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L’ARMÉE ET L’ÉTAT POLICIER

Image du film Matrix

DES UNIFORMES ANIMÉS

Aux États-Unis, de nombreux véhicules de police portent les paroles: « Protéger et Servir ». Lorsque vous conduisez et voyez une telle voiture qui approche, est-ce que vous avez le sentiment confortable que la personne dans la voiture est là pour vous protéger et vous servir, ou avez-vous peur que cette personne vous surveille parce que vous violez une loi?


Je souhaiterais dire à ceux qui portent l’uniforme… Vous pensez que vous détenez le pouvoir, mais vous n’êtes que des pions du jeu, comme n’importe qui d’autre. Vous n’avez aucun pouvoir, seuls vos uniformes en ont un, car ils représentent une extension du pouvoir de l’État. Ceux que l’on y trouve à l’intérieur ne sont là que pour les animer et suivre les instructions de ceux qu’ils représentent. Tant que vous leur êtes utiles, ils vous encensent, mais si vous devenez un poids en ce qui concerne leurs exigences et leur plan, ils vous montrent la porte. Il en va de même pour ceux qui travaillent au gouvernement ou dans les administrations. Vous avez, vous aussi, des enfants et des petits-enfants qui auront à vivre dans le monde que vous administrez et dans lequel vous maintenez l’ordre en « suivant les ordres » et en croyant aux absurdités dont nous abreuvent les gouvernements et les sociétés de formation comme Common Purpose. Réveillez vous de votre transe et arrêtez de mettre en place un État policier pour vos propres enfants et petits enfants et pour les autres aussi. Pensez aux conséquences de vos actes pour ceux que vous aimez et arrêtez d’agir ainsi. Plus que tout, nous devons tous libérer notre esprit et nous connecter à la Conscience. À partir de là, tout se présentera à nous, y compris l’intuition, l’inspiration et la connaissance qui nous guidera pour traiter efficacement le problème auquel nous faisons face. S’il y a beaucoup de choses que vous voulez faire dans une pièce mais que cette pièce est dans l’obscurité et que l’on n’y voit rien, quelle est la première chose que vous devez faire avant tout ? Vous devez allumer la lumière et tout le reste deviendra possible. Sinon, vous avancez dans le noir et vous vous cognez aux meubles.

Nous nous dirigeons tout droit dans l’œil du cyclone prévu de très longue date pour asservir la population mondiale au sein d’une dictature centralisée. Nous n’avons ni à accepter cela, ni à y consentir, nous ne devons pas rester là docilement à attendre que les murs du contrôle se referment petit à petit. C’est pourtant ce qui se passe et nous devons y remédier. Pour le bien de tous, cela doit finir. Rassemblons-nous. Restons ensemble. Si la folie reptilienne prévaut, ils n’ont pas les cartes en main. Nous, oui. Nous avons le pouvoir, si seulement l’unité pouvait s’y ajouter. Nous sommes une Conscience trompée en pensant que nous sommes des « pas grand chose ». Quand nous allons réaliser que nous ne faisons qu’un, et que nous agirons avec courage, amour, gentillesse, paix et empathie pour tous ceux qui ont besoin de soutien, les murs de l’oppression s’écrouleront. Rester assis sur son derrière et espérer que ça passe ne sera plus une option. Cela n’en a jamais été une. Quand les gens regardent une pyramide, comme celle qui contrôle la société humaine, instinctivement, ils regardent le sommet qui incarne le pouvoir.

Le pouvoir et la force d’une pyramide résident en sa base et non en son sommet.

Le sommet ne tient que parce que le reste de la pyramide le maintient en place. Sans la base, pas de sommet. On nous manipule pour qu’on voie le pouvoir là où il n’est pas et l’impuissance là où elle n’est pas. Ces deux façons de voir, si l’on prend la pyramide du pouvoir mondial, sont à contre courant de notre perception du « pouvoir ». Et cela se produit parce que la race humaine est engluée dans l’inaction, l’ignorance et la peur. Les ignorants ne savent rien de leur sort, et ceux qui le connaissent se voilent la face. C’est cette combinaison qui permet à peu de gens de contrôler toute la population. Après 20 ans d’efforts constants, l’ignorance commence à se dissoudre et l’expérience quotidienne nous conforte dans ce que nous savons, alors que le masque du complot commence à tomber. Mais tout cela sera inutile si malgré ce que vous savez vous faites demi-tour, vous vous mettez à courir ou si vous vous figez sur place.

LE PEUPLE MAINTIENT L’ORDRE DU PEUPLE

Les autorités savent déjà qu’une guerre quelconque est imminente et ils s’y préparent en secret. Début 2008, j’ai reçu une lettre provenant d’un agent britannique de la circulation qui distribue des amendes aux automobilistes pour stationnement illégal. Il était devenu extrêmement inquiet et désorienté à cause des informations qu’on lui avait données dans le cadre de son travail. Cet agent, que j’appellerai Andy, faisait ce travail depuis près de vingt ans et il ne s’était pas intéressé à autre chose qu’à des problèmes touchant à la circulation et au stationnement, rien d’autre. C’est de quoi sont supposés s’occuper les agents de la circulation. Tout allait très bien, disait-il, jusqu’à il y a environ cinq ans, quand les changements survenus à la direction ont impliqué un changement d’orientation dans le travail. Soudain il n’avait plus à faire en sorte que la circulation s’écoule efficacement, il fallait qu’il mette le plus de contraventions possibles, pour faire le plus d’argent possible, grâce aux amendes données aux automobilistes. Andy disait que de nombreux agents ont protesté et ont fait des commentaires comme « ce travail ne se fait plus avec le coeur » ou « on est gérés par des robots ». Dans sa lettre, Andy disait qu’il avait été convoqué dans le bureau de son directeur pour une petite mise au point, durant laquelle on lui a donné trois cartes pour lui et ses collègues. La première carte avait un rapport avec son travail au sujet des problèmes de stationnement. Normal. Mais les deux autres l’on embarrassé et de plus en plus préoccupé sur ce qui se passait. La carte numéro deux était une carte « PACE » l’abréviation pour Police Action and Court Evidence (action de police et éléments de preuves pour le tribunal), indiquant ce que les officiers de police doivent dire lors d’une arrestation : « Vous n’avez pas besoin de dire quoi que ce soit. Mais cela peut nuire à votre défense si vous ne mentionnez pas quand vous serez interrogé quelque chose que vous comptez dire plus tard devant la Cour. Tout ce que vous direz pourra servir de preuve. » Les agents de la circulation n’avaient aucun besoin de connaître ce texte de mise en garde utilisé par les policiers. Ils ne se retrouvaient pas dans des situations où ils avaient à le faire. Seule la police et certains agents du gouvernement ont le droit de pratiquer une arrestation. La troisième carte autorisait Andy et ses collègues à agir au nom de la mairie pour l’exécution de dispositions légales et statutaires comme « entrer dans des lieux et les inspecter ». Pardon ? Qu’est-ce que le fait d’inspecter des lieux et de lire ses droits à une personne qu’on arrête, a à voir avec un agent de la circulation qui donne des contraventions à ceux qui sont mal garés ? C’est la question qu’Andy a posée à son chef quand il lui a présenté les cartes, mais on lui a répondu qu’ils avaient reçu l’ordre de distribuer ces cartes, qu’ils devaient les garder en lieu sûr et attendre les prochaines instructions. Andy a ensuite rencontré un officier de police qu’il avait connu quelques années auparavant. Après une discussion générale avec d’autres agents, l’officier a pris Andy à part et lui a dit qu’il souhaitait lui parler en privé. Il a demandé à Andy de ne pas souffler mot de la conversation qu’ils allaient avoir et qu’il lui donnait ces informations parce qu’ils étaient de vieux amis. Il a dit qu’on l’avait mis, pendant des mois, à des fonctions particulières, à la coordination d’opération ultra secrètes, à des réunions rassemblant des « hauts gradés » de la police locale et des gouvernements nationaux et locaux. Ça se passait comme ça dans tout le pays, a-t-il dit, et certains des officiers avaient été choisis ou « proposés » pour faire ce qu’il faisait. L’officier à demandé une seconde fois à Andy de ne pas révéler les détails de la conversation avant d’ajouter que le gouvernement préparait ce qu’il s’apprêtait à révéler « bien, bien à l’avance ». Ils s’attendaient à «… une guerre, de nombreuses émeutes et à de gros ennuis. » L’officier a déclaré qu’il comprenait pourquoi on avait donné à Andy et à ses collègues la carte PACE et celle les autorisant à pénétrer dans divers endroits. Il a continué : 

Disons simplement que je sais maintenant pourquoi on vous a donné ces cartes, c’est parce que quand tout ceci va arriver, et ça va arriver, nous (la police) serons en premières lignes aux côtés des forces armées et les gens comme vous… les agents de la circulation, les agents de sécurité, les agents de vidéosurveillance et autres serez réquisitionnés pour faire notre boulot. 

« Tu rigoles ou quoi ? C’est complètement fou ! », a répondu Andy. Mais l’officier lui a bien fait comprendre que ça n’était pas une blague. « On en est là. Je voulais juste te mettre en garde sur ce qu’il va se passer, mais l’essentiel est que tu n’en parles à personne. » Voilà ce que disait un officier de police au sujet des opérations secrètes, croyant qu’il allait y avoir une guerre, et que la foule des manifestants allait avoir affaire avec la police et l’armée, et que le travail de la police allait être exécuté par des agents de la circulation, des agents de sécurité et des agents de vidéosurveillance, etc. Andy m’a contacté en mars 2008 pour me raconter son histoire, mais la conversation avec l’officier de police s’était déroulée quelques mois plus tôt. La « guerre » et les préparatifs pour affronter la population étaient dans le plan depuis longtemps et la « guerre » n’en est seulement qu’une partie. Les réactions face aux vaccinations obligatoires et à un effondrement de l’économie font aussi partie de cette opération secrète. Quelques jours après avoir reçu la lettre d’Andy et vu les cartes, le gouvernement a annoncé que les agents de la circulation allaient être rebaptisés « agents des forces civiles ». On leur a donné plus de pouvoir et on dû ajouter à leurs tâches le travail que faisait normalement la police. Quelques mois plus tard, en août 2008, le gouvernement britannique a annoncé qu’une nouvelle désignation concernant l’application portant le nom de « personnes accréditées » avait été présentée. « Les personnes accréditées » devaient faire partie d’une liste de « civils » accrédités pour faire le travail de la police et elle comprenait… les agents de sécurité, les responsables des conseils locaux, les préposés de parking, les agents de sécurité des magasins, les agents de la circulation, même les agents de surveillance de manifestations sportives. Il s’est passé exactement ce que le policier avait décrit à Andy, près d’une année plus tôt et le plan continue à donner des pouvoirs de police à ce qui n’est pas la police, et à ajouter de plus en plus de couches aux instances d’application de la loi civile. C’est la même chose partout dans le monde et c’est pourquoi Barack Obama en appelle, aux États-Unis, à une force de sécurité civile aussi bien financée que celle des Marines. 

Il existe déjà des milliers de « personnes accréditées » pour le « plan d’accréditation de sécurité communautaire » et le nombre va exploser. Tout ce qu’ils ont à faire c’est de payer, ou leur employeur le fait pour eux, une somme modique pour leur prochain non-entraînement et leur prochaine pas-de-vérification-des-antécédents et ils peuvent ainsi se retrouver dans la rue et arrêter des véhicules, délivrer des amendes, prendre des personnes en photo, patrouiller avec des chiens, confisquer un bien et exiger des noms et des adresses. On en est arrivé au point où lorsque quelqu’un jette quoi que se soit dans la rue, peu importe ce que c’est, même une toute petite chose, il est photographié s’il refuse de donner son nom et son adresse aux agents de l’État et sa photo est publiée dans le journal local telle la photo d’un malfaiteur. Alex Deane de Big Brother Watch (groupe britannique de défense des libertés civiles) déclare : « C’est à peine moins que la justice populaire sanctionnée par l’État… C’est même pire que le maintient de l’ordre bon marché, car c’est maintenir l’ordre sans toutes les vérifications que les forces de police peuvent effectuer. Pour l’instant, les « personnes accréditées » porteront des insignes sur leurs uniformes actuels, mais le gouvernement prévoit finalement de leur faire faire des uniformes spéciaux (à temps pour la guerre, aucun doute là-dessus, et des chemises noires seraient aussi appropriée). Ils se joindront aux anciens agents de la circulation, à présent agent de l’autorité civile, façon orwellienne et soi-disant « agents de police spéciaux » faisant le travail de la police sans avoir le même niveau de formation. Maintenant, dans un langage orwellien classique, le gouvernement appelle ce petit groupe une « ramification de la famille de la police ». Le mot « famille » est réconfortant, pas menaçant mais il masque la réalité de ce qu’il représente vraiment. Il serait plus juste de le baptiser « la police secrète de Jaqui Smith » ou « la Stasi de Smith » du nom de la tristement célèbre police secrète de l’ex Allemagne de l’Est et de celui du ministre de l’Intérieur qui soutenait officiellement la police, mais qui, en vérité ne le faisait pas. Jaqui Smith s’est révélée être extrêmement stupide et complètement à côté de ses fonctions de ministre. Elle a été virée en 2009. Elle était le petit chien de ses « conseillers » et des hauts fonctionnaires et elle faisait office de cachet officiel. Elle n’a pas appliqué sa politique, mais celle des Illuminati, et eux sont toujours en poste, quel que soit le nom sur la porte du bureau. Ça se passe comme ça dans tous les pays grâce à la toile d’araignée qui rassemble les groupes et les sociétés secrètes — la « corporation ».

UNE POLICE MONDIALE

La Troisième Guerre mondiale a aussi été prévue pour être le catalyseur introduisant une armée mondiale, qui, comme je le dis depuis des années, est prévue pour être un amalgame de l’OTAN, les forces de « maintien de la paix » des Nations Unies et d’autres groupes, comme l’armée de l’Union africaine, les forces armées de l’Union européenne et d’autres encore. Le plan est de supprimer les armées nationales et de donner au gouvernement mondial le contrôle total des forces armées mondiales. Cette armée mondiale aurait un commandement centralisé et se verrait confier des opérations moins importantes que les armées des super États, stationnées dans les régions qui doivent remplacer les nations. Cela signifierait qu’une armée mondiale au commandement centralisé soit opérationnelle à tous les niveaux de la communauté mondiale ou locale. Ce serait une version planétaire de la structure militaire de l’Allemagne nazie ou de la Chine, des modèles de ce que les reptiliens et leurs hybrides façonnent depuis si longtemps pour imposer leur société mondiale. Il s’agit d’un État policier et militaire mondial qui gouvernerait avec une poigne de fer. Avez-vous remarqué que les forces de police ressemblent de plus en plus à des militaires et qu’elles agissent de plus en plus comme eux ? Vous assistez là à la transition rapide entre l’ancienne façon de maintenir l’ordre, celle que les gens de mon âge ont connue, et la dictature militaire qui se profile.

La police ressemble et se comporte de plus en plus comme l’armée.

Ce que propose le président français, Nicolas Sarkozy (agent des Rothschild et du Mossad), c’est une police Illuminati. Fin de l’histoire. Pas étonnant qu’il est d’accord avec la création d’une armée européenne qui serait le bras armé de l’armée mondiale. L’ancien secrétaire de la défense, John Hutton, traitait de « pathétique » quiconque mettant en doute le plan de Sarkozy : « Je ne fais pas partie des ennemis de l’Union européenne qui pensent que tout ce qui est en rapport avec l’Union européenne est épouvantable », a-t-il dit. « On est entouré par ces gens-là. Franchement, je pense que cette façon de voir est pathétique. » C’est bizarre, le même mot m’est venu à l’esprit quand j’ai lu les commentaires de Hutton. Belle synchronisation ! Ces personnes ignorent ce qui se passe et ce gars a été le secrétaire de la défense britannique, heureusement il ne l’est plus. Mais ceux qui ont suivi ont été tout aussi stupides. Par contre, certains hommes politiques sont au courant du véritable plan, des gens comme Obama, Blair, Sarkozy, Cheney, Bush père et leurs consorts, mais la plupart d’entre eux ne sont que des idiots que l’on utilise, des pantins. Il faut savoir aussi que l’on multiplie les « exercices » militaires et navals impliquant plusieurs pays, y compris les États-Unis et la Chine et tout cela va doucement nous faire passer des armées nationales à une armée mondiale. Un « journaliste » m’a une fois demandé quel serait le problème d’avoir une armée mondiale… « Après tout, il n’y aurait plus d’ennemi. » On respire profondément, on relève la tête et on continue. Le fait d’avoir une armée mondiale et rien d’autre, implique que le gouvernement mondial aurait tous les pouvoirs pour imposer sa volonté à n’importe quel pays ou individu refusant d’obéir à ses ordres.

UNE ARMÉE DE ROBOTS

Il existe, dans l’espace, tout un réseau d’armement prêt à faire feu en direction de la Terre et des pays ou des groupes qui manqueraient de se soumettre. C’est comme une méga version d’un film de James Bond, mais là malheureusement, ça n’est pas du cinéma. L’armement spatial, tels les lasers et les armes à impulsion, a été développé et mis en place sous couvert du Star Wars initiative (initiative de défense stratégique, dite « Guerre des étoiles ») et de son réseau de satellites. 

C’est financé par ce qu’on appelle des « caisses noires » qui n’apparaissent pas dans les bilans officiels du gouvernement et qui impliquent des sociétés appartenant aux Illuminati comme Lockheed Martin, Boeing, Northrop Grumman et autres sociétés travaillant pour la défense américaine, ainsi que des entreprises impliquées dans des contrats spatiaux, militaires et civils. Tout ceci est supervisé par le Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) — Agence pour les projets de recherche avancée de défense. Il s’agit d’une agence du département de la défense américain qui est officiellement responsable du développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire. C’est en fait beaucoup plus que cela, c’est l’un des plus sinistres organismes que la Terre ait connu. Il vise aussi à créer, littéralement, une armée de robots qui utilisera ces technologies pour tuer et contrôler la population. Elle sera dirigée par des opérateurs grâce à des joysticks et sera implantée dans des endroits sûrs et secrets, à proximité de ses cibles. On voit déjà ça aujourd’hui avec les drones, ces avions télécommandés de plus en plus utilisés pour les bombardements aériens et la surveillance. Mais allez sur Internet, vous pourrez avoir des renseignements sur ces « troupes de robots » contrôlées à distance et sur les armes mobiles que l’on développe de plus en plus. En fait, on ne les développe plus, puisqu’elles existent déjà. Il faudrait juste qu’on nous en parle. Une société du nom de Robotic Technology Inc. (RTI) a fabriqué un robot militaire capable de se ravitailler en extrayant et en consommant l’énergie produite à partir de la biomasse qui l’entoure, y compris les cadavres. On l’appelle Energetically Autonomous Tactical Robot ou EATR (Robot Tacticien Energétiquement Autonome). Le docteur Robert Finkelstein, président de RTI, a déclaré sur Fox News que EATR ne serait pas programmé pour consommer des cadavres d’hommes ou d’animaux. Le Congrès américain souhaiterait que d’ici 2015, un tiers des véhicules de combat soient des robots télécommandés. Plus de 4 000 robots sont déjà opérationnels en Irak et en Afghanistan. Les médias ont rapporté qu’un drone MQ-1 Predator avait été activé à plus de 11 000 kilomètres pour abattre des « présumés terroristes » en voiture, et maintenant l’armée américaine se lance de plus en plus dans la fabrication de ces robots qui vont prendre à présent la décision de tuer ou de ne pas tuer.

Le Predator, un drone contrôlé à distance.

Les conspirateurs sont dépassés en nombre par rapport à la population, et quand viendra le jour où leur système de contrôle sera trop évident et que la population se rebellera pour chercher à les faire sortir de leur cachette, ils devront être en mesure de rester cachés et d’envoyer leur technologie faire la guerre à leur place. L’idée d’une armée de robots vient de là. Le plan vise également à mettre en application la loi « civile » mondiale — en vérité, une autre branche de l’armée — sous la forme d’une police mondiale. Les Nations Unies et l’organisation internationale de police criminelle, Interpol, se sont réunies pour discuter de la formation d’une opération mondiale de police qui aurait accès à une base de données mondiale répertoriant les ADN, les passeports biométriques et les empreintes digitales. Au centre des discussions, se trouve Ronald K. Noble, conseiller du gouvernement chinois sur le maintien de l’ordre dans les grands événements mais aussi l’homme qui a ordonné l’attaque de la résidence du groupe religieux les Davidiens, à Waco au Texas, en 1993. Lors de l’attaque ordonnée par le gouvernement de Bill Clinton, 56 adultes et 20 enfants ont péri dans l’incendie provoqué par des gaz lacrymogènes ou ont été abattus. Noble était alors Sous Secrétaire d’État et après les terribles événements de Waco, il a tout fait pour effacer toute trace de ce qui s’y était réellement passé. Noble a été choisi par Janet Reno, ministre de la justice du gouvernement Clinton, pour devenir secrétaire général d’Interpol. Janet Reno a supervisé l’assaut final de la résidence des Davidiens, à Waco. Noble prône aujourd’hui une nouvelle base de données qui donnerait accès instantanément aux registres concernant toute personne dans le monde et qui serait utilisée par la force de police mondiale.

A L’ASSAUT DE LA LIBERTÉ

La micropuce est l’élément central d’un énorme réseau mondial de surveillance et de contrôle en pleine expansion, comme je le signale depuis longtemps. Richard Thomas, commissaire britannique à l’information, a dit que les gens ressemblaient à « des somnambules dans une société de surveillance » et il ne pouvait pas mieux les définir.

L’État policier orwellien devient de plus en plus tyrannique et de plus en plus brutal, sous couvert de crise économique et politique, de scandale concernant les « célébrités », de sexe, de sport et du reste. Ces diversions sont conçues pour faire en sorte que la plupart des gens regardent ailleurs ou restent endormis pour ne pas voir ce qui se passe. Richard Thomas, qui a terminé son mandat en 2009, a fait des commentaires au sujet de la « société de surveillance », en réponse à un rapport sur l’utilisation des technologies de surveillance, publié par le docteur David Murakami Wood, directeur de rédaction du journal Surveillance & Society, et par le docteur Kirstie Ball, maître de conférence en études organisationnelles. Ce rapport a été rédigé par un groupe d’universitaires et porte le titre de Surveillance Studies Network (réseau des études en matière de surveillance). Il avertit que l’on peut se voir contraint à être « micropuçé », comme les chiens de compagnie, afin d’être suivi à la trace et de fournir des informations personnelles qui, bien sûr, ne le resteraient pas longtemps puisqu’elles pourraient être lues. Les puces seraient, non seulement utilisées par le gouvernement, comme le dit le rapport, mais aussi par des sociétés pour surveiller leurs employés. Bref, on ressemblerait à des singes dans une cage électronique ou à des rats dans un labyrinthe électronique. Le rapport dit qu’avant 2016, presque chacun de nos mouvements, de nos achats et de nos communications pourraient être contrôlés par un réseau complexe d’interconnexions de technologies de surveillance à moins que nous n’agissions. On débat aujourd’hui sur le fait d’implanter des puces sur tout le monde, nous préviennent les auteurs. En réalité, ce débat » est une supercherie : tout est prévu depuis des décennies et même depuis plus longtemps. Le docteur Murakami Wood déclare : 

Nous avons vraiment une société qui repose à la fois sur le secret d’État et sur un État qui n’abandonne pas son prétendu droit de garder l’information sous contrôle, car il est en même temps désireux d’en savoir autant que possible sur nous. 

Le rapport souligne que « la société de surveillance s’est mise en place sans que l’on s’en aperçoive. » Eh bien ça dépend où vous avez regardé pendant toutes ces années. Comme beaucoup d’autres, je mets les gens en garde depuis le début des années 1990, et l’information n’a glissé que sur ceux qui n’y ont pas prêté attention. « C’est à quelle heure le jeu télévisé ce soir, ma chérie ? » Cet État espion s’est introduit petit à petit grâce au totalitarisme sournois, et on ne perçoit que maintenant l’ampleur de la tyrannie. Le réseau des études en matière de surveillance rapporte que la Grande-Bretagne qui se vante de propager « la liberté et la démocratie » est le leader mondial en matière de technologies de surveillance et que les Britanniques sont les plus espionnés de ce qu’on appelle ironiquement « le monde libre ». Ce qui se passe en Grande-Bretagne est en train d’arriver dans le reste de l’Europe, en Amérique du Nord et ailleurs. Il existe quatre millions de caméras de télévision en circuit fermé au Royaume-Uni pour une population de seulement 60 millions de personnes ; ce qui fait une caméra pour 14 personnes. Le ministère de l’intérieur a pris 78 % du budget alloué pour la prévention du crime pour installer des caméras de surveillance. En Grande-Bretagne vous êtes filmé environ 300 fois par jour, toutes les 4,8 minutes, mais dans les grandes agglomérations c’est encore pire.

Une caméra de surveillance près de la plaque qui dit « George Orwell a vécu ici ».

C’est amusant de voir ce qui trône aujourd’hui à l’extérieur de l’ancienne maison de George Orwell.

Les locataires de ce groupe d’immeubles de Torquay, dans le Devon, sont observés par une caméra 112 CCTV qui fixe leurs portes d’entrée. On leur a aussi dit qu’ils devraient payer un supplément de loyer de 2 livres sterling par semaine afin de participer aux dépenses faites pour qu’ils « se sentent plus en sécurité » et qui s’élèvent à 375 000 livres sterling. La plupart des résidents ont été abasourdis par ce degré de surveillance, mais l’un d’entre eux a quand même déclaré : « Je n’aime pas la façon dont le gouvernement enregistre les gens, mais je suis prêt à accepter un peu moins de liberté pour un peu plus de sécurité et de tranquillité d’esprit. » Dissonance cognitive/double pensée. Les caméras sont aussi installées de façon à ce que l’on puisse « lire » sur les lèvres mais aussi « lire » le langage corporel et que l’on puisse reconnaître les visages. Une société israélienne fabrique même une technologie de surveillance par « télépathie ». Une autre de ces avancées, venues directement du livre 1984, est la caméra avec haut-parleurs qui permet aux opérateurs de donner des ordres aux gens qu’ils épient. Un document émanant de la police londonienne par le biais de la loi sur la liberté de l’information, a révélé que les images prises par les CCTV ne permettent de résoudre qu’un crime sur 1000 à Londres. Quand on pense que les dépenses pour les caméras de surveillance représentent les trois quarts des dépenses faites par le gouvernement pour lutter contre le crime ! Mais ces caméras ne sont pas installées pour résoudre et pour prévenir des crimes. Pour les familles de lignées, plus il y a de crimes, plus les gens ont peur et la peur mène au contrôle total, tout comme le disait Richard Day le sioniste Rothschild, en 1969. Il existe un taux incroyable de crimes signalés et pour lesquels aucune enquête n’est menée. Les caméras de surveillance sont mises en place pour déceler toute opposition à l’État orwellien, et non la population qui ne représente aucune menace pour le système. Il existe 6 000 radars sur les routes du Royaume Uni et 8000 dispositifs de reconnaissance des plaques d’immatriculation qui photographient un conducteur utilisant son mobile alors qu’il est au volant ou un autre qui n’a pas mis sa ceinture de sécurité. La police londonienne détient des caméras « yeux en l’air » capables de lire les plaques d’immatriculation depuis un hélicoptère, plusieurs milliers de mètres au-dessus du sol et il est question de se servir d’avions télécommandés, des drones, en Écosse, pour espionner la population. Le gouvernement veut encore plus de radars, bien qu’un rapport ait établi que 85 % des accidents de la route n’étaient pas dus aux conducteurs dépassant la limitation de vitesse. Avoir le pouvoir d’ « arrêter et de fouiller » est une autre forme de surveillance, et il est en augmentation. Les enfants de deux ans peuvent être arrêtés et fouillés au Royaume-Uni. Les lois pour la lutte « anti-terroriste » statuent que quiconque peut être « arrêté n’importe où et à tout moment, sans avertissement et sans autre choix que de se soumettre à une fouille. » En 2009, le gouvernement britannique dépensait la somme incroyable de 380 livres sterling la minute — 200 millions de livres sterling par an — pour un spectaculaire dispositif de surveillance de la population, alors qu’il est plutôt censé la protéger. Cette procédure a provoqué une augmentation de 1 700 % par rapport au système précédent et permet aux autorités de surveiller chaque mouvement que fait une personne, de contrôler chacun de ses clics sur Internet et d’avoir accès à ses emails et à ses communications téléphoniques. Bien sûr des sites comme Facebook et Twitter sont sous contrôle et chaque société de télécommunications ou d’accès à Internet doivent délivrer un numéro d’identification à leurs clients. Toutes ces informations détaillées sont conservées dans une base de données géante qui est reliée à toutes les autres bases de données et permet aux « organismes publics » de tout savoir sur nos vies. Ne pas enregistrer vos nom et adresse sur une liste électorale est passible d’une amende de 2 500 livres sterling. Les organismes d’État et les conseils locaux faisaient déjà toutes les minutes, en 2009, des demandes pour enregistrer des communications téléphoniques, avoir accès aux adresses Email de certaines personnes, et même avant que le système n’ait pris une telle ampleur. Le journal londonien The Guardian a révélé que des photographies, ainsi que des données personnelles concernant des milliers de personnes ayant participé à des manifestations, rassemblements et réunions politiques, étaient stockés dans des bases de données nationales secrètes. Ils sont estampillés « extrémistes ». La campagne de surveillance a été effectuée par une organisation privée financée par le gouvernement et appelée Association of Chief Police Officers (AcPO) (association des services de police) et qui fournit des cartes, avec photographies, contenant tous les renseignements sur les activistes que la police doit surveiller, lors des manifestations et des rassemblements. Dans la station de bus de Sheffield, dans le Nord de l’Angleterre, les passagers sont avertis qu’ils seront tracés grâce à l’ADN s’ils crachent sur le personnel et qu’ils seraient ainsi pour toujours dans la base de données nationale d’ADN.

La pancarte de la station de bus de Sheffield.

LES FAUSSES LOIS «ANTI-TERRORISTES»

Nous détenons des technologies pour identifier les visages dans la foule et des « comportements suspects » et des « détecteurs de mensonges » sont prévus pour les aéroports. La conséquence de la loi de Tony Blair passée en 2000, régissant les pouvoirs d’investigation (Regulation of Investory Power Act), est que les fournisseurs de services Internet doivent enregistrer leur activité et fournir des informations au MI5. Cette loi est un autre exemple de la législation sur les « terroristes » et qui peut être utilisée sur toute la population. Mais tout ceci, comme je l’ai dit, est prévu de longue date. Le Patriot Act américain est la même chose et en vue d’une législation « anti-terroriste », les Américains peuvent se voir supprimer leur citoyenneté, être emprisonnés sans être jugés, être transportés dans un autre pays pour être torturés et même exécutés dans le plus grand secret. Des chiffres extraordinaires révélés au Royaume-Uni, en 2009, montrent à quel point c’est allé loin. L’État espion a augmenté sa surveillance de 44 % en deux ans et a déclaré 504 073 nouveaux cas. Cela signifie qu’en moyenne, un adulte sur soixante-dix-huit est soumis à ce genre de surveillance, y compris le fait d’être suivi par des agents et surveillé par des caméras cachées. Un total de 653 organismes, dont 474 conseils locaux, sont autorisés à utiliser ces moyens de surveillance. Les gens, quant à eux, n’ont aucun droit de savoir qu’ils sont espionnés même s’ils n’ont commis aucun acte répréhensible. En 2004, le Children Act (loi relative à l’enfance) a permis la création d’une base de données pour enregistrer des informations détaillées sur nos enfants, allant jusqu’à leurs habitudes alimentaires. Elle peut être consultée par la police, les médecins, les assistants sociaux et les professeurs. Dans les West Midlands, trois jeunes âgés de 12 ans se sont vus prélever leur ADN après avoir été arrêtés par la police pour… avoir cassé des branches pour construire une cabane. Aujourd’hui, quand quelqu’un est arrêté, on lui prélève son ADN que l’on conserve ensuite dans un fichier, même si par la suite aucune charge n’est retenue contre lui ou même s’il est innocenté. Les derniers chiffres que j’ai vus montraient que presque 6 millions d’échantillons étaient détenus, et cela augmente un peu plus tous les jours. La Cour de justice européenne a jugé que conserver l’ADN des personnes arrêtées, mais non inculpées, pour un crime, ou alors acquittées, était « disproportionné », donc le gouvernement a réduit la période de conservation des échantillons ADN des personnes innocentées à six ans, ce qui laisse le temps de revenir sur sa décision. On a eu confirmation que cette base de données avait été créée en secret quand il a été révélé que la police arrêtait des suspects uniquement pour recueillir leur ADN. The Human Genetics Commission (la Commission de la génétique humaine) composée de scientifiques et d’universitaires, a statué que c’était un travail de « routine ». Le président de la Commission, le professeur Jonathan Montgomery, a déclaré : « On arrête des gens, qui en d’autres circonstances n’auraient pas été arrêtés, pour pouvoir prélever des échantillons d’ADN. » Un commissaire de police à la retraite a déclaré à la Commission :

Il est aujourd’hui rentré dans les normes d’arrêter des délinquants pour quoi que ce soit, si on a le pouvoir de le faire. Les officiers de police ont apparemment compris que l’une des raisons, sinon la raison, de ce changement de pratique est de faire en sorte d’obtenir un échantillon ADN du contrevenant. 

Le système de contrôle a l’intention de maintenir ces bases de données jusqu’à ce que l’ADN de chaque être humain soit dans les dossiers. Après avoir lu que les reptiliens sont obsédés par la génétique, peut-être que certains commencent à présent à percevoir le plan derrière tout cela. Il ne s’agit pas de « résoudre des crimes » et de « protéger la population », mais d’avoir accès au code génétique de chacun d’entre nous et à son unique fréquence vibratoire. Une fois qu’ils ont obtenu ce qu’ils désirent, ils peuvent cibler un individu en raccordant la technologie vibratoire à leur fréquence unique. Les preuves ADN sont considérées comme pratiquement infaillibles, mais c’est absurde. En Israël, des scientifiques ont prouvé à quel point il était facile de fabriquer des « preuves » ADN. Dan Frumkin, l’auteur principal d’un article publié en ligne par la revue Forensic Science International : Genetics, a dit que n’importe quel étudiant en licence de biologie était capable de le faire. « Il faut juste fabriquer une scène de crime », a-t-il déclaré, et il suffit d’un petit échantillon d’ADN de cheveu ou d’une tasse qui a servi. C’est encore plus facile quand vous avez un dossier ADN pour tout le monde. Il existe des caméras de vidéosurveillance ; des plaques d’immatriculation ; des caméras de reconnaissance faciale ; des étiquettes à micropuces sur les produits que nous achetons ; une surveillance des téléphones mobiles ; des cartes de crédit et des cartes de fidélités ; une surveillance par satellite ; des listes électorales ; des dossiers médicaux ; des écoutes téléphoniques ; des caméras et des micros cachés ; des cookies (témoins de connexion) sur Internet et des programmes de vérification des données permettant d’enregistrer vos recherches et de les utiliser pour obtenir des mots de passe ou des clefs de chiffrement. Cela peut être utilisé pour surveiller le rythme de travail d’un opérateur et le tout est conçu pour enregistrer le moindre de vos mouvements 24 h/24 h. Les dernières recherches technologiques sont conçues pour identifier les gens grâce à leur modèle cérébral et à leur rythme cardiaque et par un « siège de télédétection » adaptés aux camions et servant à enregistrer les caractéristiques de la position assise de chaque conducteur pour « tenter de repérer le vol de tout véhicule commercial. » Tous ces procédés se retrouvent sous la bannière de « Humabio », le projet européen de biométrie « multimodale » qui utilise des techniques d’identification basées sur le comportement, comme la démarche par exemple. Les appels téléphoniques, les courriels et les télécopies sont contrôlés par le Réseau Echelon, le système mondial d’interception des communications privées et publiques qui cherche des mots-clefs et des modèles de reconnaissance vocale à partir d’établissements sinistres comme la base de Menwith Hill, dans le North Yorkshire, en Angleterre.

Menwith Hill, dans le North Yorkshire, en Angleterre. Le système espion Echelon n’est qu’une partie de ce qui se trame en ces lieux. C’est une installation mondiale, même interplanétaire, de grande importance.

Il s’agit officiellement d’une base de la Royal Air Force, mais elle est contrôlée par la NSA américaine et sert de base au sol pour les satellites exploités par la NRO (National Reconnaissance Office), l’une des 17 agences de renseignements des États-Unis. Ce centre a différentes fonctions non officielles et opère dans le monde entier. Les autres centres du système Echelon sont Morwenstow (Cornouailles) ; la station militaire australienne de communications (Geralton, ouest de l’Australie) ; la base aérienne de Misawa (Japon) ; Pine Gap (près d’Alice Springs, Territoire du Nord, Australie) ; Sabana Seca (Puerto Rico, États-Unis) ; Sugar Grove (Virginie occidentale, États-Unis) ; Yakima (Washington, États-Unis) et Waihopai (Nouvelle Zélande). L’organisation Statewatch qui surveille les libertés civiles et les législations en Europe, résume où nous en sommes et vers quoi nous allons, si nous ne nous réveillons pas très vite : 

Dans l’ensemble de l’Union européenne, les gouvernements ont adopté, ou sont en train de le faire, des lois nationales pour la rétention obligatoire des données de communication de tout le monde. Il s’agit de toute forme de communication (les appels téléphoniques, les télécopies, les appels de mobiles y compris leur localisation). À partir de 2009, l’utilisation d’Internet sera enregistrée, et bien peu de personnes sont au courant de ce qui va arriver. 

Lorsque les données relatives au trafic, y compris l’utilisation d’Internet, se combinent à d’autres données détenues par l’État ou rassemblées par des sources non gouvernementales (impôts, emploi, coordonnées bancaires, utilisation de cartes de crédit, biométrie, casier judiciaire, carnet de santé, services de l’administration en ligne, itinéraires de voyage, etc.), alors apparaît un tableau effrayant du quotidien et des habitudes de chacun, un tableau qui peut être consulté en un simple clic. L’Union européenne a donné à tout ceci une nouvelle ampleur en annonçant un système de surveillance qui contrôlerait les données venant des innombrables sources, par le biais d’un contrôle continu des « sites web, des forums de discussion, du système en réseau Usenet, des serveurs, du réseau peer-to-peer (p2p ou en français, pair-à-pair) et des ordinateurs individuels ». Il est prévu que ces informations soient rassemblées et évaluées par un système informatique géant afin de détecter les « comportements anormaux ». Ce système porte le nom de « Project Indect » (système d’information intelligent soutenant l’observation, la recherche et la détection pour la sécurité des citoyens en milieu urbain) qui sera utilisé par les forces de police de l’Union européenne et leur équivalent de la CIA, et dont vous entendrez certainement vite parler. Les lignées et leurs maîtres reptiliens veulent un système mondial dans lequel toutes les bases de données seraient regroupées en une seule. Un raz de marée de nouvelles lois émanant de l’Union européenne et prêt à déferler maintenant que le Traité de Lisbonne a été frauduleusement adopté, pour accorder de nouveaux pouvoirs aux bureaucrates de l’Union européenne, pour pouvoir régenter ce qui reste des États nationaux. Il est également prévu que l’on réduise le nombre de voyages, comme le disait Richard Day, en 1969. Les Américains devront obtenir la permission du gouvernement pour prendre l’avion ou le bateau comme l’annoncent déjà les listes « no-fly » (liste des interdictions de vol) et « Watch » (lancée par Interpol pour contrer le terrorisme). Ces listes atteignent des sommets de bêtise, même des bébés y sont répertoriés. Le plan va s’étendre pour contrôler toute forme de voyage et de déplacement.

DES VOYOUS EN UNIFORME

L’ampleur que prennent ces mesures est à couper le souffle. Aujourd’hui les agents frontaliers américains ont le droit de saisir les ordinateurs portables ou autres appareils électroniques appartenant à des voyageurs et de les garder indéfiniment, sans qu’il y ait suspicion ou actes répréhensibles. La sécurité intérieure a annoncé, en juillet 2009, que ses agents avaient le droit de garder n’importe quel dispositif de stockage d’information et de divulguer les données à d’autres agences en l’ « absence de soupçons précis ». Leur langage à la Orwell va très bien avec leur esprit informatisé. Les autorités se montrent de plus en plus fascistes, arrogantes et brutales. Il est aujourd’hui monnaie courante que des manifestants pacifistes soient l’objet de violences policières. Au Royaume-Uni, deux femmes saisies à la gorge ont été jetées à terre de force, on leur a lié les pieds et on les a jetées dans un fourgon de police. Leur crime ? Avoir demandé sa pièce d’identité à un agent de police et cherché à le prendre en photo alors qu’il refusait. Les autorités peuvent filmer vos moindres gestes, mais si vous prenez un policier en photo, vous êtes en état d’arrestation. La police britannique revendique le droit d’interdire à quiconque de prendre ses agents en photo. La loi sur la lutte contre le terrorisme a statué que c’était un délit de prendre des photos d’agents de police « susceptibles d’être utilisées par une personne préparant un acte de terrorisme ». Qui décide des personnes qui sont visées par cette définition ? La police. Andrew Carter, un plombier anglais, a photographié un policier, au volant d’un fourgon de police, qui n’a pas tenu compte d’un sens interdit. Il voulait rapporter la preuve que le policier enfreignait une loi que la police veut imposer à la population. Voilà ce que donne le fascisme en Grande-Bretagne. Le policier a arraché l’appareil photo des mains de Carter, lui a passé les menottes, l’a jeté dans le fourgon de police et l’a gardé au poste pendant cinq heures. Carter est retourné au poste une semaine plus tard pour sa caution et est encore resté détenu cinq heures de plus avant d’être relâché sans inculpation. Un vendeur de journaux du nom de Ian Tomlinson a été jeté à terre et frappé par un voyou de policier lors des grandes manifestations contre le sommet du G20 à Londres, en avril 2009. Il est mort peu de temps après. Il ne faisait même pas partie des manifestants et marchait mains dans les poches quand l’idiot en uniforme l’a frappé et poussé sans raison aucune. À Dolton, dans l’Illinois, un voyou d’officier de police a été forcé à démissionner car il a été filmé en train de battre sauvagement Marshawn Pitts, un étudiant mentalement handicapé, dans une école spécialisée. Quel était le crime de Marshawn ? Sa chemise n’était pas dans son pantalon. Il s’est avéré, que Christopher Lloyd, le policier de 38 ans, avait été accusé de viol par son ancienne femme et poursuivi pour avoir tué le nouveau mari de cette dernière de 24 coups de feu devant leurs enfants. Il n’a pas été inculpé de meurtre, la police ayant accepté le fait que les 24 coups de feu relevaient de la « légitime défense ». Allez sur les sites, dont le mien, qui parlent du complot et regardez les vidéos sur YouTube, vous verrez que les brutalités policières se sont généralisées. Vous pourrez accéder à la vidéo sur Marshawn Pitts rien qu’en tapant son nom. Pour chaque fait de violence policière qui a été filmé ce sont des milliers d’autres cas qui ne sont ni enregistrés, ni rapportés.

Il y a une loi pour la police et une autre pour les gens qu’ils sont censés servir. Dépassez de quelques kilomètres heure la limitation de vitesse sur une route déserte à minuit et une caméra de surveillance vous flashera. L’amende sera sous votre paillasson quelques jours plus tard. Par contre si vous conduisez une voiture de police à plus de 200 km/h sur la voie publique, comme l’a fait un officier de police britannique, la cour vous laissera repartir parce que vous ne faisiez que « tester la voiture ». Si vous donnez un coup de poing à quelqu’un dans un bar, on vous arrête, mais si vous êtes un agent de police qui tire sept fois à bout portant dans la tête d’un électricien brésilien, pendant que les autres policiers le maintiennent au sol, rien n’arrivera. Je dirais que le critère pour définir un État fasciste est de savoir si le droit s’applique autant à la population, qu’à ceux qui le font respecter. Si les forces de l’ordre ne sont pas soumises au même traitement que la population, en d’autres termes, si elles sont au-dessus des lois, nous vivons dans un État policier. Si l’on en croit cette définition, tout le monde subi ça aujourd’hui, et cela se durcit encore plus depuis que les anciens policiers sont remplacés, par une nouvelle race de voyous arrogants et à la gâchette facile, ou alors « recyclés » pour avoir une vision du monde qui convienne au système. Chaque jour qui passe voit la police ressembler de plus en plus à l’armée car c’est ce qu’exige le plan : un amalgame des deux. Les fondements élémentaires de la justice sont abattus un par un pour mettre en place une dictature militaire mondiale. La cour d’appel britannique a statué pour la première fois en Angleterre et au pays de Galles qu’un procès pouvait avoir lieu sans jury. L’affaire sera entendue par un seul juge en vertu des nouvelles lois adoptées, en 2007, par le gouvernement de l’agent des Fabiens, Tony Blair (sioniste Rothschild). L’excuse avancée est la peur que le jury soit menacé lors d’un procès impliquant des braqueurs de banque présumés, mais ça n’est qu’un exemple de plus de l’érosion constante de tout le système judiciaire équitable et de l’application des lois. Jack Straw, le Fabien (sioniste Rothschild), ministre de la justice a également changé la loi pour permettre au gouvernement de mener à l’avenir n’importe quelle enquête en secret, sur des « décès controversés », sans que même la famille ne soit autorisée à y assister. Cette charte permet de dissimuler tout ce que l’État ne veut pas que l’on sache. Il existe un autre thème commun à travers le monde incitant la population à espionner pour l’État. C’est précisément ce qui s’est passé sous le régime nazi et en Union soviétique. Janet Napolitano, secrétaire à la sécurité intérieure dans le gouvernement Obama, a déclaré lors d’une réunion du Conseil des relations avec l’étranger qu’elle envisageait d’engager des gens « ordinaires » pour des missions de « reconnaissance », afin de contrer le « terrorisme toujours grandissant dans le pays ». L’augmentation du terrorisme dans le pays est un mensonge, un stratagème pour justifier le recours à des lois visant l’ensemble de la population. Aux États-Unis, on trouve également le dispositif WeTip (nous donnons un pourboire) qui, comme beaucoup d’autres, encourage les gens à dénoncer anonymement d’autres personnes aux autorités en échange d’argent — comme les nazis l’ont fait dans les années 1930.

Le système WeTip.

Pas de panique, c’est seulement pour avoir une « Amérique plus sûre » ! J’imagine à quel point ce système WeTip peut être sinistre quand il est avalisé par Bush, par Bill Clinton, et par le gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger. Matthew Flaconer, candidat à la mairie du comté d’Orange, en Floride, a très bien décrit le plan quand il a dit qu’il mettrait en place une force spéciale de 1000 jeunes espions pour patrouiller à bicyclette dans les communautés, et rapporter par radio tout comportement suspect aux superviseurs en uniforme. Obama veut implanter ce genre de système dans tout le pays ou plutôt ce qu’il appelle une « force de sécurité civile nationale » qui serait « aussi puissante, aussi forte et aussi bien financée » que l’armée américaine. Fin 2009, la police de Los Angeles a annoncé qu’elle était « sur le point » de reprendre le programme Explorer du mouvement scout. La police de Los Angeles a dit que les recrues auraient de nouveaux uniformes, de nouveaux insignes et que le groupe porterait un nouveau nom. Plus de 3 000 jeunes gens font partie des ce programme. Ils vont être entraînés pour se préparer à faire appliquer la loi. Ce mouvement fait partie de la « force de sécurité civile nationale » qui va utiliser des enfants pour espionner leur voisinage, même leur propre famille. Des gens du peuple maintenant l’ordre au sein de la population, des esclaves maintenant l’ordre chez les esclaves. Et si vous voulez protester contre ce qui se passe, allez dans la « zone de liberté de parole ».

Auschwitz Birkenau German Nazi Concentration and Extermination Camp, Lesser Poland Voivodeship, Poland

La « zone de liberté de parole », un tremplin qui ne donne droit à rien.

DES CRÉTINS AVEC DES PISTOLETS PARALYSANTS

Pas besoin d’être intelligent pour devenir agent de police, ni d’être bien équilibré. Tous les déficients mentaux que j’ai rencontré portaient des insignes sur leurs casquettes. Tout ce dont vous avez besoin pour devenir policier, c’est d’être accepté et sélectionné par les autorités. Euh, c’est tout ? Ainsi les forces de police du monde entier sont peuplées, de manière significative, d’êtres stupides, corrompus, psychopathes et handicapés sur le plan affectif (voir la Louisiane, je n’ai rien à ajouter). Les professions en charge de l’application des lois et l’armée sont très attirées par des personnes souffrant de graves problèmes de personnalité entraînant un fort désir de pouvoir sur les autres. Elles attirent aussi les voyous à la recherche d’un débouché leur permettant de brutaliser légalement. Pris isolément ces cas sont déjà terribles, mais maintenant on arme ces mêmes personnes de Taser libérant 50 000 volts sur quiconque leur déplait.

50 000 volts, et cette arme n’est pas mortelle ??

Le Taser est le nouveau jouet de contrôle des gros bras en uniforme, le dernier d’une longue lignée d’armes « censées être imposées » par les gouvernements. Le Taser est censé être une arme « non mortelle », mais le nombre de morts augmente. Il est censé être utilisé uniquement sur des personnes qui menacent physiquement des policiers ou la population, mais il est utilisé dès le moindre petit signe de rébellion. Il est censé être utilisé uniquement par des policiers ayant reçu une formation en ce qui concerne les armes à feu, mais maintenant, on le distribue à tout le monde. Tout ce qui est censé être, est destiné seulement à la consommation publique, comme les lois qui sont censées être utilisées contre les « terroristes » alors qu’elles sont en vérité destinées à l’ensemble de la population. On a toujours su que le Taser pouvait tuer. C’est une lapalissade de dire que le système électrique du corps est un élément vital pour rester en vie, donc lorsque ce système est court-circuité, les conséquences sont évidemment mortelles. Le Taser libère 50 000 volts afin de « bloquer le système nerveux » et ils vont nous dire qu’ils ne savaient pas que ça pouvait tuer ? Même Taser International, la société spécialiséé dans ces appareils admet : 

Les Taser ne sont pas sans risques, mais des experts médicaux et scientifiques indépendants ont déterminé que lorsqu’il est utilisé correctement, le Taser est parmi les moyens les plus efficaces pour recourir à la force et appliquer la loi. 

Quelle idiotie ! « Le moyen le plus efficace pour recourir à la force » veut simplement dire que c’est parfait pour contrôler la population. Taper sur la tête à coup de batte de baseball serait aussi extrêmement efficace pour atteindre le même but. Mais ce n’est pas correct. Même utilisé « correctement » le Taser laisse sa victime en état de choc avec ses 50 000 volts, et je ne vous parle pas des doses qu’infligent certains crétins qui ont été filmés (taper « Taser » sur YouTube). Antonio Galeano, un type de 39 ans, est tombé raide mort 15 minutes après avoir été touché 28 fois par un Taser de 50 000 volts lors d’une confrontation avec les débiles de la police du Queensland, en Australie. Les personnes cardiaques, ceux qui ont aussi des stimulateurs cardiaques risquent beaucoup avec le Taser. Comment font les policiers pour connaître l’état de santé de ceux qu’ils attaquent avec ce que le comité de l’ONU a surnommé « un forme de torture » ? Ceux qui vendent des Tasers propagent une publicité mensongère comme celle-ci : « Pour un sujet en bonne santé, une exposition de cinq secondes de décharge électrique d’un Taser ne provoque pas de changements importants indiquant une augmentation du stress physiologique… » Donc si vous êtes touché par un Taser et que vous mourez, c’est de votre faute parce que vous n’étiez pas en assez bonne santé. Les personnes qui meurent après avoir été « tasées » sont monnaie courante et plus on utilisera cette arme, plus il y aura de morts. Des centaines de personnes sont déjà mortes à cause de ça et ce chiffre va monter en flèche.

Au pays des libertés

Ceux à qui on a passé les menottes, les femmes enceintes, les vieux et les jeunes, sont à présent des proies idéales pour les nases du cerveau. Un type complètement sourd a été tasé par la police de Wichita, dans le Kansas. Elle a fait irruption chez lui après une fausse alarme au sujet d’une fusillade. Le pauvre n’arrêtait pas de dire « Je suis sourd ! Je suis sourd ! », mais ils l’ont tasé pour avoir « refusé d’obéir aux ordres. » Un citoyen britannique a été tasé deux fois par un policier mou du cerveau alors qu’il faisait un coma diabétique. 50 000 volts, un uniforme et un cerveau de la taille d’un petit pois n’est pas la meilleure combinaison que l’on m’ait donné de voir. Invariablement, une utilisation des plus extrêmes du Taser est tout le temps défendue par la hiérarchie, afin que l’arme reste crédible. Sur une vidéo, on peut voir un immigrant polonais se faire taser à mort à l’aéroport de Vancouver, alors qu’il ne représentait aucune menace pour les trois policiers grands et braves qui l’avaient interpelé. L’avocat de la famille de Robert Dziekanski a déclaré qu’il avait été en contact avec des témoins et qu’il avait visionné une vidéo de l’incident prise par une personne ayant assisté à la scène. Il semble que l’échange entre la police et M. Dziekanski, qui ne parlait pas anglais, n’aurait duré que 24 secondes avant que le Taser soit utilisé.

De nombreuses forces de police ont le droit d’utiliser les Tasers sur les enfants, et elles le font comme nous l’avons vu avec l’histoire de la fillette de neuf ans, dans une école pour enfants ayant des besoins spécifiques, en Arizona. La fillette était déjà menottée quand un « officier expérimenté », plutôt clairement sénile, a utilisé son Taser sur elle. « Cela ne remet pas en cause son intégrité » a déclaré son supérieur. « L’officier a fait ce qu’il a cru bon de faire ». Comment peut-on parler d’intégrité quand on n’en a pas ? Au Mexique, une jeune fille de 14 ans a été tasée à la tête car elle s’échappait après s’être disputée avec sa mère et elle s’est retrouvée avec une cicatrice géante. Au Royaume-Uni, il est tout à fait légal d’utiliser le Taser sur les enfants, même si le comité consultatif de conseil sur la défense scientifique du gouvernement a déclaré que l’on n’en sait aujourd’hui pas assez sur les risques pour la santé des enfants qu’implique l’utilisation de cette arme. Le comité, composé de scientifiques et de médecins a dit que le peu de recherches faites indique qu’il existe un risque que les enfants fassent des crises cardiaques. Le comité a recommandé aux agents d’être « particulièrement vigilants » devant toute réaction indésirable des victimes de Taser et a demandé que les directives soient modifiées afin de pouvoir « identifier les enfants et les adultes de petite taille » comme étant des personnes représentant des risques de crise cardiaque. Pour des armes qui sont censées ne pas être mortelles ! Les fabricants ont nié toute implication de l’arme dans les morts survenues après utilisation du Taser. Être touché par un Taser et ensuite mourir n’est apparemment pas lié pour eux. Premièrement, ils savaient que cela pouvait tuer ou que ça tuerait des gens. Et deuxièmement, ils savaient qu’avec tous ces « John Wayne », ces idiots et handicapés émotionnels dans les forces de maintien de l’ordre, on allait abuser du Taser. C’est ce qu’ils voulaient. Des gens qui meurent à cause du Taser et une police qui l’utilise au moindre « refus de se soumettre », ça vise à imposer une subordination totale de la population à la loi. Un article d’un journaliste qui a assisté à l’utilisation du Taser titrait : « Quoi que vous disiez, M. l’officier, n’utilisez pas cette chose sur moi ». Telle est la vraie raison de l’apparition du Taser, et le plan est d’en procurer un pour chaque policier de la planète. La même société a présenté un nouveau Taser, un fusil à pompe portant le nom de XREP et ayant une portée bien plus grande. Le choc électrique reçu est atrocement douloureux encore 20 secondes après l’impact. Le co-fondateur de la société Taser, Rick Smith, a dit à la presse : 

Le projectile est plus grand et a une portée plus étendue. Il va beaucoup plus vite. Cela va automatiquement provoquer des ecchymoses importantes et des contusions. Ça va être un sale engin.

Pensez-vous qu’il dort la nuit ? Sans problème, j’en suis sûr ! D’autres armes anti-émeute sont en préparation, certaines ont même un système de micro-ondes conçu pour être tiré sur la population à partir d’un avion. C’est une extension du Active Denial System (système d’armes non létales à énergie), un puissant émetteur d’ondes millimétriques utilisé pour disperser une foule. Quand les ondes touchent la peau, leur énergie se transforme en chaleur et cause une douloureuse sensation de brûlure. Ce système a été « amélioré » par le Pentagone au Joint Non-Lethal Weapons Directorate de Quantico, en Virginie en vue d’être utilisé sur des foules de manifestants protestant contre la prise de contrôle de leurs pays par la cabale fasciste. Des foules aux revendications légitimes et manifestant pacifiquement, ont déjà été dispersées grâce à l’émission d’ondes sonores atrocement douloureuses diffusées depuis un camion de police, comme nous avons pu le voir en 2009, lors du sommet du G20 à Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Des manifestants pacifiques sont dispersés par des ondes sonores atrocement douloureuses.

Et pour la première fois à Londres, la police patrouille à présent avec des mitrailleuses. Cette répression ne fait que croître, alors que la population est très centrée sur le « jeu » ou les émissions de télé réalité. Regardez par ici et taisez-vous.

Vos paupières sont lourdes…

L’ARMÉE DANS LA RUE

La police va être militarisée rapidement et l’armée officielle va se préparer à patrouiller dans les rues. En fait, c’est déjà le cas. Les freins et les contrepoids concernant l’utilisation de l’armée pour l’application des lois au niveau national, disparaissent sous la masse des lois antiterroristes passées depuis le 11 septembre. Le Congrès a donné au président le droit de réquisitionner la garde nationale pour réprimer des manifestations civiles. Le projet de loi HR 5122, adopté en 2006, donne au président le pouvoir de : 

… Faire appel aux forces armées, y compris la garde nationale en service fédéral pour… rétablir l’ordre public et faire respecter les lois des États-Unis lorsque, à la suite d’une catastrophe naturelle, d’une épidémie ou autre grave crise de santé publique, d’une attaque terroriste, d’incidents ou autres événements dans tout État ou possession des États-Unis, le président peut décider que… la violence a atteint un tel degré que les autorités de l’État ou d’une de ses possessions sont incapables de maintenir l’ordre public ; il peut, dans n’importe quel État, réprimer toute insurrection, violence, association illégale ou conspiration… 

Le projet de loi ignore Le Posse Comitatus Act de 1878, principe politique selon lequel l’armée n’a pas le droit d’intervenir dans les affaires du gouvernement civil. C’est très important, car à présent ils entendent bien utiliser l’armée pour faire appliquer les lois intérieures et imposer une dictature militaire, en déclarant la loi martiale en réponse aux problèmes qu’ils vont fabriquer.

Tel est le monde que les reptiliens et les Illuminati souhaitent voir.

C’est pourquoi le Pentagone a demandé au Congrès, en 2009, l’autorisation de poster près de 400 000 militaires dans tout le pays en cas d’« urgence » ou de « catastrophe majeure », une grande majorité de ces militaires ne seront même pas américains. L’armée a recruté des troupes d’étrangers pour patrouiller dans les rues américaines, sachant très bien que beaucoup de soldats américains seraient réticents à l’idée d’avoir à tirer sur leurs compatriotes. L’armée s’est progressivement déployée dans les rues américaines pour habituer la population à sa présence, conformément à la technique du totalitarisme sournois, et avant mi-2009 on pourra voir ces troupes dans tout le pays. Elles sont aussi engagées dans une série « d’exercices » dans lesquels elles « s’entraînent » à prendre en charge les villes américaines. Le United States Northern Command, ou NORTHCOM, dont la mission est de protéger le territoire des États-Unis et d’apporter un appui aux autorités locales, est une unité militaire créée en tant que problème-réaction-solution après le 11 septembre pour « protéger » la « patrie » des « terroristes ». NORTHCOM est basé sur la base militaire de Peterson à Colorado Springs, dans le Colorado, coopère aussi avec le Canada et le Mexique. Son dirigeant actuel, le général Victor Eugene Renuart Jr., commande également le North American Aerospace Defense Command (NORAD) — le Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord — très impliqué dans les attaques du 11 septembre. C’est NORTHCOM qui a fait circuler une « fiche du Congrès » portant le nom de « proposition législative pour l’activation des forces de réserve fédérale pour les catastrophes ». Cela proposait que le secrétaire à la défense nationale, Robert Gates, nommé par Bush et Obama, soit autorisé à « ordonner à n’importe quelle unité ou soldat de l’armée de réserve des forces aériennes, de la marine et des corps des Marines, de reprendre du service actif en cas d’urgence ou de catastrophe majeure ». L’« urgence » s’applique selon les termes « définis dans l’article 5122 du titre 42 du code américain ». Cet article donne au président-marionnette le droit de décider seul ce qui constitue un cas « d’urgence » ou une « catastrophe majeure ». C’est encore plus flagrant. On obtient le droit de poster des milliers d’hommes de troupe dans les rues américaines en cas de catastrophe ou d’urgence, puis on trouve une excuse pour que le président déclare l’état d’urgence ou une catastrophe majeure. Comme David Rockefeller l’a déclaré devant les Nations Unies en 1994 : « Nous sommes à l’aube d’une transformation mondiale, tout ce dont nous avons besoin est la crise profonde qui convient. » En janvier 2010, Obama a signé le décret présidentiel non débattu 13528 pour mettre en place un « Conseil des gouverneurs », un « comité consultatif » de dix gouverneurs d’État (nommés par Obama) pour accélérer la « synchronisation et l’intégration de l’État et des activités militaires fédérales aux États-Unis » et d’élargir l’engagement militaire en application de la législation nationale. Ceci permet au gouvernement fédéral de prendre le contrôle des troupes de la garde nationale lors d’une « urgence nationale ». Les unités de la garde nationale seraient ainsi placées sous le contrôle du NORTHCOM, l’organisation mise en place pour imposer l’application des lois par l’armée américaine.

SOLUTIONS

Unissons-nous pour défendre ce qui touche tout le monde : la perte des libertés élémentaires. Si nous perdons ces libertés, quel genre de monde allons-nous laisser à nos enfants et à nos petits-enfants ? Pouvez-vous vivre avec ça et rester sans rien faire ou bien en vous révoltant comme le désirent les autorités ? Moi, je ne peux pas. Nous devons nous organiser en communautés et en groupes, nous soutenir les uns les autres et arrêter de coopérer avec le système de contrôle, mais pas nous battre contre lui. Le système n’existe que parce que nous ne soulevons aucune objection. Mais tous ensemble, nous le tenons. Pour contrer une résistance brutale, ils ont leurs hommes et leurs femmes entrainés à la violence, on les appelle les militaires et les « équipes d’intervention ». Leur pire cauchemar, est notre non coopération : refus de payer des impôts, refus de quitter sa maison quand les banques ont décidé de la saisir en raison de la crise économique provoquée par ces mêmes banques, refus de se « soumettre » à l’esclavage sous toutes ses formes. Si tout cela est fait à grande échelle, le système ne pourra pas faire face. Et c’est justement de cela dont il s’agit : nous devons agir en masse et ceux qui pour l’instant ne sont pas touchés doivent soutenir ceux qui le sont. À la place de la conformité affichons un refus d’obéissance, une danse des insoumis, refusant de se conformer à ce qui est injuste, déloyal, à ce qui vise nos libertés à tous. Pas d’hostilité, de rage ou de violence, on refuse de se conformer, mais avec de l’amour, de la joie et des rires et une détermination inébranlable, un refus de coopérer à notre propre asservissement. Nous avons besoin qu’il y ait un refus de masse de rejoindre l’armée, surtout s’ils essaient d’imposer la conscription, il faut refuser le « service communautaire » obligatoire pour les jeunes, qu’Obama et ses sbires veulent mettre en place (comme le gouvernement britannique et d’autres encore), refuser la légitimité de la force de sécurité civile prévue par Obama et qui n’est rien d’autre qu’une arnaque visant à ce que des civils surveillent d’autres civils pour le compte des élites. Nous devons commencer à rassembler la monnaie locale et le troc pour fonctionner en dehors du système. Les grandes manifestations restent des options, tant qu’elles sont pacifiques, mais elles doivent faire partie de la campagne de non violence et de non coopération avec le système, elles ne doivent pas être au centre de l’action. Tant de grandes manifestions ont eu lieu dans le monde entier, et on en est toujours au même point, qu’il s’agisse de guerre ou de mondialisation. Il faut arrêter d’agiter des pancartes et de se diriger ensuite vers le café, avec la sensation d’avoir fait sa BA, il faut commencer à agir en fonction de ce qui va réellement faire la différence. Les manifestations doivent cibler la non coopération, refusant d’accepter les lois qui interdisent les associations en grand nombre, allant jusqu’à les défier, faire barrage autour de la maison d’un voisin quand les huissiers envoyés par la banque viennent pour le mettre à la rue, remplir de personnes les endroits où se trouvent la finance et le gouvernement afin que le système ne puisse pas fonctionner. Tout ceci doit être fait avec humour et pacifisme. En Israël, le mouvement « Shministim » est un bon exemple de non coopération. Des étudiants israéliens (Shministim veut dire douzième échelon en hébreu) ont été emprisonnés pour avoir refusé de servir dans l’armée qui occupe la Palestine et qui tue des innocents à Gaza et ailleurs. Ce sont des jeunes gens incroyables qui ont de quoi rendre honteux tous ceux qui dans le monde, se disent « Mais qu’est-ce que je peux faire ? » comme excuse pour ne rien faire. L’une d’entre eux, Omer Goldman a écrit : 

On m’a mise en prison le 23 septembre et y suis restée 35 jours. J’ai de la chance, après deux séjours en prison, j’ai pu sortir pour raisons médicales, mais je suis la seule. Au moment où vous lirez ces lignes, beaucoup de mes amis seront en prison également : on y reste trois semaines, on sort pendant une semaine, puis on y retourne encore et encore jusqu’à ce qu’on ait 21 ans. La raison ? Nous refusons de faire le service militaire pour l’armée israélienne en raison de l’occupation. 

J’ai grandi avec l’armée. Mon père était administrateur général du Mossad et j’ai vu ma soeur, qui a huit ans de plus que moi, faire son service militaire. En tant que jeune fille, je voulais être un soldat. L’armée faisait tellement partie de ma vie que je ne l’avais jamais remise en question. Plus tôt cette année, je suis allée à une manifestation pour la paix en Palestine. J’avais toujours dit que l’armée israélienne était là pour me défendre, mais au cours de cette manifestation des soldats israéliens ont ouvert le feu sur moi et mes amis avec des balles en caoutchouc et des grenades lacrymogènes. J’ai été choquée et effrayée. J’ai vu la vérité. J’ai vu la réalité. J’ai vu pour la première fois que la chose la plus dangereuse en Palestine c’était les soldats israéliens, ceux-là mêmes qui sont censés être de mon côté. 

Ce qu’elle a vécu l’a connectée à la Conscience, du moins en ce qui concernait sa vie. Si elle était restée enfermée dans son esprit, elle aurait pensé aux conséquences qu’entraînaient sa prise de position, d’autant plus que toute sa vie avait tourné autour de l’armée. On ne refuse pas la Conscience une fois qu’on y a accédé. La Conscience fait ce qu’elle sait être juste, peu emporte le reste. Il existe une autre jeune femme incroyable, une juive américaine qui a décidé de faire ce qui lui paraîssait juste de faire et non d’agir en raison de la génétique, de la religion et de la culture du programme de l’esprit. Elle s’appelle Anna Baltzer. Elle s’est rendue en Cisjordanie pour constater par elle-même la situation critique que vivent les Palestiniens sous l’occupation israélienne. Ce qu’elle a vu a changé sa vie et l’a connectée à la Conscience en ce qui concerne ce qui se passe. Encore une fois, lorsqu’on se connecte à la Conscience, totalement ou par rapport une situation donnée, on  ne peut plus s’en éloigner. Ces exemples sont des réponses à l’injustice et aux souffrances de ce « monde ». Arrêtez de coopérer avec ceux qui sont à la base de cette injustice et de cette souffrance et ça ne se reproduira plus. L’« élite » peut bien manipuler les événements, mais nous, en tant qu’individus, nous avons tous les éléments en main. Nous n’avons pas le choix ? Conneries. On a toujours le choix. Il y a des choix que nous aimerions faire, et des choix que l’on aimerait éviter, mais on a toujours le choix. À l’heure actuelle, ceux qui se sont engagés pour la décence et la justice et qui s’opposent au système sont encore une minorité, mais ce potentiel-là ne connaît aucune limite. Sans chair à canon en uniforme, aucune guerre n’est possible. C’est la même chose pour le système qui englobe les gouvernements, les banques, les affaires, les médias, etc. Ces institutions visant au contrôle et à la manipulation ont besoin de notre coopération pour fonctionner et sans laquelle leur château de cartes s’effondrerait. Nous coopérons avec ceux qui veulent nous asservir et si nous arrêtons cela ils seront démunis. Jusqu’où faut-il aller avant que le barrage ne cède et que l’esprit s’ouvre à l’évidence ? Ces jeunes israéliens sont un exemple à suivre, et si nous sommes assez nombreux à le suivre, l’édifice du pouvoir centralisé s’effondrera.

L’aspect le plus important dans la protestation des femmes libériennes est qu’elles sont restées pacifiques et non violentes tout le temps. Le système veut des émeutes en réponse aux injustices et beaucoup d’entre nous sont grugés. Il leur faut une excuse pour mettre en place, dans le monde entier, un État policier à part entière, et les émeutiers qui se révoltent par désespoir, invariablement poussés par des provocateurs, sont l’excuse qu’ils recherchent. L’organisation militaire est déjà en place, prête à répondre. Le US Army War College (collège militaire de l’armée américaine) a publié un document intitulé « Inconnus connus : Chocs stratégiques non conventionnels dans le développement de la stratégie de défense ». Il y est dit que les militaires doivent être préparés en vue d’une « dislocation violente et stratégique à l’intérieur des États-Unis », à la lumière d’un « effondrement économique imprévu ». Imprévu ? C’est une plaisanterie ? Le document parle d’une « résistance intérieure tenace », d’« urgences sanitaires omniprésentes » ou de « perte du fonctionnement de l’ordre politique et juridique ». En voici un extrait : 

Une violence civile généralisée à l’intérieur des États-Unis forcerait l’establishment de la défense à réorienter les priorités in extremis pour défendre l’ordre intérieur et la sécurité des citoyens. Le gouvernement américain et l’establishment de la défense ne doivent pas se laisser bercer d’illusions concernant l’ordre public sécuritaire et seraient contraints de laisser rapidement certains, ou la plupart, de leurs engagements extérieurs en matière de sécurité afin de répondre à l’expansion rapide de l’insécurité sur le territoire. Dans les circonstances les plus extrêmes, cela pourrait inclure l’utilisation de la force militaire contre des groupes hostiles à l’intérieur des États-Unis. 

Les agents provocateurs attendent déjà en coulisses et les idiots inutiles sont prêts à contrer des émeutes et des troubles de l’ordre public pour ceux qui défieraient l’ordre existant. Mais l’ordre existant est en place grâce aux réseaux des familles Illuminati qui cherchent à créer le « nouvel ordre ». Comme toujours, pour y parvenir, ils ont besoin de notre coopération et laissent croire que ceux qui chercheront à se révolter et à piller, en réponse à ce qui se passe, et qui encourageront d’autres personnes à les rejoindre, tomberont tout droit dans le piège qui leur a été tendu. Les agents provocateurs savent tout cela, mais pas les idiots utiles, mais il est temps qu’ils le sachent. Les émeutes et les pillages qu’ils souhaitent voir — le chaos — viendront avec la création d’un État policier et d’un couvre-feu, avec la prison sans jugement préalable, les militaires dans les rues, et la mise en place de camps de concentration pour « dissidents ». Comme beaucoup d’autres, j’avertis depuis longtemps à ce sujet. La seule façon d’arrêter ce processus n’est pas de réagir par la violence et l’hostilité, comme ils le souhaitent. Combien de révolutions menées avec violence ont mené à un autre régime tyrannique remplaçant celui déjà en place ? C’est ainsi que tout doit se passer, car tout ce qui est détruit par la violence sera remplacé par une même énergie. La Conscience éternelle ne se bat pas. Elle est non violente et elle ne pille pas.

Source: Extrait du livre de David Icke