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MAITRISER SES PENSÉES
Dans les leçons précédentes nous avons considéré le corps comme étant le centre de l’éthérique et de l’aura ; nous nous sommes déplacés à partir du corps vers l’extérieur, discutant de l’éthérique et poursuivant avec une description de l’aura avec ses bandes de couleurs et plus avant encore, jusqu’à la peau aurique extérieure. Tout ceci est extrêmement important et nous vous conseillons de relire les leçons précédentes parce que, dans cette leçon et la leçon « La Sortie Hors du Corps », nous allons préparer le terrain pour quitter le corps. À moins que vous n’ayez clairement compris l’éthérique et l’aura et la nature de la structure moléculaire du corps, vous pouvez vous heurter à des difficultés.
Le corps humain consiste, comme nous l’avons vu, en une masse de protoplasme. C’est une masse de molécules répandues sur un certain volume d’espace à peu près comme un univers occupe un certain volume d’espace. Maintenant nous allons aller vers l’intérieur, loin de l’aura, loin de l’éthérique et dans le corps, parce que ce corps de chair est juste un véhicule, juste « un costume (le costume d’un acteur qui vit le rôle qui lui est attribué sur la scène qui est le monde) ».
On a affirmé que deux objets ne peuvent pas occuper le même espace. C’est raisonnablement correcte quand on pense à des briques, du bois de construction ou des pièces de métal, mais si deux objets ont une vibration dissemblable ou si les espaces entre leurs atomes, leurs neutrons et leurs protons sont assez larges, alors un autre objet peut occuper le même espace. Vous pouvez trouver cela difficile à comprendre aussi permettez-nous de nous exprimer différemment, permettez-nous de donner peut-être deux illustrations. Voici la première :
Si vous avez deux verres que vous remplissez d’eau à ras bord, vous constaterez que si vous jetez un peu de sable (disons, une cuillerée à café) dans un des verres remplis, l’eau débordera et s’écoulera sur le côté démontrant que dans ce cas-ci l’eau et le sable ne peuvent pas tous deux occuper le même espace et qu’ainsi l’un doit céder le passage. Le sable, étant plus lourd, coule au fond de l’eau augmentant ainsi le niveau dans le verre au point que l’eau déborde.
Tournons-nous maintenant vers l’autre verre qui a aussi été rempli avec de l’eau jusqu’au bord (rempli précisément au même niveau que le premier verre). Si nous prenons maintenant du sucre et que nous saupoudrons lentement le sucre dans le verre, nous constatons que nous pouvons mettre jusqu’à six cuillerées à café de sucre dans le verre avant que l’eau déborde ! Si nous le faisons lentement nous verrons le sucre disparaître, autrement dit, il se dissout. En se dissolvant ses propres molécules occupent les espaces entre les molécules de l’eau et c’est ainsi qu’il ne prend pas plus d’espace. C’est seulement quand tout l’espace entre les molécules d’eau a été rempli par les molécules de sucre que l’excès de sucre s’accumule au fond du verre et fait éventuellement déborder l’eau. Dans ce cas nous avons la preuve évidente que deux objets peuvent occuper le même espace.
Prenons une autre illustration ; regardons le système solaire. C’est un objet, une entité, un « quelque chose ». Il y a des molécules, ou atomes que nous appelons des mondes, se déplaçant dans l’espace. S’il est vrai que deux objets ne peuvent occuper le même espace, alors nous ne pourrions pas envoyer une fusée de la Terre dans l’espace ! Les gens d’un autre univers ne pourraient pas non plus entrer dans cet univers parce que s’ils le faisaient ils occuperaient NOTRE espace. Donc (sous des conditions appropriées) il est possible pour deux objets d’occuper le même espace.
Le corps humain, se composant de molécules avec un certain espace entre les atomes, loge aussi d’autres corps, des corps ténus, des corps spirituels, ou ce que nous appelons des corps astraux. Ces corps ténus sont précisément de la même composition que le corps humain, c’est-à-dire qu’ils consistent en molécules. Mais de même que la terre ou le plomb ou le bois se composent d’un certain arrangement de molécules (molécules d’une certaine densité) les corps spirituels ont moins de molécules et plus d’espace entre chacune. Il est ainsi tout à fait possible pour un corps spirituel de trouver de la place dans un corps de chair dans le plus intime contact et aucun n’occupe l’espace nécessaire à l’autre.
Le corps astral et le corps physique sont connectés ensemble par la Corde d’Argent. Cette dernière est une masse de molécules vibrant à une vitesse formidable. Elle est d’une certaine façon semblable au cordon ombilical qui connecte une mère à son bébé ; les impulsions, les impressions et la nourriture circulent de la mère au bébé qu’elle porte. Quand le bébé naît et que le cordon ombilical est coupé, alors le bébé meurt à la vie qu’il connaissait auparavant, c’est-à-dire qu’il devient une entité séparée, une vie séparée, il ne fait désormais plus partie de la mère ; ainsi il « meurt » en tant que partie de la mère et prend en charge sa propre existence.
La Corde d’Argent connecte le Sur-moi et le corps humain et les impressions passent en éclair de l’un à l’autre durant chaque minute de l’existence du corps de chair. Les impressions, les ordres, les leçons et de temps en temps même la nourriture spirituelle descendent du Sur-moi au corps humain. Quand la mort survient la Corde d’Argent est coupée et le corps humain est abandonné comme un costume jeté tandis que l’esprit continue.
Ce n’est pas l’endroit pour approfondir la question, mais il doit être spécifié qu’il existe un certain nombre de « corps spirituels ». Pour le moment nous nous occupons du corps de chair et du corps astral. En tout, dans notre forme actuelle d’évolution, il y a neuf corps séparés, chacun connecté à l’autre par une Corde d’Argent ; mais nous sommes présentement plus concernés par le voyage astral et les questions intimement liées au plan astral.
L’Homme, ainsi, est un esprit temporairement enfermé dans un corps de chair et d’os, enfermé afin que des leçons puissent être apprises et des expériences vécues, expériences qui ne pourraient être gagnées sans l’utilisation d’un corps. L’Homme, ou le corps de chair de l’Homme, est un véhicule qui est conduit ou manipulé par le Sur-moi. Certains préfèrent utiliser le terme « âme » mais nous utilisons celui de « Sur-moi » parce que c’est plus approprié ; l’Âme est quelque chose de différent, en fait, et se rend à un royaume encore plus élevé. Le Sur-moi est le contrôleur, le conducteur du corps. Le cerveau de l’humain est un relais, un central téléphonique, une usine complètement automatisée, si vous voulez. Il prend les messages venant du Sur-moi et convertit les ordres du Sur-moi en activité chimique ou en activité physique qui maintiennent le véhicule en vie, faisant travailler les muscles et provoquant certains processus mentaux. Il retransmet de même au Sur-moi les messages et les impressions d’expériences gagnées.
En s’échappant des limitations du corps, comme un conducteur qui laisse temporairement son véhicule, l’Homme peut voir le Monde Plus Grand de l’Esprit et peut évaluer les leçons apprises tandis qu’il est enfermé dans la chair ; mais ici nous discutons du physique et de l’astral, avec peut-être de brèves mentions du Sur-moi. Nous mentionnons l’astral en particulier parce que dans ce corps l’Homme peut voyager dans des endroits éloignés en un clin d’oeil, l’Homme peut aller n’importe où à tout moment et peut même voir ce que de vieux amis ou parents sont en train de faire. Avec de la pratique, l’Homme (ou la Femme !) peut visiter les villes du monde et les grandes bibliothèques du monde. Il est facile, avec de la pratique, de visiter n’importe quelle bibliothèque et de regarder n’importe quel livre ou n’importe quelle page d’un livre. La plupart des gens pensent qu’ils ne peuvent pas quitter leur corps parce que dans le monde Occidental ils ont été tellement conditionnés pendant toute leur vie à ne pas croire aux choses qui ne peuvent pas être senties, mises en pièces et discutées en termes qui ne veulent rien dire.
Les enfants croient aux fées ; de telles choses existent, bien sûr, mais nous qui pouvons les voir et converser avec elles, les appelons les Esprits de la Nature. Beaucoup de très jeunes enfants ont ce que l’on croit être des camarades invisibles. Pour les adultes, les enfants vivent dans un monde de fantaisie, parlant avec animation à des amis qui ne peuvent être vus par les adultes cyniques. L’enfant sait que ces amis sont réels.
Au fur et à mesure que l’enfant grandit les parents rient ou se fâchent de ces imaginations futiles. Les parents, qui ont oublié leur propre enfance et oublié comment leurs parents ont agi, battent même un enfant pour être « menteur » ou pour être « sur-imaginatif ». Éventuellement, l’enfant devient hypnotisé à croire qu’il n’existe rien de tel que les Esprits de la Nature (ou les fées) et à leur tour ces enfants grandissent (ont leur propre famille) et découragent leurs propres enfants de voir ou de jouer avec les Esprits de la Nature !
Nous allons dire très nettement que les Orientaux et le peuple de l’Irlande s’y connaissent mieux ; il existe des Esprits de la Nature, peu importe qu’on les appelle fées ou lutins (quel que soit le nom qu’on leur donne) ils sont réels, ils font du bon travail et l’Homme, dans son ignorance et sa vantardise, en niant l’existence de ce peuple, se prive d’un merveilleux plaisir et d’une merveilleuse source d’informations, car les Esprits de la Nature aident ceux qu’ils aiment, aident ceux qui croient en eux.
Il n’y a pas de limites à la connaissance du Sur-moi. Il y a des limites très réelles aux capacités du corps (le corps physique). Presque tout le monde sur Terre quitte le corps durant le sommeil. Quand ils se réveillent les gens disent qu’ils ont fait un rêve parce que, ici encore, on leur apprend à croire que cette vie sur la Terre est la seule qui importe, on leur apprend qu’ils ne vont pas voyager pendant leur sommeil. Ainsi de merveilleuses expériences sont rationalisées en « rêves ».
De nombreuses personnes qui croient peuvent quitter leur corps à volonté et peuvent voyager vite et loin, retournant dans leur corps des heures plus tard avec le souvenir complet et entier de tout ce qu’elles ont fait, tout ce qu’elles ont vu et tout ce qu’elles ont expérimenté. Presque tout le monde peut quitter son corps et voyager astralement, mais on doit croire qu’on peut le faire ; il est parfaitement inutile de diffuser des pensées d’incrédulité qui repoussent, des pensées que pareille chose ne peut se faire. En réalité, il est remarquablement facile de voyager astralement une fois que l’on a surmonté le premier obstacle, la peur.
La peur est le grand frein. La plupart des gens doivent supprimer la peur instinctive que quitter le corps c’est mourir. Certaines personnes ont une peur mortelle que si elles quittent leur corps elles peuvent ne plus pouvoir y revenir ou qu’une quelconque entité pénétrera dans leur corps. C’est tout à fait impossible à moins que l’on « ouvre la porte » par la peur. Une personne qui ne craint pas est à l’abri de tout mal quoi qu’il puisse lui arriver. La Corde d’Argent ne peut pas être rompue quand on voyage dans l’astral, personne ne peut envahir le corps à moins que l’on fournisse une invitation précise en étant terrifié.
Vous pouvez toujours (TOUJOURS) retourner à votre corps, tout comme vous vous réveillez toujours après une nuit de sommeil. La seule chose à avoir peur est d’avoir peur ; la peur est la seule chose qui peut causer du danger. Nous savons tous que les choses que nous craignons se produisent rarement !
La pensée est le principal obstacle après la peur parce que la pensée, ou la raison, pose un réel problème. Ces deux, pensée et raison, peuvent empêcher une personne d’escalader de hautes montagnes ; la raison nous dit qu’un faux pas peut nous projeter en bas et nous mettre en pièces. Ainsi pensée et raison doivent être supprimées. Malheureusement elles ont de mauvais noms. La pensée ! Avez-vous jamais pensé à propos de la pensée ? Qu’est-ce que la pensée ? Où est-ce que vous pensez ? Pensez-vous du sommet de votre tête ? Ou de l’arrière de votre tête ? Pensez-vous dans vos sourcils ? Ou dans vos oreilles ? Cessez-vous de penser quand vous fermez les yeux ? Non ! Votre pensée est là où vous vous concentrez ; vous pensez là où vous vous concentrez sur le moment. Ce fait simple, élémentaire, peut vous aider à sortir de votre corps et aller dans l’astral, il peut aider votre corps astral à prendre son essor aussi librement que la brise. Pensez-y, relisez cette leçon jusqu’ici et réfléchissez à propos de la pensée, pensez comment la pensée vous a souvent retenu parce que vous pensiez aux obstacles, vous pensiez à des peurs sans nom. Vous pouvez, par exemple, avoir été seul dans la maison à minuit avec le vent hurlant à l’extérieur et vous pouvez avoir pensé aux cambrioleurs, vous pouvez avoir imaginé quelqu’un caché derrière un rideau prêt à se jeter sur vous. La pensée, ici, peut nuire ! Réfléchissez un peu plus à la pensée.
Vous souffrez d’un mal de dents et à contre-coeur vous allez chez le dentiste. Il vous dit que vous devez vous faire extraire une dent ; vous avez peur que ça fasse mal, vous êtes assis là dans la chaise dentaire, tout craintif. Aussitôt que le dentiste prend son aiguille hypodermique pour vous donner une injection vous tressaillez automatiquement et peut-être même, pâlissez. Vous êtes sûr que ça va faire mal, vous êtes sûr que vous allez sentir l’aiguille pénétrer et qu’ensuite il y aura cet horrible arrachement à mesure que la dent sortira toute sanguinolente. Peut-être avez-vous peur de vous évanouir sous le choc ; ainsi vous alimentez la peur, vous sentez votre dent vous faire souffrir de plus en plus en pensant et concentrant toute votre puissance de pensée à l’emplacement de cette dent ! Toute votre énergie est consacrée à rendre votre dent plus douloureuse encore ; mais quand vous pensez oisivement, où donc est la pensée alors ? Dans la tête ? Comment le savez-vous ? La sentez-vous là ? La pensée est là où vous vous concentrez, la pensée est en vous seulement parce que vous pensez à vous-même et parce que vous pensez que la pensée doit être en vous. La pensée est là où vous la voulez, la pensée est là où vous la dirigez.
Penchons-nous de nouveau sur « la pensée est là où vous vous concentrez ». Dans le feu d’une bataille, des hommes se sont fait tirer ou poignarder et n’ont senti aucune douleur. Pendant un certain temps, ils peuvent même ne pas s’être aperçu qu’ils étaient blessés et c’est seulement quand ils ont eu le temps d’y penser qu’ils ont ressenti la douleur et se sont peut-être écroulés en état de choc ! Mais la pensée, la raison, la peur, sont les freins qui ralentissent notre évolution spirituelle ; elles ne sont rien d’autre que le cliquetis las de la machine, ralentissant et déformant les ordres du Sur-moi.
L’Homme, débarrassé de ses propres peurs stupides et de ses restrictions, pourrait presque être un surhomme avec des pouvoirs grandement accrus, tant musculaires que mentaux. Voici un exemple ; un homme faible, timide, avec un développement musculaire tout à fait consternant, descend du trottoir dans une lourde circulation. Ses pensées sont très très loin, peut-être sur son travail ou sur le genre d’humeur dans lequel il va trouver sa femme en rentrant ce soir-là. Il peut même être en train de penser à des factures impayées ! Un soudain coup de klaxon d’une voiture qui approche et l’homme (sans penser) recule d’un bond sur le trottoir, d’un bond prodigieux qui serait normalement bien impossible même pour un athlète entraîné ! Si cet homme avait été entravé par des processus de pensée il aurait été trop tard, la voiture l’aurait renversé. Le manque de réflexion a permis au Sur-moi toujours vigilant de galvaniser les muscles avec une injection de produits chimiques (tel que l’adrénaline) qui a fait sauter le sujet bien au-delà de sa capacité normale et l’a livré à un regain d’activité au-delà de la vitesse de pensée consciente.
Dans le monde Occidental, l’Homme a appris que la pensée, la raison, « distinguent l’Homme des animaux ». La pensée non contrôlée garde l’Homme plus bas que de nombreux animaux capables du voyage astral ! Presque tout le monde conviendra que les chats, pour donner juste un exemple, peuvent voir des choses que les humains ne peuvent pas. La plupart des gens ont eu une quelconque expérience d’animaux regardant un fantôme ou devenant conscient d’incidents bien avant que l’humain n’en devienne lui-même conscient. Les animaux utilisent un système différent de « raison » et de « pensée ». Nous le pouvons aussi !
D’abord, cependant, nous devons contrôler nos pensées, nous devons contrôler tous ces ennuyeux fragments de la pensée oisive qui rampent continuellement dans nos esprits. Asseyez-vous quelque part où vous êtes à l’aise, où vous pouvez être complètement détendu et où personne ne peut vous déranger. Si vous le voulez, éteignez la lumière, car la lumière est une gêne dans un cas tel que celui-ci. Asseyez-vous sans rien faire pendant quelques instants, pensant simplement à vos pensées. Regardez vos pensées, voyez comment elles continuent à s’insinuer dans votre conscience, chacune réclamant votre attention ; cette querelle avec un homme au bureau, les factures impayées, le coût de la vie, la situation mondiale, ce que vous voudriez dire à votre employeur — balayez-les toutes de côté !
Imaginez que vous êtes assis dans une pièce complètement obscure au sommet d’un gratte-ciel ; devant vous il y a une grande fenêtre panoramique couverte par un store noir, un store qui n’a aucun motif, rien qui puisse s’avérer une distraction. Concentrez-vous sur ce store. Premièrement assurez-vous qu’il n’y a aucune pensée traversant votre conscience (qui est ce store noir) et si les pensées ont vraiment tendance à s’introduire, repoussez-les par-dessus bord. Vous pouvez le faire, c’est simplement une question de pratique. Pendant un certain temps les pensées vont essayer de surgir au bord de ce store noir. Repoussez-les ; en faisant appel à votre volonté, forcez-les énergiquement à s’éloigner, puis concentrez-vous de nouveau sur ce store, mettez votre volonté à le relever pour être capable de voir tout ce qu’il y a au-delà.
De nouveau, tandis que vous observez ce store noir imaginaire vous constaterez que toute sorte de pensées étranges tentent de s’immiscer, elles essaient de forcer leur passage au centre de votre attention. Repoussez-les, repoussez-les avec un effort conscient, refusez de laisser ces pensées s’imposer (oui, nous sommes conscients que nous avons dit cela auparavant, mais nous essayons de renforcer ce point). Quand vous pourrez avoir une impression de vide complet pendant un court moment, vous constaterez qu’il y a un « bruit sec » tandis qu’un morceau de parchemin est déchiré, puis vous serez capable de voir hors de ce monde ordinaire qui est le nôtre, dans un monde d’une dimension différente où le temps et la distance ont une signification entièrement nouvelle. En pratiquant cela, en faisant cela, vous constaterez que vous êtes capable de contrôler vos pensées comme le font les Adeptes et les Maîtres.
Essayez-le, pratiquez-le, parce que si vous voulez être capable de progresser, vous devez pratiquer et pratiquer jusqu’à ce que vous puissiez vaincre les pensées futiles.
Source: LEÇON HUIT du livre « Vous pour toujours » de Tuesday Lobsang Rampa