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LE PRÉSIDENT OBAMA BUSH
Alan Greenspan (sioniste Rothschild) a orchestré, en collaboration avec d’autres personnes, l’effondrement de l’économie en imposant des décennies de dérèglementation constante de l’activité financière.
L’économie des États-Unis est systématiquement détruite.
Ont fait partie de ses collaborateurs : Tim Geithner (sioniste Rothschild), Président de la Réserve fédérale de New York ; Robert E. Rubin (sioniste Rothschild) et Larry Summers (sioniste Rothschild). Rubin sort également de la London School of Economics (Société des Fabiens), lui et Summers ont tous les deux été Secrétaires au Trésor dans le gouvernement Clinton, alors que Greenspan était à la Réserve fédérale. Une fois que « M. changement » a pris ses fonctions pour « résoudre la crise » qui a-t-il nommé à la tête de l’équipe économique du gouvernement ? Tim Geithner et Larry Summers, les valets des Rothschild, et ceux-là mêmes qui ont déclenché l’effondrement du secteur bancaire et la profonde récession qui a suivi. Geithner a été nommé Secrétaire au Trésor et Summers a été propulsé président du Conseil économique national. Summers a été Chef économiste de la Banque mondiale et en 1991, il a signé un mémo qui recommande de délocaliser dans les pays pauvres les industries polluantes, afin de minimiser le coût des problèmes de santé et de décès. Obama a nommé Peter Richard Orszag (sioniste Rothschild) au poste de Directeur du budget, un autre ancien étudiant de la London School of Economics dont le mentor a été Robert E. Rubin (sioniste Rothschild) sorti lui aussi de la LSE. Orszag a fondé et a été président de la société d’experts-conseils en économie qui a conseillé la Banque centrale islandaise lors du krach des banques islandaise en 2008, il a aussi été conseiller du ministre russe des finances à la même période où l’« oligarchie » des sionistes Rothschild était en train de piller les biens de la nation. Il a également conseillé Rahm Emanuel et Bill Clinton au sujet de la législation de l’ALENA, l’accord de libre-échange nord-américain, qui a eu pour résultat de dévaster, volontairement, le secteur manufacturier et le secteur économique en général. Ces gens-là travaillent le scénario, Obama joue le rôle. Paul Adolph Volcker (sioniste Rothschild) a été nommé par Obama (ou plutôt par ses maîtres) à la présidence du conseil consultatif sur la relance économique. Et encore une fois, ce dernier sort de la LSE (London School of Economics) appartenant à la Société des Fabiens. Volcker a été à la tête de la Réserve fédérale des États-Unis avant Greenspan et a été président de l’importante banque d’investissement de New York : J. Rothschild, Wolfensohn & Co. Les Rothschild, on connaît. Quant au Wolfensohn en question, il s’agit de James Wolfensohn (sioniste Rothschild), ancien chef de la Banque mondiale. Les autres personnes nommées dans cette « équipe économique » sont en grande majorité des associés de Geithner, ayant fait fortune dans les banques et les institutions financières qu’ils renflouent aujourd’hui. On y trouve Gene Sperling (sioniste Rothschild), conseiller principal au Trésor et employé par le Conseil des Relations Internationales. Il était payé 887 727 dollars par Goldman Sachs et 158 000 dollars pour des allocutions au profit de grandes compagnies, comme le conglomérat Stanford Group dirigé par Sir Allen Stanford, qui depuis a été accusé de fraude ; Matthew Kabaker, un autre conseiller du Trésor, a gagné 5,3 millions de dollars chez Blackstone, le fonds d’investissement privé ; et Lewis Alexander, autre conseiller et économiste en chef de Citygroup, entreprise financière majeure basée à New York, avant d’intégrer l’administration et de toucher 2,4 millions de dollars en deux ans.
Quand la crise bancaire a commencé au cours des dernières semaines de la présidence de Bush, le secrétaire au Trésor, Henry « Hank » Paulson (sioniste Rothschild), ancien PDG de Goldman Sachs, a injecté des milliards dans le système bancaire qu’il représente, celui-là même qui a provoqué la crise. Cependant, il ne faut pas croire qu’Obama n’a apporté aucun changement en politique. Bush a arrosé les banques et le système financier avec des centaines de milliards de dollars empruntés ; pour Obama, Geithner et Summers, ça se compte en billions de dollars. Est-ce que tout le monde fait bien la différence ?
Bush et Obama ont déversé des billions aux banques ainsi que des « programmes de relance ». Personne ne sait où est passé cet argent et à quoi il a servi.
George Bush, septembre 2008 :
Les experts en matière d’économie du gouvernement affirment que, sans une intervention immédiate du Congrès, l’Amérique pourrait glisser vers une panique financière dont un scénario dramatique découlerait. De plus en plus de banque fermeraient, y compris celles de votre communauté. Le marché boursier chuterait encore plus, réduisant ainsi la valeur de votre compte retraite. La valeur de votre maison pourrait également chuter. Le nombre de saisies augmenterait dramatiquement.
Et si vous possédez une entreprise ou une ferme, vous trouverez qu’il est plus difficile et plus coûteux d’obtenir du crédit. Beaucoup d’entreprises fermeraient et des millions d’Américains perdraient leur emploi.
Barack Obama, février 2009 :
Les économistes de tous bords ont averti que si nous n’agissons pas immédiatement, des millions d’autres emplois seront perdus et le taux de chômage deviendrait un nombre à deux chiffres. De plus en plus de gens vont perdre leur maison, l’accès aux soins de santé. Et notre nation va sombrer dans une crise que nous serons, à un moment donné, incapables d’inverser.
Finalement, c’est le même scénario qui a été écrit par les mêmes personnes, les Rothschild, ceux qui contrôlent les néoconservateurs et les néodémocrates. Ils placent leurs hommes, dérèglementent le système financier pour organiser le crash des marchés, puis ils installent leurs hommes au gouvernement, comme Bush, Obama, Paulson, Geithner, Summers et Orszag, arrosent le système à coup de billions de dollars empruntés et que la population devra « rembourser ». La Réserve fédérale des États-Unis refuse de dire où sont passés les billions de dollars venant des poches des contribuables (les crédits) qui ont été utilisés pour renflouer le système bancaire. Le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke (sioniste Rothschild) déclare que tous les efforts faits par le Congrès pour se rendre compte de la situation grâce à un audit mettraient en danger l’« indépendance » des banques et pourrait déclencher « une réduction de la stabilité financière et économique ». Mais quand ce gars-là a-t-il mis le nez dehors dernièrement ? Je ne lui laisserais même pas manipuler de l’argent sur un étal de marché. D’autres pays, spécialement la Grande-Bretagne, voient les choses de la même façon. Ni Bush, ni Paulson, ni même Obama ou Geithner n’ont demandé de changement ou de garanties en retour de la part des banques pour renflouer les contribuables. Ils ont juste donné l’argent comme ça. Elisabeth Warren, professeur de droit à l’université de Harvard, dirige le Congressional Oversight Panel qui tente de découvrir ce qui est arrivé à cet argent. Elle déclare qu’elle ne sait pas où a disparu l’argent car le système est fait de sorte qu’on n’en puisse rien savoir. Le secrétaire au Trésor de Bush, Henry « Hank » Paulson, l’homme de Goldman Sachs qui se promène avec le chéquier public, n’a pas demandé aux banques ce qu’elles allaient faire de cet argent ou si elles allaient imposer des restrictions dessus, dit Warren. Paulson a injecté plus de 200 milliards de dollars dans les institutions financières et en gros a dit : « prenez-les ». Warren souligne que l’argent était supposé protéger les banques de leurs « actifs toxiques », mais aujourd’hui, « ces actifs toxiques sont encore là ». Alors, à quoi a donc servi cet argent ? À financer les bonus des banquiers, et attendez, à acheter des actifs à hauteur de quelques centimes de dollar, alors que des compagnies faisaient faillite après la crise économique déclenchée par… les banques qui détenaient l’argent. Elisabeth Warren déclare qu’elle aimerait savoir pourquoi le gouvernement a été si dur avec l’industrie automobile, puisque l’argent servant au renflouement a été donné, alors qu’il ne l’a pas été avec les banques. Je peux l’éclairer sur ce point. Ceux qui font les chèques sont contrôlés par les banques, et comme le plan prévoit de détruire l’industrie automobile et d’autres industries manufacturières…
Les tentatives faites par le Freedom of Information Act (Loi pour la liberté d’information) pour découvrir où était passé l’argent, ont toutes été bloquées et le gouvernement ainsi que la Réserve fédérale ne disent toujours rien. L’idée du plan mis en marche est de vider les caisses du gouvernement en fonction de sa capacité à répondre à la crise, et de l’amener au point où il ne pourra plus rien emprunter. Puis, il est prévu de faire s’effondrer l’économie et de déclencher une catastrophe financière, afin de justifier la mise en place d’une banque centrale mondiale et la dissolution de l’État-Nation. Orchestrer tout ceci en coulisses ne présente aucun problème pour les Rothschild, puisque ils ont leurs hommes à la Maison-Blanche (Emanuel et Axelrod) et qu’ils contrôlent la politique économique des États-Unis par le biais de Geithner, Summers, Orszag et Bernanke. Ils contrôlent également Robert Zoellick (sioniste Rothschild), directeur de la Banque mondiale et Dominique Strauss-Kahn (sioniste Rothschild) quand il était à la tête du FMI. Au moment où j’écris, l’homme qui domine avec fermeté le gouvernement britannique se trouve être « la couleuvre » Peter Mandelson (sioniste Rothschild), ministre du commerce et un associé très proche de la famille Rothschild. Mandelson est connu sous le sobriquet de Prince des ténèbres. S’il n’est pas un manipulateur, il en a tous les symptômes.
Les « solutions » qu’Obama a mises en place vont au-delà de l’économie. Elles impliquent la future centralisation du pouvoir, une police d’État et l’anéantissement de ce que nous connaissons sous le nom d’« Amérique ». Voilà le changement dont il parle tout le temps mais qu’il n’a jamais vraiment défini. Depuis plusieurs années, je répète que le plan est d’utiliser l’Amérique pour faire couler l’Amérique, financièrement et militairement.
Le plan est d’utiliser l’Amérique pour qu’elle se détruise elle-même.
Il ne peut y avoir de gouvernement ou de dictature mondiale, ainsi qu’une armée mondiale, s’il existe des super puissances pour lesquelles les financiers et les militaires sont capables de dire « non ». L’idée est vraiment de dévaster l’Amérique à tous niveaux, de faire en sorte qu’elle soit absorbée par l’ALENA et éventuellement de la diviser en régions.
L’Amérique est systématiquement ébranlée sur tous les fronts.
On a retrouvé une carte des États-Unis datant du gouvernement Nixon, où le pays est découpé en régions. Les gouvernements « décentralisés » d’Écosse et du Pays de Galle ainsi que la tentative de créer des assemblés nationales en Angleterre font, d’ailleurs, partie du même plan. On nous vend ça comme « le pouvoir au peuple » alors que le véritable pouvoir s’en éloigne de plus en plus.
GOLDMAN SACHS MET LE MONDE À SAC
Au cœur de l’effondrement économique planifié, et de bien d’autres choses, se trouve la « banque d’investissement » Goldman Sachs. C’est un établissement prête-nom des Rothschild, officiellement fondé par le sioniste Rothschild Marcus Goldman, en 1869, fraîchement arrivé de la place forte des Illuminati qu’est la Bavière, le bastion des Rothschild. Il fut l’un des nombreux sionistes Rothschild qui quittèrent l’Allemagne pour l’Amérique aux XIXe et XXe siècles pour fonder de grandes banques, de grandes entreprises et d’importants organismes comme B’nai B’rith. Le nom de « Sachs » apparaît avec l’arrivé de son gendre, Samuel Sachs (sioniste Rothschild), un germano-américain dont les parents étaient originaires de Bavière. Sachs était un ami de longue date de Philip Lehman de la banque Lehman Brothers. La famille Lehman émigra de Bavière en Amérique au XIXe siècle. Cette région d’Allemagne vit naître les Illuminati de Bavière, société secrète fondée en 1776 et dirigée par Adam Weishaupt (sioniste Rothschild). Les Illuminati de Bavière ont été derrière les guerres, les révolutions et autres changements de société dont la Révolution française, et ont été très actifs aux États-Unis. L’établissement Goldman Sachs, sous contrôle des Rothschild, est un monstre dictant les politiques gouvernementales pour arriver à ses fins. Sa technique principale est de placer ses hommes de main à des postes clef en matière de finance au sein d’un gouvernement. Le magazine Time a décrit Goldman Sachs comme étant « le plus grand fournisseur de talents, en matière de finances, du gouvernement » surtout en ce qui concerne les sauvetages bancaires. La banque a également apporté la plus grosse contribution financière à la campagne électorale de Barack Obama.
Goldman Sachs, dirigée par Lloyd Blankfein (sioniste Rothschild), a touché 12,9 milliards de dollars d’argent emprunté provenant des contribuables pour empêcher que la banque ne s’effondre et tira d’énormes bénéfices des 85 milliards de dollars de renflouement versés au géant de l’assurance, AIG, ce qui aurait pu engendrer des pertes potentiellement fatales à Goldman si AIG avait fait faillite. Il sera reversé plus tard à AIG un total de plus de 182 milliards de dollars afin qu’elle puisse maintenir son activité, au grand bonheur de son président de longue date, Maurice Greenberg (sioniste Rothschild), qui donna sa démission en 2005 suite aux accusations de pratiques commerciales frauduleuses, fraude concernant la sécurité et la common law et autres violations de lois d’assurance et de sécurité. Greenberg est un ami très proche de Henry Kissinger, l’agent des Rothschild/Rockefeller, qui l’avait nommé à la présidence du conseil consultatif d’AIG, AIG étant également un client de la société de conseil Kissinger Associates. Greenberg est aussi vice-président honoraire et administrateur du Council on Foreign Relations (des Rothschild) et membre de la Commission trilatérale (des Rothschild). Il est encore président émérite et administrateur de la Asia Society ; fiduciaire émérite de l’université Rockefeller ; fiduciaire honoraire du Museum of Modern Art. Toutes ces institutions ont été créées par la famille Rockefeller. Heu… je me demande comment AIG s’est débrouillée pour toucher autant de subventions. La chance, je suppose. Les Rockefeller et leurs « patrons », les Rothschild, sont fondamentalement liés à Goldman Sachs et ont dicté la politique de l’administration Bush et en font de même avec Obama.
Des courriels publiés au début de l’année 2010 ont révélé que deux ans plus tôt, la Réserve fédérale des États-Unis, alors dirigée par celui qui allait devenir secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner (sioniste Rothschild), a demandé à AIG de supprimer les détails contenus dans les rapports destinés au public des versements qu’elle avait fait avec l’argent servant au renflouement des banques, telles Goldman Sachs et la Société Générale. À cette époque, d’autres institutions financières étaient en train de négocier des réductions importantes sur les primes d’assurance dues lors de l’effondrement du système financier, mais AIG versa à plusieurs banques, dont Goldman Sachs, la valeur nominale sur les pertes des credit default swaps.
On estime que cela a coûté aux contribuables 13 milliards de dollars de plus que nécessaire, si l’on se base sur ce que d’autres institutions payaient. La Réserve fédérale et Geithner ont vite vu les conséquences qui pouvaient en découler si c’était dévoilé publiquement. Les courriels obtenus par le représentant Darrell Issa, membre de House Oversight and Government Reform Committee (Comité de la Chambre des Représentants, chargé de la surveillance et de la réforme du gouvernement) prouvaient que la Réserve fédérale de New York avait éliminé les références de paiement et que AIG en avait fait de même, quand les dossiers de la Securities and Exchange Commission (SEC) furent rendus publics la veille de Noël 2008 (le jour parfait pour « perdre » une histoire qui se devait de rester dans l’ombre). On apprit plus tard que la SEC avait approuvé une demande d’AIG de garder des documents secrets comportant des informations détaillées sur les dizaines de millions de dollars payés à Goldman Sachs et à d’autres banques avec les prêts d’urgence. La Division of Corporation Finance (département de la finance des entreprises) de la SEC a décidé que l’information ne serait pas rendue publique avant 2018. Le degré de corruption est vraiment incroyable !
Les rachats et prêts d’urgence ont été engagés par le secrétaire au Trésor des États-Unis de W. Bush, Henry « Hank » Paulson (sioniste Rothschild), qui a été P.D.G. de la banque Goldman Sachs avant de rejoindre le gouvernement en 2006. Un article parlait de lui en ces termes : « Le secrétaire au Trésor des États-Unis, anciennement P.D.G. de Goldman, vient juste de dépenser 85 milliards de dollars pour acheter un géant de l’assurance défaillant et qui en outre doit beaucoup d’argent à l’entreprise qui le salariait. Cela vous semble normal ? » Bien sûr que non. C’est véreux, car Paulson est véreux. C’est un homme sorti d’une entreprise malhonnête contrôlée par les Rothschild qui ma foi, auraient pu inventer ce mot. Paulson a nommé l’ancien vice-président de Goldman Sachs, Neel Kashkari, au poste de chef du Bureau de la stabilité financière afin de décider à qui reviendront les prêts d’urgence. À son tour, Kashkari a nommé Reuben Jeffery, directeur associé chez Goldman Sachs, au poste de directeur provisoire des investissements. À cette époque, les autres personnages importants au Trésor étaient Dan Jester, Steve Shafran, Edward C. Forst et Robert K. Steel, tous issus de la banque Goldman. Les cadres de la banque Goldman auprès de la Réserve fédérale étaient également impliqués dans les discussions au sujet du renflouement, comme par exemple Stephen Friedman (sioniste Rothschild), dirigeant le Conseil des gouverneurs. Le secrétaire au Trésor de Bill Clinton, Robert E. Rubin (sioniste Rothschild), qui a tant fait pour préparer le futur effondrement de 2008, était P.D.G. de Goldman Sachs. Rubin, le co-président du Council on Foreign Relations (conseil des relations étrangères), a également été nommé par Obama dans son équipe provisoire. Trois des « protégés » de Rubin, Timothy Geithner (sioniste Rothschild), Larry Summers (sioniste Rothschild) et Peter Orszag (sioniste Rothschild) ont été nommés par Obama pour décider quelle politique économique adopter. Goldman Sachs a payé Summers 135 000 dollars pour une « apparition » d’un jour en 2008. Il a aussi reçu 5,2 millions de la part de la société d’investissement D. E. Shaw pendant deux ans, avant de rejoindre son poste dans l’administration. Geithner, un ancien cadre de Kissinger Associates et agrégé supérieur au département d’économie internationale du Council on Foreign Relations, a nommé le lobbyiste de Goldman Sachs, Mark Patterson, chef du Département du Trésor. Barney Frank (sioniste Rothschild), président de la Commission des services financiers de la Chambre des Représentants, avait comme travail (du moins en théorie) d’interroger les hauts fonctionnaires du Trésor et de mener l’enquête sur la politique de renflouement. Son proche collaborateur était Michael Paese, devenu plus tard un lobbyiste de Goldman Sachs. Le chef de cabinet du Président Bush à cette époque, l’homme qui avait joué un rôle prépondérant dans la nomination d’Henry Paulson au poste de secrétaire au Trésor, était Joshua Brewster Bolten (sioniste Rothschild), directeur général des affaires juridiques et gouvernementales chez Goldman Sachs à Londres. Quand AIG a sombré en septembre 2008, un nouveau président a été nommé, Edwerd M. Liddy. Cet ancien cadre de Goldman Sachs détenait 3 millions de dollars d’actions chez Goldman. Il prit ses fonctions sur la demande de Paulson, secrétaire au Trésor et ancien P.D.G. de Goldman.
Le chroniqueur de Marketwatch (site du Wall Street Journal), Paul Farrell, a déclaré que Goldman « dirige le monde », et un article du magazine Rolling Stone décrit la banque comme une « pieuvre géante accrochée au visage de l’humanité ». L’article accuse justement la banque de fausser les principales bulles spéculatives et de les faire exploser, tout cela depuis la Grande dépression, comme la bulle internet, la bulle des matières premières, la bulle immobilière, la bulle du crédit. L’écrivain, Matt Taibbi, collaborateur du magazine Rolling Stone, a publié, en 2009, une enquête pour le magazine, exposant le rôle principal joué par Goldman Sachs dans la crise de 2008. Il dit que les « escroqueries de grande envergure » résidaient dans le fait d’avoir « un tas de merde sur lequel on peindrait un triple A et que l’on vendrait à tout un tas d’investisseurs institutionnels ». Ces institutions qui se servent de l’argent de personnes aux revenus modestes et des caisses de retraite, perdraient alors leurs investissements, et leurs clients perdraient leurs pensions. Taibbi explique comment, en 2004, le P.D.G. de Goldman, Henri Paulson, a demandé à la Security and Exchange Commission d’assouplir les restrictions, si on peut les appeler comme ça, sur la capacité de Goldman à prêter de l’argent que cette banque n’a pas :
Ils se sont sentis restreints par certaines règles qui imposaient qu’ils possèdent un dollar sur douze dollars prêtés, alors… Hank Paulson est allé à la SEC et a demandé en gros de mettre fin à cette règle, et ils l’ont fait. Il n’y a eu aucune audience du Congrès, aucun vote ou quoi que ce soit d’autre. La SEC a exempté Goldman et quatre autres banques de ces règles, et leur a dit qu’elles pouvaient prêter autant d’argent qu’elles le souhaitaient, puisqu’elles-mêmes n’avaient pas besoin de posséder cet argent.
En deux ans, deux de ces banques ont fait faillite, Bear Stearns et Lehman Brothers. Tout ça parce qu’elles sont allées demander un changement de procédé au gouvernement et qu’elles l’ont obtenu. C’est ce qui se passe en permanence. Elles savent très bien que si elles ont des ennuis, elles n’ont qu’à appeler le gouvernement pour qu’il leur donne l’argent des contribuables leur permettant de se renflouer. C’est arrivé à maintes reprises.
Taibbi a déclaré qu’il n’avait jamais travaillé sur un sujet pour lequel tant de gens lui ont demandé de ne pas citer leur nom, par crainte de représailles. Il dit également qu’il y avait des personnes au gouvernement qui avaient peur de « contrarier » Goldman Sachs (les Rothschild). Un membre du Congrès a envoyé une lettre critiquant Goldman et en moins d’une heure, Richard Gephardt, l’ancien candidat démocrate aux élections, prenait son téléphone « agissant en qualité de lobbyiste de Goldman Sachs » et demandait que ce membre du Congrès retire tout ce qu’il avait écrit dans sa lettre. « La grande menace est que si vous contrariez Goldman Sachs c’en est fini des financements des campagnes », dit Taibbi. « Et pas seulement venant d’eux mais probablement aussi de n’importe quelle autre source de financement du parti démocrate ». Existe-t-il encore de fervents adeptes d’Obama qui croient toujours qu’il agit en toute indépendance et que le système n’a pas de prise sur lui ? Goldman Sachs est un despote, bien sûr quand je parle de Goldman Sachs, lisez Rothschild. Quand l’horrible vérité sur Goldman Sachs et sur tous ses liens au gouvernement a commencé à éclater, les cadres supérieurs de la banque ont crié à l’« antisémitisme » avec toujours la même histoire de « racisme et de mythe au sujet d’une conspiration des banquiers juifs, pour contrôler le monde et faire du profit ». Ces accusations ineptes sur l’antisémitisme ont été utilisées pour expliquer pourquoi Goldman Sachs est soupçonné d’activités criminelles, c’est ça ? Je n’y aurais jamais pensé ! Les mecs, vous avez été pris la main dans le sac, pas besoin de ressortir la rengaine du racisme.
Une demande d’accès à l’information a été demandée par Associated Press (AP) en octobre 2009 et elle a révélé des coups de fil réguliers entre le secrétaire au Trésor et l’homme mis en place par les Rothschild-Rockefeller, Timothy Geithner, à la tête de Goldman Sachs, JP Morgan Chase et Citygroup, des institutions qui ont toutes survécu après septembre 2008 grâce aux contribuables américains. Ces appels étaient passés plusieurs fois par jour. Les communications entre Geithner et Lloyd Blankfein (sioniste Rothschild) de Goldman Sachs étaient bien plus nombreuses que celles avec le sénateur Christopher Dodd, le président du Comité sénatorial des banques. Voici ce que rapporte Associated Press :
Après une semaine mouvementée en mai, durant laquelle les États-Unis ont dû faire face à la faillite imminente de General Motors et la perspective que le gouvernement allait prendre en charge le constructeur automobile, Geithner a terminé sa nuit en passant une série d’appels téléphoniques.
Il a d’abord appelé Lloyd Blankfein, P.D.G de Goldman. Il a ensuite appelé Jamie Dimon, le patron de JP Morgan. Puis c’est Obama qui a appelé et dès qu’ils ont eu raccroché, Geithner était de nouveau au téléphone avec Dimon.
Pendant ce temps-là, Geithner a reçu un appel de Xavier Beccera, représentant démocrate pour la Californie qui siège dans des comités aidant à fixer les taux d’imposition et les politiques budgétaires. Beccera a laissé un message.
Geithner, Summers, Orszag, Volcker, Rubin, Obama, Biden, Emanuel, Axelrod, tous sont sous la coupe des Rothschild. Les hauts et les bas de l’économie mondiale sont « le fait du hasard » ? Vous plaisantez, j’espère ?
LE GROUP OF THIRTY
Un autre groupe de coordination très important est le « Group of Thirty » (le groupe des trente), regroupant des financiers, et fondé, en 1978, à l’initiative de la fondation Rockefeller. Geoffrey Bell, son secrétaire exécutif, a été, lui aussi, « scolarisé » (endoctriné) à la London School of Economics (LSE). Le président du Group of Thirty n’est autre que Paul Adolph Volcker, ancien président de la Réserve fédérale, ayant lui aussi étudié à la LSE et aujourd’hui conseiller d’Obama en tant que directeur du Conseil pour la reconstruction économique. Font également partie du Group of Thirty : Timothy Geithner secrétaire au Trésor du gouvernement Obama et Larry Summers, chef du Conseil économique national. Bien sûr, Goldman Sachs prend part à ce groupe en la personne de son directeur général, Gerald Corrigan, ancien président de la Réserve fédérale de New York, un poste occupé par Geithner avant qu’il ne rejoigne l’administration Obama. Ce qui est au centre du plan prévu pour détruire l’économie américaine, c’est le fait que les États-Unis soient noyés par un endettement monstrueux vis à vis de la Chine. Le père de Timothy Geithner (qui parle aussi chinois) est Peter F. Geithner. Ce dernier a été au service d’Henry Kissinger au Comité national sur les relations États-Unis-Chine. Un autre membre du Group of Thirty est le Dr. Zhou Xiaochuan, gouverneur de la banque centrale chinoise. Et ce n’est pas une coïncidence si Peter F. Geithner a travaillé pour la Fondation Ford, et supervisait le travail de Ann Dunham qui était financé par la Fondation, afin de développer des « programmes de micro financement » en Indonésie. Ann Dunham est la mère de Barack Obama. Un autre membre du Group of Thirty est Mervyn King, gouverneur de la Banque d’Angleterre et ancien professeur d’économie à la London School of Economics (LSE). On retrouve aussi les représentants des grandes banques et de la finance d’Indonésie, d’Argentine, de Pologne, du Koweit et du monde arabe, de la Suisse, du Brésil, de l’Allemagne, du Mexique, de Singapour, du Japon, du Fonds monétaire international, et des grandes banques « privées » comme Morgan Stanley. Le Group of Thirty est un point central permettant la coordination de la politique des Illuminati. Il serait juste d’y inclure également Jaime Caruana, le directeur général de la Banque des règlements internationaux de Basel en Suisse, créée et contrôlée par les Rothschild et qui a coordonné la politique entre les banques centrales nationales au nom des familles de lignées. Cette cabale vise l’économie américaine depuis très longtemps et, vers 2010, la dette américaine a atteint 12 trillions de dollars. La Chine, le Japon, la Russie et les pays du pétrole comme l’Arabie Saoudite (des Rothschild) conspirent pour abandonner le dollar comme monnaie de référence concernant le pétrole, ce qui aurait un effet dévastateur sur le dollar et amorcerait très vite son remplacement par l’« améro » de l’Union nord-américaine.
Source: Extrait du livre de David Icke