DURÉE DE L’ARTICLE

Durée de lecture estimée: 0:10
Durée du format vidéo: -:–
Durée totale: -:–

DE L’ARGENT À PARTIR DE RIEN

Les Rothschild contrôlent le système mondial de la finance et c’est par le vol et l’exploitation des autres, qu’ils ont amassé leur pouvoir. Tout leur système est basé sur une fraude gigantesque, car l’argent n’existe pas comme nous l’entendons. Les billets et les pièces que nous avons dans la poche ne reposent sur rien. Leur valeur n’est que la valeur que nous sommes persuadés qu’ils ont. Ce ne sont que des bouts de papier sans valeur (un billet à ordre ou une reconnaissance de dette) ou des pièces de métal que nous sommes habitués à prendre au sérieux. Aujourd’hui, la quasi-totalité de « l’argent » n’est même pas quelque chose que nous pouvons avoir entre les mains, mais simplement des chiffres sur un écran d’ordinateur. On met de « l’argent » en circulation par le biais du « crédit ». Mais qu’est-ce que le crédit ? C’est un système de croyance, c’est tout, une croyance que cela existe. Les banques ne nous prêtent rien et pour cela, nous les payons une fortune. Les grandes lignées familiales, les Rothschild en particulier, ont depuis des siècles, contrôlé les gouvernements et les banques et ont été capables de dicter les lois du système financier et d’y introduire ce que nous appelons « les prêts à réserves fractionnaires ». Ils permettent aux banques de prêter au moins dix fois ce qu’elles ont en dépôt. En d’autres termes, elles prêtent de « l’argent » qu’elles n’ont pas et qui n’existe pas (le crédit) et elles y appliquent des frais d’intérêt. Quand vous allez à la banque pour emprunter, on va dire 63 000 euros, vous devez fournir des garanties comme votre maison, vos terres, votre voiture ou votre salaire, et si vous ne pouvez pas rembourser, tout va à la banque. Que vous donne la banque en échange ? Rien ! Elle va taper sur votre compte le chiffre de 63 000 euros et c’est tout. Les 63 000 euros n’existent pas. C’est une marge de « crédit » non existant. Mais il y a mieux. Par exemple, vous donnez à quelqu’un un chèque de 25 000 euros sur les 63 000 euros et le bénéficiaire dépose l’argent dans une autre banque. Cette deuxième banque peut prêter 10 fois les 25 000 euros à d’autres personnes, tout à fait légalement, et facturer des intérêts dessus. Si l’on suit les 63 000 euros d’une banque à l’autre, la somme de « crédits » alloués pendant leur circulation dans le système bancaire est tout à fait énorme. Et nous ne parlons ici que d’un seul prêt, alloué, en premier lieu, à partir de rien. J’ai présenté dans d’autres livres un document intitulé Silent Weapons for a Quiet Wars (Armes silencieuses pour guerre sans bruit). C’est un manuel pour les initiés dévoilant comment l’on peut massivement contrôler les esprits des populations, en utilisant les « armes silencieuses » de la manipulation mentale et émotionnelle. Ce document met spécifiquement en lumière Mayer Amschel Rothschild et le système financier énergétique à qui il a donné naissance. Voici un extrait :

M. Rothschild prêtait ses billets à ordre [du « crédit » sans valeur] à des particuliers et aux gouvernements. Ceci créait alors une confiance exagérée et ainsi, il rendait l’argent peu abondant, renforçant son contrôle du système et collectant des nantissements, grâce à l’obligation de signer des contrats. Le cycle se répétait et cette pression pouvait être utilisée pour initier une guerre. Alors, M. Rothschild contrôlait la disponibilité de l’argent pour déterminer qui gagnait la guerre, et c’est donc le gouvernement qui lui avait donné le contrôle de son système économique qui obtenait son appui. Le recouvrement de la dette était garanti à l’ennemi du débiteur par l’aide économique.

Le profit obtenu par cette méthodologie économique a fait de M. Rothschild le plus à même d’accroître sa richesse. Il a compris que l’avidité du public permettait de faire fonctionner la planche à billets par ordre gouvernemental au-delà des limites (inflation) d’équivalence en métal précieux ou de la production de biens et de services (produit national brut ou P.N.B.).

Voici donc comment les Rothschild sont arrivés à avoir la mainmise sur les gouvernements et sur une grande partie du monde. Les intérêts sur l’argent sont la clef. Si l’argent était mis en circulation sans intérêts, ou qu’il n’y ait aucun intérêt sur l’argent, quelle que soit sa forme, il reviendrait à son rôle légitime, une unité d’échange d’énergie qui viendrait à bout des limites du troc. C’est en introduisant les intérêts que les ennuis commencent, car on fabrique de l’argent à partir de l’argent et cela n’aide plus les gens, ça les asservit. Le système bancaire (crédit/intérêt) implique que l’unité d’échange pour les activités humaines arrive en circulation, dès le départ, sous forme de dette. Les gouvernements pourraient fabriquer leur propre argent libre d’intérêt pour financer les services publics, mais au lieu de cela, ils empruntent au système bancaire et ce sont les individus qui payent en retour, les intérêts en plus. On retrouve la même chose pour les individus et dans le monde des affaires. Les gouvernements ne fabriquent pas leur argent, libre de tout intérêt, tout simplement parce qu’ils sont sous le contrôle des familles qui contrôlent les banques, et plus précisément les Rothschild. Abraham Lincoln a été assassiné par les Rothschild quand il a commencé à faire imprimer une monnaie fiduciaire libre d’intérêts, appelée « greenbacks », pour financer les états du Nord pendant la guerre de Sécession. Les Rothschild finançaient les deux camps, comme ils le font toujours pour toutes les guerres qu’ils provoquent, mais Lincoln refusa de payer leurs taux d’intérêts phénoménaux. Les greenbacks marchaient si bien que Lincoln pensait les utiliser de manière permanente pour financer les dépenses du gouvernement. Le pire des cauchemars pour les Rothschild. Le Times de Londres (sous contrôle des Rothschild) a écrit :

Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s’installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s’acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Les cerveaux et la richesse de tous les pays iraient s’y installer. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe.

Les Rothschild ont fait assassiner Lincoln par John Wilkes Booth en 1865 et la politique des greenbacks s’en est allée avec lui. Le 4 juin 1963, le président John F. Kennedy signa le décret 11110 permettant au secrétaire du Trésor américain d’émettre 4,29 milliards de dollars sans intérêts de certificats sur l’argent, contournant ainsi les Rothschild et leur banque centrale des États-Unis (la Réserve Fédérale). Le 22 novembre 1963, le président Kennedy est assassiné et son successeur, Lyndon Johnson, qui faisait partie des commanditaires du meurtre, annula cette politique financière. JFK a été assassiné pour plusieurs raisons dont son opposition au programme nucléaire d’Israël et à l’escalade de la guerre au Viêt Nam. Lyndon Johnson, une des marionnettes des Rothschild, soutenait, quant à lui, les deux. Le spectre de l’argent sans intérêt était, cependant, au centre de l’élimination de Kennedy, et c’est depuis lors que les Rothschild sont entrés en guerre contre les Kennedy. Bobby Kennedy, le frère de JFK, et son fils, John Fitzgerald Kennedy Jr, feront partie des autres victimes dont les assassinats ont été commandités par les Rothschild. Certains chercheurs prétendent que le Mossad, le service de renseignements israélien, serait impliqué dans le meurtre de JFK et cela est loin d’être absurde. Le Mossad, une des organisations les plus maléfiques du globe, ne représente pas Israël mais les Rothschild qui possèdent Israël. Il est aisé de comprendre pourquoi les présidents, les premiers ministres et d’autres personnes haut placées font tout ce que cette famille demande, car ils savent ce qu’il en coûte de ne pas obéir. J’ai expliqué en détail les origines de l’assassinat de Kennedy dans … And the Truth Shall Set You Free.

ESSOR ET DÉCLIN

Il existe un aspect vital pour comprendre cet intérêt pour l’argent : lorsque vous contractez un emprunt, la banque « crée », sous forme de « crédit », le montant de l’« emprunt ». Cela paraît évident et simple, excepté pour une chose. Vous ne remboursez pas seulement l’emprunt, vous payez l’emprunt plus les intérêts, et les intérêts ne sont pas créés, seulement les chiffres de l’emprunt initial. Cela veut dire qu’il n’y a jamais assez d’argent en circulation pour rembourser tous les prêts impayés et les intérêts. Cette erreur est volontairement fatale à la liberté de l’Homme, et permet de s’assurer que la faillite et la perte de biens personnels en faveur des banques soient automatiquement intégrées au système. Tout ça fait partie du concept-énergie des Rothschild qui font en sorte que les richesses et l’énergie des gens reviennent toujours dans leur direction. Les sommes extraordinaires que vous payez en taxes et impôts vont directement dans les banques privées afin de payer les intérêts sur l’« argent » que le gouvernement devrait fabriquer lui-même, et sans intérêts. Ce que l’on appelle la « privatisation », c’est la vente des biens de l’État en réponse à la dette créée par les banques. Les pays les plus pauvres du monde sont en train de céder le contrôle de leurs territoires et de leurs ressources aux banques tenues par les Rothschild, parce qu’ils ne pourront en aucun cas rembourser l’emprunt qu’ils ont contracté, conçu spécifiquement pour les prendre dans ce piège. La « dette du tiers monde » a été fabriquée pour remplacer l’occupation physique des pays stratégiquement bien situés et dotés de ressources abondantes, par une occupation financière. J’ai donné tous les détails de faits dans … And The Truth Shall Set You Free. Une fois qu’un pays est endetté auprès d’une des banques des Rothschild avec du crédit qui n’existe pas, il est obligé de céder les commandes de ses affaires aux banques, à la Banque mondiale et au Fond Monétaire International (FMI). Ces banques vont alors dicter, à tous niveaux, leur politique économique et sociale. La Banque mondiale et le FMI sont, à cent pour cent, des filiales des Rothschild qui placent leurs hommes à la barre. Les pays pauvres luttent pour payer leurs dettes et sont forcés de réduire leurs dépenses sur leurs programmes sociaux, sur la santé, sur l’éducation et sur les projets humanitaires afin de rembourser les banques. Le monde ne devrait pas en être dans la pauvreté, ni le conflit. On le manipule de sorte que le plan des lignées visant à une dictature mondiale puisse se développer.

En contrôlant l’émission de l’« argent » par le biais du crédit, les Rothschild ont la mainmise sur l’économie mondiale, comme vous pourrez le lire dans Silent Weapons for Quiet Wars. Ils peuvent, comme ils le veulent, contribuer à son expansion ou à son effondrement. La crise qui a débuté en 2008 est encore une de leurs nouvelles créations pour pouvoir poursuivre la centralisation de la finance mondiale et lancer enfin ce qui est depuis longtemps programmé : la Banque centrale mondiale. Depuis des siècles, les Rothschild ont fabriqué de toutes pièces les essors et les déclins afin d’atteindre leur but, car tout est simple quand on sait ce qu’est l’argent et qu’on le contrôle. La différence entre essor et déclin réside dans la somme d’« argent » en circulation et sa valeur perçue. Les deux sont régies par les Rothschild. Ce sont eux qui avec leurs associés, les familles de grandes lignées, décident de la somme d’argent qui sera émise et mise en circulation sous leur contrôle, que ce soit dans les banques ou au sein des gouvernements. Les Rothschild vont susciter un essor en facilitant les crédits (en mettant beaucoup « d’argent » en circulation), ce qui endette considérablement la population pendant ce que l’on appelle la « prospérité ».

La technique des Rothschild : endettez-les, faites en sorte que leur attention soit attirée par des futilités, puis faites effondrer le système et tirez-en des bénéfices.

Puis ils vont provoquer l’effondrement de l’économie en trouvant une excuse pour retirer l’argent en circulation et durcir les obtentions de crédits. Les entreprises et les particuliers ne peuvent rembourser leurs emprunts, puisqu’il n’y a plus assez d’argent qui circule pour générer l’activité économique, donc les Rothschild vont encaisser le butin, grâce aux garanties engagées quand les emprunts ont été contractés. À l’arrivée, le nombre des entreprises se réduit dramatiquement et leurs produits ainsi que leurs marchés sont repris par les sociétés dirigées par les Rothschild, afin de continuer à centraliser leur pouvoir économique mondial. C’est la même chose avec les gouvernements. Lorsqu’une crise décime les recettes publiques, les gouvernements vont chercher à obtenir plus d’emprunts pour pourvoir stabiliser les dépenses, c’est ainsi que les Rothschild prennent de plus en plus le contrôle sur eux et continuent leur expansion. En fait, plusieurs gouvernements, dont les États-Unis et la Grande-Bretagne, sont en situation de faillite depuis les années 1930, à cause du complot ourdi par les Rothschild. J’ai décrit précisément ici ce qui s’est passé pendant les années de « prospérité » au milieu des années 1990, jusqu’à la crise de l’automne 2008 et du resserrement de l’accès au crédit qui en a découlé. Tout cela est l’œuvre des Rothschild et de leurs laquais, dont fait partie Alan Greenspan, le Président de la Réserve Fédérale créée par les Rothschild, ainsi que son successeur, Ben Bernanke, à qui, bien sûr, « M. Changement » Obama a renouvelé le mandat.

L’ancien président de la Réserve Fédérale des États-Unis, Alan Greenspan, et son petit chien, Ben Bernanke, l’actuel président, sont tous les deux à la botte des Rothschild.

Ces cycles sont générés par les Rothschild depuis des centaines d’années et l’on peut y ajouter le Krach de 1929 et la grande dépression qui suivit dans les années 1930. Des économistes surpayés et des journalistes économiques et financiers, dont la plupart n’ont aucune idée de ce qui se passe, vont vous dire que essor et déclin font partie intégrante d’un « cycle économique » somme toute naturel. Ce sont des idioties ! C’est une manipulation systématique pour dérober les richesses du monde.

SOLUTIONS

Éviter les crédits. Les crédits servent à nous mettre esclaves des banques.

Pour que les banques survivent, il faut qu’elles accordent un maximum de crédit. Si personne ne fait de crédit, les banques feront faillite. Pensez-y. Tous les 3 mois, je reçois une lettre « CONFIDENTIELLE » pour faire un crédit. Je ne l’ouvre pas. Elle part directe à la poubelle.
Quand vous faites un crédit, la banque tape sur votre compte le montant de votre crédit. C’est tout ! Vous travaillez donc pour les banques, et non pour vous ! C’est du VOLE légale comme les impôts.
Les crédits vous endettent et vous obligent à travailler. Puis s’en suit l’obsolescence programmée qui va vous forcer de reprendre un crédit.
Ne pas faire de crédit c’est apprendre à ne pas consommer, enrayer le système, ne pas être esclave des banques, vivre au jour le jour (casser le quotidien boulot métro dodo), car on est libre de travailler quand on veut. Ne rendre de compte à personne.
Il ne faut plus participer à cet état en payant des impôts (qui servent à vous gazer, et certainement pas à payer les fonctionnaires), en payant des taxes, en consommant, en vous endettant par les crédits. Le système est fait pour vous limiter, vous gêner. Une ceinture de sécurité n’est pas faite pour nous empêcher de mourir, c’est fait pour que nous payions des amendes. Les Illuminatis veulent un système ou l’homme est tout le temps asservi, limité, réprimandé. Vous croyez que la hausse des impôts est due à de l’incompétence ? C’est entièrement voulu.

“Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.” Henry Ford. (1863-1947)
« Il y a deux manières de conquérir et d’asservir une nation, l’une est par les armes, l’autre par la dette. » John Adams.

Source: Extrait du livre de David Icke