Auschwitz. Tous les autres membres de sa famille ont été exterminés par les nazis. Je recommande chaudement la lecture de ce livre si vous voulez savoir à quel point les sionistes Rothschild exploitent le peuple juif. C'est époustouflant. Ces gens n'ont vraiment pas honte. Finkelstein démontre que le nombre prétendu des survivants de l'Holocauste passe de 10 000 en 1945 à près de un million en 1997 et prouve que les sionistes Rothschild ont demandé des indemnités pour des victimes fantômes. « Si tous ceux qui prétendent être des survivants le sont vraiment, alors qui a été tué par Hitler ? », avait l'habitude de dire sa mère. Pendant ce temps, les vrais survivants sont les perdants, car ils ne représentent rien pour les sionistes Rothschild. La mère de Finkelstein a seulement perçu 3 500 dollars d'indemnités de la part du gouvernement allemand par le biais d'organisations juives alors que d'autres, qui n'ont jamais approché de près ou de loin un camp de concentration, ont perçu de l'Allemagne des pensions à vie, représentant des centaines de millions de dollars. Les sionistes Rothschild ont monté cette arnaque en négociant avec le gouvernement allemand le fait que les indemnités n'aillent pas directement aux individus qui ont souffert, mais qu'elles servent à la réhabilitation des « communautés » juives. En d'autres termes, aux organisations dirigées par les sionistes Rothschild. Il y eut quand même deux exceptions à la règle de non indemnisation des individus : les rabbins et les « dirigeants juifs importants ». Chacun a reçu son chèque et si l'on s'en réfère à la valeur de la monnaie aujourd'hui, la somme payée par l'Allemagne s'élève à des dizaines de milliards de dollars. L'organisation chargée de négocier au nom des victimes juives du nazisme est la Conférence de revendication matérielle des biens juifs contre l'Allemagne et elle comprend le Comité juif américain, le Congrès juif américain, et B'nai B'rith. Ce sont ces organisations qui ont le plus réclamé les « lois contre les crimes haineux » afin de protéger le peuple juif dont elles n'ont en fait rien à faire.

Un rabbin a dénoncé ces accords sur les indemnités en des termes qui ne laissent aucun doute sur les motivations des « bienfaiteurs » du peuple juif. Le rabbin Arthur Hertzberg a déclaré : « Il n'est point question de justice, mais d'un combat pour l'argent. » Le secrétaire général de la Conférence de revendication matérielle des biens juifs contre l'Allemagne est Saül Kagan, et voici ce que Finkelstein dit de lui : « Le salaire officiel de Saül Kagan est de ... 105 000 dollars par an. Kagan gagne en douze jours ce que ma mère a reçu pour six ans de persécutions nazies. » Ces données sur son salaire datent de l'an 2000, imaginez à combien elles s'élèvent aujourd'hui. Kagan est encore en poste et prétend que son organisation a déjà versé plus de 60 milliards d'indemnités aux « survivants de l'holocauste » du monde entier. D'après Finkelstein :

Depuis quelques années, l'industrie de l'Holocauste est devenue purement et simplement une entreprise d'extorsion de fonds. Elle prétend représenter tous les juifs du monde, morts ou vifs, et réclame à ce titre, les biens des juifs de l'époque de l'Holocauste dans toute l'Europe. Qualifié avec une grande justesse d' « épilogue de l'Holocauste », ce double pillage, à la fois des pays européens et des plaignants juifs légitimes, a pris pour première cible la Suisse. (Après une campagne de longue haleine qui engagea le milieu politique américain) la Suisse accepta de payer, en 1998, 1,25 milliard de dollars. « Le but du paiement complémentaire », expliquait un communiqué de presse des banques suisses, « est d'éviter les sanctions et les frais d'un procès long et coûteux. »

Malgré la sollicitude pour les « survivants nécessiteux de l'Holocauste », le Congrès juif mondial veut que presque la moitié de l'argent suisse aille aux associations juives et à « l'enseignement de l'Holocauste ». Le Centre Simon Wiesenthal maintient que si des associations juives « méritantes » reçoivent de l'argent, « une partie devrait aller aux centres éducatifs ». Les associations religieuses orthodoxes et réformistes « font chacune la quête » pour une grosse part du butin, prétendant que c'est leur branche particulière du judaïsme que les six millions de morts auraient choisi de faire bénéficier. »

Le Congrès juif mondial et le Centre Simon Wiesenthal sont des organisations contrôlées par les Rothschild. L'historien Guy Walters a parlé, dans son livre Hunting Evil, des vraies origines du « chasseur de nazis » Simon Wiesenthal et le décrit comme un menteur qui a fait assigner en justice une poignée de nazis, sans se soucier de la grande majorité d'entre eux. Comme je l'ai déjà dit, Wiesenthal n'a pas parlé du soutien essentiel et facilement prouvable que les familles Rockefeller et Bush ont apporté aux nazis, car il faisait lui-même partie de cette cabale — la cabale des Rothschild. C'est la raison pour laquelle Wiesenthal n'était pas très intéressé par le fait de prendre pour cible une grande majorité de nazis, même quand il s'est agi de « l'ange de la mort », Josef Mengele, et de tous ceux qui ont été envoyés aux États-Unis après la guerre, pour travailler sur des projets top secrets sur la génétique, la manipulation mentale et la haute technologie (voir Le plus grand secret). Guy Walters dit du plus célèbre « chasseur de nazis » :

La réputation de Simon Wiesenthal repose sur du sable. C'était un menteur, et un mauvais dans son genre. De la fin de la Seconde Guerre mondiale à la fin de sa vie en 2005, il a menti de manière répétée sur sa traque supposée d'Eichmann, ainsi que sur ses autres exploits en tant que chasseur de nazis. Il concoctait aussi des histoires grotesques sur ses années de guerre et faisait des affirmations mensongères sur ses études universitaires.

Walters résume bien la mentalité récurrente et effectivement obligatoire des réseaux de lignées et de leurs bouffons. Voici donc ces saints entre les saints qui ont le culot de traiter les autres de racistes et de véhiculer des mensonges.

Norman Finkelstein a également mis en avant le traitement qu'Israël inflige aux Palestiniens et ses violations des droits de l'homme. Il accuse ce pays d'être un État terroriste et que « la seule différence entre le terrorisme israélien et le terrorisme du Hamas, est que le terrorisme israélien est trois fois plus meurtrier ». L'exposé de Finkelstein sur ces malades corrompus le rend dangereux aux yeux des Rothschild et ils ont riposté à leur façon. Une campagne de diffamation a été lancée et menée par le sioniste Rothschild, Alan Dershowitz, professeur de droit à Harvard et défenseur de « mandats de torture » pour rendre la torture légale. Si vous êtes juif et que le terme « antisémite » n'a pour vous aucune raison d'exister, ils disent que vous souffrez de haine de vous-même. Pas question de discuter, ce serait inutile. Ils savent bien que si un débat avec des preuves se mettait en place, ils auraient de vrais problèmes. Abuser des autres est leur arme. Si vous les dénoncez et que vous n'êtes pas Juif, vous êtes antisémite. Si vous les dénoncez et que vous êtes Juif, vous reniez vos origines, vous n'aimez pas ce que vous êtes. Un sioniste Rothschild a déclaré que Finkelstein était « un malade, un exemple dégoûtant de haine de soi ».

Selon la propagande, les juifs qui portent de sérieuses critiques contre Israël pour les mauvais traitements infligés aux Palestiniens, des personnes comme Norman Finkelstein, Noam Chomsky, Sara Roy, et bien d'autres, sont des « mauvais juifs » en quelque sorte.

Il en revient aux « bons juifs » de neutraliser de telles critiques envers Israël, en attribuant à ceux qui critiquent cette étiquette de « mauvais juifs » et en mettant fin à leur contrat de travail, en entravant leur liberté de parole et en détruisant leur crédibilité auprès du public, ainsi qu'auprès des présidents d'universités. Dans cette taxonomie (classification), ce sont les « bons juifs » qui parlent pour les juifs dans leur ensemble.

En d'autres termes, les « bons juifs » sont les sionistes Rothschild et ceux qui font ce qu'on leur dit de faire. Le peuple juif, en général, doit comprendre ceci, sinon il va continuer de se faire avoir. Le sionisme n'est pas synonyme de Juif, mais de Rothschild. En 2007, Norman Finkelstein s'est vu refuser sa titularisation (en fait, il a été viré) par l'Université DePaul de Chicago après une campagne virulente menée contre lui par Alan Dershowitz. Ce dernier a envoyé à l'université « un dossier sur les péchés académiques flagrants de Norman Finkelstein, un rapport sur ses mensonges éhontés, ses citations inexactes et sur sa façon d'altérer les faits ». Je suis sûr qu'il devait s'agir d'un dossier très honnête ! Le département de Finkelstein, ainsi qu'un comité du personnel, ont voté en faveur de sa titularisation, mais le doyen de l'université des arts libéraux et des sciences, ainsi que la commission des promotions et titularisations de l'université, la rejeta. Encore une fois, les sionistes Rothschild ont fait acte de manipulation en contrôlant et influençant les personnes clef au sein de l'organisation universitaire. Il est très difficile d'imposer sa volonté à plusieurs individus, donc vous devez pour cela contrôler les personnes en poste aux plus hauts échelons de la pyramide. Le président de l'université, le révérend Dennis Holtschneider céda à la pression des sionistes et prit la décision finale de confirmer le rejet de la candidature de Finkelstein. C'en était fini pour lui. À la fin des années 1990, j'ai pu aller faire une conférence à l'université de Toronto parce que le grand patron avait refusé de céder à la pression du Congrès juif canadien, et de celui qui faisait campagne pour la Ligue anti diffamation et les « droits de l'homme », Richard Warman, tous voulaient m'empêcher de venir. Peu de temps après, ce directeur n'assurait plus ses fonctions. Une répression est menée contre la diversité et la dissidence dans le système éducatif et universitaire par les sionistes Rothschild qui prennent dans ce milieu de plus en plus de pouvoir, comme le dénonce plus haut le professeur Noble de l'université York de Toronto. Ils contrôlent les financements, la politique de l'établissement et les nominations. La carrière universitaire de Norman Finkelstein a été essentiellement torpillée parce qu'il a dit la vérité, et c'est pourquoi le professeur Noble a été diffamé et Henry Makow l'objet d'attaques. Ils sont tous d'ascendance juive, mais cela n'a que peu d'importance. Le sionisme Rothschild ne s'intéresse pas aux intérêts des juifs mais au contrôle.

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[01] David Icke